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Le voisin est un pur-sang

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Le samedi suivant, comme si de rien n’était, il est venu prendre l’apéritif. On avait déjà pris quelques gâteaux apéro, vidé un premier verre quand Anne-Sophie amena un autre plateau. Au moment où elle le posa sur la table, Germain faillit s’étrangler en avalant de travers. Je dus lui frapper dans le dos.
Il réussit à se reprendre. "Est-ce que ça va ?""Oui... oui j’ai juste avalé de travers".Il demanda à aller au toilettes. Je le vis s’y diriger, son Iphone à la main. Plus tard quand tout fut rentré dans l’ordre, je reçus un appel d’un patient à qui j’avais dit de me recontacter. Je passai dans mon bureau qui est l’ancienne salle à manger. Il y a un vieux passe-plats dans le mur qui sert de placard. Nous ne l’avons pas condamné. Après avoir raccroché, j’y cherchai un document ce qui me permis d’entendre la conversation. Ils parlaient d’ordinateur lorsque j’entendis Germain dire :"Tu te connectes souvent sur des sites de cul "?"Pardon"?"Je t’ai vue l’autre soir";"Tu dis n’importe quoi"!Dans cette réponse j’entendis la voix d’Anne-Sophie se troubler. Il y passait un air de panique."Tu as toujours aussi envie de voir ma bite" ?"Arrête, tu n’es pas drôle"."Et toi arrête de te foutre de moi. Sur tes photos l’autre soir, au moment où tu écartes ta chatte, il y a une magnifique bague avec un rubis que j’ai remarquée parce que cela faisait un petit peu bourgeoise salope. Tout à l’heure, en reconnaissant la bague à ton doigt, j’ai failli m’étouffer. J’ai vérifié ta photo sur mon Iphone pendant que je suis allé aux chiottes.""Il ya sûrement d’autres bagues comme la mienne"."Ah ouais ? Et les mêmes mains ? Et des nibards comme les tiens ? Tu sais, ils sont tellement bandants que, quand tu me les as montrés l’autre soir, j’ai fait une capture d’écran de peur que tu ne retires ces belles photos de ton profil. Je les ai matées toute la semaine en me pignolant, en attendant que tu te reconnectes.... Je suppose que tu n’as pas de grain de beauté juste au dessus de ton téton gauche ? C’est facile à vérifier""Laisse- moi, Eric va arriver...""Viens me rejoindre ce soir ou connecte-toi"." Non".Je choisis ce moment pour faire mon retour."Tout va bien" ?"Nickel répondit Germain"."De quoi parliez-vous"?"Des dangers d’internet" répliqua-t-il."Raconte".
"L’autre soir, après vous avoir quittés, je me suis connecté sur le site dont je vous ai parlé et j’ai été allumé par une chaudasse"."Cool pour toi"."Tu parles, elle n’assume pas". Dit -il en fixant Anne-So. Elle était rouge de confusion, ne savait pas où se mettre; quant à moi je ne laissais rien paraître."D’ailleurs, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je vais aller la rejoindre"."Ah bon, je croyais qu’elle n’assumait pas"!"Quelque chose me dit que ce soir elle va se connecter. J’attendrai le temps qu’il faudra." Cela aussi il le dit en fixant fermement ma femme du regard.Il resta encore quelques minutes avec nous puis nous quitta. Pendant le repas je relançai l’affaire."Je crois qu’il t’a reconnue"."Tu es fou, c’est impossible, comment aurait-il pu" ?"C’était une allusion claire à la fin, non "? Et puis il te fixait tellement."Je vois pas comment"."Tu vas le rejoindre"?"Bien sûr que non. La semaine dernière c’était pour voir. On a joué, maintenant c’est fini".Je sentis, à sa voix, qu’elle n’était pas sincère.
