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Il voit des culs partout

Chapitre 1

Divers
Cette histoire étrange a démarré un matin très tôt, alors que je sortais de l’ascenseur en direction de mon bureau.Je ne devais pas être bien réveillé, et il m’a semblé apercevoir une jeune femme sortir d’un autre bureau en petite tenue : à ma grande surprise, elle ne portait qu’un débardeur ! Et rien en bas !
Il m’a fallu quelques secondes pour reprendre mes esprits et pendant ce court laps de temps, elle a pris le couloir de droite. J’ai essayé de la suivre, mais elle avait déjà disparu.
Sur le coup, j’ai cru que j’avais simplement mal vu. Elle portait sans doute une minijupe couleur chair... ou alors j’avais été victime d’une sorte d’hallucination.Pendant plusieurs semaines, je ne l’ai pas revue. J’avais fini par oublier l’histoire quand un soir, très tard, je suis sorti de mon bureau en direction de la machine à café.Le corridor était plongé dans la pénombre, et j’ai distingué une forme humaine. En m’approchant, j’ai aperçu une jeune femme qui s’est alors dépêchée de rentrer dans un bureau. C’était la même personne que la première fois, le même visage et le même habillement minimaliste ! La nuit a été très agitée. Je pensais sans cesse à cette histoire étrange. La même hallucination pouvait-elle se répéter deux fois à plusieurs semaines d’intervalle ?
Pour en avoir le cœur net, je me suis livré à une petite enquête dès le lendemain.Je suis allé dans le bureau où la jeune femme était entrée, et j’ai fait le tour pour vérifier que toutes les femmes portaient bien une jupe ou un pantalon, ce qui était le cas.Et puis j’ai fait la même chose dans le bureau d’à côté. Et encore dans le bureau voisin. Je ne m’arrêtais plus, j’ouvrais les portes des bureaux, je jetais un œil rapide et puis je ressortais.
Au bout d’un moment, une collègue m’a dit :
— Que cherches-tu ?— Je cherche une personne.— Pourquoi ? Qu’est-ce qu’elle a de spécial ?
Et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai répondu :
— Elle n’a rien sous la ceinture !
L’un de mes collègues, plutôt farceur, a répliqué :

— Moi, je l’ai vue cette femme ! Elle a une jolie croupe, il n’y a pas à dire !
Et là, un autre homme a renchéri :
— Elles sont deux comme ça, et en plus elles travaillent dans le même bureau !— Ah ! Et que font-elles à moitié nues dans un bureau ?— A ton avis ? Elles se font des trucs !— Tu es sûr de toi ?— Tout à fait certain ! Elles se broutent le minou du matin au soir ! Je les ai vues comme je te vois !
Ils se sont mis à rire en chœur !J’ai alors compris qu’ils se moquaient de moi ! Mon histoire n’était sans doute pas assez crédible. Alors je me suis fait une raison, j’avais dû rêver ; je suis retourné à mon bureau, tout penaud !J’ai décidé de mettre tout ça de côté. Malgré tout, de temps en temps, l’image de cette femme et surtout de ce popotin revenait comme une obsession, même après plusieurs mois.
Un soir que j’étais resté plus tard que d’habitude, on a frappé à la porte de mon bureau. J’étais dos à la porte et j’ai entendu :
— Que fais-tu là si tard ?— J’ai du travail à terminer.
Une jeune femme m’est apparue, et j’ai levé la tête, un peu surpris :
— C’est toi Fiona ! Mais dis donc... tu n’as pas mis de pantalon !— Finement observé !
Non seulement elle n’avait ni pantalon ni jupe, mais elle ne portait pas non plus de culotte !J’étais scié ! Je ne savais pas quoi lui dire de plus.
Elle a ajouté :
— Ne fais pas l’innocent ! Tu m’as déjà vu les fesses à l’air ! Je t’ai reconnu l’autre jour dans le couloir.
Comme je ne répondais pas, elle a ajouté :
— Pourquoi me regardes-tu comme une bête curieuse ?
Je n’ai pas pu m’empêcher de répondre :
— C’est à cause de ton cul ! Tu as vraiment un fessier magnifique !— Alors vas-y ! Touche ! Qu’attends-tu ?
Comme j’hésitais trop longuement à son goût, Fiona a pris ma main avec la sienne et l’a posée sur son cul nu !
Je ne me sentais pas dans mon assiette. Pour moi, quelque chose ne tournait pas rond. Comment pouvais-je être en train de caresser les fesses d’une collègue dans mon propre bureau ? Il y avait forcément anguille sous roche.Fiona a guidé ma main vers le sillon interfessier. Je soupçonnais un piège, je pensais qu’elle m’accuserait de l’avoir agressée. Pour autant, j’étais incapable de la moindre réaction !Résigné, j’ai senti mes doigts glisser entre les deux globes. J’avais l’impression de perdre le contrôle. Mes doigts effleuraient sa fente intime, mon index titillait son berlingot !Fiona soupirait bruyamment ! Je l’ai massée de plus en plus profondément, de plus en plus vite ! Je sentais qu’elle appréciait cet instant, elle y prenait un plaisir énorme !
J’aurais continué encore longtemps si la porte ne s’était pas entrouverte. Une jeune femme a passé la tête et voyant la scène, elle a dit :
— Désolée ! Je reviens plus tard ! — Non ! Reviens tout de suite ! lui ai-je dit.
J’avais reconnu la femme de ménage, une belle jeune femme prénommée Paola.
— Enlève ta jupe ! C’est un ordre ! a dit Fiona.— Mais vous êtes des malades !— Allez ! Ne fais pas ta timide !
Paola a hésité, pesant le pour et le contre. Si elle partait, elle risquait de passer à côté de quelque chose de très intéressant !

