Je passais le samedi suivant à explorer son ordinateur. Je cherchais toute trace qui me permettrait d’en savoir un peu plus sur son penchant pour son chien, voir pour les chiens en général. Au final je ne trouvais rien, ni photo, ni vidéo, ni document. Rien dans les historiques de son ordinateur, rien dans des conversations enregistrées.Entre temps, les cours à la fac avaient commencé. J’avais croisé Sophie et nous nous disions bonjour comme des connaissances. J’avais tenté de noter chez elle le moindre signe de malaise ou quoi que ce soit qui puisse trahir son appréhension que j’ai pu voir avec son chien, mais rien de tout cela. Tout juste des « bonjours », « comment ça va ? » etc… C’était ma première année avec elle et je m’arrangeais dans les amphis pour me retrouver légèrement au dessus d’elle, de travers, ayant une vue sur son visage. Autant vous dire que sur certains cours, les images de Sophie avec Sultan ont remplacé les équations, et que je finissais par trouver certains sièges extrêmement inconfortables quand on a une bonne érection.Décidément, j’étais obnubilé par tout ça. J’avais fait choux blanc sur son ordi, et je ne l’avais plus jamais vu dans sa chambre avec Sultan.. Heureusement pour moi, le vent tourna.C’était l’avant dernier week end de septembre. Il faisait très chaud, la météo annonçant des records de chaleurs. N’étant pas très net dans ma tête, j’avais pris plaisir à aller courir en campagne en plein soleil. Je prenais avec moi une bonne bouteille d’eau et partais pour un petit footing de 5 km qui sortait du village et longeait le bois d’à coté. Ce jour la je décidais donc d’aller souffrir un peu et de me dégourdir les jambes. Après 1 km, transpirant déjà abondamment, je croisais Sophie qui revenait de promenade avec Sultan en laisse. Je m’arrêtais pour lui dire bonjour et caressais le chien tout en échangeant des banalités. Elle me faisait remarquer que c’était un peu risqué de courir par une telle chaleur. Je m’étais agenouillé pour caresser Sultan qui me faisait la fête. Sophie portait un Tshirt assez moulant et un jupe assez courte, arrivant à mi cuisses. Tout en discutant avec elle, alors que j’étais accroupi, caressant le chien, je finis par laisser passer mes yeux sur ses cuisses, et j’eus le souffle presque coupé…En un quart de seconde je venais de me refaire les 15 dernières minutes de la vie de Sophie. Elle avait l’intérieur des cuisses complètement humides. Un léger liquide luisant semblait couler de son entrejambes sur ses cuisses. Elle essayait de les maintenir serrées, mais Sultan en jouant avec moi la bousculait légèrement et ne laissait aucun doute sur l’origine du liquide. Elle venait de se faire prendre par le chien j’en étais sur. Je rougis, mais ne dit rien. Mon regard ne s’était pas du tout attardé sur elle et je me relevais pour lui dire que j’allais continuer mon footing tout en lui souhaitant une bonne après midi. Je la regardais partir avec le chien, mon sexe déjà complètement tendu sous mon short… Elle ne se retourna pas. Je réfléchis, et me dit que si elle voulait le faire avec Sultan, ses parents étant tout le temps chez elle, elle devait trouver un autre endroit. Il fallait donc que je surveille ses sorties avec Sultan. Ce qui ne tarda pas. De ma chambre j’avais une vue sur le portail d’entrée de leur maison. Le lendemain matin, vers 10h30, je vis Sophie sortir dans la même tenue, Sultan en laisse. Je m’habillais rapidement et courrais pour les rattraper.
