Je rattrapais rapidement Sophie et restais à bonne distance pour ne pas me faire voir. Sultan me remarqua très rapidement mais sa maîtresse ne sembla pas s’en rendre compte. Je bandais déjà, j’étais sur qu’elle allait recommencer…Ca faisait plus de 2 semaines que je l’avais vu faire pour la première fois et je mourrais d’envie de la voir recommencer. Arrivée à l’endroit où le chemin quitte l’orée de la foret pour s’enfoncer à travers les champs, Sophie bifurqua avec Sultan pour disparaître entre les arbres. J’avançais prudemment et finis par les retrouver quelques 200 m enfoncés dans la forêt. Sophie avait retiré son T-shirt et relevé sa jupe sur ses reins. Soit elle n’avait pas de culotte, soit elle était posée sous le T-shirt. Elle était adossée à un arbre, une jambe relevés à l’équerre, le pied posé sur une souche. Sultan avait sa truffe enfoui entre les cuisses de sa maîtresse qui lui caressait la tête d’une main, son autre main massant ses seins…Je pouvais deviner des paroles d’encouragement de Sophie, mais pas plus. Je décidais de me rapprocher doucement tout en restant hors de vue, si possible. Après un lent déplacement, je me retrouvais à bonne distance, et pus entendre la jeune fille :« Hum, c’est bon Sultan….oui la, comme ça…oui…plus loin….hummm…. » Ils restèrent comme ça un moment…Soudain elle poussa un long gémissement tout en se cambrant, les yeux fermés. Sa main sur ses seins se ferma, serrant fermement…Elle resta ainsi 15 bonnes secondes, les hanches traversées de soubresauts. Puis elle se relâcha, un large sourire aux lèvres, refermant ses jambes.« Hum, tu es vraiment le plus doué…Allez, passons aux choses sérieuses, je suis sure que tu n’attends que ça gros cochon ! ». Sur ces mots elle se mit à 4 pattes, et Sultan, comme la dernière fois lui sauta sur le dos immédiatement. Il donna des coups de reins…D’où j’étais je voyais Sophie légèrement de face. Je me mis un peu plus derrière un arbre car si elle relevait trop les yeux et regardait dans ma direction, elle ne pourrait pas me rater.Le chien sembla tout de suite trouver l’entrée de Sophie qui poussa un petit gémissement…Elle se cambra à nouveau, les yeux presque révulsés…Elle venait de jouir à nouveau, juste par le fait d’avoir le chien qui la pénètre. Sultan lui commença à pilonner sa maîtresse, et il n’y avait pas d’autre mot. Sophie poussait des petits cris, et loin de refuser l’acte elle semblait accompagner les mouvements du chien pour le faire entrer encore plus en elle… De la ou j’étais je distinguais parfaitement son visage ne laissant aucun doute sur le plaisir qu’elle prenait…ses seins étaient ballottés sous son ventre aux rythmes de leurs coups de reins…Soudain Sophie gémit plus fort :« Hum, oui, ça y est….. »Sultan ralenti, puis sembla s’arrêter…Sophie glissa une main entre ses cuisses…Puis ils restèrent comme ça 15 bonnes minutes…Sophie eut à nouveau un orgasme… Je me caressais en essayant d’être le plus silencieux possible…J’étais excité comme un fou. Ils ne bougeaient plus mais je savais très bien qu’il était en train de la remplir…C’est de ce liquide, ce sperme, que j’avais eu la vision lorsque je les avais croisé la dernière fois… Soudain, Sophie se cabra à nouveau, poussant un nouveau râle de plaisir…Je n’en pouvais plus et me lâchais moi aussi, ne pouvant retirer un gémissement à ce moment. Rouvrant les yeux je vis que je m’étais écarté. Mon sexe en main, du sperme coulant encore de mes doigts, mes yeux croisèrent ceux de Sophie. Elle était effrayée, paralysée…Elle me regardait…Je fus pris d’un doute…J’ai hésité, failli m’avancer vers elle, sachant qu’elle ne pouvait pas se libérer du chien…Mais je fis un pas en arrière, rangeant mon sexe encore mouillé dans mon short je fis demi tour en courant, non sans voir Sophie essayer de se dégager rapidement de l’étreinte de son chien. Je courus rapidement chez moi et montait dans ma chambre. J’étais excité et frustré, certain d’avoir raté une occasion de ne plus seulement être participant…J’y avais pensé plusieurs fois…J’avais des photos d’elle…Si je voulais je pouvais la forcer à le faire devant moi…Mais au dernier moment je n’avais pas pu. Je restais à la fenêtre, tentant de la voir rentrer. Elle rentra 30 minutes plus tard, calmement, non sans jeter un regard inquiet vers ma maison
