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En voiture pour les vacances !

Chapitre 2

Inceste
Glissant sur les pistes du domaine de la station que nous avions fini par atteindre, je ne pouvais m’empêcher de repenser à cette scène incroyable. Je revoyais ma sœur se pencher sur moi, ressentais ses mains saisir mon sexe, sa bouche l’enfourner pour le pomper sans retenue. A l’excitation du moment avait succédé, au réveil du matin encore en voiture, un sentiment de culpabilité et de honte. Et ce sentiment m’habitait toujours dans ce premier après-midi de ski. Bien sûr, ma petite sœur était majeure – elle venait d’avoir 18 ans quelques mois auparavant. Et je n’avais rien d’un gamin avec mes presque 20 ans. Mais, quand même, cela restait ma petite sœur ! Ma petite sœur qui m’avait sucé jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche, lui tenant la tête dans mes mains. De nouveau, je revivais la scène…
Nous étions arrivés à la station en fin de matinée, avions retiré les clefs de l’appartement à la loge de l’accueil. L’agent qui se tenait là l’avait prise sur un tableau où figuraient beaucoup d’emplacements vides : nous n’étions pas les premiers arrivés ! Ce que confirma l’agent, qui nous apprit qu’à part deux familles supplémentaires, aucune autre arrivée n’était attendue pour cette semaine. Nous nous étions ensuite installés dans notre petit duplex doté de deux chambres, une en bas pour les parents avec un grand lit, et une autre plus grande en haut, avec deux lits de 120 cm, pour Jenny et moi. Un salon avec un coin cuisine « à l’américaine », deux salles de bains, et une belle terrasse plein sud terminaient la composition de cette belle location. Puis, nous avions été faire quelque courses, et louer nos forfaits.
Papa avait réservé une surprise à maman : il lui avait acheté en cachette une excursion en hors-piste, rien que pour elle, avec départ en petit groupe de la station en hélicoptère pour un refuge de haute montagne cet après-midi même, où le groupe passerait la nuit, avant de redescendre en ski à l’aube jusqu’à la station. Ma mère, skieuse de très bon niveau, apprécia grandement ce cadeau. Quant à nous, nous resterions sans elle ce soir, et la récupérerions le lendemain vers midi. Nous avions ensuite commencé à profiter de nos forfaits pour un petit après-midi de découverte du domaine…
Ma sœur, que j’avais un peu évitée depuis ce matin, rongé par la honte, s’arrangea pour monter sur le même télésiège que moi lors d’une remontée, et nous pûmes échanger à l’abri des oreilles indiscrètes. Ce qu’elle me dit en me regardant dans les yeux acheva de ma me déboussoler :
— Papa est courant, il a tout vu. — Quoi ?— Oui, on a pourtant été discret, mais toute à l’heure, dans un télésiège il m’a dit « tu sais, Jenny, je n’aurais jamais cru voir un jour ma fille sucer son propre frère… » A partir de là, j’ai vite compris que ce n’était pas la peine de nier… — Merde. Il est en colère ?— Pas trop. Mais il m’a dit qu’il était bien obligé de tout raconter à maman.— Oh non, c’est pas vrai !— Je l’ai supplié de ne pas le faire. Je lui ai dit que ce n’était pas si grave que ça, que nous étions majeurs tous les deux, et que c’était purement sexuel, qu’on n’allait pas se marier ou je ne sais quoi…— Il lui a peut-être déjà raconté, non ? — Non, je l’ai convaincu. Enfin, en quelque sorte… — Comment ça « en quelque sorte » ?— Papa a réfléchi et il m’a dit « écoute, ok, je ne dirai rien. A une condition. Que tu me fasses profiter de tes faveurs moi aussi. »— Quoi ?!— Ouais. Incroyable, hein ? J’ai dit oui, bien entendu. — Tu as accepté ??— Tu trouves ça choquant ? Ce n’est pas pire de le faire avec lui qu’avec toi pourtant… J’allais lui rétorqué que justement je trouvais choquant qu’on l’ait fait, mais elle poursuivit : — Et puis, tu sais, j’en ai plutôt envie en fait.— Jennifer, qu’es-tu en train de dire ? — J’en ai envie. Je fantasme sur papa depuis longtemps déjà. Je me suis souvent masturbée en pensant à lui… Ainsi qu’à toi, bien sûr.
