Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 354 J'aime
  • 4 Commentaires

Ma voisine est une chaudasse

Chapitre 1

Le commencement

Hétéro
Je devais à peine être âgé d’une vingtaine d’années au moment des faits. Je vivais dans un quartier résidentiel assez calme dans lequel l’entente entre voisins était au beau fixe. Je sais, de nos jours, c’est plus mitigé. À l’époque, c’était autre chose. On se saluait, on prenait des nouvelles des autres, on s’invitait lors de repas, tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre ou encore bien, on se donnait un coup de main. Et c’est dans cette situation que tout cela a commencé.
Il devait être midi lorsque ma mère revint des courses. Son rituel en revenant, à l’époque, était de klaxonner pour que je descende et l’aide à remonter les courses et lorsque je n’étais pas assez rapide – ce qui m’arrivait lorsque je devais me rhabiller, coupé dans l’élan d’un plaisir solitaire – elle klaxonnait une seconde fois. C’était la seconde fois que cela m’arrivait. Deux semaines sans avoir joui. Je descendis donc à son appel et l’aide à rentrer et ranger les courses. Pendant qu’elle préparait le repas, elle m’a annoncé que la voisine avait besoin d’aide et qu’à son accoutumée, elle lui avait promis que je viendrais l’aider. Je râlai pour la forme, car je n’avais rien de prévu cet après-midi, outre regarder la télévision ou jouer sur l’ordinateur.
La voisine en question vivait un peu plus bas dans la rue. Je dis un peu plus bas, car la rue était légèrement en pente. Quand mes parents s’étaient installés quelques années plus tôt, c’était une des premières à venir nous saluer. Elle rendait quelques services à mes parents quand ils étaient au travail, comme réceptionner les colis postaux et mes parents lui rendaient la pareille quand elle avait un service à demander. Dans la majorité des cas, c’était moi qui allais l’aider. Elle n’était pas méchante. J’étais juste las d’être le pion dans cette histoire. Une femme normale. Je ne l’avais jamais vraiment regardée. Une femme dans la quarantaine. Des cheveux noirs qui lui arrivaient, environ, juste en dessous des épaules.
Aux environs de quinze heures, sous le rappel de ma mère, je mis mes chaussures et me dirigeais jusqu’à la maison de ma voisine. Elles se ressemblaient un peu toutes. La sienne était à trois cents mètres de la nôtre. Cela me permettait de prendre un peu l’air, comme aimait dire mes parents. Elle était habillée d’une fine blouse noire, presque transparente et d’un short lui arrivant à mi-cuisses. J’étais assez étonné, mais vu les conditions météo, je ne m’en formalisais pas. Le soleil brillait haut dans le ciel et les températures étaient estivales. Elle m’annonça qu’elle désirait bouger quelques meubles. Elle m’indiqua ce qu’elle voulait bouger dans le salon avant de me dire qu’elle allait en haut, car il y avait un meuble qu’elle voulait bouger dans sa chambre. Ils étaient vides et je me suis vite acquitté de ma tâche avant de monter les escaliers et là, j’eus le souffle coupé.
Elle avait retiré son short, ainsi que sa culotte, se retrouvant dans sa fine blouse noire, m’affichant un sexe rasé. Mon sang ne fit qu’un tour dans mes veines. Je sentis une érection sous mon bermuda. J’ouvrais et fermais bêtement la bouche, sans qu’un seul mot ne sorte. Elle me sourit, amusée, avant de m’ordonner de me déshabiller, ce que je fis. J’avais eu quelques expériences durant mon adolescence, sans rien de particulier à dénoter. Une fois nue, elle m’invita à m’allonger dans son lit. La queue dure, je m’y contrains. Je n’avais jamais été attiré spécialement par les femmes plus âgées, mais la situation, et le fait que cela faisait pratiquement deux semaines que je n’avais plus joui me firent voir en cet instant une opportunité qui ne pouvait pas se refuser.
Elle se mit debout entre mes cuisses et se pencha, prenant mon sexe entre ses lèvres sans aucun préambule. Mes doigts se crispèrent sur les draps sous cette entrée en matière. Je le regardais parfois faire alors qu’à d’autres moments, j’avais la tête posée sur le matelas, regardant le plafond, savourant cette sensation des plus agréables. Lorsque je le regardais, je passais une main dans ses cheveux. J’aimais voir ce visage affamé, dévorant mon membre. Cela m’excitait beaucoup. Une de ses mains tenait la base érigée de mon sexe, l’autre me massait les couilles. Un divin plaisir. À l’époque, je n’avais été sucé qu’une ou deux fois, peut-être. Et rien de comparable face à l’expérience de cette femme. Par moments, elle me prenait entièrement au fond de sa gorge alors qu’à d’autres, je sentais ses lèvres et sa langue jouer avec mon gland.
