Salut, moi c’est V. J’ai 20 ans, je suis l’étudiant classique, brun, 1m75, adepte de sport depuis que j’ai l’âge d’en pratiquer. Depuis quelques années maintenant, mon truc à moi c’est le volley. C’est pourquoi, à la rentrée 2019, je me suis réinscrit au volley universitaire, l’occasion pour moi de pouvoir pratiquer mon sport toutes les semaines, et de rencontrer de nouvelles personnes. En parlant de ça... Nous sommes donc en septembre 2019, et je vais à ma première séance de volley de l’année. Au-delà de l’aspect sportif, inutile de préciser que l’idée de pouvoir croiser de jolies demoiselles pendant ces séances ne me déplaît pas (oui, les cours sont mixtes). Une fois que tout le monde est arrivé, et que le prof nous réunit pour nous faire le discours de rentrée, je ne peux m’empêcher de balayer l’assemblée. C’est là que je la vois pour la première fois. Cette petite brune aux yeux bleus, avec son air timide. Plus tard dans la séance, je la cherche du regard, et je la revois. Je peux alors détailler son corps, son petit cul mis en valeur dans son shorty moulant, et ses seins, ni trop gros, ni trop petits, ne demandant qu’à être pris en main délicatement. Je finis alors ma petite "inspection", et nos regards se croisent. M’a-t-elle vu languir sur ses courbes ? Je ne sais pas, mais cet instant m’a donné chaud. Plusieurs fois dans la séance, je croise son regard, sans savoir si ce petit jeu est intentionnel. La séance se termine, et je continue à penser à elle, sur le chemin du retour, mais aussi durant toute la semaine qui suit. Deuxième séance, je vais au volley plus enthousiaste que jamais. Quand j’arrive, elle est déjà là, elle parle avec d’autres filles. Nos regards se croisent, et je crois apercevoir un sourire lorsqu’elle me voit. Durant toute la séance, je la cherche du regard, et j’ai la forte impression qu’elle aussi. Ce petit jeu dure plusieurs semaines. Au bout d’un mois, on ne se cache même plus, nos regards sont plus brûlants les uns que les autres. Je ne peux pas m’empêcher de la regarder jouer, détaillant son corps que je désire tant. J’ai envie d’elle, et je lui fais comprendre. Cette nouvelle séance, plus excitante que jamais, vient à son terme. Je ne tiens plus, il faut que je fasse quelque chose. Nous sortons de la salle, nous sommes dans le couloir qui mène au vestiaire. Je suis quelques mètres derrière elle, et elle s’en doute. Elle jette un dernier regard derrière elle, esquisse un sourire malicieux, et tourne au dernier moment pour se glisser dans le vestiaire des filles. Ces vestiaires ne sont pas utilisés, je le sais, les résidences universitaires sont à 2 pas et personne ne se douche au gymnase. Je jette un dernier regard autour de moi pour voir si je suis seul. La voie est libre. J’entre alors dans le vestiaire. Devant moi, une grande pièce entourée de bancs, et contre le mur d’en face se trouvent les cabines de douche. Elles sont toutes ouvertes. Toutes, sauf une, la plus éloignée de l’entrée. Je m’approche et constate qu’elle n’est pas verrouillée. Ça y est, je le sais, le moment que j’attends depuis des semaines est arrivé. Je pousse la porte lentement. Elle est là devant moi, adossée au mur de la douche. Nous restons un petit moment à nous regarder droit dans les yeux, je m’approche lentement, parcours les derniers centimètres qui me séparent de son corps. Elle est maintenant bloquée entre le mur et moi. Je sens l’excitation qui monte. J’approche ma tête de la sienne, elle a maintenant les yeux fermés et la bouche entrouverte. J’effleure ses lèvres avec les miennes, sa respiration se fait plus intense. Puis, mes lèvres s’éloignent des siennes, parcourant maintenant ses joues, effleurant son oreille, descendant dans son cou. Une fois ce petit jeu fini, je remonte vers ses lèvres. Nos bouches entrent enfin en contact. Lentement d’abord, mes lèves se referment sur les siennes, qui n’attendaient que ça. Nous nous embrassons enfin, accélérant le rythme progressivement, nos langues se lient, et nos baisers sont maintenant fougueux et passionnés. Mes mains se mettent à parcourir son corps, agrippant d’abord son cou, descendant dans son dos, sur ses hanches. J’agrippe enfin ses fesses que je désire depuis si longtemps. J’entends alors les premiers gémissements de plaisir. Nos bouches ne se séparent plus, jusqu’à ce qu’elle tire sur mon t-shirt, qu’elle m’enlève avec envie. Je fais de même, en profitant pour admirer ses courbes dans sa brassière de sport. Je me jette alors sur ses seins, les attrapant par-dessus le morceau de tissu qui sépare mes mains de sa peau, je n’en peux plus et je lui retire sa brassière, plongeant ma bouche au creux de sa poitrine, jouant avec ses tétons que je sens durcir sous mes coups de langue. Ses mains sont désormais sur ma tête, parcourant mes cheveux, je sens ses ongles se crisper de plaisir. Après quelques minutes de ce traitement, je décide de continuer mon exploration de ce