Je fus incapable de trouver quoi lui répondre… Nous rentrâmes donc sans maman à l’appartement ce soir-là. Nous l’avions accompagnée à son départ et l’avions vu décoller en hélico avec un guide et 3 autres personnes. Puis nous avions convenu avec le conjoint d’une des skieuses du groupe d’aller ensemble au restaurant, et nous avions copieusement dîné… Et bu…. A tel point que c’est tous trois très éméchés que nous rejoignîmes la location. Jenny et moi montâmes dans notre chambre pour nous affaler sur un des deux lits, en travers. Papa, lui, prit une douche dans la salle de bain du bas.
Bientôt, papa nous rejoignit. Il était en peignoir de bain, et il s’affala à son tour sur le lit à coté de Jenny. A 45 ans, il était bel homme, et il le savait bien. Sa stature solide et ses cheveux bruns autour de son visage carré aux yeux en amandes le faisaient ressembler à Patrick Swaize. Il posa une main sur la cuisse de Jenny, et lança en nous regardant : « Alors, les jeunes, il semble que vous aimiez les rapports familiaux ?» En regardant Jenny, il lui demanda : «Tu lui as dit ? », et elle répondit en hochant la tête. Papa me regarda d’un air interrogateur. Je regardais sa main caresser la cuisse de ma sœur, à travers le tissu de la robe noire à dentelle qu’elle avait mise pour aller au restaurant ce soir. « Tu sais papa, ça s’est fait comme ça. On n’a pas vraiment réfléchi… » dis-je, embarrassé. J’entendis ma sœur soupirer profondément, et la vis écarter sa cuisse pour mieux l’offrir aux gestes de papa. « En tout cas, c’était très excitant à voir ! » dit-il en me fixant d’un air entendu. Il ajouta : « je ne voyais pas tout dans le rétroviseur en position nuit, mais je devinais très bien les va-et-vient de ta tête, Jenny, et j’entendais vos soupirs étouffés… Mmmm c’était très chaud ».
Tout en parlant, papa déboutonna tranquillement le corsage de soie noire de Jenny, échancrée au niveau de la poitrine, aux manches de dentelle des épaules jusqu’aux poignets. Il glissa sa main dans l’ouverture, pour lui caresser les seins. « Très chaud… Comme maintenant… Tu es toujours ok pour remplir ta part du marché, ma chérie ? » Subjugué par la vue de papa en train de peloter ma petite sœur, qui visiblement y prenait plaisir, je sentis ma queue commencer à bander dans mon jogging, et je me mis à caresser la bosse qu’elle y faisait naître. Jenny répondit d’une voix oppressée par l’excitation « Oui papa, tu sais bien que j’en ai envie depuis longtemps… » Papa l’aida à retirer complètement son corsage, et Jenny s’installa plus confortablement sur le lit, offrant aux mains de notre père ses seins blancs, bien fermes, qui se soulevaient au gré de sa respiration accélérée. « C’est très bien, tu es une brave fille ».
