Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 94 J'aime
  • 1 Commentaire

Vol TB112

Chapitre 1

Erotique
Vol TB112Il y a 4 ans déjà, nous avions décidé ma Gigi et moi (je vous rappellerai plus loin ses caractéristiques physiques) de faire un périple au Mexique ; superbe pays s’il en est depuis Mexico jusqu’à Cancún, en passant par les sites les plus riches en vestiges antiques.
C’est au vol de retour que cette histoire se passe ! Nous sommes donc à l’aéroport pour prendre notre fameux vol TB112 de 18 heures 20’ vers Bruxelles ; c’était un superbe avion Boeing 787-8 dont le seating était 3-3-3. Nos sièges étaient à la dernière rangée sur l’aile gauche, soit la file 26 juste au niveau des toilettes ; l’avion ayant au total 54 rangées. Nos sièges 26B et 26C c’est-à-dire centre et côté couloir pour moi, car je n’aime pas être près du hublot. Il faut remarquer que les 3 sièges de ce côté sont un peu en retrait de la rangée équivalente au milieu. En partance donc pour un super long vol de 10 heures.
Ma Gigi, 57 ans, toujours très belle femme blonde de 1,68 m, 63 kilos, aux jambes superbement galbées et à la poitrine provocante de 95 F, s’était donc préparée pour ce vol, car nous, en tant qu’adeptes du candaulisme, avions une idée derrière la tête pour autant que nous ayons un peu de chance pour les contacts aériens ! Elle s’était donc vêtue comme souvent d’une jupe légèrement évasée assez courte (37 centimètres) de couleur gris clair zippée sur le devant, du haut vers le bas, ce qui permet facilement d’accentuer l’ouverture inférieure. Des bas noirs autofixants et une espèce de gilet sans col en cuir noir très souple boutonné sur le devant, mais avec un de ces décolletés à faire damner un saint !
Sa superbe poitrine sans soutien-gorge était bien mise en évidence ; les regards des hommes à l’aéroport ne faisaient aucun doute là-dessus ! La poitrine étant soutenue par le cintrage de ce chemisier agissant un peu comme une guêpière et comme d’habitude, elle ne portait pas de culotte, car notre devise est: toujours disponible et accessible ! Heureusement, nous n’avons reçu aucune remarque de la part ni des employés ni du personnel de bord.
En prenant nos places, on pouvait déjà voir qu’en s’asseyant, sa jupe remontait un peu en laissant apparaître la lisière en dentelle des bas ! Superbe.
Quelque temps plus tard, notre souhait allait sans doute être réalisé, du moins en ce qui concerne l’occupant de la place 26 A. Un homme pas mal, près des 30 ans, nous oblige donc à nous déplacer pour prendre sa place à la fenêtre. Bien parfumé sans excès, jeune, mais on verra ! Gigi en profite alors pour mettre son petit sac dans le coffre au-dessus de notre rangée et en s’étendant pour l’y mettre, une vue magnifique s’offrait à nous, car sa jupe était remontée au-dessus de la lisière des bas en dévoilant un peu de sa peau légèrement bronzée ; je pense que c’était voulu de sa part. En tout cas, notre voisin n’a pas perdu une miette du spectacle. Nous voilà donc installés, ceinture en place et bien prêts pour les consignes et le décollage. Départ à l’heure et vers 19 heures, nous étions en palier et pouvions bouger en enlevant la ceinture.
Nous entamons alors la conversation avec le voisin qui était un monsieur français revenant de Varadero à Cuba pour son boulot d’ingénieur. Comme nous avions commandé un apéritif, je lui ai offert un whisky également, ce qu’il a accepté avec un grand sourire dirigé vers Gigi ; ses yeux plongeant sans cesse dans son décolleté... moi aussi d’ailleurs ! L’apéritif étant pris, vers 21 heures, les hôtesses passent avec les plateaux-repas au choix poulet curry ou bœuf purée et vin à volonté dans notre cas. Le vin aidant, Gigi se faisait de plus en plus volubile et lançait des œillades complices à Raymond, car tel était son prénom. Le repas se terminant, il était maintenant quasi 23 heures. On voyait les gens commençant à se préparer pour la nuit.
Nous avions convenu avec Gigi de démarrer les festivités en faisant semblant de dormir lorsque les lumières s’éteindront ; Gigi devant me serrer la main si Raymond entreprenait l’une ou l’autre manoeuvre d’approche. En effet, quelques minutes plus tard, nous étions dans la pénombre ; Gigi se tournant de 3/4 vers le voisin en écartant légèrement les jambes de 8 à 10 centimètres et faisant semblant de s’assoupir non sans cogner de temps à autre "par mégarde intentionnelle" le genou de Raymond.
Peu de temps avant en l’embrassant, j’avais déjà enlevé un bouton de son corsage, ce qui laissait déjà presque entrevoir son téton droit ainsi que remonter la fermeture éclair de 5 centimètres laissant apparaître toute la dentelle des bas et quelques centimètres de peau ; il faut dire et je le répète qu’elle a des jambes superbes. Je fais semblant de dormir également tout en épiant la situation du coin de l’œil ! Situation on ne peut plus excitante, je bandais déjà rien qu’à l’idée ! Gigi dormait ???? Et tout à coup, elle me serre la main et je vois que Raymond de son index touchait délicatement la jambe de Gigi 10 centimètres au-dessus du genou. Elle en profite alors pour gémir très légèrement, ce qui était manifestement une invitation puisqu’en plus elle écarte les jambes un peu plus (12 à 15 centimètres) en se tournant plus vers le voisin. Lui certainement voyait que Gigi ne refusait pas, mais se demandait encore quelle serait ma réaction ?
