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Voisins-voisines

Chapitre 3

Marcus

Voyeur / Exhibition
Marcus approchait inexorablement de la cinquantaine. Douloureusement divorcé, sans enfant, il avait fui le monde et ses déceptions en s’installant à la campagne. Il travaillait trois jours par semaine chez lui et ne se déplaçait au bureau que deux jours maximum. Cela lui convenait. C’était un solitaire. Et puis, en bon allemand, il aimait pratiquer le naturisme. Sa maison à l’écart lui donnait toute liberté de vivre nu. Rester plusieurs jours d’affilé sans aucun vêtement sur lui était un réconfort extrême.Il était serein dans sa campagne. Du moins jusqu’à ce que des citadins n’achètent la maison des petits vieux en bas de chez lui. De là où il était, il avait une vue plongeante sur les deux maisons enchâssées, situées à plus de cent-cinquante mètres de la sienne. Celle des petits vieux d’une part, celle d’Iris et de sa famille d’autre part. Il avait un faible pour Iris, épouse, mère, infirmière sans cesse débordée. Il rayonnait d’elle une grande bonté. Cela lui faisait accepter les cris des enfants quand ils jouaient dans le jardin. Son mari en revanche lui semblait falot, sans intérêt.Les petits vieux avaient eu cet intérêt de très peu sortir de chez eux, donc de ne pas le déranger. Les bruyants travaux que fit faire le couple l’avaient mis en rogne. Cette femme grande et hautaine, du moins se l’était-il imaginé, l’énervait. Et son petit mec lui semblait lui aussi sans intérêt. Jusqu’à ce qu’aux beaux jours il le vit nu dans sa cour. Entre les murs de deux bâtiments, malgré l’arbuste pas très haut qui ne cachait pas grand-chose depuis sa hauteur, il pouvait voir la moitié centrale de la cour. A partir de ce moment-là il se mit à l’observer plus attentivement. Sans le contraste d’avec sa femme il trouva cet homme nu parfaitement proportionné. Parfaitement fait. Plutôt beau de visage.Marcus aimait observer les animaux. Il était équipé de tout le matériel nécessaire, notamment d’une longue vue télescopique. Il se mit à guetter les moments où le petit voisin sortait nu de chez lui. Sa table de travail le long de sa fenêtre, la longue vue à portée d’œil, il pianotait sur son ordinateur en surveillant régulièrement le voisin.Il fut tout ému la première fois qu’il le vit en érection. Jusqu’alors il connaissait bien son corps ; mais pas son émotion physique qui, là encore, lui sembla bien proportionnée. Il resta scotché à sa jumelle la première fois qu’il le vit accueillir sa femme, la déshabiller, l’aimer de manière totalement débridée. Ces deux-là étaient chauds comme des lapins !Cela rendit d’autant plus douloureuse sa solitude charnelle, lui qui se contentait de trouver des partenaires sur le net pour des coups réguliers mais sans lendemain.Un jour il osa prendre son appareil photo, mit son plus grand zoom, et commença à photographier le voisin. Il prit surtout des photos de nu quand l’homme était détendu. C’était conforme à ses prises de vues animalières. L’homme n’est qu’un mammifère. Marcus admirait la beauté de la croupe des biches et des chevreuils. Il pouvait également admirer la jolie croupe du petit voisin, et plus généralement l’anatomie d’un bel homme nu. Curieusement il n’arrivait pas à photographier les ébats du couple. Il se masturbait, et souvent éjaculait, en les regardant s’aimer. Mais il s’arrangeait toujours pour prendre l’homme seul, même le sexe tendu et gluant quand il contournait sa partenaire pour l’aimer dans une autre position. Tout juste s’autorisa-t-il quelques gros plans des fesses de la femme quand son petit homme était en elle en train de la besogner. A force d’admirer la beauté anatomique du petit homme, il estima un jour qu’il était temps de croiser son voisin à qui il ne s’était pas présenté. Il avait bien remarqué que c’était lui qui s’occupait du quotidien de la maison alors que la femme était rarement là. Un jour qu’il le vit mettre un sac de course dans la voiture, il fonça dehors, fit demi-tour pour enfiler des vêtements car il avait oublié sa nudité, monta sur sa moto et lui emboita le pas. Quand Éric s’arrêta à la boulangerie, il le suivit. Ils étaient tous deux seuls devant la boulangère. Éric tenait des propos joviaux et la vendeuse riait. Marcus sourit et l’interpela.— Ce n’est pas vous qui venez d’emménager dans la maison Martin ?— Venez, venez… Cela fait quelques mois déjà !— Excusez-moi, je ne me suis pas présenté. Marcus. Je suis votre voisin ; la petite maison en haut de la colline.— Ah oui, je vois !— Désolé de ne pas m’être présenté à vous. Je manque à tous mes devoirs. Il faut dire que je suis rarement là et que mes fenêtres sont plutôt tournées de l’autre côté ! Mentit-il.— Je comprends. Nous aurions pu venir nous présenter aussi ! Après tout, c’est peut-être plutôt à nous de faire les efforts d’intégration. Mais ma femme est très occupée aussi et peu souvent là. Alors je m’occupe un peu de tout et je n’ai moi aussi pas beaucoup de temps.Marcus trouva charmantes ses légères rougeurs quand il avoua qu’il était du genre homme au foyer. Éric, lui, était impressionné par la virilité de ce géant. Il devait mesurer plus d’un mètre quatre-vingts dix et rayonnait d’une force masculine qui devait dissuader les petites frappes de l’embêter; alors qu’elles avaient tendance à venir le chercher, lui, le petit homme malingre. En plus, avec ses rides en patte d’oie, il conservait un beau visage souriant. Cet homme lui plut instantanément.— Si vous avez besoin de quoi que soit, n’hésitez pas, je serai toujours à votre disposition !— C’est gentil.— Vous ne connaissez pas bien, mais vous pouvez facilement passer par le bout de votre jardin, traverser le pré sur le côté, l’agriculteur est un copain, pas de problème, et passer sous le fil pour entrer dans ma propriété. Sinon par la route vous faites un détour de près d’un kilomètre !— D’accord. Je ne savais pas.Ils discutèrent encore dix bonnes minutes avant de se séparer. Ils étaient aussi contents l’un que l’autre de cette rencontre.
