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ma voisine léo

Chapitre 1

Travesti / Trans
Jeannedorée
ma voisine léotravesti

Je vous ai dit comment, travesti en adorable salope sexy, le chef d’entreprise de 54 ans que je suis se fait astiquer le matin par Béatrice sa femme de ménage, devenue l’héroïne des « mes hauts et mes bas ». Sans pour autant m’empêcher de fantasmer sur Léonora ma voisine. Une petite veuve un peu coquine dont la fenêtre de la chambre donne juste sur le séjour de notre maison. Depuis quelque temps le matin, lorsqu’elle ouvre ses volets à huit heure précises c’est en soutien gorge, slip et bas que je suis à ma fenêtre en me branlant négligemment. Je luis fais un petit signe, elle me répond puis laisse tomber les rideaux. Je ne peux pas en rester là....
Veuve d’un peintre en bâtiment, Léonora l’italienne est un sacré petit bout de femme de 70 ans mais du tonus et une vie qui a du avoir son lot d’aventures mais qui semble tourner maintenant entre les bavardages devant chez elle, les ballades avec son chien et la télévision qu’on entend assez fort. Soignée et toujours attentive à sa coiffure et à ses tenues, elle a le salut tonique. Son intérieur semble confortable derrière les rideaux: volets électriques, gazon entretenu, personnel. Des moyens et des rites aussi. Comme celui de ne pas louper l’apéritif...J’ai eu l’occasion d’aller chez elle le jour où, ayant balayé la neige sur le trottoir j’avais poussé jusque devant chez elle. Emue elle ouvrit sa fenêtre et pour me remercier, me proposa de passer le soir pour boire un verre. Un intérieur un peu kitsch mais pomponné et le chien qui tournait autour d’elle en la reniflant avec assiduité. Une liqueur pour elle, un whisky pour moi..une discussion et la bise pour repartir sur le pas de la porte. Au cours de l’étreinte ma main avait effleuré sa poitrine sans le vouloir, mais s’était attardée le temps d’un dernier mot sur cette douceur soyeuse. Et c ’est cette féminité là qui avait entrainé mon esprit sur des fantasmes liés au terrain de mes travestissements. J’allais donc mettre sur pied un plan cul et un plan trav spécifique.
Affaires dans le sac
Ayant eu l’occasion de réaliser des photos aériennes du quartier j’appelle Léonora pour lui dire que j’aimerais venir lui en offrir une de sa maison et propose de passer un de ces soirs après mon travail. Comme ma femme est en déplacement, pas de risque qu’elle élargisse l’invitation. « Ben demain si ça vous va ?» me dit-elle. Et ça me va!
Nous étions encore en hiver et il faisait déjà nuit. J’arrive chez elle tout classiquement mon manteau sur le dos, elle m’ouvre. La petits bise en bas dans l’entrée, j’ai mon enveloppe avec la photo à la main, mon sac et un autre petit sac. Le chien jappe et saute..Il sera mis en pension dans le garage ce soir. Ma voisine s’est faite belle : une robe aux tons argentés, plissée à partir de la taille comme dans le temps ce qui donne de la fluidité à son corps. Le haut présente un col chemisier avec un ruban tour de cou.
On monte et dans le salon où la petite table est mise, les verres et les bouteilles sont sortis. Comme l’autre fois pour moi, du porto pour elle. Au bout de dix minutes je lui demande de me pardonner et m’éclipse avec mon sac pour un petit besoin. Dans ce sac j’ai une jupe noire assez courte et ample à la fois et une paire d’escarpins noirs à talons assez hauts. 7 centimètres de quoi être féminine mais rester à l’aise. Sous mon pantalon j’avais déjà mes bas et mon porte jarretelle, sous mon pull à col roulé, mon soutien gorge noir et un petit caraco. Idem pour un petit fond de teint discret et des lèvres brillantes mais cela ne se voyait pas. Mon pull, mon pantalon et les chaussures rejoignent mon sac , j’enfile la jupe mets les chaussures, m’arrange un peu les cheveux et je reviens. Je fais mon entrée en scène par le côté et elle me voit apparaître tout d’un coup, dans un mouvement gracieux devant elle.
Une belle femme
« Oh mais vous êtes une belle... femme! » s’exclame Léonora. « Oui... aussi » lui dis je avec délicatesse et en faisant un sorte de révérence qui met permet de soulever ma jupe sur le haut des mes bas. Elle est suffoquée mais me redit: « une belle femme ». Je m’assieds sur le siège juste à côté d’elle, délaissant le fauteuil où j’étais tout à l’heure, reprends mon verre et tente de reprendre aussi la conversation. C’est maintenant que ça se joue. Elle me regarde, toujours pas remise. Je lui prends la main et la pose sur mon genou gainé par le voile noir de mes bas. Non elle ne veut pas. Malgré une deuxième tentative en lui parlant... c’est non. Je laisse apparaître le haut de mes cuisses et me triture un peu les seins en lui souriant. Elle me sourit aussi mais ne se remet pas...