Nous nous couchâmes assez tôt mais le sommeil ne vint pas. Anne-Sophie, était agitée, elle tournait, virait et je fis semblant de m’endormir. Après m’avoir demandé à plusieurs reprises si je dormais et comme je ne voulus pas lui répondre, elle se leva. Elle descendit sans bruit au bureau. Je la suivis. Je la vis ouvrir l’ordi portable, se connecter. Il était là, il l’attendait. Une conversation débuta. Je ne pouvais pas voir ce qu’ils écrivaient mais au bout d’un quart d’heure à peu près, elle alluma la cam et enleva sa chemine de nuit. Elle était entièrement nue, les seins gonflés, les tétons bandés, durs, excitants. Sur son écran, je pouvais voir Germain astiquer sa bite lentement. Puis, il s’absenta brièvement, revint, et avec un rasoir mécanique commença à se raser les couilles en gros plan. Anne-Sophie tendit son pouce en hauteur devant la caméra.J’eus l’idée d’aller chercher les jumelles pour essayer de voir ce qu’ils écrivaient. Une fois bien placé dans l’entrebâillement de la porte, je pus tout lire."Pétris-toi les seins". "Mets-toi les doigts dans la chatte". Elle obéissait docilement à tout ce qu’il demandait"."Allume ta lumière, je ne te vois pas assez"."Je ne peux pas. Si Eric se réveille...".(Eric, bien entendu, c’est moi) "Viens, rejoins-moi. Ma gaule est tendue, j’ai envie de toi"."Je ne peux pas"."Tu en as envie"."Je ne peux pas". "Dis-le que t’en crèves d’envie, que tu as envie de me sucer, que je te grimpe..."."Je ne peux pas"."Dis-le ou je coupe la com et je me branche sur une autre nana"!"Non reste... Oui, j’ai envie de m’empaler sur ton gros pieu, de te pomper, de faire tout ce que tu veux... Tu es content là ? C’est ce que tu voulais entendre "?Je n’en revenais pas. C’est comme si j’avais été cocu. En même temps je bandais à mort. J’imaginais ma femme sous ce mâle puissant, la fourrant à fond, en train de jouir."Viens alors, tu vas voir comme je vais m’occuper de toi.""Impossible".L’idée de voir ma femme se faire prendre par cet Hercule, m’excitait au plus haut point. J’étais en train de fantasmer sur cette scène, mon gland mouillait.J’ouvris la porte. Aussitôt Anne-Sophie, referma l’ordi brusquement"Tu fais quoi" ?"Rien, rien... je... je dormais mal... je regardais des trucs sur le web." dit-elle avec un air de panique dans la voix."A poil "?"J’avais chaud".Je m’approchais d’elle, le zob en l’air."Moi aussi vous m’avez donné chaud"."Que, quoi...""Il y a une demie-heure que je vous regarde. J’ai tout lu avec les jumelles"."Je vais t’expliquer...""N’explique rien. Fais le venir""Quoi" ?"Fais-le venir. Tu en meurs d’envie... et moi aussi""Comment ? Qu’est-ce que ... je comprends pas"."Tu as envie qu’il te saute et j’ai envie de voir ça "!"Mais tu es complètement cinglé ...""Il y a une demie heure que tu me trompes avec lui sur internet. Si je n’étais pas là, tu serais déjà dans son pieu... Allez ! Fais vite, il va se déconnecter. Dis-lui que tu te reconnectes dans dix minutes le temps que je t’explique à quoi je pense".
Elle se reconnecta. Il était encore en ligne mais sans doute sur une autre conversation car il mit du temps à répondre." Eric est passé. J’ai dû couper. "Mais ouf, te revoilà... je suis encore très chaud"."Je dois encore couper. Attends-moi. Je reviens".Et je lui expliquai ce que j’attendais d’elle. Elle devait dire que je m’étais réveillé et que j’avais pris un somnifère et que d’ici 30 à 45 minutes, je dormirais comme un loir. A ce moment il pourrait la rejoindre. Il devait juste guetter, à partir de la porte de sa cuisine qui donnait sur la cour, la fenêtre de notre chambre qu’on apercevait de là. La nuit était claire, la lune à son plein, éclairant presque comme en plein jour. Elle se mettrait entièrement nue devant et il n’aurait qu’à traverser les quelques mètres qui séparaient sa maison de la nôtre, franchir le petit portail et monter droit à la chambre sans s’arrêter.Ainsi fut fait. Le minutes furent longues puis, quand j’eus estimé qu’il était temps, je lui dit d’aller s’exhiber pendant que je me tiendrais collé contre le mur et de me dire à voix basse ce qu’elle observerait. Elle se montra."Il est déjà dans la cour... Il m’a vue, Il se lève... bon sang, il est nu. Il vient d’un pas ferme et décidé, il a franchi le portail... je ne le vois plus".On entendit la porte d’en bas s’ouvrir puis ses pas dans l’escalier. Je me recouchai rapidement et fis la mine de dormir. Anne-Sophie avait reçu toutes les consignes pour que je puisse les regarder sans qu’il vit mes yeux ouverts. Dans le lit ils devaient se coucher tête-bêche par rapport à moi.Il ouvrit la porte et s’avança."Mais ton mari est là"!"Oui, mais il dort"."On ne peut pas rester là, il va se réveiller, allons ailleurs"."Non, cela me plait ici. Et puis regarde, il est parti pour plusieurs heures".Elle me pinça très fort le téton, et failli m’arracher un cri. La garce, elle en profitait."Tiens essaie".
