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voisine enceinte

Chapitre 4

Divers
Je la suivais dans l’appartement. Nos deux corps nus qui se promenait ainsi donnait un air irréaliste a ce qui se passait. Elle ouvrit une porte.-« après toi. » lui dis je.-« merci » me répondit elle.Elle entra donc et voulu refermer la porte mais je ne lui en laissait pas le temps en la serrant de très près.-« mais ? Qu’est ce que tu fais ? »-« je viens me débarbouiller, je te l’ai dit »-« mais je veux faire pipi. »-« et alors ? Tu m’as fait pipi dessus tout à l’heure, tu peux recommencer. Je me débarbouillerai juste après. »-« mais non ! Ça ne va pas la tête ? »Elle voulu me mettre dehors de la salle de bain-« mais écoute s’il te plait. Tu m’as fais bander comme un taureau tout à l’heure et tu as vu dans quel état j’étais. » En disant cela, je lui avais prit une main d’un coté et poser l’autre sur son ventre. « Comme toi, je pensais que ça me dégoûterai. Mais je te jure que ce ne fut pas le cas. Et si moi j’ai changé d’avis peut être toi aussi si tu essaies ? »-« mais je ne sais pas… » Secouait elle la tête-« écoute. Je te demande juste pour l’instant de te soulager sur moi. Qu’est ce que ça peut te faire que ce soit sur le trône ou pas. Au moins tu te seras soulagé. Et tu peux mettre ta pudeur de coté avec ce que j’ai put voir tout à l’heure… ».Elle semblait réfléchir au propos de mes paroles. Pendant ce temps là, je lui fit poser sa main sur mon sexe pour bien lui montrer l’excitation qu’elle me suscitait car ce que je faisais était osé voir très osé je le sais. De l’autre, je recommençais à lui caresser un sein. Ca m’avait prit comme ça sur un coup de tête en me disant que je n’avais rien à perdre. La situation à la base était des plus improbable et tout à partir de là n’était que du bonus. Je lui avait imprimé un mouvement de va et vient sur mon sexe qu’elle exécutait maintenant machinalement plongé dans ses réflexions. De ma main devenue libre, je la glissais doucement vers son sexe pour lui caresser.-« non arrête ! Il faut que je fasse pipi. Ça commence à presser. »-« allez s’il te plait. Viens dans la baignoire avec moi. » Dis je en l’entraînant-« bon… si tu veux… »En entendant ça, mon coeur se mit a battre a 200 a l’heure. Elle acceptait. Je n’avais pas eu de sœur ou de cousine pour jouer a touche pipi comme on dit. Et l’avoir entendu dire oui, me mettais dans tous mes états. Je grimpais dans la baignoire et lui tendais les 2 mains pour l’aider à monter. Une fois ensemble dedans, je me mis assis jambe écartés-« comment veux tu… que je me place »-« je ne sais pas. Juste devant comme ça ! Peut être ?» je lui avais pris la main et positionné debout entre mes jambes, face à moi. « Voilà. Vas y maintenant, libère toi. »Elle se positionna jambe écartée comme elle pouvait et se tenait son ventre avec ses 2 mains.Et le temps passa. Elle faisait des efforts mais rien ne sortait.-« je n’y arrive pas » dit elle. « Ça ne veux pas sortir » -« attends, je vais t’aider. » ce disant, je ramassais mes jambes et les passais entre les siennes ce qui lui permit de les écarter un peu plus et comme elle m’avais fait auparavant, je lui saisit les fesses pour la faire avancer et emmener son sexe au niveau de mon visage. Là, je recommença une séance de léchage tout d’abord sur ses lèvres et sa vulve puis également sur son clito. Mes coups de langues lui faisaient fléchir les jambes et sa respiration s’était de nouveau accélérer ce qui montrait que son plaisir malgré la situation ne s’était pas envolée. Mes mains maintenant passer entre ses jambes pressaient ses fesses et je lui collait son sexe sur ma bouche. Sa vulve recommençait à s’humidifier. Chaque coup de langue sur son clito la faisait frémir.-« ça vient » dit-elle-« allez ! Vas y ! Libères toi. » Lui répondis-je
