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voisine enceinte

Chapitre 3

Divers
Pour plus de commodité, j’appellerai ma voisine N et moi L
Suite de l’histoire :
Elle me tendit la main. Je me relevais et elle m’emmena vers une partie de l’appartement que je ne connaissais pas. J’essayais de la coller en la tenant par la taille de ma main libre pour qu’elle ne perde pas cette sensation de désir que je pouvais lui procurer. Elle ouvrit une porte et entra. C’était une chambre à coucher. Très lumineuse également car le soleil éclairait ce coté de façade et les rayons rentraient à plein par la fenêtre situé au centre du mur. Une fois rentré, je lui lâchais la main et la prit aux hanches. Elle s’arrêta au bord du lit et je me collai dans son dos. Mes mains commencèrent à se déplacer et je me mis à lui caresser son ventre comme la semaine précédente. Sa tête partie en arrière et se posa sur mon épaule. Je lui fis quelques baisés dans le cou. Sa main gauche passa par-dessus et se posa sur mes cheveux. Je commençais à lui remonter le pan de robe de devant et je pus de nouveau lui caresser son ventre directement comme la semaine précédente. Elle avait fermé les yeux et se laissait aller. Alors tout doucement je remontais vers sa poitrine. En effet, elle ne portait rien en haut. Le simple fait de poser mes mains sur ses seins lui fit pousser un râle de plaisir. Ils étaient également fermes et la situation devait l’exciter tout autant que moi car ses mamelons étaient durs comme de la pierre. Et moi, lui malaxer les seins qui remplissaient mes mains par-dessous sa robe me rendait une nouvelle foi fou de désir. Cela se manifestait par une bandaison qu’elle ne pouvait plus ignorée collé comme on l’était. Je continuait un moment ce jeu en lui tirant encore un ou deux râles de plaisir puis je fis descendre mes mains vers ses hanches puis plus bas en diagonale vers ses fesses. Cela la fit se décoller légèrement. Ainsi je pus m’activer plus librement. Une main caressait les fesses alors que l’autre main essayait de s’infiltrer dans le sillon. Je continuais de l’embrasser dans le cou. Sa respiration était une nouvelle fois plus rapide. Mais j’étais dans une mauvaise position et ne pouvait guère aller loin dans son entrejambe. Alors je remontait mes mains une nouvelle fois sur ses hanche et la fit se retourner. Ainsi debout devant moi, je lui prit le bas de la robe et entrepris de lui faire passer par-dessus sa tête. Elle se retrouva ainsi quasi nue. Ses seins bien proportionnés ne tombaient que légèrement. Ses tétons très foncés pointaient fièrement dans ma direction. Je me rapprochait d’elle et recommença à l’embrasser dans le cou en les lui caressant. Elle de son coté commença à me déshabiller en ouvrant ma ceinture puis en débraguettant mon pantalon qu’elle laissa ensuite glisser. Avec un jeu de jambe subtil, j’arrivais à terminer la manœuvre en m’en débarrassant d’un dernier coup de pied. Elle déboutonna ensuite ma chemisette qui finit elle aussi part terre. Nous étions donc ainsi tous les deux en sous vêtement face a face. Elle fit un pas en avant et se positionna juste a coté de moi et avec sa main droite elle caressa mon sexe à travers mon boxer. Ainsi de ma main droite également je pouvais caresser le sien. Son string était trempé. Je n’avais jamais vu ça avec les filles que j’avais connues. Tout juste si son jus ne coulait pas le long de ses cuisses. Ses caresses à elle étaient si douces et parfois maladroite que cela m’excitait encore plus. Pour éviter de venir trop vite, je voulus m’écarter mais elle prit les devants. Elle se replaça devant moi et s’agenouillât. Elle entreprit de descendre mon boxer et son visage face a mon sexe, elle recommença à le caresser des 2 mains. Ce coup ci, c’est moi qui ferma les yeux d’extase. Mais je cherchai aussi à penser à autre chose pour retarder mon plaisir car j’étais près à exploser sur elle. Je me mit à penser a mes cours ou à mes vacances qui allaient bientôt arriver et je croyais avoir mis un frein a ma tension lorsque je senti qu’elle remplaça ses mains par sa bouche. Ce fut trop. Ses mains maladroites et maintenant sa bouche avec une langue autrement plus habile. Je sentais la base de ses dents sur l’extrémité de mon sexe qui me procurait des petites décharges électriques. C’était trop sublime et je le lui dis.