Jennifer avança sa main sur le corps de notre père, et défit la ceinture de son peignoir. Sans se presser, elle caressa d’abord son torse velu, puis descendit progressivement sa main en écartant les pans du peignoir au fur et à mesure. Enfin, arrivée au nombril, elle rejeta de part et d’autre le tissu-éponge, mettant son sexe au grand jour. J’étais assez satisfait de ma propre bite, qui mesurait 18 centimètres de long pour un bon 4,5 centimètres de large, et était dotée d’un gland proéminent. Celle de mon père me fit cependant grosse impression – ainsi qu’à ma sœur qui ronronna d’approbation et passant sa langue sur ses lèvres. Un peu moins long que le mien, son sexe était en revanche incroyablement épais, et devait mesurer dans les 6 centimètres de large. Recourbée vers le haut en banane, il se terminait par un gland guère plus large que la verge, de forme allongé. Jenny saisit ce membre fièrement dressé, et commença à la branler doucement, faisant remonter le prépuce sur le gland puis le tirant en arrière voluptueusement. Le maquillage gothique de Jennifer, très noir autour des yeux, son regard qui laissait transparaître son envie de sexe, sa position lascive, rendait la scène insoutenable d’érotisme. J’enlevais mon jogging et mon caleçon dans un même geste, et me mis à masturber ma bite en continuant à les regarder.
Ma sœur tourna la tête de mon côté, et murmura « Mmmm, deux belles queues en pleine forme rien que pour moi, quel aubaine…» Sur ce, elle se pencha sur papa et, sans lâcher sa verge, l’enfourna dans sa bouche et se mit à la sucer en grognant de plaisir. Papa soupira en disant « ouiii, ça c’est bon…» La tête de Jenny montait et descendait sur la grosse bite de papa à un rythme régulier et soutenu, et le visage de mon père grimaçait sous les assauts de plaisir. Je lâchai ma propre queue et m’affairai à retirer la robe longue et noire de Jenny en lui disant « allons soeurette, fais nous un peu voir ce que tu caches là-dessous », découvrant ainsi ses jambes à la peau blanche et douce, qui contrastait avec le teint mat et la peau velue de papa, et un string noir également, que j’ôtai après avoir caressé un moment cette peau si appétissante. Jenny changea de position pour se mettre à quatre pattes sur le lit, perpendiculairement au corps de papa, les jambes écartées de telle sorte que ses fesses, et tout ce qu’elles recélaient entre elles, s’offraient à ma vue et à mes mains. Je fis aller ma main sur ces fesses rebondies, fermes et souples à la fois, et descendis sur le haut des cuisses, puis la glissa à l’intérieur, remontant pour aller couvrir de ma main sa chatte trempée, ce qui lui arracha un frisson qu’elle ponctua d’un léger gémissement. Je m’allongeai sur le dos, jambes pliées, et passai ma tête dans l’entre-jambe de Jenny pour lui lécher sa chatte goulument. Je plaquai ma bouche sur sa vulve, forçant ma langue dans son vagin, puis venant titiller son clitoris… Je m’abreuvai littéralement de sa chatte comme d’un fruit juteux. Ma sœur, tout en continuant à pomper papa, se mit à gémir de plus en plus, faisant rouler son bassin pour mieux frotter sa chatte contre ma bouche.
Papa lui tenait la tête pour contrôler ses va-et-vient, et dit : « Tu aimes ça qu’on s’occupe de toi, hein chérie ? Fiston, prends-la en levrette, regarde elle ne demande que ça. Fourre-lui ta bite par derrière.» J’obtempérai à sa directive, me relevai et vins me placer derrière Jenny, bite en main, pour la diriger vers son vagin, la pénétrer et commencer à la limer lentement. Ses gémissements se firent plus sonores, et elle respira de plus en plus fort par le nez, la bouche pleine du sexe de papa. « Là, fiston, comme ça, oui. Saute la comme une chienne en chaleur, saute la. » Je plaçai mes mains dans le creux que formaient ses cuisses avec son bassin, et j’accélérai le mouvement, en haletant. Je sentais ma queue aller et venir en elle rapidement, et le lit se mit à grincer au rythme de mes mouvements. Ma sœur pompa papa de plus belle, en couinant littéralement sous mes assauts. « Regarde comme elle aime ça » dit papa. Sa main tenant toujours sa tête, il glissa l’autre sous Jenny, pour venir lui masser le clito pendant que je la bourrais sans retenue. Je sentais les doigts de papa effleurer ma verge qui allait et venait, et loin de me déranger, cela augmenta encore mon excitation. Quant à Jenny, elle n’en pouvait plus. Submergée par les sensations de ces deux queues la pénétrant de part en part, et par les doigts de mon père qui la masturbaient en même temps, elle partit, jouissant très fort. Ses jambes étaient secouées de spasmes pendant que tout en gardant en bouche la grosse bite de notre père, elle cria de plaisir. « Jouis ma fille, c’est bien, jouis, jouis ! » fit papa en la regardant se tendre sous l’orgasme.