Alors je senti quelques gouttes chaudes sortir. Quelques gouttes timides qui furent remplacé par un filet continue puis par une fontaine jaillissante. Je voulut boire au début son liquide intime, mais le goût n’était pas le même que tout a l’heure : plus acres. Sans doute n’était il plus mélangé a sa cyprine et que c’était son goût naturel. Je me contentais alors de recevoir son urine sur le visage et tout le corps. La sensation était bienheureuse. Son liquide chaud jaillissait, m’éclaboussait et coulait tout le long de mon corps avec se bruit reconnaissable que font les femmes quand elle vont faire pipi et qu’on les entends a travers une porte. Mon sexe était de nouveau tendu à mort, presque à en devenir douloureux. Puis la fontaine commença à se tarir et s’arrêtât brusquement, ne laissant que quelques gouttes filtrer a travers sa toison. J’avançai mon visage et entrepris de la nettoyer avec ma langue. Certes ce coup ci cela me dégouttait un peu mais pour ce que je voulais faire, cela valait bien un petit sacrifice. Mes quelques coups de langue dégagèrent sa toison et je dus avaler quelques gouttes perdues. J’entrepris de lui nettoyer complètement son sexe et revins me positionner sur son clito. Ce coup ci, je ne lui libérais plus. Je jouai avec en le faisant tourner, en l’aspirant, le mordillant. Elle revint très rapidement à son plaisir et ses 2 mains étaient revenues sur ma tête. Les 2 miennes étaient revenues également sur ses fesses que je malaxais. J’en replaçais une par devant que j’insérai entre ses cuisses. Je faisais courir mes doigts le long de son sillon. Elle repartit dans ses oh !oh ! De plus en plus rythmées. Mes doigts longeaient ses lèvres, passaient le périnée et passaient sur son anus ce qui lui causait un sursaut de recul que je contrait par le plaquage de ma main sur ses fesses. Mais je m’attardais sur l’entrée de son sexe et ce n’est pas deux mais trois doigts que j’entrepris d’introduire. Doucement et lentement, j’avançais mon trio de doigt au fond de son vagin. ses oh ! Oh ! Redevenaient plus intenses. Je fit des vas et viens au diapasons de ses gémissements ce qui lui fit accélérer la cadence. Ma langue non en reste accentua également la pression sur son clito. Elle faisait des mouvements de bas en haut avec ses jambes. Elle devait être dans une position inconfortable à son tour mais je l’aidais à tenir avec la position de mes mains sur son sexe et ses fesses. Elle mit plus longtemps à venir que dans la chambre mais en arrivant a conjuguer mes mouvements de langues et mes va et viens par rapport à son balancement vertical, elle repartit dans des soubresauts de jouissances avec un râle qui n’en finissais plus. A chaque soubresaut de nouveau, des jets vinrent m’éclabousser le visage. Mais ce coup ci, ils n’étaient plus acres et je put avaler ce liquide sans haut le cœur ce qui m’enleva l’autre goût de la bouche. Cette source ci se tari de nouveau et son râle s’évanouit. Elle commença à chanceler alors.-« j’en peut plus, il faut que je me pose »J’enlevai mes jambes pour la laisser s’asseoir à son tour.-« tu m’as tué ! Je ne tiens plus debout » elle se posa au fond de la baignoire, s’adossant contre le bord opposé en face de moi. Elle ferma les yeux en posant ses mains sur son ventre. »C’était trop boonnn. »Alors je me relevai. La voir ainsi sous moi, nue, jambe écarté savourant sa jouissance passée me faisait toujours triquer a mort. Je m’agenouilla et commença à me branler pour faire baisser cette tension qui m’empêchait de faire ce que j’avais en tête. Après une minute ou deux de cet exercice, mon sexe se fit moins douloureux et je pus me concentrer sur ce que je voulais faire. Tout doucement je sentis mon besoin monté. Comme elle, ce ne fut que quelques gouttes au départ puis filet puis, jet puissant.Au