Il avait maintenant sa main sur la cuisse de ma belle et la caressait doucement au grand plaisir de celle-ci qui commençait à s’exciter, car elle avait de petits soubresauts faisant progresser son fessier vers l’avant.
Je regarde alors Raymond et lui fais un clin d’œil d’approbation et en même temps, je mets ma main entre les jambes de Gigi qui les écarte encore un peu plus pour avoir un écart d’environ 20 centimètres maintenant, je lui touche alors sa chatte qui était trempée et en profite pour caresser son clitoris déjà bien gonflé. Elle retourne alors sa tête vers moi et me dit en m’embrassant "je t’aime", continue !Encouragé par mon attitude, Raymond s’enhardit et posa sa main gauche dans le décolleté de sa voisine qui pour faciliter les opérations, relève l’accoudoir entre eux deux, en laissant sa tête sur l’épaule de Raymond ; une bosse énorme déformait son pantalon, ce que Gigi avait aussi remarqué.
La situation pouvait devenir critique (une hôtesse pouvait passer) quand Gigi a posé la main sur l’entrejambe de Raymond et a commencé par descendre sa fermeture éclair ! Je pris alors la décision de mettre 2 couvertures sur nous trois et d’éteindre les 3 écrans. Ce faisant, j’imagine que Gigi avait ouvert la braguette de Raymond et au vu des mouvements, le masturbait doucement. De mon côté sous les couvertures, j’avais carrément ouvert le chemisier et sortis ses seins avec l’aide de Raymond. Fouillant entre ses jambes bien écartées, sa chatte à l’air, j’y ai rencontré la main de Raymond qui lui avait déjà introduit 2 doigts et la branlait doucement. Elle aime cela ; j’étais toujours en train de manipuler son clito.
Comme Gigi est une jouisseuse à répétitions, elle ne tarda pas à jouir en se cabrant, mais sans oser s’exprimer fortement. A ce moment, quand Raymond pelotait ses gros seins magnifiques, Gigi disparut sous la couverture et hélas, hors de ma vue, entreprit de faire une fellation du tonnerre à Raymond qui était au bord de l’explosion, mais elle s’est arrêtée à temps, car elle en voulait plus !
Gigi se rajusta quelque peu et en me faisant un clin d’œil ainsi qu’un bon baiser, se leva pour aller aux toilettes. Je savais par convention qu’elle laisserait la porte ouverte. Quant à moi, je fis un signe à Raymond de lui emboîter le pas de suite, ce qu’il fît sans poser de question après que je lui ai donné un préservatif. Il est donc entré dans la toilette et l’a certainement baisée, mais Gigi me racontera tout, c’est certain.
Environ 15 minutes plus tard, il est ressorti et en reprenant sa place, me dit "elle est tout simplement formidable" et j’ai hâte de recommencer. Deux minutes plus tard, Gigi est revenue à sa place sans que personne n’ait pu remarquer quelque chose.
Le bonheur et la chance ont fait que personne n’a remarqué quoi que ce soit !Elle me dit alors à voix basse qu’étant assise sur les w.c., elle l’a sucé comme elle sait le faire, mais lui n’en pouvant plus d’attendre, l’a retournée et l’a prise en levrette, car à cet endroit, c’est la seule méthode possible ! De nouveau, elle a joui presque instantanément dès la pénétration d’une queue de très bonne dimension, dit-elle.
Je n’avais jamais baisé dans un avion aussi, c’était l’occasion pour moi également. Un quart d’heure plus tard, j’invitai de nouveau Gigi à aller aux toilettes et je l’ai suivie également pour la baiser de la même manière en la traitant de salope, de garce, de vide-couilles et de pute, ce qui, comme elle aime ces mots, l’a de nouveau fait jouir. Moi, je n’ai pas tenu longtemps et ai éjaculé dans les w.c. Il était maintenant près de 2 heures du matin et tout en caressant Gigi, Raymond et moi avons somnolé deux heures environ. Au réveil, Gigi me dit: j’ai encore envie et comme elle était toujours en forme et mouillée comme pas possible, a remis la couverture, s’est tournée complètement vers moi, la tête sur mes genoux et a présenté son cul à Raymond qui sans tambour ni trompette, lui a remis sa queue lubrifiée par la mouille, mais pas dans la chatte cette fois, car elle aime aussi se faire enculer.
Elle se mordait la lèvre inférieure tout en se caressant le clitoris, et en peu de temps, 3 à 4 minutes, les mouvements étant lents pour ne pas attirer l’attention de la rangée précédente, Raymond lui a déchargé toute sa semence ; elle a de nouveau joui en me regardant les yeux pleins d’amour ; c’était la quatrième jouissance en 4 heures !
De suite, elle est allée aux toilettes pour se nettoyer, car sans culotte, il fallait faire vite.A l’arrivée, elle m’a remercié de lui avoir fait passer le vol le plus agréable de sa vie.Raymond quant à lui (homme marié - 2 enfants) était ravi et nous a remerciés chaleureusement, mais nous ne l’avons jamais revu ; mieux ainsi pour tout le monde. Quel plaisir d’être candauliste !
Diffuse en direct !
Regarder son live