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La voisine du dessous

Chapitre 1

Hétéro
C’était enfin l’heure des vacances d’été. Cela devait maintenant faire pas loin de trois ans que je n’avais pas pu en prendre entre les changements de boulot, mon divorce, les fins de mois difficiles et j’en passe... Mais cette année, je m’étais décidé à l’avance et j’avais écumé les bons plans pour partir enfin, et pour pas cher, avec ma fille pour quelques jours à Lyon. J’avais eu l’occasion de visiter une fois la ville et je m’étais promis d’y retourner, étant convaincu qu’on pouvait y aller visite, fariente et soirées sympathiques. En plus j’avais la chance d’avoir un cousin qui y louait un appartement à l’année et qui était absent en ce mois d’août donc un logement à prix plus que réduit. Après plusieurs heures de car, là aussi par soucis d’économie, j’arrivais donc enfin avec ma fille au pied de l’immeuble où mon cousin avait son appartement. Lyon en plein mois d’Aout pour le moins qu’on puisse dire, c’est que c’était chaud. Pas loin de 40 degrés au thermomètre et donc après un peu de marche avec les grosses valises j’étais pour le moins transpirant... Je poussais le petit portillon qui donnait accès à la cour intérieure et j’entrais. C’était très mignon. Dans un quartier un peu à l’écart, visiblement très tranquille, l’immeuble faisait deux étages, était composé de trois appartements les uns au dessus des autres. Je poussais tant bien que mal ma valise et celle de ma fille quand une voix me fait sursauter : 
— Je peux vous aider ? 
Je me retournai comme si j’avais quelque chose à me reprocher et je me retrouvai alors en face d’une jolie jeune femme qui devait avoir entre 30 et 35 ans, blonde, grande sans être trop grande, mince sans être trop mince et qui visiblement était en train de s’occuper du jardin de cette petite copropriété. La chaleur avait fait son effet sur elle aussi car son débardeur était visiblement mouillé, peut être de sueur ou d’eau si elle avait voulu se rafraichir.
— Euh, bonjour, je suis le cousin d’Olivier, le locataire du 2ème. Je viens passer quelques jours de vacances avec ma fille en son absence. Il ne vous avait pas prévenu ?— Si, si, en effet, mais il ne nous avait pas précisé la date de votre venue. Enchantée, Sophie.— De même, Christophe et c’est ma fille, Ophélie. — Mes deux filles sont dans le jardin, peut être que tu veux aller les retrouver pour jouer un peu avec elles ?
J’autorisais ma fille à les rejoindre, remerciais la charmante voisine et entrepris de monter les valises jusqu’à l’appartement. J’étais agréablement surpris, l’appartement était vaste, lumineux, avec un beau parquet et des belles hauteurs sous plafond. Je souriais à moi même en faisant cette inspection et en pensant à un certain Stéphane P... La sonnerie de la porte d’entrée me tira de mes songes.
— Maman m’envoie vous dire que si vous voulez prendre un verre pour vous rafraichir vous pouvez descendre nous rejoindre sur la terrasse.
Un peu surpris et par l’invitation et par la façon de faire, je me laissais tenter. Il faut dire que le frigo était vide et que mes bouteilles d’eau que j’avais promenées depuis le matin elles étaient chaudes. Je redescendis les escaliers et retrouvais donc Sophie assise sur une chaise sur la terrasse. 
— Citronnade ? — Allez, va pour une citronnade merci.
Je dois avouer qu’à cet instant le début de mes vacances m’enchantait. Le cadre était sublime, et j’étais en charmante compagnie. 
— Vous vivez ici depuis longtemps ? — Ca va faire trois ans que nous avons emménagé ? — Vous ?— Oui, mon mari et moi et nos deux filles. Mon mari est stewart, il est souvent absent. Donc moi je ne travaille pas, je m’occupe des enfants.
Je me surprenais à laisser trainer mes yeux sur Sophie. Elle avait ce petit quelque chose en plus, indescriptible. Ce n’était pas une femme de magasines non, elle n’était pas à proprement parlé un canon de beauté mais je la trouvais tout simplement belle. Son débardeur baillait légèrement, laissant par moment suivant ces mouvements, apparaître un soutien gorge blanc tout ce qu’il y a de plus banal.
— Il fait vraiment chaud vous ne trouvez pas ?— Si ! Mais peut être qu’on pourrait se tutoyer non ? — Comme tu veux. On rentre ? Il doit faire plus frais à l’intérieur de l’appartement...
Sans me laisser le temps de répondre, elle se leva, attrapant nos deux verres et la citronnade et se dirigeant vers l’appartement.
— Les filles on vous laisse jouer dehors, profitez du soleil pour vous amuser.
Je suivais presqu’instinctivement Sophie. Tout cela faisait un peu cliché, presque trop beau pour être vrai. Peut être que je devais arrêter de me faire des films dans ma tête...L’appartement était tel que j’aurais pu l’imaginer, à l’image de Sophie, simple mais élégant à la fois, harmonieusement décoré sans être trop artificiel. 
— Vas y installe toi, fais comme chez toi. Le jardinage m’a donné chaud, est ce que tu permets que je passe sous la douche vite fait.— Oui oui, fais comme chez toi
Elle éclata de rire à mes mots, d’un rire fin, élégant, raffiné presque. Je m’assis dans le canapé, regardant ça et là les photos sur les murs. Tout de la famille modèle, heureuse et sans histoire. Je ne voyais pas trop comment cette femme dans cet univers pouvait avoir les mêmes pensées que moi... J’entendis l’eau de la douche s’arrêter de couler, la porte de la salle de bain se déverrouiller et là, je vis Sophie sortir, les cheveux encore dégoulinants avec juste une serviette nouée autour de sa poitrine... Je sentis soudain qu’il faisait beaucoup plus chaud à l’intérieur qu’à l’extérieur... (A SUIVRE)
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