 Marcus avait déjà une bonne cinquantaine de photos de son voisin. Il adorait les passer en boucle sur un petit écran quand il travaillait dans la journée. Il s’imaginait vivre dans un monde masculin où personne ne se cachait derrière des vêtements. Un monde libre. Entre hommes. Entre hommes libres, nus, fiers de leur masculinité. Un monde à la Georges Quaintance. L’été était arrivé. Comme toujours en fin de journée il guettait son voisin. Apparemment sa femme n’était pas là, sa grosse berline étant absente. Mais c’est autre chose qui le fit pousser un petit cri de surprise : Iris, sa douce voisine, la femme qu’il admirait, était entièrement nue hors de chez elle. Il la trouva magnifique avec ses beaux seins, ses hanches larges, son petit ventre, et surtout son triangle pubien si fourni. Que faisait-elle ? Jamais il ne l’avait vue nue.Il réfléchit à toute vitesse pour réaliser que ni les enfants ni le mari n’étaient présents. Il sourit. La coquine profitait de ce moment de liberté pour montrer son corps au ciel. Au ciel, et à lui, Marcus, tout heureux de voir que dans le coin il n’était pas le seul à affectionner le naturisme.Mais quelque chose clochait. Elle n’arrêtait pas d’aller et venir, s’avançant prudemment jusqu’à l’extrémité de la haie, surveillant si son voisin était là. Sans doute ne voulait-elle pas se faire surprendre, imagina-t-il d’abord, amusé par la timidité de la mère de famille. « Lâche-toi ! Qu’est-ce que cela peut te faire qu’il te voit nue ? Assume-toi ! Lui aussi est naturiste ! Si tu savais ce qu’ils font tous les deux… » se dit-il.Il vit le voisin arriver dans son potager. Il avait parfaitement aperçu son corps nu, lançant une photo, mais trop tard. Il était pourtant, comme toujours, ressorti habillé de son abri de jardin, les outils à la main. Il le vit commencer son jardinage. Et elle qui le guettait, comme attirée, mais refusant la lumière. Après quelques minutes il comprit qu’il se trompait : elle crevait visiblement d’envie de se présenter à lui dans le plus simple appareil, mais elle n’osait pas. Alors il l’encouragea, tâchant à distance, et sans qu’elle l’entende, lui donner les arguments pour abandonner toute pudeur.Et puis il la prit en photo, elle, parcourant son jardin, s’arrêtant comme si elle exhibait fièrement son corps aux rayons du soleil. Elle était véritablement somptueuse de féminité !Elle rentra finalement chez elle. Elle n’avait pas osé. Il en ressenti un profond regret.Le lendemain, heureusement, il ne rata rien de leur jeu. Il fut fou de joie de constater qu’elle avait vaincu sa timidité en se présentant enfin nue devant lui. Et que le voisin semblait jouer le jeu élégamment en ôtant son teeshirt. Mais pas son short. Pourquoi ? Quand une femme se présente nue devant vous, la moindre des politesses est quand même de se déshabiller entièrement à son tour ! Quel manque d’éducation !Une intuition subite. Le zoom du photographe se focalisé sur le short d’Éric. Bon sang mais c’est bien sûr ! Une magnifique bosse qu’il immortalisa sous plusieurs angles. Le petit homme, bien éduqué, ne pouvait pas se montrer en état animal pour sa première exhibition devant elle.Il ne comprit pas tout de suite où ils partaient à vélo. Il resta interdit cinq bonnes minutes avant de comprendre. « Crétin ! C’est évident ! ». Il mit un short, grimpa sur sa moto et fonça vers la rivière. Il s’arrêta au début du chemin. Il savait où cacher l’engin pour que personne ne le voit. Et il s’engagea sur le sentier. Il fureta partout, s’enfonçant loin. Mais il ne les vit pas. C’est au retour qu’il entendit un gémissement. Il était passé devant sans les voir. Il s’accroupit pour se cacher derrière les hautes herbes et les buissons. Il savait parfaitement le faire, en bon photographe animalier. Et il les vit. Enfin.C’est son cri d’orgasme qu’il avait entendu. Il la vit s’emparer du sexe gluant pour le replacer en elle en le suppliant d’éjaculer au fond de son vagin. Une érection brusque le prit quand il admira les belles fesses de l’homme qui se contractaient tandis qu’il s’activait en elle. Avant de suspendre leur vol pour une somptueuse jouissance mâle.Il vit iris s’agenouiller pour sucer le sexe plein de foutre. Il en fut tout surpris, n’imaginant pas sa voisine si cochonne ; il lui avait collée une étiquette de quasi-Sainte. Il la découvrait dans son essence animale.Puis il vit Éric lui bouffer le minou. De doux souvenirs revinrent à sa mémoire quand il faisait de longs cunnis à sa femme. Aussi curieux que cela puisse paraitre, malgré son physique, elle avait été la première et la seule femme qu’il eut connue. Il ne sortit de sa rêverie que quand elle jouit à nouveau bruyamment. Et il écarquilla les yeux quand elle reprit son sexe en bouche jusqu’à le faire à nouveau gicler, dans sa gorge cette fois.Rester là était peu prudent. Son gros sexe raide sorti du short, il retourna silencieusement sur le sentier pour courir jusqu’à sa moto. Il avait à peine débandé quand il l’enfourcha et lança le moteur pour rentrer chez lui, ayant du mal à replacer son engin sous le tissu.Sur le chemin du retour il regretta amèrement de ne pas avoir pensé à prendre son appareil photo. A peine rentré chez lui il se mit en embuscade dans le jardin, caché par un tas de buche, face aux jardins de ses voisins, l’appareil en main équipé de son plus gros zoom. Il ôta son short et attendit, nu, tout excité, en se masturbant doucement.Il prit en photo leurs corps purs, leurs caresses, la fellation gourmande, le cunnilingus sauvage. Il éjacula en se masturbant, debout face aux jardins de ses voisins, quand il ne les vit pas retourner dehors après s’être précipités dans la maison. Il comprit qu’ils étaient rentrés pour s’aimer à nouveau avec l’incroyable intensité qu’il avait pu observer. L’idée de leur nouvel ébat déclencha son orgasme. Le lendemain il la mitrailla nue en attendant son amant, puis se précipitant sur lui, le déshabillant, le cajolant de manière totalement impudique, exhibant son fessier insolemment. Il les photographia jouant à se laver sous le jet d’eau puis s’offrir un somptueux 69 en guise d’apéritif. Il prit en gros plan le doigt d’Iris dans l’anus du voisin, puis celui-ci lui léchant les fesses avec gourmandise, le cunni, la fellation. Marcus était fou de joie.C’est dans son lit, après avoir une nouvelle fois joui en solitaire que, pensant sans cesse à ce qu’il avait découvert des pulsions de ses voisins, il réalisa brusquement qu’Éric près de la rivière avait léché volontairement la chatte d’Iris pleine de son sperme. Le petit salaud aimait le sperme ! Et le plaisir anal. Il revisionna les photos parfaitement explicites d’iris lui léchant puis lui doigtant l’anus.Une idée perverse commença à monter en lui.Son idée se renforça quand il les photographia à nouveau au moment où il la sodomisa. Merveilleusement bien. Il fut jaloux quand elle le suça longuement jusqu’à boire sa liqueur qu’elle partagea dans sa bouche. A nouveau, avec elle, Eric dégustait de la liqueur mâle.C’en était trop, sa décision était prise. Le lendemain il fit l’effort de s’habiller en fin de journée. Grimpant sur sa moto, il alla jusqu’à la maison d’Éric. Il sonna. Il se doutait bien que le petit homme était en train de se rhabiller. Il regarderait si une bosse déformait son short…Raté. Éric sortit torse-nu en short, preuve que juste avant il était nu. Mais il n’avait pas l’air excité. Ils commencèrent à discuter quand la voiture d’Alice arriva. Un petit coup de klaxon. Elle se gara. Éric se précipita vers elle. Ils s’enlacèrent et s’embrassèrent sans se soucier du visiteur un peu gêné et regrettant de ne pas être venu plus tôt. Éric fit les présentations. Il remarqua l’air intéressé de sa gourmande femme devant la puissance masculine de Marcus. Mais, fatiguée, elle n’insista pas et rentra chez elle en demandant à son petit homme de vider sa voiture. Le « oui Mamours » que prononça Éric fit froncer les sourcils de Marcus. Il le regarda faire.La voiture vide, Éric s’adressa à son voisin pour savoir ce qu’il voulait. Il avait hâte de retrouver sa femme. Marcus l’entraina un peu à l’écart et lui tendit deux photos. Éric blêmit. Sur la première on voyait distinctement le doigt d’Iris dans son anus. Pas de doute, on le reconnaissait. Et sur la seconde on le voyait en train de sodomiser sa voisine. Il n’y avait pas de doute non plus sur le détail de leur activité.Blanc comme un linge, Éric regarda ce voisin que jusqu’alors il avait trouvé sympa. Ses yeux l’interrogeaient. C’est Marcus qui posa la question.