Après quelques minutes de ce traitement de faveur, elle vint sur moi, glissant ses jambes de chaque côté de mon corps. Reposant sur ses genoux, les cuisses écartées dans ma direction, elle lécha ses doigts avant de se caresser, écartant ses lèvres sous mes yeux. Je le savais déjà mouillée, excitée. Elle ne tarda pas à prendre mon sexe et glisser dessus. Elle s’enfonça entièrement dessus. Sans aucune peine. Je sentis la chaleur de son sexe, de son envie alors qu’elle commençait déjà à monter et descendre sur mon membre. Elle était affamée, ce qu’elle m’avoua plus tard. Ses mouvements étaient intrépides et me donnaient beaucoup de plaisir. Je la sentais mouiller le long de ma queue.
Elle se retira de mon sexe et s’allongea, cuisses ouvertes. Fougueuse, elle n’eut pas le temps de me dire de venir que j’étais déjà entre ses cuisses. Je glissai ma main le long de mon sexe humide avant d’avancer mon bassin et de le guider en elle. Je me mouvais en elle avec une telle facilité. Ses gémissements retentirent dans la pièce, au même titre que le bruit des ressorts mis à rude épreuve sous l’acharnement de mes mouvements. L’entendre gémir m’excita beaucoup. Surtout du fait qu’elle était plus âgée et que je voyais cela comme un accomplissement. Mes mouvements ralentirent pour devenir plus profonds, ses mains glissèrent sur mes jambes, les enserrant sous la force de son plaisir. Les siennes se tendirent dans les airs et je sentis son sexe enserrer le mien. La sensation était agréable. Mon bassin claquait contre ses fesses, ses gémissements se firent plus longs et profonds. Ses jambes se plièrent alors que je me focalisais sur le rythme de ses seins qui balançaient.
Des seins lourds qui me donnèrent encore un peu plus envie de cette quadragénaire. Sa main glissa sur ma nuque avant de me repousser.
Je me demandai pourquoi elle m’avait repoussé. Je ne dus pas attendre longtemps. Ses mollets vinrent se poser sur mes épaules et son attraction naturelle me fit à nouveau glisser en elle. Je sentis l’étau de son sexe se resserrer un peu plus. La pénétration me fit lâcher un gémissement, suivi du sien. Je me tenais à ses jambes, ne ménageant pas mes efforts. Je pense que si je continuais de la sorte, j’allais jouir dans la minute. Elle dut le sentir, car elle me repoussa. Je m’assis sur le lit et elle se glissa, à quatre pattes, entre mes cuisses.
Elle devait bien connaître mon point de non-retour. Elle me suçait goulûment, mais lorsque j’arrivais proche du stade de ne plus pouvoir me retenir de jouir, lorsque mes gémissements se faisaient plus continus, elle faisait redescendre la pression, soit en me suçotant le gland, soit en lâchant mon sexe. Je n’avais plus aucune notion du temps. Cela aurait pu durer quelques dizaines de secondes ou de très longues minutes. Je me suis senti sur le point de jouir plusieurs fois avant que mon envie ne se stabilise. Cette femme me rendait dingue, me donnant l’une des meilleures fellations de ma vie. Je me surprenais à tenir aussi longtemps sous son assaut des plus gutturaux.
Au bout d’un temps que je ne saurais estimer, elle revint sur moi, assise, mon sexe la pénétrant, comme avant, sans aucune difficulté. Elle fit quelques mouvements avant de se laisser glisser en arrière, se reposant sur ses bras. Je me redressai et chacun allions et venions. Ses mouvements me firent rapidement atteindre ce point fulgurant. Elle s’allongea alors sur le dos et je me glissai férocement en elle, en missionnaire. Elle apprécia la sauvagerie de ces derniers mouvements avant que je ne jouisse en elle.
Allongé, je tentais de reprendre mes esprits lorsque je la vis se lever. Elle remit sa culotte et son short.
Le soir, mes parents me taquinèrent sur le temps que j’avais pris pour déplacer les meubles. Je bafouillais une réponse, mais seulement s’ils s’étaient doutés...
Diffuse en direct !
Regarder son live