Alors il me pinça aussi... sans ménagement.Puis il se tourna vers elle apparemment convaincu par mon profond sommeil, et s’approcha. Ils étaient de profil. Il parla."Cela me fait bizarre qu’il soit là. Je l’aime bien... je suis un peu mal à l’aise.. Tu sais, je ne veux pas te mentir. J’ai beaucoup d’affection pour vous deux mais je ne suis pas amoureux de toi... Je viens juste... ""Pour me baiser"!"Si on veut, car j’aimerais qu’on devienne copain de cul. Que l’on puisse s’envoyer en l’air en toute complicité, autant qu’on le voudra toi et moi"."Mais c’est bien comme cela que je l’entends".Elle s’approcha de lui, lentement, puis ses seins touchèrent son torse. Sa main se glissa dans l’entre-jambe et elle se mit à lui caresser les couilles. Il se baissa pour commencer à lui lécher les nichons. La bite s’était redressée fièrement et rapidement. Elle la branla, lentement, recalottant, décalottant puis elle s’agenouilla et se mit à titiller l’extrémité du gros zob du bout de sa langue. Il tendit tous ses muscles, passa ses bras derrière sa nuque et je vis, dans la pâle clarté de la lune, se dessiner les poils de ses aisselles. La langue descendait et remontait le long du fût puis elle se mit à bouffer les testicules, l’un après l’autre, la tête disparaissait à mon regard entre les cuisses velues et fermes.
Puis un bruit de succion me fit suivre tout le parcours de la bouche qui déposait mille petits baisers sur le membre vigoureux dont elle refaisait l’escalade en sens inverse. Enfin elle enfourna le gland déchaînant ses mouvements dans tout les sens. Lui gémissait très fort, râlait, commentait à mi-voix : "Putain trop bon, t’es une vraie suceuse, wouah, c’est bien.. comme ça continue... oh oui génial ... Putain la langue entre le prépuce et le gland, c’est dément... ouais, vas-y, ouais, bien comme cela.": Et il ondulait du bassin. Il lui avait agrippé la tête qu’il guidait selon ses désirs."Je vais te le rendre, tu vas de pâmer, je vais te baiser comme jamais j’ai baisé personne, tu vas jouir...".
Il la releva, lui roula une pelle magistrale, lui pelota les nichons, la prit dans ses bras puissants et l’a renversa en travers du lit, son corps reposant sur mes jambes. Il s’agenouilla et lui bouffa la chatte. Je voyais ses boucles blondes s’agiter en tous sens entre les jambes de ma femme qui se caressait les tétons en gémissant de plaisir et en élevant et rabaissant son bassin à l’envie. "Putain, ta langue est chaude et longue... Ravine-moi le trou, vas-y... Hmmm... bouffe moi le clito...".
