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ma voisine m'a dépucelé

Chapitre 1

Hétéro
Ma voisine m’a dépucelé
Ceci s’est déroulé quand j’avais 16 ans (j’en ai maintenant 45). J’habitais dans un immeuble de 4 étages sans ascenseur ; et au 4e résidait Mme JEAN (je l’appellerai ainsi du prénom de son mari décédé, afin qu’on ne la reconnaisse pas), environ 45 ans, donc veuve et élevant seule sa fille un peu plus âgée que moi (18 ou 19 ans). Souvent, lorsque je voyais Mme JEAN revenir des courses, seule, je l’aidais à décharger sa voiture et lui montais les sacs chez elle. Il m’arrivait même de lui rendre de menus services de bricolage ou autre ; bref, nous entretenions de très bonnes relations et nous discutions souvent ensemble de choses et d’autres ; selon ses dires elle était très contente de pouvoir compter sur moi, vu qu’elle était, et surtout se sentait très seule depuis le départ de son époux. Lors de nos discussions elle m’avait précisé (en rigolant) « Tu es mon petit homme en quelque sorte ; et si un jour tu as besoin de quoi que ce soit tu peux compter sur moi ».Donc tout se passait super bien, sans aucunes pensées coquines dans mon esprit, bien que Mme JEAN fût une très belle femme, très attirante, mais pour moi c’était l’amie de mes parents, et je ne voyais rien de plus. Cependant, un jour de juillet, j’étais chez elle pour lui arranger un problème de robinet et, dans sa cuisine, on avait dû déplacer des meubles, donc on avait peu de place pour se croiser, et je ne saurais dire si cela vient de la tenue légère de Mme JEAN ou de la chaleur, mais en se frôlant, j’ai senti sa poitrine généreuse se frotter sur mon torse nu ; et cela a provoqué une décharge électrique fulgurante et m’a fait découvrir que Mme JEAN était aussi un corps avec des formes sensuelles, en un mot une femme plus que bandante ; d’ailleurs ma queue disait pareille.De ce jour, Mme JEAN est devenue l’objet de tous mes fantasmes. Chaque fois que je la voyais, j’étais excité comme une puce, je me masturbais chez moi en pensant à elle. Je la surveillais afin de me trouver sur son passage et de l’aider encore plus que je le faisais auparavant ; j’essayais de provoquer les frôlements avec son corps. Bref, j’étais au paradis et en enfer en même temps.Au bout d’une dizaine de jours de ce régime, et alors que l’on buvait un rafraîchissement, tous les deux dans le salon, Mme JEAN me demanda ce qui n’allait pas car j’avais, d’après elle, une drôle de tête depuis quelques jours.Après un moment de réflexion, je lui demandai si je pouvais lui parler franchement.-Elle me répondit d’un air inquiet : « Oui bien évidemment ».Prenant mon courage à deux mains, je lui dis :-« Voilà, j’ai un problème : je me pose beaucoup de questions sur le comment m’y prendre avec les filles ; j’aimerais faire l’amour avec une fille mais surtout je voudrais que, pour ma première fois, ça soit avec une femme qui a de l’expérience. Et, cherchant un peu mes mots, je continuai :-« Je ne sais pas comment vous dire que … » et, après un long silence, «… que ce soit vous qui m’initiiez … Voilà ».Je relevais les yeux et je vis Mme JEAN qui avait des yeux tout écarquillés, avec le souffle coupé. Elle arriva à me dire :-« Tu te rends compte de ce que tu me dis là ?— Oui, j’espère ne pas vous avoir fâchée ?— Oh non, je suis très touchée ; mais j’ai l’âge d’être ta mère ; et c’est une sacrée responsabilité.— Oui, mais j’ai une grande confiance en vous, et je pense que je pourrais en apprendre plus avec vous sur ces choses là.— Oui mais tu sais que depuis 5 ans que Jean est parti je n’ai plus eu d’expérience.— Pourtant, moi, je vous trouve très belle et surtout vous m’excitez beaucoup.— Ceci est très flatteur venant d’un beau jeune homme comme toi, mais je ne pense pas que ce soit une bonne chose, mon pauvre Manu (ce n’est pas mon vrai prénom) et en disant cela elle me tendit les bras pour me consoler comme il nous arrivait de le faire quelquefois. Je me réfugiai dans ses bras et alors qu’elle me tapotait le dos, un peu pour me dire je suis désolée, je me collai à elle pour profiter de sa poitrine, mais c’est elle qui sentit la raideur de mon sexe sur son ventre et elle comprit combien je ne lui avais pas menti. Elle s’écria : « Mais tu bandes ? »Elle se retira et vit la déformation de mon short, et alors que je m’attendais à une réprimande, voire même à une claque, elle eut une réaction qui me stupéfia ; elle mit sa main sur ma queue qu’elle jugea au travers de mon short. J’étais aux anges, je sentais cette main chaude qui me provoquait des frissons tous le long de la colonne vertébrale. Et c’est dans cet état que je l’entendis dire, plutôt crier :-Quel engin !!!! Je pourrais le voir ?— Bien sûr, lui répondis-je.Elle baissa mon short et découvrit mon engin (comme elle venait de le dire) en pleine érection ; elle en fut apparemment très impressionnée. C’est vrai que j’étais bien fourni de ce côté là pour mon âge (j’avais fait des comparaisons avec des copains et j’étais, sans prétention, largement au dessus d’eux). Elle était là, devant moi, à me regarder avec des yeux tout ronds, un air stupéfié, puis son visage s’est illuminé et c’est avec un large sourire qu’elle me dit :— Ecoute… là, nous n’avons pas le temps de réaliser ce que tu me demandes, mais je le reconnais tu m’as drôlement excité et je veux bien m’occuper de toi. Mais pour cela je ne veux pas que çà se passe à la va-vite, donc il faudra organiser çà afin que ce soit un merveilleux souvenir pour toi.Devant ma figure déconfite elle se précipita de préciser !— Mais je ne vais pas te laisser partir comme çà et, pour ta première leçon, je vais donc te soulager ; et, joignant le geste à la parole, elle s’empara de mon sexe, le caressant d’abord avec douceur et délicatesse, ce qui déjà me remplissait de bonheur et qui développait encore plus ma bite ; puis elle commença des va-et-vient langoureux ; je sentais que j’allais exploser et le lui dis. Elle me répondit : « Aujourd’hui, ce n’est pas grave, ne te retiens pas » et elle activa le rythme, ce qui provoqua une montée d’adrénaline et me fit perdre tout contrôle, et c’est avec une longue et puissante giclée de sperme que j’éjaculai en plein milieu du salon. Mes jambes ne me soutenaient plus, elle me fit un gros câlin avant de se mettre à genoux devant moi, et d’entreprendre de me nettoyer le sexe avec sa bouche. Ce qu’elle fit avec minutie et délectation. Voyant que je commençais à reprendre des forces, elle se releva et m’embrassa avec le goût de mon sperme dans sa bouche. Puis elle me dit : -« File, pour aujourd’hui on s’arrête là, mais je te promets de m’occuper de toi. Sache en tous cas que tu as fait renaître en moi des sensations que j’avais oubliées depuis longtemps, et que je suis super fière d’être la première femme que tu baiseras.Je vous raconterai la suite si cela vous a plu, j’attends donc vos avis avec intérêt.
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