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Voisins-voisines

Chapitre 5

Règlement de voisinage

Voyeur / Exhibition
Marcus avait bien vu les deux femmes bronzer nues dans la cour. Il n’avait pas hésité à ressortir son appareil photo, immortalisant leur beauté. Il avait même surpris leurs ébats sur la table de jardin. Alors qu’il avait braqué son objectif vers elle, il hésita, puis renonça. Cela n’appartenait qu’à elles, à elles seules.Prendre Éric en train de marivauder avec Alice ou Iris était de bonne guerre : c’était aussi son amant. Immortaliser la beauté des femmes comme du petit homme était une œuvre purement artistique.Pour le reste… Il s’interrogea sur ce qu’il allait advenir de ces relations de voisinage. Iris couchait avec chacun des deux membres du couple. Chapeau la voisine ! Éric couchait avec tous ; sauf le mari. Il ne faudrait pas qu’il entre en concurrence, celui-là ; « bof, peu de risque. » Alice se partageait entre son petit homme de mari et sa belle voisine. Vu l’occupation des deux femmes, cela ne pouvait pas durer ; surtout quand les enfants reviendraient. Lui n’avait que les jolies fesses du bel Éric. Suffisant pour son bonheur. Les deux hommes copulèrent allègrement tout le mois de juillet. Alice et Iris s’en donnèrent à cœur joie toute la journée des deux vendredis suivants. Éric et Iris réussirent à profiter plusieurs fois l’un de l’autre, la dernière frôlant la catastrophe quand ils n’entendirent pas le mari rentrer. Heureusement il ne remarqua rien et les avertit bien malgré lui en allant tondre la pelouse. Chacun partit en vacances au mois d’août, inquiet de la séparation d’avec le (ou les) secret amant. Iris fut folle de joie de retrouver ses enfants. Éric et Alice, détendus, en croisière du côté de la Croatie, se concentrèrent si bien l’un sur l’autre qu’ils en oublièrent presque leurs partenaires secrets.Quant à Marcus, il accueillit chez lui un jeune gars un peu efféminé, pas farouche pour deux sous, totalement passif. Au bout de quelques jours il se mit à s’habiller en femme. Marcus lui posa un collier de cuir noir au cou. Et la shemale se laissa maltraiter avec gourmandise par son hôte ainsi que par tous les amis de passage. Marcus retrouva la fougue de sa jeunesse, ayant comme principale occupation de s’envoyer en l’air sans retenue. Un soir d’août l’allemand fut heureux de voir Éric débarquer chez lui. Le petit homme écarquilla les yeux en voyant le jeune shemale en petite culotte de dentelle, collier noir au cou. Il ne ressentit aucune jalousie. Et fut plus qu’heureux de se laisser sodomiser par Marcus tout en léchant les fesses lisses du passif qu’il besogna après le cri de jouissance de son amant en lui.Finalement il trouva que cette partie à trois était tout à fait sympathique. Il revint voir les deux homos chacun des trois jours suivants, variant toutes les combinaisons possibles, avant que le jeune gars ne rentre chez lui. Iris retourna à sa fenêtre de toit pour admirer la beauté de ses deux amants. Elle se masturba à chaque fois, jouissant brusquement. Le premier jour elle n’avait rien prévu. Elle dut ôter sa petite culotte pour s’essuyer, redescendre la jeter dans le lave-linge avant d’en remettre une propre. Les fois d’après elle avait sa boite de mouchoirs.Elle confia ses enfants à des amis tout le vendredi pour pouvoir se jeter sur le corps d’Alice et s’adonner aux plaisirs saphiques qui leur avaient autant manqué à l’une qu’à l’autre. Après un premier tête-bêche animal qui les fit chacune jouir deux fois, elles se dégustèrent la moule avec une exquise lenteur, l’une après l’autre, afin de se contempler en train de s’aimer.Un double gode merveilleusement enfoncé conclut leur journée dans un orgasme simultané avant qu’Iris ne rentre s’occuper de sa petite famille. Le mari reprit ses habitudes d’ours peu intéressé par son épouse. Iris recommença à s’interroger : avait-il lui aussi une maitresse ? Elle décida finalement de tenter de pénétrer son ordinateur. Elle tenta des mots de passe, sans succès. C’est à la vingt-huitième tentative qu’elle y arriva.Elle lut quelques messages privés dans sa messagerie, sur une adresse qu’elle ne connaissait pas. Elle trouva sans mal le site de rencontre sur lequel il s’était inscrit. Elle avait raison, il la trompait. Pendant deux heures elle lit les messages échangés avec des femmes de tout type. D’abord en colère, elle finit par sourire en notant les petites manies de son homme qu’elle connaissait si bien. Il se dévoilait. Elle le reconnaissait. Et bientôt elle s’émut un peu, comprenant que son homme cherchait simplement un peu de piment dans sa vie sexuelle. Mais qu’il se refusait à toutes celles qui voulaient une relation durable, expliquant sans détour qu’il était marié et tenait à sa femme.Elle s’interrogea sur elle-même, se demandant si c’était cela sa motivation : juste avoir du piment dans sa vie sexuelle ? Ou bien avait-elle du sentiment pour Éric comme pour Alice ?Elle ne trouva pas la réponse.
