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La voisine du dessus

Chapitre 1

Une découverte inattendue en cet été torride

SM / Fétichisme
Paris, ville morte. Une fois le 15 juillet passé, seuls les touristes arpentent les rues de Paris. Et moi qui traîne un peu pour partir en vacances. Je vais sans doute aller dans la maison familiale, sans grand enthousiasme, avant de rentrer reprendre le travail début aout. Je rentre en deuxième année de préparation scientifique. A part les études, je n’ai pas beaucoup d’autre centre d’intérêt. Les filles m’ennuient vite et les potes encore plus. Je bidouille mon ordinateur quand la sonnette me fait sursauter. Ma voisine du dessus semble ennuyée de me déranger, elle aurait besoin d’un coup de main. Elle s’est fait livrer un climatiseur, livré au pie de la maison, elle n’arrive pas à le monter. Avec 40 Kg, l’inverse m’aurait étonné. C’est une femme dans la fin de sa trentaine, châtain, un peu quelconque. Je n’ai jamais eu l’idée de fantasmer dessus. Objectivement, elle n’est pas mal, mais rien de très remarquable et difficile de rivaliser avec les canons des classes de préparation aux écoles de commerce ! Je remarque ce matin quelques tâches de rousseur, des yeux noisette, et une bouche assez agréable. Elle me supplie des yeux, et je ne me fais pas prier. Nous habitons tous les deux dans un bâtiment séparé, elle au premier et second étage, et moi rez-de-chaussée avec le sous-sol. Nous nous croisons parfois, cela a limité nos échanges depuis un an que j’habite ici, après que ma charmante mère avait trouvé que c’était une bonne idée de partir vivre à l’autre bout de la terre et me laisser me débrouiller seul ! Au fond cela m’a fait du bien, et je m’en suis très bien sorti sans elle. Céline me fait rentrer chez elle, je dépose le lourd colis, et accepte avec plaisir un coca glacé, je suis en rupture chez moi ! Je m’installe dans un fauteuil profond, appréciant la décoration, la lumière et l’atmosphère de son appartement. Je le trouve très accueillant, féminin et agréable, je devrais m’en inspirer. Chez moi c’est un peu le camping. Elle s’assit sur le bord d’un fauteuil, les jambes très serrées, je la sens bizarrement très tendue. Nous parlons de choses et d’autres, des vacances bien entendu, j’apprends qu’elle est responsable RH dans une petite entreprise financière. 
-    Je suis peut-être indiscrète, mais je ne vois plus votre jolie amie qui venait souvent je crois ?-    Héloïse ? (Je souris à l’idée qu’elle a pu m’observer, je n’ai pas vraiment de pudeur, je parle de tout vraiment facilement, et là cela fait longtemps que j’ai parlé avec quelqu’un !)-    Elle est très jolie-    Oui c’est vrai, mais franchement je me suis tellement ennuyé.-    Oh j’en suis désolée-    C’est souvent le cas je trouve avec les jeunes femmes de mon âge. Elles se disent libérées, mais les relations sont vraiment classiques, la moindre variation c’est la panique.-    Oh je comprends (Je la vois rougir), vous pensez que c’est à cause de l’âge ?-    Je ne sais pas, en fait !-    Vous n’avez jamais eu de relation avec une femme plus âgée ?-    En fait non, j’avoue ne jamais y avoir songé. Je me dis qu’elles doivent être encore plus coincées.-    Oui sans doute, mais pour vous cela veut dire quoi coincée ?-    J’aime bien faire l’amour, mais c’est un peu toujours la même chose, ce que j’aime c’est innover, de nouvelles situations, de nouvelles pratiques, être transgressif, s’amuser quoi. Si nous ne le faisons pas maintenant, quand est-ce que nous le ferons ?-    Et vous n’avez jamais trouvé une femme qui vous suive ?-    Non, je suppose que quand je serais dans une école, je pourrais plus prendre le temps de chercher ! Et vous à propos, vous n’avez pas de petit ami ou mari ?-    Non, un peu pour la même raison que vous. J’avais un ami quand vous êtes arrivé je crois.-    Ah oui, je vois, je pensais que c’était votre père (elle rit)