début, elle ne senti rien visiblement. Mon jet lui arrivait en haut des cuisses puis son sexe puis son ventre. La chaleur du liquide faisait en effet ne rien sentir. Par contre mon urine sentait plus fort que le sien et je ne sais pas si c’est ça ou la puissance du jet qui sortait en l’éclaboussant maintenant qui lui fit ouvrir les yeux. Je pensais y lire de la colère ou de l’incompréhension mais je n’y vis que de la béatitude. Elle me regardait fixement pendant que je lui pissais dessus. Mon sexe commença a rendurcir ce qui accentua la puissance du jet. En me redressant sur les genoux, j’arrivais déjà à lui pisser sur ses seins et maintenant, je dirigeai mon jet vers son visage. Alors je la vis fermer les yeux ce qui me fit comprendre qu’elle était d’accord. En me redressant au maximum, je parvins sur son menton puis sa bouche. Elle fit une grimace et l’entrouvrit. La vis le liquide s’immiscer à l’intérieur. Elle grimaça de nouveau et elle déglutit. Ce n’est pas vrai. Je n’en croyais pas mes yeux. C’étais au delà de toutes mes espérance. De toutes les filles que j’avaient connu, je suis sure qu’aucune n’aurait accepter la moitié de ce que m’offrait N. Elle buvait mon urine. Mon sexe redevenait douloureux. Elle déglutit deux fois puis trois. Elle ferma la bouche en grimaçant encore une fois Mon jet je le sentait allait se tarir alors j’entrepris une douche carabiné en lui arrosant tout le haut du visage ainsi que les cheveux. Ceux-ci se collèrent en se mouillant. Je fis des va et viens de gauche a droite avant que ça ne baisse. Je la douchais en règle. Mon jet repassa en diminuant sur sa bouche qu’elle rouvrit au passage pour déglutir encore deux fois, puis diminua sur ses seins, son ventre, son sexe, ses jambes. Incroyable. Ce que je venais de vivre était incroyable. N. était souillé de toute part. Ses cheveux collés sur ses tempes, elle passait et repassais sa langue autour de ses lèvres pendant qu’elle essayait de se nettoyer le pourtour des yeux. Je vis un gant sur un bord de la baignoire et le lui tendit. Elle le saisit et se le passa sur le visage.-« tu n’es qu’un porc » me dit elle. Cependant, à la façon de le dire et de me regarder, je compris que sont reproche n’étais pas aussi dure qu’elle voulait le faire croire.-« oui ! Je sais. Je l’ai joué perso et j’en suis désolé…mais quel pied, tu peux pas imaginé. Ecoute, demande moi ce que tu veux. Pour me faire pardonner, je ferais tout ce que tu veux »Elle se redressa et se rapprocha.-« pour l’instant, je ne veux qu’une seule chose. S’il te plait prends moi. J’n’y tiens plus. Prends moi. »Elle m’enlaçait de ses bras. Nous étions trempés de pisse tous les deux et nous pataugions dedans dans cette baignoire. L’odeur qui aurait put paraître dérangeante, ne faisait qu’accentuer le degré érotique de la situation. N m’embrassait maintenant sur le visage. Ces 2 mains se reprochèrent et sa bouche rencontra la mienne. Sa langue aussitôt s’inséra dans ma bouche. Elle avait encore le goût de l’urine et bizarrement, j’aimais ça. Sa langue me fouillait littéralement et j’essayais de lui rendre la pareille. Nos langues ainsi s’entremêlaient dans des cercles frénétiques. Et je bandais dur de nouveau. Sentir son besoin et son désir de faire l’amour me rendait fou. Son bassin s’étais rapproché et touchais mon sexe. Alors, elle s’accrocha des deux cotés au bord de la baignoire et se surrelleva en continuant de m’embrasser. Elle se positionna au dessus et en tâtonnant se laissa retomber doucement. Son sexe trempé à l’extrême absorba le mien jusqu’à la garde. Elle resta immobile ainsi quelques secondes. Sa langue s’était arrêtée de tournoyer. -« mon dieu que c’est bon. J’avais presque oublié. »Susurra t elle. Je n’osais intervenir pour l’instant lui laissant savourer ce moment. Assise complètement sur moi, je pouvais lui sentir le fond de son vagin tellement je bandait dur mais son ventre rendait la situation inconfortable entre nous. Alors je me laissais aller en arrière, le dos au fond de la baignoire dans un reste de flaque. Ainsi, mon sexe se tendait à l’extrême.