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Ma voisine mure

Chapitre 2

Inceste
Je vous ai raconté ma première histoire avec Jacqueline, ma voisine et je vous avais promis la suite. La voici. J’avais passé une après-midi de plaisir, mais ma chère voisine hantait toujours mes rêves. Le dimanche suivant, je savais que son mari était absent pour cause de chasse. Je me décidai donc à aller voir ma chère voisine. Vers 11 heures, je sonnai à sa porte. Quand elle vint m’ouvrir, elle était vêtue d’une jupe et d’un caraco qui faisait ressortir son immense poitrine. En la voyant ainsi, j’eus à nouveau une érection. Elle me fit entrer chez elle et me dit: : — Ah ! Tu tombes bien. Je voulais te voir. Je voulais que nous parlions de l’après-midi que nous avons passée ensemble. Tu sais, Paul, nous avons fait quelque chose de pas bien. J’ai trente ans de plus que toi et je suis mariée. Je voudrais que cela en reste là et surtout que cela reste un secret entre nous. Je lui répondis : — Cela ne t’a pas plu ? — Si, mais bon, tu sais, je suis mariée et si mon mari l’apprenait... — Tu ne risques rien. — Oui, mais il ne faut pas. Ce n’est pas bien et c’est même mal. Tu es d’accord, hein ? Elle ajouta : — Puisque tu es ici, veux-tu manger avec moi ? Tu sais bien que je t’aime bien. Je te l’ai montré...J’acceptai l’invitation, mais je gardais toujours mon idée derrière la tête. Elle alla dans la cuisine et je la suivis. Elle se mit face à l’évier. Pour ma part, je me trouvais derrière elle et je la regardais nettoyer ses légumes. Je voyais ses fesses bien pleines et larges qui bougeaient. Je mis à bander comme un fou. Je m’approchai doucement de Jacqueline et je me collai à elle pour commencer à l’embrasser dans le cou. — Oh, Paul ! Non ! S’il te plait, pas ça. Mes mains se posèrent sur son énorme poitrine et je sentis ses longs tétons durcir. Elle ajouta dans un soupir — S’il te plait arrête. Non ! Je continuai et je passai mes doigts dans son décolleté. J’y trouvai un sein dur, rempli de désir. Je la retournai et je posai ma bouche sur la sienne. Nos langues se mélangèrent. J’avais à nouveau gagné. Elle ajouta : — Je t avais dit que je ne voulais plus, mais j’ai beaucoup pensé à toi et je souhaitais avoir encore une relation avec toi. J’ouvris son caraco et je vis son énorme poitrine, libre, sans aucun soutien, sauf celui de l’habit. Je me mis à lui sucer les seins l’un après l’autre, comme un bébé qui tire le lait à sa mère. Je m’aperçus qu’elle avait fermé les yeux et qu’elle se mordait les lèvres. Je continuai et je soulevai sa jupe pour trouver une culotte très blanche avec une légère tache humide sur l’avant. Je passai ma langue par dessus et j’entendis " OUUF". Je descendis ce sous-vêtement et commençai à lui lécher son clitoris qui était de plus en plus saillant. J’entrai dans cette cavité trempée un doigt, puis un deuxième. Elle me dit : — Allons dans ma chambre sinon je ne vais pas tenir plus longtemps avec ce traitement que tu me fais. Arrivé dans cette pièce, elle enleva tous ses habits et j’en fis de même. Elle m’allongea et elle posa sa bouche sur mon pieu. Elle se mit à me sucer. Sa langue s’enroulait autour de mon sexe et sur mes bourses. Elle m’excitait terriblement et je la vis prendre mon pénis et le placer entre ses énormes seins laiteux, légèrement tombants.
Elle me dit : — Tu sais, je n’ai jamais fait cela à personne mais je pense que tu en as envie. Je lui répondis dans un râle : — Oh oui ! Mais je ne vais pas tenir longtemps. C’est mon fantasme. Je croyais qu’elle allait s’arrêter mais non elle continua de plus belle. — Arrête... arrête ! Je vais jouir...Elle ne s’arrêtait pas et elle ajouta : — Vas-y ! Jouis ! Je poussai un gémissement et je lâchai de longs jets de sperme sur ses énormes seins. Elle s’essuya avec les draps et elle me dit : — Eh bien ! Tu avais une grande envie, coquin ! Je lui répondis en l’embrassant : — Toi, tu es géniale ! — Tu sais, cela fait plaisir à presque 50 ans de faire jouir et de donner envie à un jeune homme. Tu me rajeunis. — Mais je ne vais pas te laisser ainsi. Je voyais sa belle chatte toujours trempée. Je me glissai sous elle et je repris mes coups de langue aussi bien sur son clitoris qu’à l’intérieur. Je l’entendis pousser des gémissements. J’accélérai, introduisant un puis deux doigts à l’intérieur. Elle poussait de petits râles, puis je l’entendis dire : — Oh ! Arrête ! Tu vas me faire décoller. Je passai un doigt le long la raie de ses fesses et je mis à jouer avec son petit œillet. — Non ! Pas cela, s’il te plait ! Je suis vierge de ce côté... Mais tu m m’excites tellement... Prends-moi s’il te plait. Je la mis à genoux et je la pénétrai en levrette. Je l’entendis pousser un râle de plaisir et elle me dit : — Vas-y doucement. Tu es gros pour moi. J’entrai pourtant très facilement en elle. Je commençai à faire des va-et-vient tout en jouant avec ses seins et en tirant sur ses tétons, que je sentais encore légèrement poisseux de ma semence antérieure. Tout d’un coup je l’entendis râler et dire : — Oh ! Je jouis ! Je jouis ! C’est trop bon ! Elle me donnait de violents coups de fesses. Je jouis à mon tour et j’envoyai de longs jets dans sa chatte. Nous nous sommes affalés sur le lit, épuisés, et elle m’embrassa en me disant : — Tu es vilain ! Faire jouir autant une femme de 49 ans, qui pourrait être ta mère ! Tu sais, je n’ai jamais eu d’amant avant toi... Nous avons passé une journée de rêve à nous caresser l’un l’autre et à faire l’amour.
Dans un troisième chapitre, je vous raconterai comment Jacqueline m’a donné son pucelage anal.
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