-    Oui cela aurait pu, mais non. Vous avez cru que j’avais des relations sexuelles avec mon père ?-    Non (je ris avec elle), mais cela aurait été excitant-    Vous trouvez ? Oui sans doute, parfois nous jouions à cela comme jeu. Par exemple en arrivant dans les hôtels, c’est tellement excitant de voir les regards outrés.-    Vous aimez ces jeux ? (Je la regarde un peu différemment, je découvre que ses yeux sont devenus brillants et dilatés, elle ne cesse de passer sa main dans ses cheveux, je la sens encore plus fébrile)-    Je… Oui, mais cela vous choque peut-être ? Je suis désolée, je ne voulais pas vous déranger.-    Oh non, au contraire, cela m’intéresse. Vous savez là à Paris c’est un grand plaisir de discuter avec vous.-    Merci, c’est gentil.-    Alors vous aimez les hommes plus vieux ?-    Non, pas particulièrement, il se trouve que lui était vieux. Disons que j’aime les hommes qui sont… autoritaires.-    Macho, old fashionned vous voulez dire ? Anti féministe alors ?-    Non, pas exactement, autoritaire. C’est-à-dire qu’ils veulent décider et qu’ils désirent une compagne qui soit… soumise.-    Soumise ? (J’ai reçu une décharge électrique à ce mot-là, je ne m’y attendais pas vraiment. Je la regarde, elle n’ose lever le regard sur moi.) Vous aimez être soumise ?-    Oui (Sa voix est un murmure, moi j’ai une boule au ventre, comprenant à la fois son attitude et ses envies me concernant, je la regarde longuement, faisant planer un silence. J’ai le cœur qui bat. J’hésite, je prends mon souffle)-    Mets-toi à genoux
 Je retiens mon souffle, si j’ai merdé dans mon analyse je vais avoir l’air d’un gros con. Et si j’ai raison, je n’ai aucune idée de ce qu’il faut que je fasse ensuite. Comme tous mecs je rêve d’une femme soumise, mais entre une fille qui te fait une pipe quand tu veux et une femme de presque 40 ans, qui veut obéir, il y a un léger gap. Céline bouge à peine, elle glisse du bord du fauteuil, sur ses genoux écartés, elle garde la tête baissée, noue ses mains dans le dos, se met à ma disposition. Je crois que je pourrais jouir dans mon pantalon. L’image est fantastique et, d’un coup, je la vois d’un autre œil, je sens sa sensualité, son offrande, sa vulnérabilité. Elle me fait envie. Je réalise que je peux en faire ce que je veux, mais je sais qu’il y a sans doute des règles et des comportements à suivre. Je décide de la faire parler. 
-    Viens entre mes jambes. Tu as envie que je te domine ?-    Oui (un nouveau murmure)-    Depuis longtemps ?-    Depuis que vous êtes arrivé Monsieur-    Monsieur ? Non moi c’est Laurent, pour l’instant-    Bien Laurent-    Tu sais que j’ai la moitié de ton âge ?-    Oui Monsieur-    Laurent je t’ai dit-    Oh pardon, oui Laurent-    Tu as employé le mot Monsieur pour me tester ?-    Je… Non, enfin oui Laurent-    Je n’ai jamais dominé une femme, cela ne t’ennuie pas ?-    Non Laurent, si vous voulez je pourrais vous aider quand vous le voudrez ? Mais je suis certaine que vous en aurez peu besoin.-    Comment en es-tu certaine ?-    Je le sens à vous observer, mais aussi à vous voir avec votre amie, vous êtes très protecteur, très enveloppant. Et je sens comme un poids dans mon ventre quand je vous croise.-    D’accord, alors du coup comment je suis censé réagir à ton erreur sur le Monsieur ?-    Pour une première fois Laurent, une punition légère, comme quelques gifles, ou des coups de cravache. Mais si c’est répété alors cela doit être plus sérieux.-    Mmmhhh très excitant. Lève ton visage, regarde-moi, ne quitte pas mes yeux.