-« arrête ! C’est trop bon ». Mais elle continua.-« arrête s’il te plaît, je vais venir. » d’habitude je tiens au moins 5 minutes de pompage actif, mais la situation que je vivais était tellement intense que je ne pouvais vraiment plus me retenir. Je fis un mouvement vers l’arrière pour me retirer mais elle plaqua alors ses mains sur mes fesses et m’attira de force vers l’avant en continuant de m’emprisonner dans sa bouche. Je n’aurais jamais cru ça d’elle, qu’elle puisse vouloir m’accepter d’emblée la 1ère fois dans sa bouche mais si c’est ce qu’elle voulait. Je libérais alors mon esprit pour profiter pleinement de cet instant. Je lui enserrai sa tête de mes 2 mains et laissant le plaisir me submerger, je me lâchai en elle. Un flot de sperme comme rarement j’avais pu en lâcher déferla dans sa gorge. J’ai eu peur qu’elle ne s’étouffa mais après la 1ère giclée, elle se retira juste un peu en conservant mon membre en bouche et continua d’accepter mon sperme.Ce fut un des moments les plus sublimes que j’eu en matière de sexe. Quand j’eu fini de me déverser, elle retira sa bouche et en me regardant droit dans les yeux et je la vit déglutir 2 ou trois fois pour tout avaler.-« excuse moi, je ne voulais pas... »-« non. Tu n’as pas à t’excuser. C’est moi qui voulais. En te caressant, j’ai vu que tu étais tellement tendu que tu n’aurais pas résisté longtemps. Comme ça, tu vas pouvoir t’occuper plus tranquillement de moi.»-« mais comme ça dans la bouche… »-« toi aussi tu me prends pour une sainte ? » fit elle en souriant. « Ça en fait, c’est mon péché mignon et à ce que j’ai vu ou plutôt avalé, tu ne regrettes pas du tout. » et elle se releva pour se remettre devant moi.-« tu m’en diras tant » dis je en lui rendant le sourire. Mes mains se remirent à se promener sur son ventre. Elle referma de nouveau les yeux. Mes mains remontèrent sur ses seins que je me remis à malaxer doucement en faisant rouler ses tétons dur entre mes doigts.-« a mon tour de te rendre la pareille » dis je en m’agenouillant à mon tour devant elle.-« attends ! » dit elle. Elle recula un peu et posa une main sur le bord du lit puis s’assied. « Voilà ! Comme ça. ! » Et elle se laissa tomber en arrière en écartant les jambes du mieux qu’elle pouvait.Alors enfin je pus profiter de cette vue magnifique du plein entrejambe d’une femme. Toujours protégé par ce petit morceau de tissus qui laissait échapper des poils de tous les cotés, son sexe était plus que trempé. Je senti mon sexe reprendre d’un coup de la vigueur.« Avance toi un petit peu au bord stp. »Lui demandai je.Alors par petit coup, elle vint offrir sa croupe à l’extrême bord du lit. Et je pus enfin profiter pleinement de la position. Ma langue se remit en action pour lécher son string qui s’était de nouveau regorgé de son jus. Mes mains remontèrent le long de ses cuisses pour arriver sur ses hanches. Puis je saisis les lanières et après quelques coups de langues qui permirent d’assécher son bout de tissus, je le lui descendis entièrement. J’avais maintenant pleine vision sur son sexe trempé. Ses lèvres arrivaient à ressortir de sa toison fournie mais sans plus. J’approchais mon visage et put boire enfin à sa source. Je pus avaler sans problème trois ou quatre lapées avant de m’attaquer à un léchage en règle de son sexe. Son jus avait un goût sans en avoir un c’est-à-dire difficile à décrire mais que j’absorbais sans problème. J’avais beau m’activer avec la langue, il était toujours aussi humide. Je remontai et tâtonnant avec la langue, je su que j’avais trouvé son clito par le tressaillement qu’elle eut. Je jouai alors avec ma langue sur son bout de chair qui la faisait râler de plaisir. Je ramenais ma main droite par devant et par quelques caresses, je l’emmenai devant sa vulve. Avec un doigt, je lui frottais ces lèvres encore plus humides avec son jus mélangé à ma salive. Mon double massage doigt et langue commençaient doucement à la faire délirer. Sa respiration était vraiment rapide et ses râles de plus en plus rapproché. Son sexe était tellement humide maintenant que j’entrepris de