Puis il se redressa et, fléchissant les genoux pour être à la bonne hauteur, il présenta son gland sur le trou dégoulinant de salive. Je plissai des yeux pour qu’il ne voit pas que j’étais en train de les mater."Ah la vache, il est trop gros. Il va jamais rentrer...""Il a une petite bite Eric "?"Non grosse, aussi mais pas tant que ça"."Allez, serre les dents, elle va rentrer. J’y vais en douceur"."Non pas comme ça".Et elle s’allongea sur le lit, à côté de moi, sur le dos mais les mollets à hauteur de ma tête. Il s’insinua entre les jambes écartées et je vis ses fesses musclées descendre et se crisper à mesure qu’il se rapprochait de la chatte et que le zob y entrait. Je le voyais, étendu de tout son long en missionnaire, bras tendus, la main droite frottant contre ma propre cheville cachée sous la couette, le dos puissant, cambré, dont chaque muscle ressortait. La clarté de la lune atténuait les contrastes mais rendait nette la séparation entre son cul rebondi et tout blanc et le dos bronzé. Je pouvais voir jusqu’au détail des poils fins et frisottés de ses jambes. Ma femme soufflait lentement et fortement tandis que le pénis progressivement s’enfilait en elle."Tu la sens là, hein, bien profond... Je suis presque jusqu’aux couilles... ça te fait mal" ?"Vas-y doucement"
Alors ses fesses commencèrent à s’agiter, à mesure qu’il se retirait et rentrait avec plus ou moins d’ampleur. Les souffles se transformèrent en légers gémissements : "Hmmmm, hmmmm..." Elle plia complètement ses jambes, puis les croisa sur les fesses, ses bras s’accrochèrent aux épaules et un premier cri de plaisir fusa "Ouiiiii... quelle queue"! Alors il oublia toute retenue et se mit à bourriner à fond, ses violents coups de boutoirs ébranlaient le plumard qui grinçait sous le poids de nos corps et l’ardeur de la lutte. Il tint ce rythme frénétique pendant plusieurs minutes puis s’affaissa sur le corps d’Anne-So en cessant de bouger. Je crus qu’il avait joui déjà, si vite. Mais il se dressa, vouta le dos pour pouvoir bouffer les lourdes mamelles et il se remit à aller et venir et à onduler du bassin, de droite à gauche, en rond, de haut en bas. Dans la chatte ce devait être un festival car la salope n’arrêtait pas de gueuler des "Ouiiiii, ta bite, j’veux ta bite..." et d’autres conneries du genre.
Je bandais à mort, comme jamais. Ma tringle était terriblement tendue et je ne pouvais même pas me toucher sans éveiller les soupçons. Il sortit lentement son braquemart du trou. Je le vis émerger raide et il s’avança pour le faire sucer. Puis il se leva lui tendit la main pour l’inviter à le suivre et, quand elle fut debout, il la serra près d’elle et, comme si elle n’avait rien pesé, la souleva et la fit descendre sur son pieu. Je le vis disparaître derrière la chair ferme des fesses. Ses jambes solides, écartées massivement plantées sur le sol lui donnaient l’équilibre pour supporter la charge de ma femme qui agrippée à son cou et soutenue par ses bras vigoureux se démenait comme une folle sur le manche. Puis, quant il en eut marre il la reposa et se remit à côté de moi, tenant sa queue dressée vers le ciel. "Viens".
Son épaule gauche était presque contre mon visage. Je suis sûr qu’il pouvait sentir mon haleine sur sa peau déjà ruisselante de sueur. Elle l’enjamba et vint descendre, accroupie sur le sexe, les talons enfoncés dans le matelas, un pied posé contre moi et les bras, tendus vers l’arrière, de part et d’autres des jambes du jouisseur. Elle se mit à actionner ses cuisses pour monter et descendre sur le pylône de chair. La chatte était tellement humide que j’entendais les chocs mouillés de la verge au fond du vagin ou des lèvres enserrant et suintant sur le gros zob. Elle y allait franchement, sans vergogne, la tête penchée en arrière. Les seins énormes ballottaient au rythme régulier des va-et-vient. Elle parlait, criait, gémissait sans discontinuer et lui, les mains cramponnées à ses hanches, ronronnait et l’encourageait. Mais elle fut vite fatiguée de cet exercice qui lui demandait beaucoup d’énergie. Elle se retira mais repris la même place, à genoux cette fois, toujours face à lui. Ce fut à son tour de travailler. Il se mit à donner des grands coups de reins, pendant qu’elle lui labourait le poitrail avec ses ongles. Il se fit ordurier, oubliant ma présence, à voix haute, la traitant de tous les noms. "Tiens ma queue salope, prends ma tige, grosse pute. T’aimes la queue sale truie... " : Elle répondait après des oui langoureux et des encouragements : "A fond, vas-y , oh oui démonte-moi". Mais, tout endurant qu’il fût, les muscles de son dos demandèrent bientôt grâce. Alors, elle se mit a onduler du bassin pour faire danser la bite en elle. Lui avait posé ses énormes paluches sur les seins qu’il malaxait frénétiquement et, de temps en temps il descendait la main droite sur le pubis, emmêlant ses doigts dans les poils, puis titillait le clitoris.