— Ta femme… Charmante… Dis-moi, quand est-ce qu’elle repart en voyage ?— Je… Mardi prochain, pourquoi ? Iris ! Il faut la préserver ! Ne pas…— Ne t’inquiète pas pour Iris. Je l’adore. Je ne lui veux aucun mal. A toi non plus d’ailleurs. Je ne lui ferais aucun mal, promis. A toi j’ai plutôt envie de te faire du bien. Parfait. Il faut que cette relation entre vous reste secrète. Ne lui dis surtout pas que je sais. Elle ne risque rien de ma part, cela ne pourrait que la traumatiser. Et cette femme courage ne le mérite pas… Toi, je t’invite mardi, 18h chez moi ? Cela te va ?— Je… Je ne comprends pas…— Il n’y a rien à comprendre. On ne peut pas parler de cela, là, aujourd’hui. On en parlera tous les deux sereinement mardi. D’accord ? Et chut. Ne dis rien à personne. Cela va bien se passer, pas de panique. Tu ne risques rien avec moi. Je suis ton ami. Allez, à mardi. Bonne soirée avec ta femme ! Et surtout ne soyez pas sages ! Éric, pantois, ne comprenant rien, le regarda enfourner sa moto et partir. Complètement perturbé il rentra dans sa maison. Alice l’attendait, sirotant un verre de vin.— Eh bien alors, mon petit homme ? On n’accueille pas sa femme dignement ? Que fais-tu habillé ?— Si, si… J’ai tout prévu… C’est le voisin…— Qu’est-ce qu’il voulait ?— Euh… Rien…— Ben si !— Du bois ! Il voulait nous proposer de commander du bois en commun pour l’hiver. Ce sera moins cher.— Bonne idée ! Il faudrait aussi associer nos voisins. Tu en parleras à Iris ?— D’accord…— Déshabille-toi petit homme ! Et viens me brouter le minou. Je suis en manque…— D’accord… répondit-il, soumis, complètement perdu tout en retirant son short.Il eut du mal à bander. Mais il sut la déshabiller avec gourmandise. Il résista quand elle voulut l’entrainer dehors pour qu’ils s’ébattent comme d’habitude à l’air libre. Il savait que le voisin voyeur les guettait avec son appareil photo. Mais elle insista ; et finit par le porter pour l’emmener dans la cour. Le voisin voyeur devait bien se marrer…Alice prit les choses en main. C’est elle qui menait leur ébat. Elle s’y prit si bien que toutes ses réticences tombèrent. Plus encore, il était tellement excité par sa femme qu’il finit par se dire « mon salaud de voyeur, tu aimes cela ? Je vais t’en remontrer moi, du corps de mec ! Vas-y, prends ma queue ! Prends mon cul ! Cela t’excite, sale pervers ! Shoote nos corps, tu peux t’en donner à cœur joie ! Je suis sûr que tu te branles en nous regardant, pauvre type ! ».Il ne se trompait pas…Iris aussi se rinçait l’œil tout en se masturbant. Le visage collé à la fenêtre de toit elle admirait le couple s’ébattre librement. Elle ressentait un peu d’amertume de ne pas être à la place d’Alice ; et en même temps beaucoup de plaisir, tant par la beauté du spectacle que parce qu’elle était heureuse du plaisir que prenait son amant. Elle remarqua bien qu’il exhibait outrageusement son corps. Mais elle s’imaginait que c’était pour elle, ayant complètement oublié qu’il ne savait pas qu’elle le reluquait en cachette. L’excitation lui avait fait perdre conscience de la réalité de la situation.Marcus jouit en admirant les petites fesses actives de l’homme.Iris jouit en admirant le beau petit sexe décalotté et gluant de l’amant. Alice sembla insatiable pendant les jours qui suivirent, entrainant son petit homme dehors pour folâtrer de manière débridée sans savoir qu’elle était observée, admirée, imitée…Le mari était rentré. Après le long voyage retour en voiture il était fatigué. Iris se fit câline. Il apprécia de la voir arriver en jupe, sans culotte, pour lui offrir un verre de son vin préféré. Il se laissa entrainer sous la douche avec elle où elle le lava sans qu’il ne pensât à lui rendre la politesse. Quand elle s’agenouilla pour le sucer en se réjouissant bruyamment de la belle taille de son engin entre ses lèvres il se dit, en bon macho, qu’elle était vraiment en manque de son homme. Elle qui n’était pas vraiment adepte de la fellation y prenait un évident plaisir. Elle voulut l’entrainer sur le lit pour qu’ils s’aiment ; il refusa prétextant une faim de loup. Elle le coinça néanmoins dans le couloir, contre la cloison. Elle se colla contre son corps chaud, unissant son petit ventre à elle contre l’inexorable bedaine qui pointait chez son mari. Elle frotta leurs corps l’un contre l’autre en roucoulant. Il répondit en grognant. Elle attrapa son sexe toujours tendu et le plaça devant l’entrée de son puits. Un petit coup de bassin, elle le fit entrer en elle. C’était si bon ! Elle était en manque depuis deux jours. Et ce sexe-là était si gros et long ! Les images de ses ébats débridés avec Éric défilèrent à une vitesse folle dans sa tête. Elle roula une pelle à son homme imaginant que c’étaient les lèvres de l’amant. Elle repensa à la délicieuse sodomie qu’il lui avait offerte. Et elle jouit. Brusquement. Sans coup férir. Un orgasme tellurique traversant son ventre pour dévaler les pentes de son vagin pourtant merveilleusement occupé par le phallus. Elle perdit presque conscience. Quand elle rouvrit les yeux ce fut pour lire la surprise et l’interrogation de son mari. Elle perdit contenance. Et ne trouva que des mots stupides pour se justifier.— Excuse-moi. Tu m’as tellement manqué. J’avais tellement envie de toi… Ton corps… Ton sexe… Tes fesses…— Calme-toi chérie ! Ouh là ! Que de fougue !  C’est donc l’homme de ta vie qui te met dans cet état-là ?— Oui. Mentit-elle. Ou pas, ne sachant plus qui était l’homme de sa vie. Elle se retira de lui. Regarda le sexe raide et gluant. Elle ne résista pas à s’abaisser à nouveau pour le lécher en s’excusant de l’avoir souillé. Séduit il se laissa nettoyer à coups de langue en lui caressant tendrement les cheveux. Puis il la releva en décrétant qu’il était temps de s’habiller. Il lui tourna le dos pudiquement tandis qu’elle essuyait sa vulve avec des mouchoirs en papier. Il enfila un teeshirt rouge. Elle se colla derrière son dos.— Restons comme cela… je t’aime…Il la regarda, l’embrassa et sourit. Cela faisait longtemps, avant que les enfants ne naissent, qu’elle lui avait dit qu’elle aimait le voir revêtu seulement d’un haut, la verge et les testicules à l’air. Il aimait s’exhiber ainsi devant elle, affirmant sa virilité de manière quelque peu ridicule. En réalité elle le préférait nu. C’était pour rire qu’elle avait dit cela. Mais après ce malentendu, elle n’avait jamais voulu le décevoir en le lui avouant.Elle enfila juste un chemisier qu’elle ne boutonna pas. Les plis du tissu traçaient une ligne qui guidait le regard droit vers sa fente fleurie. Les pans du chemisier parfois cachaient ses seins, le plus souvent tombaient à côté, les libérant pour le plus grand bonheur des deux. Elle dressa la table dehors. Ils firent les aller et retour dans leur curieuses tenues, sans se douter qu’un photographe amusé les prenait sous tous les angles. Marcus se régalait des visions des corps totalement ou partiellement nus. D’un côté Éric et Alice nus dans leur cour. De l’autre le couple semi-habillé dans leur jardin. Les deux femmes étaient finalement excitantes avec leur différence pileuse. Les exhibitions d’Éric maintenaient son érection dans un état de totale tension. La vision du sexe du mari sous le vêtement rouge le laissait en revanche de marbre. D’accord c’était un beau sexe d’homme bien monté. Mais il n’avait rien d’érotique, contrairement à celui d’Éric. Le fait que le petit homme s’exhibe insolemment était d’ailleurs bien la preuve que leur attirance était réciproque. Marcus se doutait que dans le secret de leur chambre le mari faisait benoitement l’amour à Iris, la lutinant avant de jouir bruyamment pour s’effondrer et vite s’endormir, laissant sa femme songeuse. Iris comprit qu’il n’y avait que deux solutions : ou bien son mari ne l’aimait plus, ce qui était surprenant tant elle avait su exciter Éric pour le rendre fou d’amour charnel. Ou bien il avait une maitresse, ce qui lui sembla le plus probable vu son peu d’excitation après cinq jours d’absence. Comment le lui reprocher ? Elle avait fait de même. Et elle devait réfléchir si elle voulait garder son homme. Le père aimant de ses enfants, tout de même. Si elle décidait de le garder, il lui faudrait le reconquérir. Et cela lui sembla un challenge très sympa à vivre. Après tout, pas un couple n’échappe à un passage à vide après quelques années d’union. Elle se promit de prendre le temps d’y réfléchir. Et s’endormit. Marcus, lui, ne cessait de penser au corps de ce petit homme dont il devenait obsessionnellement fou. Il se masturbait constamment, essayant sans succès de retenir son plaisir. C’est le dimanche soir, visionnant les nombreuses photos qu’il avait fait d’Éric, et d’Alice, notamment quand ils s’étaient endormis nus, face à son objectif, dans une chaise longue après le déjeuner, qu’il réalisa que le petit voisin était imberbe. Lui qui, malgré sa blondeur, était particulièrement poilu, s’étonna de ne pas avoir remarqué cela avant. Il revisionna les presque deux-cents photos qu’il avait maintenant de lui après avoir jeté les moins bonnes. Effectivement, pas un poil n’apparaissait, si sur son pubis (le rasait-il ?), ni sur ses cuisses, son torse ou même ses fesses. Curieux. Jamais il n’avait rencontré un homme aussi peu velu. Même ceux qu’il croisait dans le sauna gay de la ville dont il était devenu un habitué. Les passifs qui venaient là se faire sodomiser sauvagement, avec leur corps parfaitement entretenu, étaient plus poilus qu’Éric. Cela redoubla sa motivation vis-à-vis de lui.