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Ma voisine raffole de ma teub.

Chapitre 2

échauffement entre filles

Lesbienne
Je veux me faire ma voisine. 2
— Putain de merde !... Si je m’attendais à ça !... Grosse queue et gros éjaculateur ! Si j’avais su ça plus tôt, je n’aurais pas perdu tant d’années !
Et c’est comme ça que maintenant, au moins une à deux fois par semaine, une relation torride entre nous nous emporte au septième ciel. Elle adore que je la ramone, que je la fasse gicler comme une vraie fontaine. Elle est tombée amoureuse de mon « bâton magique » comme elle dit. Elle est à chaque fois surprise de mes talents et de mes éjacs démentielles, me demandant comment ça se fait que je gicle autant. Je lui dis que je suis comme la nature m’a fait.Un jour, elle me demande si j’ai d’autres fantasmes et je lui réponds que j’aimerais faire ça avec deux femmes, elle me dit qu’elle va y réfléchir.Quelques semaines plus tard, j’arrive chez elle et là, quelle surprise..., la belle Africaine de son anniversaire est là ! Mais je laisse Françoise vous conter comment elle a décidé Carole...
Suite :Quelque temps après l’anniversaire de Françoise :Françoise et Carole sortent ensemble de la clinique et vont boire un verre au bistrot du coin !
— Alors ! Comment le trouves-tu ?— Qui ça ? demande Carole.— Mais mon voisin, voyons ! Celui avec qui tu as passé la plupart de ton temps à mon anniversaire !— Ah ! Pas mal, pas mal du tout, répond Carole évasivement.— Moi, il me plaît follement, s’extasie Françoise. Eh bien, je me le suis fait, et c’est un sacré coup !— Grand bien te fasse ! J’espère que tu as apprécié.— Qu’est-ce que tu fais ce soir ? Tu viens dîner chez moi ?
Depuis un moment, elle lorgne sur les cuisses fuselées de Carole, couleur ébène, le croisement de ses jambes découvre les jarretelles qui dépassent de la petite jupe courte. Sans trop savoir pourquoi, elle ressent un étrange émoi au spectacle de ses cuisses longues et finement musclées que Carole ne cherche même pas à cacher.
— Je veux bien, je n’ai pas le courage de cuisiner, lui répond Carole en s’apercevant que Françoise a les yeux rivés sur ses cuisses, ça te plaît ? demande-t-elle, mutine. Et tu n’as pas tout vu.
En disant cela, Carole soulève vivement sa jupe et Françoise peut admirer un beau minet poilu, niché au creux du ventre plat et des cuisses.

