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Ma voisine raffole de ma teub.

Chapitre 4

Que préfère-t-elle dans le cul? mon manche ou celui du fouet?

Orgie / Partouze
Je veux me faire ma voisine. 4
Carole guide ma verge vers ses entrailles, remontrant le chemin à mon gros paf qui lui chatouille l’anus quand soudain, Françoise se jette sur moi. Elle me cingle le dos avec un fouet et, sous la douleur, je me cabre nerveusement.Heureusement que ma teub était sur la bonne voie, car mon dard entre d’un seul coup dans les boyaux de Carole qui pousse un hurlement de joie, de douleur et de plaisir confondus.
— Aaaaaah ! Aaaaaah ! Quelle défonce ! Putain ce que tu me bourres bien ! Merci Françoise !

Suite :Les paroles de son amie figent un moment Françoise qui reste le bras levé avec son fouet, ne sachant plus comment se comporter. Dépitée, elle laisse tomber le fouet et sa main se dirige vers les poils de sa chatte où ses doigts commencent à fourrager.
Je couche Carole sur le côté et commence à limer rapidement le trou du cul pendant qu’elle participe en ramenant sa croupe contre mon ventre pour que son fourreau soit rempli de mon épée.J’ai attrapé à pleines mains les obus de Carole, je les malaxe pendant qu’elle bouge lascivement du cul pour s’empaler profondément sur ma trique. Mes doigts descendent vers sa vulve et la doigtent sans relâche à un rythme très soutenu. Sans crier garde, un jet de cyprine sort de son urètre, puis un deuxième. Une flaque de son jus inonde les draps. Elle crie, savourant son plaisir, terriblement excitée de gicler ainsi. Je savoure son plaisir, elle est toute à moi, sa chatte grande ouverte à mes doigts, son cul à mon gourdin. Le liquide chaud coule le long de ses cuisses. Carole n’en peut plus, me suppliant d’arrêter, des vagues de plaisir la font chavirer. Elle se laisse aller sur le lit, presque évanouie.
J’ai en plus maintenant le spectacle de Françoise qui se titille le clito et je vois sa mouille dégouliner le long de ses cuisses. Ses doigts vont plus profondément et les lèvres de sa vulve doivent s’écarter pour qu’ils puissent glisser plus profondément dans son vagin. Elle accélère le mouvement en éprouvant un début de jouissance, me regardant poignarder le cul de sa copine. Notre copulation en cadence l’amène aux frémissements du plaisir. Elle s’acharne sur son bouton, le pinçant. Ses reins sont agités de soubresauts spasmodiques. Mais Carole me ramène à l’essentiel, toujours bien vrillée sur ma queue :
— Vas-y, Nicolas ! Donne-moi ton foutre !— C’est ça, surenchérit Françoise, ses cuisses souillées de mouille et de sueur, donne ton jus à cette salope qu’elle se casse !

Elle écarte les cuisses pour que ses doigts puissent aller au fond de son ventre tout en tripotant son clitoris gorgé de sang. J’aperçois sa moule béante qui bave comme une bouche d’enfant qui fait ses dents. J’en redouble d’efforts pour piner Carole, accélérant mes coups de reins.
Mais Françoise ne l’entend pas de cette oreille et a repris le fouet. J’attends le feu des lanières, mais c’est Carole qui les reçoit, poussant à peine un gémissement, comme si elle ressentait un vif plaisir à se faire flageller...
Vexée et jalouse, Françoise redouble de violence pour asséner un deuxième coup de fouet dont les lanières zèbrent de rouge le torse de Carole et s’allongent jusqu’à son sein droit.
Carole veut se protéger la poitrine, mais j’attrape ses mains et écarte les bras, laissant parfaitement dégagés les seins pour qu’elle subisse la flagellation de son amie.Françoise, pour punir l’infidélité (mais de qui ?), frappe plusieurs fois. Mais Carole ne se plaint même pas, un sourire aux lèvres, comme si la punition lui convenait, agitant encore plus ses reins pour que ma queue durcisse encore dans son cul.
Soudain, elle parvient à la jouissance et j’essaie de la suivre sur le chemin du plaisir. Carole vient de passer sa main entre ses cuisses et, saisissant mes couilles, les presse fortement, comme pour montrer qu’elle en attend son dû. Mon jus de pine inonde les entrailles de la femelle et le contact du sperme chaud accentue sa jouissance et le flot de cyprine qui détrempe encore plus les draps, exprimant tout ce qu’elle a ressenti :
— Oh ! Merci Nicolas ! Merci de me faire jouir autant, ça fait longtemps que ça ne m’était pas arrivé. Je sens ton jus qui coule. Oh que c’est booonnn, ouaaaiiisss ! Comme je jouis bien avec toi ! Quel pied !