Éric était pris dans un tourbillon de sentiments contradictoires. Alice était toujours aussi excitée, et excitante, mettant toujours autant d’ardeur et de créativité dans leurs ébats. Il était en manque du corps d’Iris qu’il savait médiocrement entre les mains de son mari rentré au foyer. Ils ne s’étaient pas parlé depuis le retour d’Alice. Ils s’étaient promis d’être discrets sur leur relation, attendant le moment où les deux conjoints seraient absents pour se donner l’un à l’autre de manière effrénée. Il avait envie d’elle, mais savait attendre leur heure. Pour tenir, comme elle sûrement, il transposait sa passion pour elle sur la chair d’Alice.Non. C’était sa relation avec Marcus qui le perturbait le plus. Il avait immédiatement été attiré par lui, le trouvant tout à fait charmant. Il lui avait tout de suite donné sa confiance. Et Marcus l’avait trahi. Et pourtant il ne lui en voulait pas. Il ne lui en voulait plus. S’il s’était exhibé la première fois par pure provocation, il le faisait maintenant avec un plaisir non dissimulé. Il sentait le regard du voisin brûler sa peau. Et cela le faisait bander. En lui rappelant un excellent souvenir. Un souvenir qu’il n’avait jamais partagé avec Alice. C’était deux ans avant sa rencontre avec elle. Il avait noué une amitié sincère avec Louis, encore étudiant quand lui avait commencé à travailler. Ils étaient tous deux curieux d’art et de littérature. Ils voguaient d’exposition en exposition, heureux de partager leur passion commune.Un soir Louis lui demanda s’il pouvait prendre une douche chez lui, ayant une fuite dans la salle de bain de sa piaule d’étudiant. Éric fut surpris de le voir se déshabiller entièrement devant lui avant d’entrer dans la pièce d’eau. Evidemment l’étroitesse de son studio et la petite taille de la salle de bain permettait difficilement de faire autrement. C’est plutôt son naturel qui l’étonna. Puis la beauté de son corps d’homme quand il sortit sans rien sur lui.Quelques jours plus tard, après avoir prolongé une séance de cinéma par une tardive sortie dans un bar, ils décidèrent de finir la nuit chez lui, les transports en commun étant fermés. C’est Éric qui se mit nu dans le lit. Louis n’exprima rien de particulier sur son visage quand il se mit dans le plus simple appareil pour s’allonger de l’autre côté.Ils dormirent sagement. Se moquèrent gentiment l’un de l’autre devant les verges du matin légèrement gonflées ; sans plus. Prirent une douche l’un après l’autre ; restant nus ensuite. Jusqu’au déjeuner où ils n’enfilèrent qu’un slip, Éric prêtant l’un des siens à son ami démuni de linge propre.Cela leur arriva de plus en plus souvent ensuite : dormir ensemble, dans le plus simple appareil, sans geste déplacé. Rester nus ensemble à vaquer à leurs occupations tout en s’observant. Ils finirent par se l’avouer un jour de visite au département des antiquités grecques du Louvre : ils aimaient autant l’un que l’autre se contempler dans tout le naturel de leur masculinité éclatante.A partir de ce jour ils passèrent encore plus de temps ensemble, se déshabillant à peine rentrés dans le logement de l’un ou de l’autre, observant leur corps nu sans aucune retenue. C’est Louis qui, le premier, ne fit rien pour cacher une magnifique érection. Il déclencha celle de son ami, ce qui les fit beaucoup rire. Le premier regard intime fut le plus dur. Louis sut trouver les mots pour dire toute son admiration devant la beauté du petit sexe de son ami. Éric, totalement excité, crut en sa sincérité.Il se passa encore trois longues semaines avant qu’Éric ne referme ses doigts l’éperon de son ami pour lui offrir les doux mouvements masturbatoires qu’il n’arrivait plus à réfréner. Le grand sourire de Louis l’encouragea à poursuivre. Il abandonna le sexe ami pour le sien, se masturbant devant son ami, lentement et timidement d’abord, rapidement et fébrilement ensuite. La giclée de son orgasme faillit toucher le corps de Louis qui s’écarta au dernier moment dans un grand éclat de rire. Devant l’air piteux de son ami, il n’avait plus d’autres solutions que de l’imiter. Et Louis se masturba, et éjacula puissamment, devant son ami.S’ils furent ensuite l’un et l’autre un peu honteux, cachant leur gêne sous leur slip, ils ne résistèrent pas au plaisir de se masturber côte à côte dès le lendemain. Une fois, jusqu’à l’éjaculation. Puis une seconde une heure plus tard. Ils recommencèrent ainsi, plusieurs jours de suite.Ils se disaient combien ils trouvaient beau le corps de l’autre, son sexe, ses fesses, sa virilité tendue ou au repos, les mouvements masturbatoires, les éjaculations ardentes. Jour après jour ils se collaient de plus en plus l’un contre l’autre ; à se toucher. Alors, bien sûr, un jour cela dérapa. Chacun s’empara du sexe de l’autre et l’astiqua avec gourmandise. Ils s’embrassèrent après l’orgasme puissant, pour se remercier. Un long baiser d’hommes où les langues se combattent avec un doux acharnement. Ils remirent cela le lendemain. Et le surlendemain.Puis ils s’offrirent aux caresses de l’autre, debout et soumis contre une cloison, laissant les mains amies passer partout, surtout sur les fesses, les couilles, la verge et le torse ; et de plus en plus dans le sillon inter-fessier. Ils se terminèrent joyeusement en branlant l’autre tout en s’embrassant.Cela dura un temps. Puis cela ne suffit plus. C’est Louis qui donna les premiers coups de langue gourmande sur le phallus de son ami. C’est Éric qui, véritablement, suça le premier le sexe de son ami devenu amant. Ils apprirent à s’offrir des fellations, maladroites d’abord, puis très vite doucereuses. Et goûteuses, ni l’un ni l’autre n’acceptant de gâcher la semence si agréable à déguster en bouche.Leur vie devint une obsession sensuelle. Il fallait qu’ils soient nus ensemble, qu’ils s’embrassent sans cesse, qu’ils se caressent intimement, qu’ils se sucent. Toujours jusqu’à l’éjaculation.Leur relation dura quatre mois d’intense plaisir. Jamais ils n’allèrent au-delà, aucun des deux n‘ayant d’appétence pour la sodomie malgré le plaisir sensuel d’un doigt le long de leur raie. En parallèle Éric voyait des filles qui satisfaisaient à son besoin coïtal. Louis probablement aussi, même s’ils n’en parlèrent jamais.  Ils furent tristes de se séparer quand Louis quitta la ville à la fin de son année universitaire pour emménager à l’autre bout de la France. Tristes et soulagés, car ils savaient que leur histoire ne menait à rien. Mais heureux de s’être offerts goulûment autant de plaisirs. Leur dernière coucherie fut d’ailleurs un intense 69 savoureux en bouche. Leur premier, curieusement.Ils ne se revirent pas. Ils ne se donnèrent plus de nouvelles, gardant en eux le secret de cette relation qui resta comme un merveilleux souvenir, même si Éric tenta de l’oublier entre les cuisses de nombreuses femmes.