-« oh oui ! Comme ça. »Marmonna t elle. Puis elle commença à aller et venir verticalement sur mon sexe. Par petit mouvement d’abord : « oh oui c’est bon… c’est bon… encore… » Puis plus rapide. Sa respiration également plus rapide me montrait à quel point elle était sur le point d’exploser. « Oui ! Oui ! Encore… encore… ». Mes deux mains «étaient revenu sur ses seins et les malaxaient en douceur, jouant avec les mamelons durcis de plaisir. « Encore. Oui… c’est bon… ». Ses 2 mains sur le bord de la baignoire, elle s’aidait pour monter et descendre. Ce qui me laissais un peu d’espace et je commençai un va et viens de mon bassin en rythme avec ses mouvements.-oh ! Oui… c’est encore meilleur » cria t elle. « Continue... encore… encore … oui… » Elle se lâchait complètement. Qu’est ce que ça peut être con parfois un mari. Avoir une femme comme N et ne pas savoir lui donner tout ça. Mon rythme s’accellerais en fonction du sien, mais je ne pouvais continuer longtemps comme ça.« Oui vas y, viens, laisse toi aller complètement. Laisse toi submerger par ce plaisir. »Lui dis je-« oui… je viens… encore…encore… c’est bon… ça viens »-« moi aussi c’est bon... viens s’il te plait... ensemble… »Elle ne bougeait plus son bassin, me laissant faire les va et viens au rythme qu’elle avait lancé. Ça clapotait sec dans la baignoire, nous étions éclaboussé par la pisse qui stagnait au fond à chaque mouvement. Je me sentais venir. Cette femme en furie au dessus de moi avec son ventre gonflé, ses seins tendus qui se balançaient à chaque butée, ces éclaboussures et cette odeur qui nous enivraient. Je n’en pouvais plus.-« aller viens maintenant... viens… »-« oui… je viens… je viens…je viens… » Ses yeux étains partis en arrière. Elle semblait en transe totale. « 00UUIIIIIi !!!! » cria t’elle en se tétanisant.Ça y est elle partait. Alors je me lâchais aussi. Je continuais mes va et viens à un rythme effréné. « OOUIII…OOUUIIII…. »Sa crispation se changeait en de nouveaux soubresauts. Elle semblant avoir plusieurs orgasmes. Et c’est alors que je déchargeai en me collant au fond de son sexe comme si je voulais aller au plus profond de son être. « oh ouiii…. Oh ouii…. » Sifflait elle. « C’est trop bon….. »Mon jet ne semblait plus se tarir tellement j’avais a en donner. « Oh oui….. »Ses bras commençaient à lâcher. Je finit enfin par me vider complètement puis elle lâcha tout, voulant se coucher sur moi mais en finissant par se tourner sur le coté à cause de son ventre. « Oh mon dieu… » Lâcha t elle.Elle était trempée. De pisse, de sueur, de plaisirs… on se tint collé l’un à l’autre quelques minutes sans parler, nous laissant reprendre notre respiration. Savourant chaque minutes qui passait je repensais a ce que je venais de vivre. Quelque chose d’inimaginable, alors que je m’étais branlé toute la semaine en rêvant à son corps et à la possibilité de pouvoir couché avec elle, j’avais franchit avec elle je ne sais combien d’interdit en quelques instant. Je la regardais étendu contre moi, ses seins pendants, ses cheveux collés de partout, son sexe ouvert car elle avait gardé un genou en l’air. Le mien avait retrouver sa forme d’origine, et ne semblait plus vouloir donner suite a ce qui venait de se passer. Elle finit par ouvrir ses yeux et nous nous contemplâmes ainsi quelques temps. Puis elle me murmura :-« Il faut que tu t’en ailles. »-« je comprends. Laisse moi juste me débarbouiller stp». Nous nous relevâmes et elle sorti de la baignoire. Comme elle écartait les jambes pour passer les rebords, je remarquais que mon