Ma bite me faisait mal. J’avais envie de me toucher, de l’astiquer et d’en finir, mais je ne pouvais pas le faire sans me découvrir. J’avais décidé d’attendre la fin.Il lui dit de se relever puis la pris en levrette."Ton mari dors toujours ?" Je ne bronchai pas. "On va le mettre sur le dos". Alors il me poussèrent et je n’offris aucune résistance. "Viens, s’il se réveille, il aura une belle surprise". Il la prit au dessus de mon visage. Je pus voir la queue toute entière s’engager dans le trou. Cela sentait fort la sueur et le sexe. Puis il de mit à la bourrer. Parfois, en fonction des mouvements du bassin de ma femme, qui se mettait plus ou moins haut à quatre pattes, ses couilles lisses me touchaient le visage. Mais la position ne devait pas être pratique pour lui, ses jambes heurtant ma tête. Il se redressa, mit ses cuisses de part et d’autres des fesses d’Anne-So, puis, guidant son nœud de sa main, vint le remettre dans la chatte. Le champ de vision était plus large pour moi. Les couilles dansaient follement, la queue sortait et rentrait avec peu d’amplitude mais rapidité. Les fesses contractées, tendues, laissaient voir la rondelle poilue. Anne-So jouit enfin, et j’en fus éclaboussé. Mais lui ne mollissait pas. Tout à coup il se retira et se mit en position pour forcer l’anus. "Non, je ne l’ai jamais fait. Ça va pas rentrer" "Tu as du gel ?" "non". "Tu perds rien pour attendre salope, je te le démolirai ton petit cul de pute". Je pensais en moi-même "Oui tu le démolira gros porc... mais tu passeras après moi".
Il se remit alors dans la chatte, à pilonner comme un forcené, puis il la fit sortir du lit, à genoux devant lui pour une branlette espagnole. Je voyais le gland apparaître et disparaître dans l’étroite cavité formée par les seins compressés par les mains.`"Allez, viens que je te bouffe la fente".Il s’allongea. Elle vint s’asseoir sur son visage et pendant qu’il se rinçait la gueule à la cyprine, elle le masturbait des deux mains. A nouveau, il la fit se lever, l’appliqua contre le mur et la prit debout par derrière. Elle, s’appuyant de ses mains contre le long du mur, lui tenait l’épaule droite en laissant pendre son bras gauche le long se son propre corps, bras qu’il releva soudain pour lui donner une magistrale claque sur le cul."Aïe ! Tu me fais mal. Je vais être toute rouge. Eric va s’apercevoir de quelque chose".
Oui, je m’étais bien aperçu de quelque chose. Ce mec déboîtait ma femme avec une expertise que je jalousais. Jamais je n’avais fait tout cela et si longtemps. Il était remarquablement endurant. Il s’amusait à retirer son dard entièrement, puis à le refoutre, en variant le rythme, tantôt rapide et tantôt lent. Quand il y allait comme un marteau-piqueur, je pouvais voir les seins s’agiter vigoureusement dans tous les sens Au comble de l’excitation, mais couilles se vidèrent enfin, sans que j’ai jamais touché mon zob. Je dus me pincer les lèvres pour retenir un râle orgasmique.
Lui aussi allait aboutir. Il se retira vivement, fit asseoir Anne-So, à côté du lit, la tête posée sur le matelas et lui enfourna son gourdin dans la bouche. Placé comme il était, je dus plisser les yeux pour qu’il ne s’aperçût pas que j’étais éveillé. Il se servit de la bouche comme d’une vulve, allant et venant, mais seul le gland disparaissait, le phallus étant trop gros et trop long pour s’enfiler entièrement dans le puits de salive. Il avait capturé sa tête entre ses mains pour appliquer la gaule au plus profond possible. On sentait qu’Anne-Sophie faisait des efforts pour ne pas suffoquer. Enfin il se cambra, sortit sa matraque, pencha sa tête en arrière et ferma les yeux pendant que j’ouvrais grands les miens. Il donna que quelques coups secs sur la queue dans une impressionnante masturbation finale et je vis la gelée s’élancer en l’air en jets longs et fournis. Ils s’abattirent sur le visage soumis et, lorsque vinrent les derniers hoquets de foutre, au moment ou la source allait se tarir, Il ouvrit les yeux et dirigea sa main vers la bouche béante pour que les dernières gouttes y plongent directement et rejoignent les filets qui, déjà ruisselaient du nez vers les lèvres. Il introduisit son vit en soufflant puissamment.