Elle décida de ne plus y penser.Et de laisser son mari s’amuser avec d’autres puisque cela lui faisait du bien. Mais en tâchant quand même de le reconquérir en mettant de la variété dans leur intimité de couple. Le boss d’Alice eut finalement sa panne sexuelle au retour des congés. Il n’avait pas réussi à durcir suffisamment pour vraiment coïter sa maitresse. A plusieurs reprises elle avait su lui redonner de l’allant pour qu’il retourne la besogner, mais la faiblesse revenait invariablement.Elle le soulagea néanmoins en le suçant divinement bien.Il lui en sut reconnaissant, faisant contre mauvaise fortune bon cœur. Il reconnut qu’avec ou sans pilule les choses de la chair étaient finies pour lui. Elle tenta de le démentir en lui offrant sa moule à déguster, ce qu’il fit très bien, l’amenant à l’orgasme.Mais il marqua tendrement la fin de leur relation charnelle, du moins dans un lit. Car il se sentait prêt à la laisser lui faire des gâteries dans son bureau si elle le souhaitait. Alice ne put qu’acter l’état de fait.Le boss lui annonça en outre qu’il venait de racheter une petite entreprise à l’activité complémentaire à l’actuelle. Il en confia la direction à la jeune femme, folle de joie, mais avec comme contrainte de s’y déplacer deux jours par semaine. Après mûre réflexion, elle choisit d’y être le mercredi et le jeudi tout en gardant son vendredi soi-disant en télétravail. C’était plutôt des becquées vaginales qu’elle effectuerait avec Iris… Elle devrait découcher les mardis et mercredis soir. Consulté, Éric l’encouragea à accepter.Éric, lui, décida de ne plus travailler le mardi, officiellement pour se consacrer à ses articles culturels. Il étala ses heures sur les quatre autres jours de la semaine. Marcus observait tout cela sans cesser de prendre des photos intimes dès qu’il le pouvait. Il modifia son organisation pour n’être en déplacement que le jeudi et le vendredi. Il remarqua que tout s’imbriquait finalement très bien :Le lundi il avait Éric pour lui en fin de journée. Le mardi Iris rentrait de ses visites vers 13h pour se précipiter chez Éric jusqu’à 16h30. Ils se régalaient l’un de l’autre.Le mercredi Marcus se rendait chez Éric pour passer de longues soirées et la nuit à s’aimer virilement. Il aimait tout autant sodomiser le petit homme que de sentir son petit sexe ferme lui déflorer le rectum avec passion.Le jeudi chacun prenait des forces en pensant aux ébats des journées à venir.Le vendredi Iris rejoignait sa maitresse dès 9h pour des ébats saphiques épiques qui duraient jusque dans l’après-midi.Enfin, le weekend, chaque couple vivait sa vie, Alice et Éric avec toujours autant de passion, Iris et son mari avec une fantaisie grandissante qui les rapprocha enfin. Marcus, lui, invitait des amis à venir s’égayer entre hommes, parfois à deux, parfois à trois, de temps en temps dans des orgies débridées qui commencèrent à être appréciées de la communauté gay de la région. La victime collatérale de tout cela fut Rachel qui fut détachée d’Alice pour remplir une autre mission. Alice lui signifia qu’entre elles il ne se passerait plus rien. En réalité ni l’une ni l’autre n’avait envie de continuer à se voir. Cela leur allait très bien ainsi.Rachel qui savait sa cheffe bisexuelle n’aurait pas ainsi à lui raconter que, durant l’été, elle avait rencontré un garçon à qui elle s’était donnée pour la première fois de sa vie. Elle garda quelques amies pour s’amuser. Mais emménagea sans trop le dire avec cet homme qui s’était durablement incrusté dans sa vie sans être possessif du tout. Il valait mieux. Chacun continua aux beaux jours à exhiber sa beauté naturelle.Marcus collectionna de nouvelles photos somptueuses. Il remarqua vite qu’Iris et son mari n’hésitaient plus à se promener nus dans le jardin quand ils avaient casé les enfants ailleurs. Il vit son magnifique vit en liberté. Puis entre les lèvres d’Iris.Il en fut presque jaloux.Si les deux couples faisaient maintenant du naturisme dans leur jardin, ils ne se montrèrent pas nus pour autant. Alice comme Eric trouvaient cela trop dangereux : comment leur corps réagirait-il à la vue resplendissante de leur amante commune ? Ainsi se poursuivit les relations de voisinage, dans un équilibre fragile, mais pour la satisfaction multiples de chacun. Marcus resta le seul à tout connaitre des vraies relations entre chacun…
Fin
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