jus lui coulait le long de ses cuisses et que même un petit paquet était tombé directement dans le fond de la baignoire. C’est vrai que je m’étais senti y aller vraiment fort et que sans me vanter, j’avais du bien la remplir. Je saisi le pommeau de douche, alluma l’eau et me doucha rapidement assis car elle n’avait pas de rideau. Ça me prit 5 minutes pendant lesquelles elle s’était installé sur le bidet et s’entreprenait à se laver le sexe et ce qui avait coulé. Je lui demandais une serviette pour me sécher. Elle m’en tendit une qu’elle sortit d’une petite armoire en continuant sa toilette intimes. Je m’essuyais rapidement et sorti de la baignoire. Elle se releva également. -« et bien dit donc, tu n’y à pas été de main morte » lâcha t elle.-« et encore, je me suis retenu » lui lançais je. Elle me regarda bouche bée. « Mais non, je plaisante. Mais c’était trop intense, je n’ai pas pu me retenir. »-« pour moi aussi ce fut intense » me répondit elle en baissant les yeux et la voix. J’eu peur qu’elle ne commence à avoir des regrets.-« laisse moi maintenant, tu veux biens ? »-« oui bien sur ! » répondis je. « Je me r’habille et je te laisse ».-« merci »dit elle d’une petite voix.Elle referma la porte derrière moi et je l’entendis commencer à se doucher. L’air plus sain que dans la salle de bain faisait que je me sentais bien. C’est là que je me rendis compte à quel point l’odeur de l’urine chaude avait sublimé ce moment alors qu’en sortant, son odeur froide rendait l’air acre et malsain. Je me dirigeai tout nu dans cet appartement qui ne m’appartenait même pas vers la chambre ou nous avions commencé nos ébats. Au passage, j’ouvris encore 2 portes pour voir ce qu’il y avait derrière. L’une d’elle était petite et commençait à ressembler à une chambre d’enfant. La seconde devait être la chambre principale avec commode et armoire. Je m’y hasardais en ouvrant les portes et tiroirs très rapidement car il ne me restait plus beaucoup de temps et je tombais sur ce que je cherchai : le tiroir aux sous vêtements. Je soulevais rapidement les petits tas de culottes et soutiens gorge. Il y en avait pour tous les goûts aussi bien en matière, qu’en couleur et en style. Ma préférence fut pour un petit ensemble blanc en dentelle transparent avec porte jarretelles, culotte fendue et soutien gorge ouvert. L’imaginer la dedans, faisait redonner vie à mon appendice fatigué. Manquant de temps, je remis tout ça en place comme je le pouvais et fila droit dans la chambre pour me r’habiller. Nos affaires par terre rendaient vraiment tout ça comique. Je me dépêchais de me revêtir. Je ramassais également sa petite robe. Ce morceau de tissus si léger. Il n’en fallait vraiment pas beaucoup pour cacher l’essentiel au vu de tous et faire tourner les hommes en bourrique. Je la posais sur le lit et ramassais son string. Celui là, je le mis dans la poche. Ni vu ni connu. Et hop, je m’en allât. Le bruit de douche cessa quand je passât devant la porte de la salle de bain. Je voulut l’ouvrir mais me retint. Ne gâchons pas ce merveilleux moment. Je partis. Je me retrouva sur son pallier. Personne en vue. Je monte les escaliers qui mènent au dernier étage et me voici rapidement dans mon appart. Ouf quel après midi ! je regardai l’heure sur mon réveil : 13h00. Nous avions passés deux heures ensemble et au moins 1h1/2 à faire des choses inavouables. Je repris une douche car l’odeur de nos ébats n’était pas partit après ma 1ère tentative. Puis je m’étendis sur mon lit en repensant à tout ça. Quand je réemergea, il était 19h passée. Ouhaaa quelle sensation de bien-être. Et dire que je ne pouvais partager ça avec personne sans qu’on me prenne pour un barjot ou un détraqué. Je finis cette merveilleuse journée par une séance ciné.A suivre…
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