Éric se souvenait de ces bons moments. Il n’avait rien regretté. Il n’avait pas recherché d’autres relations homosexuelles, se convainquant qu’il était tombé amoureux d’une personne, pas d’un sexe. Sans être complètement dupe quand même… Marcus… Marcus voulait son corps, c’était évident. Le voulait-il lui-même ? Était-il prêt à le lui offrir ? Il n’en savait rien. Mais ne pas refuser l’idée était déjà un début de réponse…Marcus allait-il le faire chanter ? L’obliger à lui offrir son corps faute de quoi il révèlerait à Alice sa relation avec Iris ? Comment réagirait Alice ? Mal, sans aucun doute. Elle qui faisait tout pour être maitresse de son destin ne pourrait pas accepter qu’il l’ait trahi. Elle le rejetterait. Il n’aurait plus son corps ; ni celui d’Iris. Leur corps ? N’était-ce que cela qui le liait à elles ? Non. Bien sûr. Il aimait Alice ; malgré ses défauts ; il l’aimait avec sincérité ; elle faisait de lui quelqu’un, malgré ses manies dominatrices. Il savait depuis un bon moment que si elle le soumettait dans l’intimité de leur couple, elle avait un tout autre comportement en présence d’autrui, ne montrant que sa tendre affection pour lui. Sa chose, ce « petit homme » qu’il était pour elle, ce n’était que pour son plaisir personnel, intime. Pour le reste, elle devait l’aimer un peu, car elle le respectait.Alors ? Que faire ?Ce n’est qu’une heure avant d’aller rejoindre Marcus le mardi, qu’Éric se résolut à une stratégie, bien décidé à s’y tenir. Alice était partie pour cinq jours cette fois. Iris était scotchée à son mari. Il n’y avait rien à espérer de ce côté-là. A l’heure dite Eric se gara dans la cour, devant la maison de l’allemand, comme on disait dans le coin. La moto était là, sous un abri. La porte d’entrée était entrouverte. Sans hésiter il la poussa, entra, la referma derrière lui, comme un ultime signe de pudeur.Face à la porte d’entrée un grand écran passait des photos de lui. Nu toujours. En érection la plupart du temps. Des gros plan de ses fesses ou de son sexe en grand nombre. Il se trouva beau. Du moins il trouva que le photographe était doué. Le photographe… Où était-il celui-là ? Pas un bruit. Pourtant il sentait sa présence. Une odeur. Une odeur d’homme, sueur et semence mélangés. Il était là, quelque part, à l’observer.Il fit quelques pas, pénétrant plus avant dans la grande salle à vivre. Devant la fenêtre qui donnait sur sa maison en la dominant, une longue-vue orientée, il le savait bien, vers sa cour. Salaud de voyeur ! A côté, un appareil photo sur pied, orienté lui aussi dehors.Son regard s’égara sur une table basse. Quatre étuis de préservatifs. Un tube de gel. Il avait bien raison de se préserver. Le programme était fixé. Il ne s’était pas trompé sur l’intention de Marcus. Il en ressenti immédiatement un début d’érection.Il fit alors ce qu’il avait prévu de faire. Il dégrafa la ceinture de son short, le déboutonna, baissa la braguette, l’abaissa lentement en le retenant, penché en avant. Il récupéra son vêtement tout en ôtant ses mocassins ; il le posa sur le canapé.Il commença à déboutonner sa chemise quand il tourna lentement sur lui-même pour observer la grande pièce. Quatre boutons. Il sursauta. Marcus était là. Nu. A le regarder. Un magnifique sourire tendre aux lèvres. La verge gonflée.Ils communièrent les yeux dans les yeux. Un cinquième bouton. Le dernier. Éric écarta les pans de sa chemisette puis la retira tout à fait, dévoilant un superbe slip en résille noir qui laissait deviner son excitation en la moulant.Le sexe de Marcus s’éleva. Éric déglutit avec peine. Comme il le craignait, il était monstrueux. Bien plus long et gros que le sien. Que le sien, il s’en doutait, mais aussi que le souvenir qu’il avait du sexe de Louis. « Quoique… Vingt centimètres de long pour cinq de large. Celui de Louis était un peu moins long que cela. Moins gros aussi. Quel superbe morceau ! »  Marcus s’amusa en lisant dans ses pensées. Son braquemart se tendit dans une ultime secousse sèche, à moitié décalotté, tendu vers sa cible. Sa main passa sur le gland, le décalottant complètement. Ce geste si intime fit jaillir un bout de gland du slip d’Éric. Le spectacle silencieux était trop excitant; il bandait maintenant à bloc. Il regarda son sexe. Il le compara avec celui de Marcus, son regard passant de l’un à l’autre sous l’air goguenard du géant. Le rictus de Marcus se figea quand Éric lui fit un clin d’œil appuyé. Il pivota sur lui-même. L’allemand écarquilla les yeux : ce n’était pas un slip qu’il portait mais un string, une invisible ficelle noire passant dans la raie des petites fesses bien lisses. Le petit homme le provoquait ! Il venait là proposer ses petites fesses à son phallus excité. Il grogna. Marcus fit un pas vers son voisin. Qui l’arrêta immédiatement d’un « tsstt, tsstt » sonore.— Quelle impatience Môsieur mon voisin ! Ce n’est pourtant pas la première fois que vous voyez mes fesses ! Laissez-moi admirer votre virilité ! Encore plus imposante que je ne l’espérais ! Magnifique ! Votre corps est magnifique de virilité ! Et vos photos de moi ! Superbes aussi… Laissez-moi vous admirer… Laissez-moi regarder la beauté que vous avez tiré de mon corps… « Tiré de mon corps », c’est une manière de dire !Marcus se détendit. Le petit homme voulait jouer ? « Alors jouons ! Chacun son tour nous allons prendre l’initiative… De toute manière c’est avec mon sexe profondément ancré en toi que cela va se terminer ! » Se dit-il. Avant de s’étonner de s’entendre répondre « d’accord ! ». Éric aussi lisait dans ses pensées. Il rit. D’abord dans un gloussement. Puis à gorge déployée.Le petit homme s’approcha de lui. Tout de suite il soupesa ses bourses, prenant un air de contentement. Et tandis qu’il découvrait la hampe puis les fesses de son puissant voisin, Marcus parla.— J’aurais dû m’en douter. Chaud comme tu es, tu n’allais pas te laisser intimider. Je suis stupide. Quand on baise une femme avec autant d’enthousiasme, quand on boit le sperme que tu as giclé en elle, quand tu te laisses doigter l’anus, quand tu sodomises Iris, magnifiquement je dois le dire ! Vous étiez éblouissants ! C’est que tu aimes les hommes… Tu n’as pas peur d’une bonne queue !— Merci. C’est surtout Iris qui sait se donner sans compter.— Tsstt, tsstt, il n’y a pas d’époustouflante amante sans un amant de haut niveau ! Entre mecs aussi, remarque…— Je m’en doute.— Je l’espérais, j’en rêvais, tu es aussi homo, tu aimes les hommes, tu es un vrai bi !— Qu’est-ce qui te fait dire cela ?— Tout ! Ce que j’ai vu. Ton attitude, là. Tes mains sur mon sexe !— Oh… Cela… Te tenir fermement le manche me permet de deviner quelle est le diamètre de ton engin. Mon autre main entre tes fesses…— … Qui titille mon anus !— … Pour voir si tu es en mesure de recevoir mon sexe dans ton cul… C’est pour cela que je suis là. Tu m’as l’air d’être un vrai gay… Alors je suis d’accord. Je peux venir aussi souvent que tu le voudras pour te sodomiser ! Si tu es assez détendu pour me recevoir, bien sûr ! Et capable de résister à mon endurance ! Marcus le regarda, interdit. Puis il éclata de rire devant le toupet du petit homme dont les yeux disaient tout de son amusement.— Toi ! Putain ! Toi ! J’en prend toutes les semaines des bien plus grosses que la tienne !Et brusquement Marcus s’empara de son visage pour l’amener devant le sien et lui rouler une pelle dantesque. Éric ne s’en laissa pas compter, combattant avec une puissante énergie vitale la langue qui saccageait sa bouche. Très vite leurs corps se collèrent l’un contre l’autre. Ils se comprirent quand Marcus posa ses mains sous les fesses du petit homme. Éric se souleva pour arrimer ses jambes autour de ses hanches. Unis dans un farouche combat lingual, Marcus ne se priva pas pour enfin caresser le petit cul satiné qui s’offrait à lui en s’ouvrant. Un doigt joua avec l’anus pour enfoncer une puis deux phalanges à l’intérieur du conduit. Sans cesser de dévaster la cavité buccale ni de repousser les assauts terrible de la langue d’Éric dans la sienne, il massa soigneusement la corolle pour la détendre, étonné quand même qu’elle fut si accueillante.Éric finit par crier grâce en écartant sa tête pour éclater de rire. Marcus en fit de même et le reposa doucement au sol. Le petit homme fit quelques pas dans la pièce pour s’arrêter devant l’écran et regarder les photos de lui qui défilaient lentement. L’allemand s’approcha dans son dos, cala son sexe en haut de sa raie, l’enlaça, lui caressa le torse tout en bécotant son oreille.— Les photos sont belles mais je ne comprends pas que tu aies envie d’un mec tel que moi !Les mains de Marcus glissèrent du torse vers le pubis glabre pour le caresser amoureusement, passant parfois sous l’élastique tendu du string, écartant la verge tendue et serrée.