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Voluptas Inn

Chapitre 3

La femme de ménage

Avec plusieurs femmes
Je me promène dans le petit village. Il fait un temps magnifique, un vent frais emporte les feuilles mortes au loin. Il y a beaucoup de monde qui profite du beau temps. À dix minutes à pied du Voluptas Inn se trouvent restaurants et boutiques. Les gens sont sympathiques et souriants.

Pendant ma promenade, il y a une boutique qui attire mon attention. Je ne peux pas voir à l’intérieur, les vitres sont teintées. C’est un bâtiment sinistre que la plupart des habitants semblent éviter. Le mystère du lieu m’attire au plus haut point. J’essaie d’ouvrir la porte, mais elle ne cède pas. Je vois une sonnette à ma droite et je pèse sur le bouton.
— Attendez s’il vous plaît, j’arrive bientôt.
Je demeure sur place, la porte s’ouvre enfin.
— Bonjour. Avez-vous le mot de passe ?— Mot de passe ? Oh non. Je suis simplement curieuse. Je veux simplement voir quelle est cette mystérieuse boutique. — Un instant, je reviens.
J’attends encore quelques minutes.
— Madame ?— Colombe.— Colombe, vous allez recevoir une invitation. Vous savez que parfois la curiosité est un vilain défaut... mais qui peut également vous faire découvrir des plaisirs insoupçonnés.— Je suis au...— Vous êtes au Voluptas Inn. On sait qui vous êtes.
C’est vraiment intrigant. Tout le monde semble savoir qui je suis. Moi, une femme très discrète et banale. L’attention est rarement sur moi.Je me promène toute la journée, je goûte à de bons plats, j’essaie des vêtements affriolants. Des hommes me regardent de façon gourmande et les femmes, certaines semblent jalouses d’autres envieuses. Pourtant, je ne suis pas une femme si belle. J’ignore ce qui attire leur regard, mais je ne déteste pas. C’est peut-être simplement mon imagination qui me joue des tours.

Je reviens vers l’auberge tout juste après l’heure du souper. Je suis heureuse, mais épuisée de ma journée. Je suis déçue de ne pas voir Brianna au comptoir d’accueil. C’est un grand homme noir, bâti. Il ne porte qu’une paire de pantalons en cuir qui sculpte bien ce qui cache en dessous.
— Bonjour madame. — Bonjour.— Est-ce que je peux faire de quoi pour vous faire plaisir ?— Pas pour l’instant, je vais me reposer.— Il y a une proposition qui vous attend dans votre chambre. Prenez-en connaissance dès que vous arrivez.
Je dis un merci à peine perceptible et je cours vers mon antre. Le matin, j’ai eu une enveloppe que je n’ai pas lue et là j’ai une proposition.
J’ouvre la porte et sur le lit, j’aperçois un ensemble sexy avec une enveloppe rouge.
— Colombe,
Nous aurions besoin d’une femme de ménage pour ce soir. C’est pour faire le ménage avant qu’un couple arrive. Nous avons vraiment besoin de votre aide. Si vous acceptez, mettez un sous-vêtement sur la poignée de porte de votre chambre.
La direction”

Je prends un bon bain chaud pour y réfléchir. Je me déshabille, je me surprends à avoir les seins dressés et la chatte mouillée.
— Je ne crois pas que ça soit vraiment pour faire le ménage. Devrais-je accepter ? Qu’est-ce qui m’attend cette fois-ci ? Humm peut-être que Brianna va m’y attendre, nue sur le lit. Juste à y penser, ça m’excite. Qu’est-ce que j’ai à perdre ? Je vais bien trouver mon compte dans cette histoire.

Je me caresse en imaginant faire un cunni à la jeune femme. Je retiens mes petits cris de plaisir solitaire. Je sors du bain et de la pièce. J’ouvre la porte pour mettre la première paire de petites culottes qui me tombe sur la main, et je l’attache sur la poignée. Je croise le regard d’un homme et me sourit. Je me rends compte que je suis nue. Je rentre dans la chambre, un peu embarrassée. Avant de me rendre sur mon lit, une enveloppe se glisse sous la porte.
— Tu devras faire le ménage de la chambre #1 entre 19h et 19h30 avant que les occupants arrivent. Mets ton uniforme. Fais ça bien et tu seras récompensée, le contraire et tu seras punie. ”

Il est à peine 17h30, j’ai un peu de temps pour me reposer. Je pose ma tête sur l’oreiller et je m’endors aussitôt.