 Pour la première fois je frappe une femme. Je réalise que c’est trop doux, aussi je recommence, deux gifles, fortes. Les larmes apparaissent à ses yeux. Je suis ultra excité, elle continue à me regarder, je me laisse aller, je la gifle encore, les larmes coulent, elle me remercie. Je n’en peux plus, je sors mon sexe qui jaillit comme un diable de mon boxer. Elle n’hésite pas une seconde, plonge dessus et l’avale tout entier. Je jouis en quelques secondes. Un orgasme comme jamais. Je rugis de plaisir avant de m’affaler, complètement KO. Céline n’a pas bougé, la tête à nouveau baissé, les mains croisées nerveusement dans le dos. Elle m’a avalé en me remerciant, je suis sidéré quand je vois comment mes ex refusaient tout cela ! Je l’envoie me cherche un autre coca, qu’elle me présente à genoux, attendant que je saisisse la canette.  -     Dans un verre Comme si je l’avais fouettée, elle retourne à la cuisine et revient avec un verre rempli. Elle me demande d’excuser son manque d’attention. Je voulais juste voir ce qu’il en était de son désir de soumission, et j’ai trouvé cela très plaisant de la voir ainsi réagir. Je regrette d’un coup de ne pas l’avoir plus regardée avant aujourd’hui ! D’autant qu’en réalité je la trouve très sexy et attirante. J’ai changé mon logiciel en quelques minutes. Je lui demande de se mettre nue, je veux voir comment elle est, et ce qu’elle m’offre. Céline ne dit aucun mot, n’hésite pas. Se déchausse, fait glisser sa jupe à ses pieds pour apparaître avec une petite culotte blanche. Sa chemise est rapidement ouverte et enlevée, elle n’est plus qu’en sous-vêtements, mais ne marque pas de temps d’arrêt. Elle fait glisser l’armature, délivrant deux seins que je trouve plutôt gros. Elle masse un peu sa peau marquée et se penche pour enlever sa culotte. J’adore voir ses seins pendre ainsi devant-elle, et je lui fais remarquer qu’elle a de jolies mamelles. Je l’entends gémir et murmurer un remerciement. C’est excitant de l’humilier ainsi et qu’elle m’en remercie. Je trouve son comportement vraiment à l’antipode de mes ex Une fois sa culotte enlevée, elle écarte les jambes, met ses mains derrière le dos, et attend mes ordres. Son sexe est parfaitement épilé, elle m’apprend être épilée définitivement, ce n’est pas une surprise aujourd’hui. Ses lèvres sont invisibles, son sexe est très discret, enfin presque, il coule sur ses cuisses qui brillent. Je lui fais remarquer qu’elle est une chienne très excitée. Je la sens se recroqueviller, c’est amusant, plier un peu sur les jambes comme par réflexe, et encore une fois me remercier. Elle est délicieuse. Je me lève enfin. Je viens vers elle, envie de la toucher. Mais main sur son épaule la fait frémir. Je sens la chaleur de son visage et des gifles qu’elle a reçu. Je vis un moment incroyable, je viens de jouir, mais c’est bien plus que cela, un sentiment de puissance, plénitude, je n’ai rien approché de pareil. Bizarrement cela me donne une envie de violence, comme pour exsuder tout ce plaisir et ce désir. Sa peau est douce, elle se cambre. Je pose mes lèvres sur un téton, il est ferme, je le suce, je prends le sein dans ma main, il est lourd, dense. Je sens la sueur en-dessous, je le malaxe, c’est une sensation forte, je serre, elle halète un peu, je serre plus fort, comme jamais je n’ai serré, elle se tend vers moi, ne dit rien. Je prends l’autre sein, je la tiens par les deux seins, c’est fou de la tenir ainsi. Je la relâche, passe derrière elle pour les masser plus doucement, embrasser son cou, elle s’offre à moi, je sens sa respiration plus courte, j’ai tellement envie de la prendre. Je sens ses fesses toutes molles contre moi. Bizarrement molles car elles sont très joliment galbées, c’est étrange. Cette mollesse est incroyable, m’excite, me donne envie de les écarter, mais là je n’ose pas. Son ventre est tout doux également, je descends vers son antre, avec un peu d’anxiété, sans