— Un joli petit mec bien foutu… Sans aucun poil… Excitant, quand même ! — Humm…— Je me demande… C’est naturel ou tu te rases ?— A ton avis ?— Je ne sais pas.— Cherche, devine !Éric se retourna, offrant son corps à la découverte de son voisin. Marcus se pencha, explorant son torse. Il grogna d’un air incertain. Il lui fit lever un bras. Et là sourit.— Rasé sous les aisselles.— Gagné.Tout sourire, Marcus entreprit de l’y lécher, faisant frémir le petit homme qui souleva néanmoins l’autre bras. Les deux aisselles y passèrent. Longuement. Avant que les lèvres ne descendent le long d’un flanc pour découvrir le pubis. Lèvres et langue passèrent sur la peau alors que le menton frottait délicieusement sur la résille du string.— J’hésite. C’est parfois tout doux. Parfois un peu rêche… Pas de rougeur de la peau. Curieux… Voyons voir les fesses…Éric se retourna, se pencha, écarta les cuisses et lui offrit la pleine vision de son fessier. La langue passa aussitôt dans la raie avec boulimie. Très vite Marcus écarta la ficelle trempée de salive pour mieux jouir du spectacle. L’anus était délicieux. La raie douce et tendre. Une phalange le pénétra à nouveau.Éric se laissa doigter un long moment entre deux coups de langue, un doigt complet allant et venant maintenant sans difficulté dans son conduit pour le masser très agréablement de l’intérieur.Un doigt toujours enfoncé dans le rectum, Marcus se redressa pour venir l’embrasser dans le cou en répétant « j’hésite… ». Il voulut ôter complètement le string mais Éric fut le plus rapide, se dégageant de son emprise pour s’agenouiller devant lui et avaler d’un coup le gland turgescent recouvert de sperme.Marcus grogna. Éric aussi qui, immédiatement, se souvint du bonheur qu’il ressentait quand il suçait Louis. Le plaisir était intact, même si ce braquemart là était sensiblement plus gros. Il lécha, aspira, suça, avala le phallus d’un Marcus qui n’en espérait pas tant.Une goutte de sperme. Le succulent goût métallique. Enfin cette saveur ! Le voisin n’était pas très endurant… Éric se recula. Il emboucha Marcus comme pour le remercier du cadeau, l’embrassant avec une fougue vite contagieuse.C’est encore le plus jeune qui se dégagea le premier. Il alla se placer devant la fenêtre et commença à regarder dans la lunette. Il mémorisa l’angle de vue, afin de savoir où se montrer et où il pouvait être totalement libre chez lui. Marcus revint derrière lui pour lui flatter la croupe.— Encore ! Mon petit cul t’excite à ce point-là ? - Plus que cela encore !Le regard d’Éric se baissa sur le gros sexe raide. Il hocha la tête en guise d’assentiment. Puis prit Marcus par le bras en lui demandant de regarder à travers la lunette. Le voyeur s’exécuta de bonne grâce. Tandis qu’il se penchait pour regarder, Éric s’agenouilla derrière lui pour, sans hésiter, commencer à lui lécher furieusement le fessier. La rondelle du géant s’entrouvrit immédiatement. Le lécheur ne tarda pas à y enfoncer une langue enroulée, récoltant une sourde approbation sonore.N’y tenant bientôt plus, Marcus se retourna brusquement en giflant le jeune homme par un coup de queue violent sur la joue qui le fit basculer en arrière. Ils éclatèrent tous deux de rire avant que Marcus ne se saisisse du corps léger de son voisin pour le caler contre son flanc et, d’une main maladroite, lui ôter tant bien que mal le string. Le sous-vêtement enfin au creux de sa main, Marcus se mit à le renifler avant de sourire béatement. Il le mit sous le nez du pantin qui hocha lui aussi la tête en sentant le parfum métallique de son impatience d’homme. Ils rirent. Marcus jeta le string sur la canapé avant d’y déposer sans ménagement le corps désiré. Il l’empêcha de bouger en le tenant fermement. Puis il avala d’un coup le petit phallus bien ferme qui avança profondément dans sa gorge.Marcus le suça divinement bien. Bien mieux que ce que faisaient ses partenaires femmes. Entre deux va et vient buccaux il lui lécha l’anus offert après qu’il lui eut relevé les jambes. Éric ne pouvait ni ne voulait se dégager. C’était trop bon. Il pensa à Louis. Il pensa à Alice, à leurs jeux coquins. Il sentit un doigt revenir en lui. Un doigt agile qui lui détendait le conduit. Peu après rejoint par un second tout aussi agile.Finalement, le corps en feu, Éric réussit à repousser son assaillant qui tomba cul par terre à la renverse. Les accessoires de plaisir étaient là, posés sur la table basse, prêts à servir. Les yeux exorbités de Marcus virent l’objet de son désir s’assoir confortablement devant lui en plongeant son regard dans le sien. Puis en relevant les jambes lentement. Soumis. Prêt à recevoir ce braquemart imposant.Un spasme secoua le corps de Marcus. Il se redressa, attrapa une capote, la déroula sur son sexe. Il prit le tube de gel, en déversa à la fois sur la protection de latex et sur son doigt qu’il fourra aussitôt dans le conduit entrouvert.Éric ferma les yeux. Il goûta au plaisir anal. Il accepta enfin ce qu’il avait jusqu’alors refusé : c’était bon. Et ce n’était pas malséant.  Il avait pourtant honte du plaisir qu’il ressentait quand Alice le pénétrait. Car il avait enfoui loin dans son cerveau ces séances où c’était elle qui le sodomisait. Cela avait démarré le lendemain de la troisième fois où il l’avait prise par derrière. Ils avaient joui tous les deux. Puis Alice s’était levée, avait ouvert son placard, en avait sorti un paquet cadeau qu’elle lui avait offert. Amusé, intrigué, il avait lentement ouvert le paquet. Et n’avait pas caché sa surprise quand il en sortit un gode-ceinture de taille standard. Il eut un moment peur qu’elle ne lui reproche la trop grande étroitesse de son sexe qui ne lui donnait pas assez de satisfaction. Elle rit de bon cœur. Lui prit des mains l’accessoire et enroula la ceinture autour de sa taille. Il crut encore que c’était pour lui montrer comment faire. Il avait pourtant bien compris, dès le premier coup d’œil. Son sexe moite s’était d’ailleurs redressé sans coup férir. Mais il devint rouge de confusion quand elle lui ordonna de se mettre à quatre pattes. Il ne résista pas quand elle entreprit de lui lécher la rondelle abondamment. Ce n’était pas la première fois. Elle le doigta. Une nouvelle fois. Il aima cela. Comme à chaque fois. Quand il la vit attraper le tube de gel fourni avec le jouet, il tenta de résister. Elle l’en empêcha, lui interdisant fermement de bouger. Il sentit quelque chose de froid toucher son œillet. Il se contracta. Aussitôt elle se coucha sur lui pour lui dire de doux mots d’amour tout en le léchouillant et le caressant. Il se calma. Et laissa le bout du jouet entrer d’un coup en lui. Il cria. Une douloureuse décharge électrique l’avait fait bondir. Mais le sexe de latex resta enfoncé de quelques centimètres en lui.Sa première sodomie fut longue tellement il mit du temps à se détendre et à accueillir sans plus de douleur l’engin en lui. Quand Alice sentit son sexe durcir à nouveau après un long reflux prudent, elle se décida à entamer de légers va et vient tout en le branlant. Il jouit rapidement, plus par les caresses épidermiques d’Alice qu’en raison du plaisir anal.Par la suite, à chaque fois qu’Alice lui demandait de la sodomiser, quasiment une fois par semaine, il dut recevoir à son tour le sexe de latex dans son rectum. Elle surjouait les relations SM. Il avait honte. Surtout à l’idée qu’il aimait cela… Marcus ne réussit pas à s’enfoncer plus que du gland. Cela lui déchirait déjà suffisamment la corolle anale. Au bord de l’orgasme, Marcus renonça. Éric compatit, comprenant sa frustration. Il arracha la capote et goba le sexe plein de sperme impatient. Il le suça ardemment et accueillit avec gourmandise la giclée de semence au fond de sa gorge.Marcus sut le remercier dignement par de gentilles caresses très intimes. Enfin il se plaça à quatre pattes dans son salon, rectum offert. Éric voulut prendre un préservatif. Marcus l’en empêcha. Pareil pour le gel.— à sec ! Prends-moi à sec !