Juste avant 19 heures, j’ouvre les yeux et me rends compte que je dois me préparer. Je regarde le costume, je l’étends sur le lit pour voir chaque élément. Il manque quelque chose...Le sous-vêtement que j’ai mis sur ma poignée de porte fait partie de mon costume. Je n’aurais pas mon uniforme complet. Personne ne devrait voir mon cul, je vais être seule dans la chambre, alors ce n’est pas très grave. Je m’habille et je commence par mettre les petits bas de nylon noir avec des motifs, ils sont si élégants. Une jupe courte avec de la dentelle couvre à peine mes fesses bien rondes, et une blouse blanche un peu transparente qui entrevoit le haut de ma poitrine. Je me regarde dans le miroir. Je me trouve jolie, mais pas si sexy que ça. Mes courbes sont apparentes. Depuis hier, je m’aperçois que mes courbes ne semblent pas déranger ceux avec qui j’ai baisé. Je prends la clé de la chambre numéro un et la mets dans ma blouse entre mes deux seins. Je prends un grand respire et je sors de mon nid. J’ai comme accessoire un plumeau, comme toute bonne femme de ménage.

J’arrive devant la porte de la chambre. Je frappe à la porte.
— Il y a quelqu’un ? dis-je comme un murmure.
Je n’entends rien, je prends une autre bouffée d’air.
— Femme de chambre. J’entre.
Du coin de l’œil, je vois Brianna me faire un sourire et elle me fait comprendre qu’elle me trouve excitante dans cette tenue. Je prends la clé et j’ouvre la porte. Je regarde tout autour de la pièce. Il y a un bain-tourbillon dans un coin, un lit king avec des draps rouge orangé de l’autre côté. Une télévision est juchée sur le mur et en dessous une petite table. Je m’approche de celle-ci. Une petite note écrite à la main :
— Puisque tu n’étais pas là quand je suis arrivée, je suis partie faire un tour, de retour plus tard”.
Je me demande qui a bien pu écrire ce message. Je sens une présence derrière moi. Je n’ose pas me retourner.
— Tu es curieuse pour une femme de ménage. Sexy en plus. Ils ont décidé de nous envoyer la plus belle.
Ses doigts se baladent sur mes épaules. L’homme se colle contre mon dos. Bien qu’il ait encore son pantalon, je sens son membre bien dur entre mes fesses. Il se frotte contre moi. Ça m’excite, mais j’essaie de ne pas le faire rester impassible.
— Désolée monsieur, on m’a dit qu’il n’y a personne dans la chambre et que je dois faire le ménage. Il y a eu une confusion dans mon horaire.— Ne t’excuse pas ma belle. C’est de leur faute si tu n’es pas venue à la bonne heure. Retourne-toi pour que je voie ton beau visage. Ne sois pas timide.
Je me demande s’ il va aimer ce qu’il va voir ou être déçu. Je me retourne. Je regarde ses beaux yeux noisette. Je me sens pénétrée par son regard. Il est plus grand que moi, cheveux noirs avec un peu de blanc. Je ne peux pas m’empêcher de voir que son membre est toujours bandé.
— Tu croyais que je serais déçu de te voir. Tu me plais vraiment.
Il prend ma main et le met sur son pénis en érection.
— Tu me fais de l’effet. Tu le sens. J’ai envie de baiser avec toi.— Et ta femme, elle va revenir ?— N’aie pas peur, elle peut être partie pour des heures.
Il m’assoit sur la petite table et m’écarte les jambes.
— Je ne suis pas le seul à être excité. Tu es mouillée ma cochonne. Tu as aimé sentir ma queue entre tes fesses. Il était encore dans mon pantalon, j’imagine l’effet que ça va te faire quand elle va te pénétrer. Humm j’y pense déjà.