Je lui pose alors la main sur les genoux. Elle ne bronche pas, je lui parle de mes gouts pour les matières fines et soyeuses, les jolies parures féminines, les caresses. Elle se rassure, pose sa main sur la mienne un peu résignée. J’écarte un peu mes jambes pour lui montrer ma culotte où mon sexe est sagement replié en arrière selon une technique qui m’est personnelle, histoire de lui prouver mes intentions pacifiques. C’est être comme ça en douceur, un peu ambigu et caressant avec elle qui me plait, pas de la sauter je ne veux pas qu’elle ait peur.Elle se laisse un peu aller.
La salope que je suis devenue
Je lui caresse à présent le genou et remonte même un peu sous sa robe. Avec les plis amples cela glisse tout naturellement. J’ai l’impression qu’elle se détend, que ses genoux se desserrent un peu. Je m’approche d’elle et mon autre main lui caresse le visage. «  je vous ai fait peur? »... Je lui donne un bisou, promène mes doigts le long de ses joues et dans son cou, sous ses frisettes, sur le menton puis de l’autre coté en descendant vers son épaule et l’amorce de sa poitrine. Territoire connu. Des rondeurs rassurantes et qu’il ne lui déplait pas de me voir effleurer puis caresser. La salope que je suis devenue s’installe presque en face d’elle, le cul sur la petite table et mes jambes bien écartées autour des siennes.
« On se reprend un verre » lui dis-je. Je lui donne son porto et reprend mon whisky et on rediscute de la photo aérienne, de la vie. Je lui dis que c’est travesti que je la salue tous les matins. Elle me dit qu’elle ne voyait rien sans ses lunettes, juste une silhouette et qu’elle disait bonjour. Je lui dis que j’avais le même petit haut que ce soir la semaine dernière et j’essaye de lui faire toucher mon caraco et mes tétons en même temps. Comme une chatte obstinée elle ne veut pas sortir de son panier... mais comme une chatte elle aime que je la caresse.
Je remets les mains sur ses genoux et son épaule de façon plus autoritaire. J’ouvre deux boutons de la robe: «  vous aussi, vous êtes une belle femme ». Elle rosit. Comme la couleur de la soie de sa combinaison, les bretelles du soutien-gorge sont ivoire. Je me faufile dans son corsage et m’empare d’un téton. « Oh, tu me fais comme Juliette » me dit-elle. Juliette? Mon autre main remonte ses cuisses sous la robe; des jarretelles bien larges et l’amorce d’un corset ou d’une gaine m’excitent. Je m’agenouille devant elle. Elle à posé ses lunettes et laisse sa tête aller en arrière sur le fauteuil ce qui lui cambre le torse. J’ouvre alors les autres boutons de la robe et des deux mains je dégage les contours de sa poitrine. De l’extrémité de ma langue j’en cherche les bouts et puis les saisis tendrement entre les dents...
cochonne
Léonora me redit à nouveau que « c’est bon... ». Qu’elle aimerait boire encore encore un peu. Je te le prépare... lui dis-je et lui reverse une rasade de porto. Je ne lui redonnerai son verre qu’après après y avoir trempé ma queue qu’elle accepte bien volontiers de sucer au passage. Ben voilà. J’en mouille, j’en bande et me dresse sur mes talons ma jupe relevée, la queue définitivement sortie du string. Après cela elle boit en renversant un peu de son porto. Débarrassée de sa robe, elle est à présent revêtue de sa combinette rose plus courte et qui dévoile bien ses cuisses, laisse transparaitre la gaine couleur ivoire et les fixations des jarretelles. Comme un résumé de ce petit boute de femme, de féminité rétro, de rigidité et de mystère et je le sens bien. J’ai fait voler ma jupe et c’est avec une autorité de mâle que je fais se lever Léonora puis l’invite à s’agenouiller sur le canapé histoire de lui brouter sa chatte et la raie de son cul à travers la soie de sa culotte ample et d’une jolie soie ivoire avant de lui glisser ma queue dans la chatte et un doigt dans le cul.Madame est servie...me dit-elle.Oui est ce n’est pas fini.
Jeannedorée
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