Éric plongea son sexe dans le conduit grand ouvert. Il entra sans difficulté, s’enfonçant d’un coup jusqu’à la garde. Il resta un moment, là, tout au fond du rectum, s’étonnant lui-même de la situation, du plaisir ressenti, de l’extase de posséder un homme aussi viril et fort, des évènements qui l’y avaient conduit.Il le queuta avec son habituelle endurance, limant comme un fou ce cul dont le propriétaire éructait sourdement le plaisir si intensément ressenti. Pris par sa vélocité, il finit par jouir tout au fond de lui. Et aussitôt écarta la main de Marcus qui se branlait pour la remplacer en astiquant férocement le membre à bout.Marcus se redressa, le sexe toujours en lui, la main d’Éric le gâtant avec un savoir-faire exquis, relevant le corps de son amant en même temps que le sien. C’est quand Éric lui pinça fortement un téton qu’il éjacula une deuxième fois en criant, peinant à inspirer de l’air tellement la jouissance était intense.Ils tombèrent l’un sur l’autre. Marcus en-dessous enlaça le corps de son amant pour l’embrasser puissamment tout en lui pelotant le fessier. Éric écarta ses fesses. Un doigt puis deux reprirent possession de son conduit pour le malaxer sans répit afin de le détendre. L’allemand le remercia de s’être donné avec tant de passion.— Merci petit homme si doux…— Merci merveilleux mâle si viril !— Par contre, un truc : on n’éjacule pas dans un rectum quand on n’a pas de capote.— Oh, pardon !— Je sais, c’est la fougue de la jeunesse… Mais ne recommence pas. Ejacule moi plutôt dessus, en plein visage de préférence.— Qu’est-ce qui te dit qu’on va recommencer ?— Tes yeux ! Ton sexe qui durcit à nouveau. Tout ton corps qui adore cela, l’amour entre mecs…— Difficile à nier… Éric accompagna son hôte sous la douche, embarrassé de voir sa semence couler d’entre ses fesses musclées. C’était peu ragoûtant. Pas sérieux, surtout.Ils se lavèrent mutuellement. Marcus l’entraina ensuite dehors pour visiter son jardin, un verre bien frais à la main. Si Iris était sortie dans son jardin elle aurait pu les voir. Mais cela ne se produisit pas. Éric admira le poste de gué derrière le bucher, là où Marcus avait pris le plus grand nombre de photos en dehors de sa fenêtre. La vue y était effectivement plongeante. Mais il fallait un sérieux téléobjectif pour que cela donne une photo en gros plan.Ils avalèrent un rapide morceau en regardant les photos prises. Marcus tendit une clé de stockage numérique à son voisin qui les contenait toutes. Il pourrait en faire ce qu’il voudrait. Ils se retrouvèrent bien vite dans le lit du géant blond. Les baisers alternèrent avec les fellations et les caresses tantôt douces, tantôt appuyées. Quand Marcus montra sa collection de sextoy, les yeux brillants, Éric demanda à les recevoir en lui.Pendant plus d’une heure Marcus joua avec son rectum, le godant de cent manières différentes, avec toutes les tailles et styles de jouets, le perlé, le réaliste, le vibreur.C’est avec un gode de taille et de forme réaliste tout au fond de son conduit qu’il éjacula abondamment dans la bouche de l’homo, d’un sperme sucré et liquide. Marcus n’était plus en état de jouir à nouveau. Ils décidèrent de se séparer, Éric ayant une rude journée de travail le lendemain et souhaitant dormir chez lui. Espiègle, il laissa ses vêtements chez le voisin et reprit sa voiture entièrement nu à l’exception de ses mocassins, ce qui fit beaucoup rire Marcus.Le petit homme eut pourtant une petite inquiétude quand, dans la nuit, il croisa une voiture en sens inverse à quelques mètres de chez lui. Mais, fausse alerte, l’autre ne vit rien. Il s’obligea à sortir tranquillement de son auto, d’en faire le tour en remuant son postérieur encore échauffé, avant de rentrer se réfugier chez lui.Il prit une bonne douche avant de se jeter sur son lit. L’odeur de leur couple le réconforta. Il eut soudain envie de revoir le gode-ceinture qui l’avait si bien initié à la sodomie. Dans le tiroir des délices il trouva la plupart des sextoys d’Alice, mais pas le gode-ceinture. Il fouilla encore un peu partout, sans succès. C’est intrigué par cette absence qu’il s’endormit finalement comme une masse. Marcus, lui, avait eu du mal à trouver le sommeil. Sans cesse il repensait à ce petit corps pourtant si viril qu’il avait adoré serrer dans les bras. Il avait été magnifiquement sodomisé, l’intense plaisir ressenti étant surprenant pour un si petit sexe. Lui qui en cherchait de toujours plus gros ou longs se dit que finalement il faisait peut-être fausse route. Un petit vigoureux valait bien mieux qu’une…Le corps d’Éric l’excitait complètement. D’ailleurs à peine s’était-il couché qu’il bandait à nouveau. La douceur de sa peau imberbe, ses adorables petites fesses, ses jolies couilles bien rondes, son petit éperon si vigoureux, son torse, ses tétons, ses cuisses… Il aimait tout de ce corps gracile. Mais il était aussi séduit par l’incroyable fougue de ce jeune mec au lit. Il l’avait vu de ses yeux quand il s’ébrouait avec Alice ou Iris. Il l’avait enfin vécu, son petit corps chaud collé contre le sien. Mais c’était sa personnalité qui l’émouvait le plus. Un garçon capable de se soumettre. Mais avec espièglerie, joie, humour. Un garçon plein d’esprit qui savait renverser les rapports de force quand il en avait envie. Un garçon à la fois tendre et farouche. Un gars bien, sous tous rapports. Après une journée à travailler nu sans grande efficacité tant son corps était échauffé et ses mains baladeuses, il reçut un message d’Éric l’invitant à venir boire un verre chez lui pour l’apéritif. Il lui proposait, après une séance de photos, de le rejoindre en traversant le pré dans le plus simple appareil. Marcus rigola et se mit à sa fenêtre. Éric était dans sa cour à gesticuler nu, le sexe tendu.Marcus sortit dans son jardin, dans le même état d’excitation. Il s’amusa à shooter abondamment les postures les plus indécentes que prenait son amant surexcité. De là où il était, Éric pouvait-il admirer son sexe grandiloquant et étincelant au soleil ?Lassé au bout de dix minutes, impatient de passer aux choses pratiques, Marcus remballa son appareil tandis qu’Éric s’habillait pour aller dans son potager ramasser quelques légumes. Lui tournant le dos tout en surveillant le jardin d’Iris il s’amusa à baisser son short pour lui présenter son fessier. Marcus reprit l’appareil et déclencha de multiples cliché des jolies rondeurs découvertes si appétissantes.Il se rhabilla néanmoins, sans mettre de dessous, jugeant trop risqué de descendre rejoindre Éric sans se faire voir d’Iris, et surtout du mari. Bien lui en prit car le couple sortit au moment où il entamait sa descente. Ils commencèrent à discuter avec Éric.Marcus les rejoignit. Il salua virilement les deux hommes avant d’offrir une bise amicale à Iris pour la première fois depuis les longues années qu’ils vivaient côte à côte. Le mari parlait légumes avec Éric. Marcus discuta avec Iris, toujours heureux de ressentir la plénitude qui irradiait de cette femme.Éric ne tarda pas à inviter ses autres voisins à boire un verre : comme il leur avait dit qu’il avait invité Marcus il aurait été inconvenant de ne pas le faire. Lui et le mari entrèrent dans la cour alors que Marcus et Iris, en pleine conversation, étaient un peu en arrière. Iris arrêta son voisin. Un peu hésitante, elle changea le sujet de conversation.— Marcus… Je peux vous appeler Marcus ? — Bien sûr Iris. Avec plaisir ! — Marcus… J’ai quelque chose d’un peu délicat à vous demander. Je… Je ne sais pas par où commencer…— Alors lancez-vous ! Quoique vous me disiez, cela restera entre nous. Chut…— Vous êtes gentil… Voilà… Je sais… Ne vous fâchez pas ! Je sais que parfois… Vous êtes nu chez vous…— Pas « parfois ». Souvent ! Très souvent même, l’été ! Vous m’avez vu ?— Non ! Juste entrevu une ou deux fois…Marcus lui rendit le sourire du gars pas dupe. Mais un sourire charmant.— Vous êtes divorcé, je crois ?— Oui. Et alors ?— Voilà… Seriez-vous choqué si, moi aussi, parfois, j’étais nue dans mon jardin? Pas souvent, bien sûr. Ce n’est pas le truc de mon mari. Et puis quand les enfants sont absents, ce qui est rare… Bref, j’ai peu d’occasion, mais j’aimerais moi aussi, vous comprenez ? Cela vous gênerait ?— Comment voulez-vous que cela me gêne ? Je pratique le naturisme moi-même, je ne vais certainement pas vous reprocher d’en faire autant ! Bien au contraire ! Bienvenue au club ! C’est très agréable, vous verrez !— J’ai déjà un peu essayé…— Ah bon ? Je n’ai rien remarqué. Normal en fait, mes fenêtres et mes meubles sont plutôt tournés de l’autre côté. Non. Vous ne risquez rien de moi. Et quand bien même je vous devinerais nue, promis, je regarderais ailleurs !— Je n’osais pas vous le demander !— Je comprends bien ! Je ne suis pas sûr d’être très à l’aise si je devais être nu devant vous… Vous êtes si belle… Une émotion incontrôlée… On est bien ballots, nous, les hommes !