corps si désirable. Je descends alors sur son ventre, alternant baisers et coups de langue. J’arrive enfin devant son entrejambe. Je lève la tête une dernière fois, elle me regarde, avec ses yeux brûlants de désir.Je glisse alors mes doigts sous l’élastique de son short, et le descends violemment, emportant sa culotte en même temps. Je suis désormais face à son vagin, reluisant de plaisir. C’en est trop, je plonge ma tête entre ses jambes sans réfléchir, à la recherche de son mont de Vénus. Une fois trouvé, je ne le lâche plus et mets toute mon énergie dans ce cunnilingus, et ses gémissements de plaisir me prouvent que je suis sur la bonne voie. Son souffle se fait de plus en plus rapide, sa main toujours sur ma tête et sa jambe désormais posée sur mon épaule. J’ajoute alors 1 doigt, jouant avec son clitoris, puis glissant à l’intérieur de son sexe trempé. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, pendant que ma bouche s’occupe de son clitoris gonflé. Ce traitement dure maintenant depuis de longues minutes, ses jambes tremblent et elle peut désormais difficilement retenir ses gémissements. Je sens maintenant ses mains qui m’incitent à me relever, nos bouches se rejoignent furieusement, l’occasion pour elle de profiter du fruit de son plaisir. Elle entame la descente vers mon bas-ventre, m’accordant le même traitement que celui auquel elle avait eu droit juste avant. Sa tête est maintenant devant mon short. Sans hésiter, elle me le retire violemment, et tombe nez à nez avec mon sexe gonflé à bloc. Elle esquisse un léger sourire, le prend en main, faisant quelques va-et-vient, puis le prend en bouche jusqu’à la garde. Une sensation intense de plaisir envahit mon corps. Commence alors la meilleure fellation que j’ai jamais reçue. Elle sait s’y prendre, c’est certain, léchant mon sexe sur toute sa longueur, me regardant droit dans les yeux, avant de l’avaler complètement, puis de revenir jouer avec mon gland, ou encore de sucer mes couilles en gardant sa main fermement sur mon sexe. Ce traitement est divin, et j’ai envie qu’il ne s’arrête jamais. Mais la réalité me rattrape et il faut que ça s’arrête si je veux pouvoir profiter de ce moment. Je lui prends alors la tête et l’attire vers moi. Le désir est à son apogée, et je sens dans son regard qu’elle en veut plus. Je me dis alors que je suis content d’avoir toujours des préservatifs dans mon sac de sport. Je le sors, elle me le prend des mains, descends au niveau de mon sexe, me regardant droit dans les yeux. Sa bouche s’empare une dernière fois de mon sexe, puis elle m’enfile le préservatif avant de remonter pour m’embrasser passionnément. Je m’empare de sa jambe et dirige mon sexe vers le sien. Mon gland entre en contact avec ses lèvres intimes. Je sens alors un frisson la parcourir. Je la pénètre, lentement, et elle laisse échapper un gémissement de plaisir. J’entame alors un va-et-vient, d’abord lent et délicat, qui devient progressivement rapide et intense. Nos bouches ne se lâchent plus, et je sens ses ongles se planter dans la chair de mon dos. L’euphorie s’est emparée de moi, mon seul but est d’obtenir son plaisir, je continue de la pénétrer aussi intensément que mon corps ne me le permette. Puis je ralentis la cadence, m’affairant à lui donner de puissants coups de reins, lents mais intenses. Chaque nouvel assaut lui fait sortir un cri de plaisir. Sans prévenir, je la retourne, la plaque contre le mur, dirige mon sexe vers le sien, et la pénètre violemment, ce qui lui arrache un nouveau cri de plaisir. Je la baise désormais violemment, sa jouissance monte cruellement, j’en profite pour claquer ce cul magnifique, elle aime ça. Les premiers mots qu’elle m’adresse ont pour but de m’en redemander encore et encore. J’agrippe ses seins, serre son cou, l’attirant vers moi pour pouvoir lui lécher passionnément. Mon plaisir monte de plus en plus, au fur et à mesure que je l’entends crier de plaisir. Je sens alors son vagin se crisper sur mon sexe, au moment précis où elle pousse un cri beaucoup plus fort et intense que les autres. D’un coup de fesses, elle me repousse, se retourne et arrache ma capote. Elle prend mon sexe et l’avale, entamant de nouveau une fellation plus intense que jamais. Au bout de quelques secondes de ce traitement, je n’en peux plus et la préviens que je vais jouir. Elle accélère alors le mouvement, et provoque une éjaculation plus libératrice que jamais. Elle garde mon sexe en bouche malgré ma jouissance abondante, puis une fois qu’elle est sûre que j’ai terminé, elle avale ma semence, me regardant droit dans les yeux avec un sourire coquin. Nous nous embrassons alors encore quelques instants, avant de nous rhabiller en silence. Je profite une dernière fois de la vision de son corps. Elle est la première à sortir du vestiaire, m’adressant pour au revoir, un "Merci" plein de sous-entendus. Je n’ai alors qu’une hâte, la revoir et recommencer. À suivre ?
