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Ma voisine raffole de ma teub.

Chapitre 5

deux infirmières valent mieux qu'une

Avec plusieurs femmes
Je veux me faire ma voisine. 5


Quand je fais aller et venir le fouet dans son con comme une pine dure et vacharde, elle se laisse aller et fait entendre tout haut ce qu’elle ressent, se foutant de moi.
— Aaarrgg ! C’est bon ! Aussi bon que ta putain de queue ! Vas-y, ramone-moi bien la moule ! Cure-moi le conduit ! Aaaah ! Je jouis !
Je n’ai cure de ses invectives, mais j’accélère le mouvement du manche dans son bénitier gluant de mouille... Je bande..., la queue de plus en plus raide. Je retire le fouet du sexe de Françoise et l’introduis dans son anus.
— Aïe ! Aaah putain ! gueule-t-elle, le cul déchiré par l’introduction de l’engin. Mais elle supporte vaillamment le manche de cuir et préfère même maintenant m’aider à lui entrer dans le corps que de lui résister et en subir la douleur.

Suite :Une fois le fouet bien entré à fond dans le fion de Françoise, je me redresse, place mes jambes de chaque côté de son corps allongé sur le ventre, ayant de cette façon le manche fiché bien droit juste en dessous de mon entrejambe. Carole en profite pour ramper en arrière, serrant ses jambes pour les mettre entre celles de Françoise. A genoux, je me baisse, sentant le contact des lanières du fouet qui chatouillent mes burnes. Je peux maintenant mettre ma queue dans le con de Carole tout en appuyant d’une fesse sur le manche fiché dans le trou du cul de Françoise...
Pendant que Carole se prête avec grâce à l’introduction de mon manche dans sa chatte gluante de mouille, Françoise gémit de douleur plus que de plaisir quand par mégarde, j’appuie sur le manche du fouet et qu’il s’introduit un peu trop profond dans ses entrailles.
Bien placé dans la grotte de Carole, je pose une de mes mains sur la hanche de la fille pour saisir de l’autre le fouet, tirant et repoussant alternativement le gode improvisé à la même cadence de mes coups de reins dans le vagin de cette belle noire. Comment ne pas éprouver du plaisir quand on a en son pouvoir deux femelles soumises à votre bon plaisir ?!
Ma queue se sent bien dans cette moule qui jute abondamment sur ses cuisses et vibre au rythme de mes coups de pine pendant que des gémissements de plaisir ou de plainte, je ne sais pas, sortent de la bouche de Françoise à chaque fois que le manche du fouet va-et-vient dans son cul martyrisé. Pourtant, elle n’essaie pas d’échapper au vit en cuir dans son cul que seules les lanières m’empêchent de le rentrer plus profond.Mes couilles se crispent, puis se vident dans ma lance, le sperme atteignant le gland quand je prends mon pied et que je jute avec abondance dans le vagin de Carole. Le contact chaud de ma semence réveille son plaisir et elle se vrille encore plus sur mon pieu de chair en resserrant ses muscles vaginaux comme un boa avalant sa proie. Elle s’envoie en l’air avec des petits cris de satisfaction d’abord, puis se laisse aller :
— Ouuuiii ! Donne-moi ton foutre, salaud ! J’aime les mâles qui jutent bien profondément ! Encore, encore ! Vide-toi bien dans ma chatte ! Donne-moi tout ton jus ! T’en avais en réserve, mon salaud !— Lâche tout sur son corps de black ! M’exhorte Françoise.

Carole n’arrête plus de parler et fait tout pour prolonger cet instant de grâce. Mais moi, je ne perds pas le nord et continue de limer le trou de Françoise avec le manche du fouet et j’ai même l’impression qu’elle tend son cul et que les muscles de son dos se contractent comme si elle allait jouir.Je veux la priver de son plaisir et retire le fouet de son trou pour le plonger dans celui de Carole qui tentait de mettre ma pine un peu ramollie dans son cul.
— Aaahhh !
Elle se vrille souplement sur le manche de cuir et repart immédiatement vers le plaisir, faisant elle-même des mouvements de sa croupe pour faire aller et venir l’engin tout gluant dans ses entrailles. Carole me relaie même sur le manche, trouvant que je n’agite pas assez vite et profondément cette excroissance dans son cul. Un peu fatigué, je la laisse faire sans protester se poignarder l’oignon.Je me retourne vers Françoise et lui présente mon sexe souillé par les excrétions de Carole et lui ordonne :
— Vas-y, suce !

