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Ma voisine Olivia

Chapitre 2

Hétéro
Après notre rencontre au parc, je n’eus plus beaucoup de nouvelles d’Olivia. Quand je la voyais à sa fenêtre, nous nous limitions à un petit coucou.Et puis un soir en rentrant, je trouve dans ma boîte à lettres avec mon courrier sa carte de visite avec un rendez-vous inscrit dans trois jours. Je découvre qu’elle est conseillère financière dans l’une des banques du quartier.
Je suis heureux qu’elle reprenne contact avec moi et même excité. Mais je trouve bizarre qu’elle me donne rendez-vous à son travail. Sûrement irons-nous ailleurs ensuite. Nous retournerons peut-être dans le même parc ou bien irons nous faire un tour en voiture et je la baiserai sur la banquette arrière où elle me taillera une pipe en roulant. Je me masturbe en imaginant tous ces scénarii.
Le jour fatidique est arrivé et je me présente à la banque d’Olivia. J’indique à la personne de l’accueil que j’ai rendez-vous et je lui présente même la carte de visite d’Olivia. Elle me dirige vers un espace d’attente et me dit qu’elle va venir me chercher, de bien vouloir patienter quelques instants.
Olivia arrive. Elle a vraiment le style banquière que je m’imagine. Très stricte, tailleur jupe et chemisier très ajustés qui enveloppent ses formes, sa généreuse poitrine et ses hanches. Les cheveux tirés en arrière et regroupés en chignon et elle porte des lunettes. Elle me salue d’une poignée de main ferme et m’invite à aller dans son bureau.
C’est une vieille banque dans un vieux bâtiment et le style n’est pas celui moderne avec des cloisons en verre et des revêtements plastiques, mais plutôt parquet et lourde porte en bois. J’entre dans son grand bureau partagé en deux espaces, l’un qui est meublé d’un bureau et ses fauteuils et l’autre d’un coin salon, canapé et table basse.
Elle me désigne le canapé où je m’installe en m’interrogeant de son comportement. Après avoir fermé la porte du bureau, elle n’a pas quitté son air sérieux, ne m’a pas sauté au cou, ni embrassé. C’est le prélude à une discussion sérieuse. Elle passe derrière son bureau et fouille dans ses papiers puis en me fixant, elle me dit que nous avons problème qui pourrait devenir important si nous ne le résoudrons pas maintenant.
Que se passe-t-il ? Elle ne veut plus que je l’observe de ma fenêtre ? Que nous soyons toujours voisins ?Et elle continue en se positionnant face à moi, en agitant ses feuilles, elle m’explique que j’ai un gros découvert et qu’il est temps de rembourser. Elle me demande comment je compte m’y prendre ?Elle s’est encore rapprochée. Elle me toise. Puis elle annonce qu’il y a bien une solution. Et en même temps, elle a levé son pied chaussé de son escarpin, entre mes cuisses et le fait glisser sur mon sexe. Elle me presse délicatement les couilles sous sa semelle. Elle me dit ou plutôt m’ordonne de sortir ma queue. Je m’exécute et elle continue de frotter son soulier sur mon sexe qui se redresse. Je reste assis, les mains posées sur le canapé. Elle déboutonne son chemisier, découvrant sa généreuse poitrine enveloppée dans un beau soutien-gorge blanc en dentelle qu’elle caresse.
Elle se remet sur ses deux pieds et remonte sa jupe découvrant ses bas couleur chair et son porte-jarretelles blanc assorti à son soutien-gorge. Elle se contorsionne et retire son string assorti lui aussi, et me le lance à la figure. Elle replace son pied sur mon sexe. Elle prend ma main et la glisse entre ses cuisses jusqu’à son sexe qu’elle frotte dessus. Mes doigts caressent ses lèvres et glissent doucement en elle. Elle continue de déboutonner son chemisier et glisse l’une de ses mains dans son soutien-gorge et caresse l’un de ses seins. Elle le fait sortir en le passant par-dessus son bonnet et se pince le téton. Je la doigte et elle mouille de plus en plus.
Et elle s’arrête. Elle se retire, en me disant que ça ne va pas suffire et qu’il va falloir faire un plus gros dépôt. Elle recule jusqu’à son bureau et s’appuie dessus. Les jambes écartées, la jupe remontée, découvrant son sexe coiffé d’un petit ticket de métro, elle me fait signe de m’approcher pour venir lui lécher. Je glisse du canapé et viens à ses pieds à quatre pattes. La tête redressée, je commence à lui lécher la chatte. Et je l’entends me dire en gémissant, plus gros le dépôt.
J’appuie plus fort ma langue sur son sexe. Elle gémit encore et demande un dépôt plus gros. Je la fouille en la pénétrant de ma langue. Encore ! dit-elle en me griffant les cheveux et en ondulant sur mon visage. Je là retourne et remonte sa jupe autour de ses hanches découvrant son superbe cul. Elle se cambre. Je continue de la fouiller et je glisse ma langue en la remontant jusqu’à son anus que je fouille de la pointe de ma langue. Elle gémit et réclame un dépôt plus important. Je me redresse et en tenant mon sexe à la main, je la pénètre sans ménagement, lui glissant ma verge jusqu’à la garde dans sa chatte. Elle s’affaisse en avant sur son bureau. En prenant appui sur son dos, je la burine de coups de reins. Je claque contre son cul rond et le fais onduler. Ses seins frottent sur le bureau à chaque coup de bite. Je vais et viens en elle de plus en plus fort.
Mes mains glissent jusqu’à sa nuque et l’attrapent par ses cheveux que je tire doucement en arrière pour la redresser et lui attraper un sein et le sentir rebondir à chaque aller-retour en elle.
Elle gémit encore. Et encore, elle réclame un plus gros dépôt.Je me retire et m’accroupis une nouvelle fois à la hauteur de ses fesses que j’écarte et je crache sur sa rondelle. Je me relève et la plaque une nouvelle fois sur le bureau. Je la fais bien se cambrer et je pointe mon gland sur son cul. Je pousse et la pénètre. Elle pousse dans l’autre sens. Mon sexe élargit son petit trou et mon gland passe en elle. Je marque un arrêt. Elle respire fort et je l’entends souffler pour m’accueillir en elle par cet orifice. Je reprends ma poussée. Elle aussi. J’entre en elle, je la sodomise en entier. Mes couilles se collent à son sexe.
Elle souffle. Et j’entreprends de très lents va-et-vient. Je sens sa collerette serrer ma verge. Je la tiens par les hanches et j’accélère. Elle gémit de plaisir. J’y vais plus fort. Je lui claque les fesses et je m’entends lui demander si elle en veut plus. Et sans attendre sa réponse, je la baise encore plus fort en glissant ma main sur son sexe et lui glisser deux doigts dedans. Je sens sa mouille, sa jouissance.Moi aussi je vais exploser et je me retire de l’intérieur de son cul pour gicler dessus. Je crache de longs jets de foutre sur ses fesses, jusqu’à ses reins. Je lui étale en glissant ma verge dans sa raie. Elle a les jambes qui tremblent et se laisse tomber en s’accroupissant au pied du bureau. Elle reprend son souffle en me regardant et en me souriant. Je suis repassé en crédit.
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