que je ne sache pourquoi. Peut-être que j’ai l’impression d’atteindre le trésor, ou le cœur de son être. Le pubis est délicieusement bombé, je suis un peu maladroit pour écarter les lèvres, je manque d’expérience, j’espère qu’elle ne m’en veut pas. Je me reprends, elle veut que je fasse comme je veux, elle n’est pas dans le jugement. Il faudra que je vérifie, je me demande quand même ce qu’elle pense. D’habitude je fais hyper attention à mes partenaires ! Son sexe est ruisselant, ses cuisses sont collantes, inutile de lui demander, elle a l’air bien, et soupire quand je passe rapidement sur son clitoris. Je n’en peux plus, je la retourne, je l’embrasse et lui demande de nous emmener dans sa chambre. Je n’ai pas le temps de regarder la chambre, nous nous effondrons sur le lit, je lui écarte les cuisses et je vais pour la prendre quand je découvre un rond transparent émerger entre ses fesses ! Elle semble avoir le cul rempli avec un objet en verre. L’information ne fait que m’exciter encore plus, et sans approfondir le sujet, je rentre mon dard hyper tendu dans son sexe, qui ne semblait attendre que cela. Relevé sur mes genoux, je la prends ainsi profondément, tandis que je pince ses seins, découvrant le plaisir de l’entendre gémir, me demandant de la prendre encore, plus profondément, de la défoncer, de la posséder. Je sens l’objet au travers de la fine paroi, il semble s’enfoncer profondément en elle. Je saisis ses poignets que j’écarte largement au-dessus de sa tête, l’immobilisant complètement, l’écrasant de mon corps, sentant son col rouler sous mon prépuce, ses cris et gémissements me font jouir une seconde fois dans des râles inconnus pour moi. Je m’effondre sur elle, nous restons enlacés, je l’embrasse avec tendresse, je lèche ses larmes, elle me renvoie un sourire absolument magique, faisant un merci silencieux avec ses lèvres, d’autres mots dont je ne saisis pas le sens également. Nous nous assoupissons l’un à côté de l’autre, je suis toujours aussi dur. Quand j’ouvre un œil, Céline s’est détachée, elle dort sur le ventre. Je prends le temps de la regarder, j’aime sa peau douce et légèrement satinée. Je la chevauche doucement, voulant la prendre ainsi par derrière dans son sommeil. C’est alors que vois à nouveau l’engin en verre dans son cul, c’est fascinant, comme si j’avais une loupe pour inspecter ses entrailles. Il est gros et il obstrue l’entrée de sa grotte. Je n’ose y toucher, je ne sais pas trop comment y faire ! Dans son faux sommeil, elle se cambre, écarte légèrement les cuisses, comme un signal pour mon sexe, pourtant déjà douloureux de ses deux éjaculations, mais qui en demande encore. A genoux entre ses jambes, je la prends doucement, sentant alors la pression sur l’objet en elle s’accroître, elle gémit, je la sens incroyablement sensible, je calque mes mouvements sur ses petits cris, jusqu’à ce que, n’y tenant plus, elle se relève, me regarde en gémissant avant de hurler ce que j’interprète comme un orgasme. Cela m’excite tellement que je jouis une nouvelle fois en elle, avant de m’effondrer et de l’écraser de tout mon poids. D’une main malhabile car écrasée, elle me caresse la cuisse. Quand je me dégage, elle vient se lover dans mon épaule, j’adore cette position, je caresse ses fesses tendres qui m’excitent tant, mais là je n’en peux plus. -     C’est quoi ce que tu as dans tes fesses ?-     Un plug-     Un plug ?-     Oui c’est un gode en verre, avec une forme qui fait qu’il reste bien en place et ne risque pas de glisser-     Pourquoi tu as cela ?-     J’aime cette sensation d’être remplie, tenue par là. En fait quand je n’en ai pas, je me sens un peu nue, démunie.-     Même pour travailler ?-     Oui (Sa voix est sourde). Vous me prenez pour une folle ?-     Peut-être, mais j’adore ta folie, elle m’excite prodigieusement. Cela fait longtemps ?-     Longtemps que quoi ?-     Que tu te soumets ? Que tu portes un plug en toi ?