— Oh ! — Je ne vous ai pas choqué j’espère ! C’est que… c’est le problème du naturisme pour les hommes. Pour vous c’est plus facile : pas de signe extérieur de vos émotions !— Un homme amoureux en voit pourtant bien, des signes physiques de nos émotions, à nous les femmes… Encore faut-il regarder... Non, rassurez-vous, je ne suis pas choquée. Surprise que vous osiez parler de cela, tout au plus. J’ai deux enfants, vous savez. J’ai un mari. Je suis une femme comblée. Je connais bien tout cela…— Je n’en doute pas. Conclut-il en tentant d’être persuasif, désagréablement surpris quand même par son hypocrisie. On rejoint les autres ? Éric ajouta deux verres et quelques légumes crus sur la table du jardin. Celle-là même qui avait accueilli leur fougue, tant avec Alice qu’avec Iris. Marcus se tint en parfait gentleman. Le mari paru subitement moins falot que les deux autres hommes ne l’avaient imaginé. Ils passèrent un très agréable moment qui s’éternisa quelque peu avant que le mari, à la troisième tentative, n’entraine sa femme pour rentrer chez eux. Les deux autres les raccompagnèrent, restant dans le potager pour les saluer. Ils repartirent l’air de rien. Mais à peine avaient-ils pénétré dans la cour qu’ils s’embrassèrent fougueusement tout en se déshabillant et en se palpant abondamment. Le corps en feu ils se précipitèrent vers la table de jardin. Éric voulut rentrer à l’intérieur. Marcus l’en empêcha.— Non. C’est là que je veux te sodomiser. Sur cette table. Te sens-tu prêt ?— Oh que oui ! Mais dedans !— Non. Regarde ces tâches sur le bois. Ton sperme ? Le foutre de ta femme ? Celui d’Iris ? Je veux à mon tour honorer le lieu de tes plaisirs.Éric céda. Ils débarrassèrent la table. Il amena la boite de préservatifs et le tube de gel. Sans oublier un gode.— C’est à ta femme ?— Oui.— Tu t’en sers, bien sûr !— Non. Jamais. C’est toi qui vas lui présenter mon conduit. Tu fais cela si bien ! Marcus fit prendre une pose lascive à son amant, bassin en arrière, solidement accroché à la table. Il lui lécha longuement la raie et l’anus qui s’ouvrit sans coup férir. Il le lubrifia. Il le doigta. Puis le goda. Avec une attention extrême en surveillant sans cesse l’ouverture du conduit. Et le miracle rectale se produisit : le conduit s’ouvrit de plus en plus largement.Enfin il le sentit prêt. Éric, en transe, confirma. Marcus déroula un préservatif sur son sexe impatient, retourna son amant, lui releva les jambes pour s’enfoncer dans son petit cul du novice. Le gland entra sans difficulté. Lentement la hampe s’enfonça jusqu’à la garde. Éric haletait. Mais ce qu’il ressentait était moins de la douleur que du plaisir. Il garda le sexe amant bien au fond de lui pendant un long moment. Il embrassait comme un forcené l’actif inerte, le remerciant cent fois de lui offrir cet ineffable plaisir.Quand la bouche du passif s’écarta de celle de l’actif, ce dernier comprit que le moment du coït était arrivé. Il sortit son sexe à moitié ; le renfonça ; le ressortit à nouveau sous les gémissements sourds de l’enculé ; le pénétra complètement. Les va et vient s’allongèrent et s’accélérèrent. Éric gémissait comme un fou. Il exultait comme jamais. Il commença à se masturber. Marcus écarta sa main et s’empara du fin phallus. Il s’arrêta un instant pour contempler la beauté du corps en nage. Il le trouva plus beau que jamais, caressant partout sa peau trempée, l’embrassant encore, remuant doucement du bassin, le pignolant subtilement, titillant ses tétons. Éric fut bien moins endurant qu’habituellement. Il éjacula brusquement, incapable de contenir plus longtemps son plaisir. Marcus eut juste le temps de diriger la giclée vers le visage d’Éric en figeant sa sodomie bien au fond. Il attendit les dernières répliques éjaculatoires avant de se pencher pour lécher le sperme sur le ventre, le torse, le menton et bientôt les paupières du petit homme. Il roula une pelle savoureuse au voisin qui ressuscita lentement, récoltant encore un peu de semence pour l’enfourner dans leurs deux bouches. Il extirpa enfin son épieu du fion défoncé, sachant bien que la douleur allait vite succéder au plaisir avec le conduit rectal qui, inexorablement, commençait à se refermer. Ils restèrent longtemps à s’embrasser et se cajoler. Éric prit d’une frénésie buccale arracha le préservatif déformé et avala la moitié du sexe toujours raide. Il suça si bien son voisin qu’il accueillit avec surprise sa récolte au fond de la gorge, avant de provoquer les dernières gouttes d’une manière particulièrement habile.Marcus porta son amant dans la maison pour le déposer dans le salon. Ils combattirent joyeusement, chacun voulant à tout prix sucer le sexe de l’autre. Éric sodomisa longuement son voisin couché sur la table de cuisine, jambes relevées, comme lui tout à l’heure, comme le lui faisait si bien Alice. Il évita de jouir en lui, réussissant à se retenir pour offrir de charmantes petites giclées sur ses poils pubien. Ravi d’être si bien traité, Marcus se laissa sucer à nouveau jusqu’à décharger dans la bouche de son hôte, pour leur plus grand bonheur à tous deux. Ils grignotèrent une infime partie des mets qu’Éric avait préparé. Ils n’avaient qu’une hâte, se coucher dans le lit pour jouer encore chacun avec le corps si différent et si excitant de l’autre.Marcus avait tout prévu. A minuit, alors qu’ils s’étaient endormis, enlacés tous deux, son réveil sonna. Il tenta de laisser Éric au lit mais rien n’y fit ; il se leva aussi pour le raccompagner entre deux baisers et autres tendresses charnelles. Marcus se rhabilla. Éric resta nu pour le raccompagner jusqu’à la limite de son jardin. La nuit était sombre. Ils purent s’embrasser une dernière fois sans risque d’être surpris. Et chacun retourna vers son foyer, ravi de la délicieuse soirée passés ensemble. Iris aurait voulu monter au grenier pour aller observer son amant. Mais à chaque fois qu’elle commençait à grimper, son mari l’appelait. Ils dinèrent rapidement. Elle voulut regarder la fin d’un film pour se détendre. Mais son homme l’en empêcha, l’entrainant dans le lit conjugal. Excité, il l’aima bien mieux que d’habitude, la caressant longuement avec une tendresse appuyée, afin d’échauffer leurs corps. Il lui dévora le minou passionnément, l’amenant à jouir dans sa bouche. Cela faisait si longtemps qu’ils n’avaient pas fait cela ! Il n’avait toujours pas joui. Pour le remercier de ses bontés, Iris, le corps en feu, se mit à l’enjamber puis à s’empaler sur lui. Les yeux injectés de sang de son mari disaient tout de son approbation. Elle le chevaucha longuement, le laissant jouer puissamment avec ses seins, maladroitement avec son clitoris, délicatement avec ses fesses. Elle le chevaucha encore, bien après qu’il eut joui en elle, sentant son sexe toujours aussi raide. L’indécent bruit de succion résonnant bruyamment dans la pièce au gré des va et vient les fit rire.Le phallus ramolli finit par sortir plusieurs fois de la chatte insatiable. Iris comprit que c’en était fini. Elle se résolut à se laisser tomber à côté du corps en nage de son mari. Mais alors qu’elle était persuadée qu’il allait s’endormir immédiatement, conformément à son habitude, il la surprit en l’enlaçant avec une extrême tendresse pour l’embrasser silencieusement et la caresser partout.Elle fut encore plus surprise quand il la coucha, cuisses ouvertes, à côté de lui et que ses doigts pénétrèrent son vagin gluant. Il entreprit de l’honorer tactilement, avec ardeur. Elle lui en fut profondément reconnaissante, se laissant faire sans résister. Puis en guidant par moment sa main pour la remonter sur son bouton tout érigé. Voire en la baissant pour venir caresser la si délicieuse zone située entre sa vulve et son anus. Elle se crut quinze ans en arrière quand il avait découvert son corps la première fois. Elle avait déjà guidé ses gestes. Elle recommença. Il pétrit ses seins, branla son clito, titilla son anus. Et elle jouit, puissamment, pour lui, grâce à sa gestuelle intime de conjoints aimants.Elle regretta juste, avant de s’endormir, alors que son mari ronflait déjà, de ne pas avoir pu revoir le corps nu de son amant. Un amant qui lui manquait, quand bien même elle ressentait une vague d’affection pour son homme. Comment aurait-elle réagi en voyant son amant être aimé par Marcus ?Cela ne se produisit pas. Voilà bien l’essentiel.
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