Alors elle a obtempéré. Au final, elle n’a gardé de son uniforme que ses chaussettes, sa casquette, ses gants, son soutien-gorge et son string !Paola s’est placée à côté de Fiona, et j’ai doucement caressé son énorme fessier...Elle appréciait mes caresses plus que je ne l’aurais cru ! Je l’ai doigtée avec tact, à travers le tissu de son string. Elle poussait des cris très aigus !Fiona me regardait faire, mi-intéressée mi-impatiente ! N’y tenant plus, elle m’a donné un ordre :
— A ton tour maintenant !
J’ai compris que le devoir m’appelait. Je devais moi aussi me mettre cul nu !
J’ai retiré prestement mon pantalon, laissant le soin à Fiona de retirer mon caleçon et de découvrir mon anatomie la plus intime.Fiona et Paola ont esquissé un petit sourire en me voyant, et j’en éprouvais une certaine fierté.
— Ce jeune homme a un très joli kiki ! a dit Fiona en s’adressant à Paola.
Le qualificatif m’a surpris ; je n’avais encore jamais entendu quelqu’un me dire que j’avais un joli pénis, même pour plaisanter. J’ai supposé que cela signifiait en réalité : "il est bien membré" !Fiona m’a désigné la grande table qui servait pour les réunions, et je me suis allongé dessus.
J’ai laissé ma nouvelle amie faire comme à sa guise. Elle s’est empressée de me chatouiller ! Partout, sur le torse, sur les avant-bras, sur le ventre, sur les cuisses et sur la plante des pieds. Drôle de façon d’entrer en matière !C’était insupportable, surtout quand elle chatouillait ma pine ! Alors j’ai commencé à bander tout doucement. Fiona et Clara semblaient admiratives de ma queue raide !Elles se sont empressées de me stimuler avec les doigts puis avec la langue.
C’est Paola qui me malaxait les roustons, tandis que Fiona me léchait la tige. Ou peut-être l’inverse... J’avais l’impression d’être sur une autre planète ! Jamais rien de tel ne m’était arrivé ! J’étais la proie de deux charmantes jeunes femmes à demi nues ! C’était un délice de se faire sucer par deux expertes en la matière ! Ça ne semblait plus jamais s’arrêter...
Ensuite, tout le monde s’est levé. Fiona est allée s’allonger sur la moquette. Elle m’a laissé l’admirer son entrecuisse : elle n’avait pas la moindre toison pubienne, et sa chatte était béante ! J’y ai plongé les doigts, puis la langue, jusqu’à ce qu’elle gémisse de bonheur !J’ai longuement léché son petit berlingot, lui arrachant des cris aigus ! Fiona commençait à frétiller, et j’en ai profité pour entrer en elle tout en douceur. A l’intérieur, c’était comme un gant de velours où mon membre se mouvait sans effort.J’allais très doucement avec Fiona pour lui donner plus de plaisir. J’ai accéléré par paliers, je la sentais proche de la jouissance ultime !En même temps, j’avais la main droite dans la fente de Paola ! Elle a fini par jouir bruyamment, en même temps que Fiona, les deux voix mélodieuses se mêlaient étrangement !Et moi j’étais tellement proche de l’orgasme !
C’est alors que le gardien est rentré dans le bureau :
— Il faut rentrer chez vous maintenant !
J’ai levé la tête d’un air méchant ! Comment osait-il m’interrompre au moment suprême !En fait, il n’y avait personne d’autre dans le bureau ! J’étais tout seul à me palucher tout en donnant libre cours à mes fantasmes !
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