-     Le plug c’est récent, j’ai découvert cela avec l’homme que tu as rencontré. Mais pour la soumission, cela m’a toujours fait fantasmer, et jamais je n’ai imaginé vivre autrement.-     Pourquoi cela a cessé avec cet homme ?-     Il était peu disponible, il voulait juste baiser en fait, moi j’ai envie de plus.-     De plus de quoi ?-     D’un homme autoritaire, présent, qui me dicte ma conduite, qui me contraigne et m’humilie, m’utilise pour son plaisir.-     Tu dois trouver facilement-     Beaucoup le disent, comme l’homme que tu as vu, mais finalement ils ne vont pas très loin.-     Bizarre, ils ne savent pas ce qu’ils perdent.-     Cela vous plairait ?-     C’est une proposition ?-     Oh oui ! (Elle me sert fort dans ses bras, cela me trouble)-     Je ne sais pas si je saurais, mais oui c’est vraiment tentant. Tu ferais tout ce que je veux ?-     Oui c’est la règle.-     Je pourrais te prendre quand je veux, où je veux ?-     Oh oui, s’il vous plaît-     Je pourrais t’obliger à sortir sans culotte ?-     (Elle rit) Oui bien entendu, habillée comme tu voudras, à me comporter comme tu voudras, à manger ce que tu m’imposeras.-     Sérieux ? Et si… attends laisse moi réfléchir, -     Oui tu pourras-     Mais je ne t’ai pas dit (en fait je n’ose pas lui dire l’image qui m’est venue)-     Oui mais tu pourras aussi.-     Te pisser dessus ?-     Je suis là pour cela (elle me serre fort, j’ai la tête qui tourne)-     Et cela ne te gêne pas d’obéir comme cela à un jeunot comme moi ?-     J’avoue que je pensais plutôt à des hommes plus âgés que moi, mais vous vous êtes imposé à moi quand je vous ai vu. C’est humiliant pour moi de passer pour un cougar, mais j’assume, et j’aime l’humiliation-     Tu sais pourquoi tu aimes tout cela ?-     Non, oui, je me doute un peu, mais je m’en moque. Cela me fait tellement vivre si vous saviez.-     Et l’humiliation cela te fait quoi ?-     Oh, comme si j’avais des aiguilles dans le sang, cela picote partout, mon sexe est inondé, je n’arrive plus à respirer, j’ai juste envie de jouir.-     Et tu jouis souvent-     Oui dès que je peux-     Tout à l’heure quand je t’ai prise, tu as joui ?-     Oui (Elle est radieuse), mais je n’aurais pas dû.-     Pourquoi, c’est la première fois que je fais jouir une femme-     Oui, c’était fantastique, mais je n’ai pas le droit de jouir sans autorisation.-     Autorisation de qui ?-     De mon Maître, de vous. C’est vous qui me possédez et contrôlez ce que je dois faire. Et la soumise ne peut pas prendre de plaisir sans l’autorisation de son Maître.-     Alors tu ne vas pas te caresser quand je ne serai pas là-     Non si vous ne le souhaitez pas-     Mais comment je peux le savoir-     Si votre soumise ne vous obéit pas, alors la relation n’a aucun sens. C’est très important pour moi de me conformer à tous vos souhaits à la lettre et dans l’esprit.-     Tu m’excites j’ai encore envie de toi-     Je suis là pour vous Mon… Laurent-     Tu as envie alors que je sois ton Maître ?-     Oh mon Dieu, je ne rêve plus que de cela. Juste être à côté de vous me comble, je ne sais pas l’expliquer. Je vous regarde souvent discrètement par la fenêtre, c’est bizarre, cela ne me ressemble pas.-     D’accord je vais essayer, on peut faire cela ? Quelques semaines puis faire le point, par exemple à la rentrée ?-     On peut faire tout ce que vous voulez, je peux vous attendre quelques années si vous préférez-     Vraiment ?-     Je souffrirais comme jamais, mais ce serait pour vous-     Non j’ai envie de toi maintenant, disons pendant toutes les vacances. Bien Laurent, merci Laurent-     Pour commencer va retirer ton truc du cul, tu vas m’offrir ma première sodomie. Tout le monde semble si friand, j’ai envie de découvrir ce qu’il en est. Et ramène-moi ce que tu avais, que je vois comme c’est fait. Cela me plaît que tu te sentes toujours enculée.
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