— Tu n’as pas de slip ! s’exclame Françoise en prenant un air outré.— Et non, tu vois...— Je veux voir, mais pour cela, on va attendre d’être chez moi...
Une fois arrivée, Françoise s’excuse en faisant pénétrer Carole dans son salon. Elle n’a pas rangé après la baise torride de la veille avec Nicolas. Elle dégage un fauteuil et prie Carole de prendre place. Elle ramasse vite fait les vêtements qui traînent et va tout poser en vrac à la salle de bain en la priant :
— Mets-toi à l’aise, j’en ai pour une minute.
Carole retire son manteau et s’installe confortablement dans un fauteuil. Elle regarde Françoise s’activer maintenant dans la cuisine, apercevant de temps en temps un coin de chair blanche quand son hôtesse se penche, et même plus quand elle fait voler sa courte jupe, dévoilant la fourche de ses cuisses.
— Tu veux boire quelque chose ?— Ce que tu veux.
Françoise avait prévu le coup et laissé la chaleur torride pénétrer dans la pièce. Carole, commençant à souffrir de la chaleur, se relève pour ôter ce que la décence lui permet. Françoise de son côté a dégrafé les boutons du haut de son corsage, libérant deux ballons bronzés, donnant envie à Carole de tendre la main pour les peloter. Françoise continue son manège, prenant plaisir à exciter sa collègue. Elle se penche pour lui servir un verre, permettant à Carole de contempler le ravin sombre qui court entre les doudounes appétissantes de sa copine, décidément très délurée ce soir. Elle ne la connaissait pas comme ça...Carole se rend compte que le spectacle la fait mouiller et elle resserre les cuisses de peur de souiller le fauteuil. Elle boit le breuvage très alcoolisé à petites gorgées. Françoise passe derrière le fauteuil et lui masse les épaules, puis lui embrasse les cheveux. Soudain :
— Je vais prendre une douche pour me rafraîchir, ça me détend avant de dîner, ça ne te dérange pas ?
Cinq minutes plus tard, Françoise revient vêtue d’un court peignoir de bain qui ne cache rien de ses cuisses. Elle continue à vaquer entre le salon et la cuisine, le tissu-éponge virevolte et l’échancrure laisse apparaître deux seins absolument parfaits où les tétons pointent, deux mamelons mafflus au centre de cercles plus foncés, faisant ressortir la chair plus claire des seins. Carole a la bouche sèche et ingurgite gorgée sur gorgée, mais Françoise refait régulièrement le plein du verre.
Françoise se penche et pose ses lèvres sur celles de Carole qui se laisse faire. La chaleur, l’alcool ?
— Tu es en sueur, Carole, va donc prendre une douche !
Françoise prend le bras de Carole qui se laisse faire et l’aide à se relever.
— On va prendre le bain ensemble.
La baignoire est pleine, Françoise retire les vêtements de Carole et laisse tomber son peignoir. Elle se glisse dans l’eau tiède et Carole la rejoint. Son corps disparaît à moitié, seule la paire de seins semble flotter. Françoise se redresse un peu pour porter ses mains jusqu’à la poitrine de Carole et pince entre ses doigts les tétons qui se dressent au centre de deux obus aussi noirs que du charbon. Les tétons se dressent, émoustillés par le contact de l’eau et de la pression nerveuse des doigts de Françoise.
— Mets-toi debout, demande Françoise.
Carole se redresse et Françoise a la fente de Carole juste à hauteur de la bouche. Une odeur d’eau chaude, de sueur et de mouille parvient jusqu’à ses narines. Elle pose ses mains sur le fessier de Carole et l’attire à elle pour la rapprocher de son visage. Pour faciliter la suite, Carole sort une jambe de la baignoire, faisant bâiller son con pour que Françoise puisse faire entrer sa langue dans la vulve. Françoise peut admirer une cascade de replis de chair rose enchâssés dans des grandes lèvres plus foncées et une petite excroissance de chair gonflée de sang qui fait comme une aspérité.
Françoise y colle sa bouche et tire dessus dans une succion douce et une pression légère de ses lèvres. Carole s’appuie sur le mur, tentant de s’installer au mieux pour profiter du plaisir qui lui envahit le bas du ventre. Son corps vibre sous la caresse buccale. Elle se cambre, mettant ses deux mains derrière la tête de son amie dont la langue lui titille le clitoris.
Françoise laisse glisser sa main droite de la fesse de Carole pour que son index vienne déraper lentement dans la raie puis cherche à pénétrer dans l’anus.Carole serre et relâche ses muscles sur le doigt indiscret. Françoise fouille avec une sorte de rage mal contenue, se laissant même aller à placer plusieurs doigts dans le trou du cul de Carole qui proteste gentiment :
— Tu me fais mal !
Alors Françoise retire les doigts et poursuit sa caresse avec son majeur et la pression du corps sur son visage la récompense de la concession accordée à sa partenaire.Pendant que Carole agite son bas-ventre sur la langue et la bouche de Françoise, celle-ci retire sa deuxième main du fessier rebondi et plonge son bras sous l’eau pour porter sa main à sa chatte.Françoise dévore gloutonnement le clito dressé et les lèvres charnues de Carole pendant qu’elle se branle avec vigueur la chatte, allant ensemble vers le plaisir. Le vagin de Carole dégouline de mouille. Françoise, sentant que son amie ne va pas tarder à jouir, la fait sortir de la baignoire et s’appuyer des deux mains sur le mur carrelé, lui écartant les fesses des deux mains pour plonger sa langue humide de salive entre les deux monts, cherchant à lui atteindre l’ognon.
Elle lui bouffe goulûment le cul, faisant pénétrer sa langue dans le trou à la saveur amère de la femme ployée devant elle qui apprécie l’attouchement à la porte qui mène à ses entrailles. Carole tend plus fort son cul et ses fesses s’écrasent sur le visage de Françoise toujours agenouillée.
Françoise libère ses deux mains, passant l’une d’elles entre les cuisses écartées de son amie et l’autre entre les siennes pour atteindre les vulves et titiller les clitoris.Dans un bel ensemble, Françoise fait aller ses doigts de haut en bas sur toute la hauteur des lèvres épaisses des vulves, introduisant même à l’intérieur une partie de ses mains, faisant réagir bruyamment Carole, dont la chatte bâille encore plus, car elle a posé un pied sur le rebord de la baignoire pour être encore plus offerte.
Françoise, remarquant que son amie se trouve au bord du plaisir, attrape une brosse à cheveux, la trempe dans l’eau. Ses doigts ont repris la place de sa langue un instant sur le trou du cul et, d’un coup, elle plonge le manche de la brosse dans le fion en criant :
— Je te baise le cul ! Tu aimes ça ou tu ne préfèrerais pas une belle pine pour te ramoner le fion ?
Carole prend le manche sans même réagir comme si c’était naturel pour elle, et mouillant de plus belle. Françoise sent que le moment est venu quand Carole vocifère :
— Aaahhh ! Je jouiiisss ! Ouuuiii ! Nooonnn !
Ses cris étouffent le bruit de la sonnette. Le déchaînement oral de Carole déclenchant la jouissance de Françoise qui lui promet :
— Va ! Jouis autant que tu peux ! Tu n’as pas répondu à ma question, tu te tortilles sur ce manche que je t’ai mis dans le cul, mais je vais bientôt avoir ma réponse...
A suivre...
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