Je continue sur ma lancée, rentrant un peu plus mon gland dans son cul pour laisser filer mes dernières réserves de foutre.La réaction de Françoise est immédiate, elle lâche son fouet, écarte nos corps et se précipite pour sucer le cul de sa copine et y recueillir le jus qui coule du trou gluant tout écorché par mon gros dard. Je la laisse faire, regardant sa tête enfouie entre les deux parties charnues de la croupe callipyge de Carole pour que sa bouche fasse ventouse. Elle aspire la merde et le foutre qui dégoulinent maintenant à chaque contraction involontaire du cul de Carole.
Appuyée sur ses avant-bras, Carole s’offre tout entière aux coups de langue de son amie.Françoise est au-dessus, elle ne veut pas perdre le contact avec l’anus de Carole. Je décide donc d’explorer de mes doigts la rosette de Françoise, mais je me demande si elle s’en rend compte...Elle se laisse faire et je deviens plus brutal. Françoise tortille un peu du cul comme pour échapper aux doigts qui lui raclent le canal vers ses entrailles.Je retire ma main de son cul et descends plus bas vers la vulve, elle écarte les cuisses pour faciliter la manœuvre. Ces deux femmes m’excitent tellement que j’ai de nouveau envie de plonger ma pine, pourquoi pas dans le corps de Françoise, ce coup-ci ?
Mon pouce dans son cul, avec les autres doigts, je tripote l’intérieur de la vulve trempée de mouille de Françoise qui se tortille, mais continue de bouffer gloutonnement le cul de la négresse, comme si je n’existais plus. Carole pousse de petits gémissements, les deux mains dans les cheveux de Françoise, comme pour lui interdire d’arrêter le broutage.
Je veux reprendre le dessus, je jette un œil alentour et aperçois le fouet, pendant ce temps, les deux femelles se gouinent à qui mieux mieux, elles s’embrassent, chacune une main dans la chatte de sa voisine.
Elles m’ont complètement oublié, ma parole !!! Les tétons pointent drus, les chattes dégoulinent sous les caresses. Françoise croche ses doigts dans le vagin de Carole comme pour se venger de s’être envoyée comme une salope avec moi. Elle passe ses doigts entre les lèvres de la vulve de son amie pour découvrir le fruit bien humide et bien rose qui s’ouvre comme une fleur offerte au soleil pendant que Carole fait de même, prenant son clitoris entre ses doigts et imprimant au petit organe de chair, gorgé de sang, une légère traction qui répand dans son ventre un plaisir diffus proche de la souffrance.
Elles se sont mises tête-bêche maintenant, Carole écarte ses cuisses et cambre ses reins pour mieux s’offrir aux coups de langue tournoyante de la brouteuse, et de son vagin suinte son jus qui déborde des bourrelets de la vulve et s’écoule sur le haut de ses cuisses.
De son côté, Françoise prend un vif plaisir à sucer la chatte de son amie, aspirant goulûment le liquide qui lui coule sur les lèvres. Elle prend entre ses dents les poils et les babines de chair qui protègent l’hôtel du plaisir de sa copine.
Je prends le fouet en main près de l’endroit où les lanières se séparent du manche, le passe délicatement, d’abord, entre les deux lèvres du vagin de Françoise. L’extrémité est pile au bon endroit et je pousse violemment sur le manche. Ainsi poignardée, Françoise pousse une sorte de hurlement de souffrance et de rage.
Je cesse un moment de pousser, mais vois son expression changer. Je reprends la pression sur le manche et entre à moitié le fuseau de cuir tressé.
— Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaah ! Hurle de douleur et de plaisir Françoise.
Quand je fais aller et venir le fouet dans son con comme une pine dure et vacharde, elle se laisse aller et fait entendre tout haut ce qu’elle ressent, se foutant de moi.
— Aaarrgg ! C’est bon ! Aussi bon que ta putain de queue ! Vas-y, ramone-moi bien la moule ! Cure-moi le conduit ! Aaaah ! Je jouis !

Je n’ai cure de ses invectives, mais j’accélère le mouvement du manche dans son bénitier gluant de mouille... Je bande..., la queue de plus en plus raide. Je retire le fouet du sexe de Françoise et l’introduis dans son anus.
— Aïe ! Aaah putain ! gueule-t-elle, le cul déchiré par l’introduction de l’engin. Mais elle supporte vaillamment le manche de cuir et préfère même maintenant m’aider à lui entrer dans le corps que de lui résister et en subir la douleur.

A suivre...
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