Je fermai les yeux. Il vint s’affaler de tout son long contre moi, son corps trempé de sueur. Il attira ma femme contre lui. Nous étions serrés tous les trois, eux entièrement nus sur le lit et moi sous la couette. Il régnait une bienfaisante odeur de rut. Ils restèrent un moment silencieux puis il dit :"Putain, c’était super. Tu es un super bon coup. Ton mari ta bien prise en mains.Quand je pense qu’il a tout ça à lui tous les jours, le veinard...". Anne-
Sophie se taisait."Tu as aimé"?"Oui, tu m’as lessivée"."Quand pourrais-je revenir "?"Je sais pas"."Tu sais ce que j’aimerais" ?"Dis toujours"."J’aimerais pouvoir m’endormir là entre vous deux. Me lever demain matin. Aller soigner mes bêtes à l’aurore, me doucher, puis revenir avec vous. Alors, avec Eric, on te baiserait tous les deux. Cela te plairait"."Je sais pas. Je sais pas...""ouais, je sais un fantasme. Pote comme on est je suis mal de le faire cocu. S’il te partageait avec moi, si on était pote de baise... le pied. Surtout qu’il est bien gaulé ton mec.... tu voudrais pas lui demander un plan à trois" ,J’écoutais sans rien dire.Il reprit : "S’il voulait... le pied, lui et moi sur toi... tu serais notre petite femelle. On te ferait atteindre à deux des sommets dont t’as pas idée. Et puis, quand un soir l’un serait fatigué l’autre serait là pour s’occuper de toi. Tu aurais autant de saillies que tu voudrais dans la semaine et même plusieurs fois par jours... Tu aimerais ?""Vous me tueriez"."En tout cas, moi je serais capable de te monter plusieurs fois par jour... Bon il est tard... je vais devoir y aller. Adieu beau fantasme. ... J’aimerais rester là avec vous deux... dormir avec vous... me lever sans bruit, faire mon travail, revenir. Te réveiller en te léchant délicatement la chatte et puis tu réveillerais Eric et on baiserait longtemps... Enfin"
A ce moment là il se redressa comme pour partir. J’ouvris la bouche."Reste, fais comme tu as dis..." Il sursauta, comme s’il avait vu un fantôme, sortit du lit en passant par dessus Anne-Sophie, tellement précipitamment qu’il de cassa la gueule. Nous éclatâmes de rire Anne-Sophie et moi. J’allumai la lumière. Il se cacha les yeux, éblouis. Il était sur le dos, les jambes à moitié pliée, se redressant déjà sur le coude gauche. Son sexe au repos mais encore énorme et tout rouge, sa toison intime toute pleine de la rosée de leurs ébats, pendait superbe au bas de son ventre. Je m’assis sur le bord du lit, lui tendis la main pour l’aider à se relever. Il hésita, puis l’attrapa, mais pour s’asseoir à même le sol en me regardant."Putain, mais c’est quoi ça"?Alors je lui racontait tout. Il n’en revenait pas : "Bandes de salauds... Je n’y ai vu que du feu...""Tu regrettes pas" ? Dis-je."Tu rigoles" !Anne-Sophie était assise à côté de moi. Je l’interrogeais :"Tu ne lui as pas répondu""A quoi" ?"Tu aimerais à trois ? Tu veux qu’il reste et qu’il fasse comme il a dit. Qu’il nous quitte à l’aube, qu’il revienne et qu’on te prenne tous les deux"?"Y’a bien que des gros queutards de mecs pour avoir des idées pareilles. Allez, levez-vous tous les deux."
Nous obéîmes, elle se mit à genoux entre nous deux, me bouffa la pine rapidement, puis la sienne, qui toutes deux restèrent inertes. Nous n’avions pas récupéré. Puis elle saisit nos deux membres flasques nous entraîna vers le lit où nous nous allongeâmes. Elle éteignit la lumière. Il était presque trois heures du matin. Le sommeil nous prit tout les trois, pleins des folles promesses de la matinée à venir.
A suivre...
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