joindre deux doigts et de commencer tout doucement à la pénétrer tout en continuant de jouer avec son clito. Le résultat ne se fit pas attendre. A peine enfoncé d’un centimètre, un « oohh ! » plus fort que les autres et une crispation me montrèrent tout le plaisir que cela pouvait lui faire. Alors j’entrepris de m’enfoncer doucement, cm par cm. A chaque poussée successive, un râle de plus en plus fort sortait de sa bouche. Arrivé a rentré toute la longueur de mes doigt, j’entrepris un léger va et vient de la main. Ce fut le summum pour elle. Après quelques va et viens elle s’exclama. « Oui. C’est bon… continue comme ça. » C’est ce que je m’empressait de faire même si la situation devenait inconfortable car elle avait replié ses jambes dans mon dos et ses talons s’étaient planté en plein milieu. Mais mes va et viens de la main et mes coup de langue répéter la firent céder et elle se crispa enfin dans un râle interminable accompagné de nombreux petits soubresaut. A chacun d’eus, elle se contractait ce qui avait pour effet de lui faire lâcher quelques gouttes qui giclaient sur ma main. Pensant être tombé sur une femme fontaine comme j’en avais entendu parler, je lui quittais son clito pour venir boire ce nectar mais quel désappointement, ce n’était que de l’urine. Elle devait avoir la vessie pleine ou le bébé devait lui faire pression en tout cas, chaque giclée était de teinte jaunâtre. J’avais commencé à laper et je ne pouvais donc plus reculer surtout que chaque coup de langue que je lui prodiguai paraissait prolonger son orgasme. Bien que cela puisse paraître curieux, ce que je recevais dans la bouche n’avait pas vraiment un mauvais goût, certes bizarre et un peu salé, mais je me laissais lui boire l’intégralité de ce qu’elle libérait. Après des secondes interminable, le flot s’assagit et se tarit. Je continuait cependant à la lécher et lui faisait sortir ses derniers râles. Enfin elle s’écroula laissant tomber ses jambes et me libérant de son étreinte douloureuse. Je me laissai tomber en arrière afin de m’asseoir par terre. J’avais toujours la vision sur son sexe trempé mais comme elle, je reprenais ma respiration suite à cette situation inconfortable ou je m’étais mis. Maintenant, il n’y avait pas que son sexe de trempé. Le bord du lit ainsi que la couvertures ou elle se trouvait l’était tout autant. Une teinte jaunâtre apparaissait maintenant a l’endroit fatidique de l’orgasme et une multitude de gouttelettes par terre indiquait ce qui venait de se passer. Après quelques minutes, elle finit par se rasseoir. Elle sentit tout de suite la couverture mouillée. Elle rougit en comprenant ce qui venait de se passer et en voyant la couleur de la couverture.-« non ! Je n’ai quand même pas…..fait pipi ? »-« hé bien si, tu l’a fait comme une petite fille malpropre. Mais rassure toi, j’ai nettoyé ce que j’ai pu. Cela aurait put être pire si je n’avais pas été là. »-« mais ? Tu n’as quand même pas… ? »-« toi aussi tu me prends pour un saint ? » lançais je par bravade. « Bien sur que si. Et comme toi, j’ai tout avalé. »-« mais ? C’est dégoûtant… »— « je le pensais aussi, mais dans l’action, franchement, je n’ai pas trouver cela désagréable bien au contraire. Je ne pourrais pas te l’expliquer mais cela a rehausser le niveau d’érotisme qui étais déjà très élevé. A franchement parlé, je recommencerais bien regarde dans quel état tu m’as mis. » En disant cela, j’avais écarté les jambes, mon sexe était dressé droit comme un i et sur mon torse ruisselait quelques gouttes encore.-« oui en effet, je constate ! » dit elle en rigolant. Son mouvement de dégoût avait l’air d’être passé. Je me relevai et vint m’asseoir à coté d’elle.-« je ne pensais pas qu’un jour je satisferais a ce point une femme » -« prétentieux » me lança t elle en me donnant un coup de coude.Je lui mis ma main sur son ventre. « Comment il va ? »-bien visiblement, en tout cas, ça ne la pas dérangé. »Je remontais ma main sur un de ses seins et recommença a l’embrassé dans le cou.-« attend, il faut que j’aille au petit coin ». -« d’accord j’te suis »-« mais… »-« j’ai besoin de me débarbouiller… » Laissais-je entendre.-« bon »A suivre…
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