En femme soumise, elle entrouvre les lèvres pour y placer ma bite au gland mou. Je la regarde fixement, lui imposant une ultime humiliation qui me fait lentement rebander. Mais pour se venger, elle se jette sur ma queue et me mord presque jusqu’au sang, heureusement que je ne suis pas en pleine érection ! Je la projette sur le lit, lui claque avec une telle violence ma main droite sur les fesses qu’elles en deviennent toutes rouges.
— Espèce de salope, tu vas me le payer !

Je n’hésite pas, crache sur le haut de ses cuisses, engage ma teub à demi-bandée que je serre d’une main entre ses deux grosses fesses qu’elle contracte et défonce son anus trop étroit. Ma pine s’écorche, mais je n’en ai cure. J’ai maintenant suffisamment repris du gourdin pour défoncer le cul récalcitrant. Ma pine se tord sous l’effort et je dois plier les jambes pour qu’elle se redresse un peu. J’empoigne ses nichons pour avoir une meilleure prise et donne un énorme coup de reins pour faire disparaître en entier ma verge dans ses entrailles.
— C’est ça que tu voulais, hein ?— Ferme-la et lime-moi vite ! J’aime être prise comme une traînée ! Allez ! Brutalise-moi !— Ah ! Tu aimes que je t’encule ? Tu vas être servie !!!

Elle sait exactement ce à quoi elle s’attend. Elle veut non seulement connaître de nouveau cet orgasme qui l’a pratiquement anéantie un peu plus tôt. Cette posture lui permettant de mieux percevoir mon membre viril à l’intérieur de son cul, et vu la longueur de ma virilité, elle est certaine de se délecter.Je ressens une moiteur torride m’entourer le membre pendant que Françoise s’empale sur celui-ci, comme si un manchon embrasé collait autour de ma verge. Je la laisse maintenant mener les ébats, comblé par l’agréable sensation du mouvement du fourreau brûlant le long de mon engin. Je ne peux m’empêcher de réagir, comme aspiré par ce trou sans fond qui a englouti ma teub.Ses fesses se projettent brusquement en arrière et malgré ma décision de demeurer impassible, je laisse échapper un gémissement.
— Alors ? C’est aussi bien qu’avec Carole ? Tu aimes ? M’interroge-t-elle, car ma réaction ne lui a pas échappé.
Ma réponse est un grognement. Elle profite au maximum de la queue enfouie dans son cul, mais le frottement voluptueux de mon gland contre les parois de son colon l’oblige à faire des efforts considérables pour garder le contrôle. Plus elle agite sa croupe, se pénétrant profondément, plus une chaude liqueur vaginale s’écoule de sa chatte esseulée. La cyprine brûlante coule sur ses cuisses et ruisselle, comme si les vannes avaient lâché, libérant des flots d’un liquide bouillant qui détrempent les draps déjà passablement trempés.
Le massage affolant de mon gourdin au rythme de ma chevauchée me ramène doucement vers un ultime plaisir. Mes mains saisissent ses seins gonflés qui ballotent d’une façon considérablement érotique, suivant les mouvements saccadés de notre danse amoureuse.
Je ne suis plus maître de cette chevauchée fantastique et j’entame les derniers allers-retours de plus en plus rapides dans ce conduit accueillant. J’en profite pour broyer ses seins et les tétons durs et, ne pouvant me retenir plus longtemps, je replonge une dernière fois dans son corps pour déverser ma semence.
Françoise gémit en prononçant mon prénom.
— Aaaaahhhh ! Nicolas ! J’ai bien voulu te partager avec Carole, mais tu es à moi ! Tu entends ?! Rien qu’à moi !!!!

Ça..., c’est ce qu’elle croit... Mais moi, maintenant, je ne pourrai plus me passer de tremper mon boudoir dans un café allongé avec du lait. Enfin... Vous voyez ce que je veux dire par là !
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