J’avais arrêté de la limer pour qu’elle profite au mieux de sa jouissance. Quand elle finit par se calmer, mon père me demanda de venir prendre sa place. Je me dégageai donc du creux des reins de Jenny, et vins m’allonger à la place de papa, pendant que lui-même s’agenouilla derrière elle. Ma sœur se jeta sur mon sexe, et le pompa tout aussi goulument qu’elle avait sucé papa. Je vis alors celui-ci prendre un tube de crème dans la poche de son peignoir. « Ma petite, il reste une partie de ton corps à explorer, et je vais m’en charger » dit-il, en faisant couler un peu de gel sur ses doigts, pour l’appliquer sur l’anus de ma sœur. « Papa, tu es sûr ? Elle risque d’avoir mal » dis-je, inquiet. « Ah, mais ça fait partie du deal elle ne te l’a pas dit » demanda-t-il ? Jenny, me regarda l’air coupable, puis se remit à me sucer en relevant les fesses. C’était un aveu, elle avait accepté de se faire enculer par papa. Il la lubrifia copieusement, ainsi que son sexe et l’approcha de son cul. Je ne le voyais pas directement, mais à la réaction de Jenny, je su qu’il commençait à forcer son gland contre son anus. Elle fit entendre quelques gémissements et se tendit un peu pendant que papa donna quelques coups de reins légers pour la pénétrer progressivement.
« Là, voilà ! » dit-il soudain, quand sa verge épaisse dilata son rectum et se glissa dans son cul. Ma sœur gémit sous la douleur de la pénétration, mais mon père commença directement à la sodomiser lentement, enfournant toute sa queue dans son cul et la ressortant presque entièrement à chaque fois « Oh que c’est bon ! » s’exclama-t-il, en écho aux gémissements de Jenny. Ma sœur continuait de me sucer, et je la regardais se faire démonter le cul en sentant un plaisir vicieux m’envahir. Mon père la bourrait avec un rictus de plaisir sur son visage, Jenny encaissait ses coups de reins, en émettant des plaintes étouffées. Je lui saisis la tête de mes deux mains, et fit aller et venir mon sexe entre ses lèvres moi-même. Lui prendre la bouche ainsi m’acheva, le plaisir explosa dans mes reins, et je me mis à jouir, giclant abondamment de nouveau dans la bouche de ma sœur. Je vis mon sperme s’écouler de ses lèvres… Me voir jouir ainsi acheva aussi papa : gémissant soudain en se mettant à donner de petits coups de reins rapides dans le cul de ma sœur, il se mit à jouir également, vidant ses couilles avec délectation dans l’anus de Jennifer.
Une fois nos Extases calmées, Jenny se dégagea de nos étreintes, et se releva, chancelante. Elle dit avoir besoin d’une bonne douche d’une voix rauque, et se dirigea vers la salle de bain. Papa s’affala sur le lit à côté de moi. Nous étions cotes-à-cotes, nos deux bites encore secouées de spasmes, dégoulinantes de sperme. Puis, papa descendit pour aller lui-même se doucher, et je me glissai sous la couette pour m’endormir rapidement, fatigué de cette journée.
Jenny avait raison : je n’étais pas près d’oublier ces vacances !
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