Il s’approche de moi. Je ne peux m’en empêcher, je lui enlève la ceinture et je lui baisse son pantalon, j’ai envie de voir son engin. À ce moment-là, j’entends la clé dans la serrure. L’homme va se cacher dans les toilettes. Je m’enlève de la table et je fais mine d’épousseter.
— Qui êtes-vous ? — Je suis la femme de ménage, désolée j’ai presque fini. Je quitte bientôt.— Mon mari est ici ?
Du coin de l’œil, je le vois me faire non de la tête et sors de la chambre... en sous-vêtement.
— Je ne l’ai pas vu.
La femme, aux cheveux bruns et longs, me tourne autour et me scrute.
— Tu n’es pas mal ma petite. Tes patrons te laissent travailler sans sous-vêtement ? C’est assez inhabituel, on dirait que tu ne veux plus t’amuser que de faire ton travail.
Elle me donne une claque sur les fesses. Je me sens évaluée comme une vache lors de concours agricoles. La femme se place devant moi et regarde mon décolleté.
— Tu as une belle poitrine. Je suis certaine que tes tétons sont durs d’excitations. J’ai envie que tu voies la mienne. Caresse-moi les seins ma chérie.
J’enlève son petit chandail, et je découvre une paire de seins à faire bander un pape. De gros seins, mais sans que ça soit exagéré. Je ne peux pas m’empêcher de les lécher. J’entends la femme gémir. Tellement, que je ne me rends pas compte que la porte s’ouvre.
— C’est là que je te surprends Nath !
Du coup, j’arrête ma caresse. Nath s’approche de son copain.
— Et toi que fais-tu sans tes pantalons John ? De plus, tu es bandé comme un cheval. Qu’est-ce qui t’excite ? As-tu déjà rencontré notre petite femme de ménage ? C’est vrai qu’elle est jolie. De belles rondeurs.
Mon regard passe de la femme à l’homme. Des sourires narquois m’ont permis de comprendre que c’était une mise en scène. Les deux amants se sont jetés dans les bras de l’un et l’autre. Ils s’embrassent et très vite ils sont nus. Je m’approche d’eux et je fais le tour du couple.
— Hummm beau duo. Vos seins sont magnifiques, madame, et vous monsieur, hummm, je vois que vous êtes bien dur, prêt à empaler une chatte bien humide. — Vous êtes bien cochonne, avez-vous d’autres chambres à nettoyer, ou on peut vous garder un peu avec nous ?
Pour réponse, je me place entre les deux, face à l’homme, je le regarde et je l’embrasse. Ma langue n’a pas eu de misère à rencontrer la sienne. Deux mains féminines me caressent les fesses et montent vers mes seins.
— Et moi, est-ce que j’en ai le droit aussi ma belle ?
Je me retourne pour que mes lèvres rencontrent les siennes. Nath est si près de moi, que je sens ses seins contre les miens. John se colle dans mon dos, son membre se frotte entre mes fesses et ses mains déboutonnent habilement ma blouse.
— Ça ne te dérange pas que je vois tes seins.
Je l’arrête dans sa progression, je me faufile hors de notre trio.
— Tu ne veux pas qu’on les voit ?— Couchez-vous dans le lit.
Le couple se regarde et s’exécute. J’ouvre la télé et je mets un poste de musique sensuel. Je commence à bouger mes fesses, je monte debout sur le lit et je fais un striptease. Je me laisse aller, au rythme de la mélodie. Je me dandine, j’essaie d’être sexy. Je commence par enlever mon bas de nylon droit et ensuite le gauche que j’attache après sa queue. Je continue en déboutonnant ma blouse, un bouton, deux boutons, au troisième, mes seins sortent. Nath et John se masturbent en me regardant. Je dévoile mon corps entier lorsque ma jupe disparaît à son tour. Je continue ma danse lascive. Je me caresse les seins, mes tétons sont en érection.
— Tu es belle, me dit Nath. Tes courbes sont magnifiques.
Elle se lève.
— Laisse-moi te caresser.
Elle me couche sur le lit à côté de John. Elle empêche son copain de nous caresser en le condamnant à nous regarder. Nath approche sa langue de mes seins et me les lèche.
— Oh oui Nath. C’est bon. J’aime sentir ta langue sur mon sein.
Elle me suce les seins. J’aime me faire sucer les seins. C’est tellement bon. Parfois elle me mordille les tétons. Je sens le regard de John sur moi. Je me tourne la tête et je l’embrasse. Sans me rendre vraiment compte, je sens la langue de la femme entre mes lèvres, et sur mon clitoris bien gonflé. Elle me mange la chatte. Sa langue passe partout, même à l’entrée de mon trou.
— Haaaa oui. C’est bon. J’aimerais bien vous faire plaisir aussi. Que puis-je faire pour vous plaire ?
Nath arrête sa caresse. Elle s’assit sur John.
— Vas-y je le tiens, fais-lui ce qu’il te plaît.
Je vais chercher le plumeau sur la petite table où je l’avais laissé. Je lui chatouille en dessous des pieds. Il se débat un peu. Je monte le plumeau vers ses jambes jusqu’à son pénis. Je lui caresse, je l’entends gémir. Je continue. Tout près, il y a la naissance des fesses de Nath. L’objet passe de l’homme à la femme. Un frisson lui passe dans le dos. Je m’assois sur John, sa queue entre ma chatte et les fesses de la belle brune.
— Ha oui mes chéries, c’est bon. Tu es bien mouillée. C’est bon de me sentir entre vous deux.
Mes deux bras enlacent Nath et mes mains caressent sa poitrine. J’embrasse son dos, ses épaules, son cou. Elle frissonne de plaisir.
— Tu es excitante. Continue. C’est bon, dit la voix féminine.
Sans demander de permission, je m’empale sur la matraque de John. Je fais un va-et-vient. Lentement au début et de plus en plus rapidement. J’aime le sentir en moi. Je murmure quelques mots dans l’oreille de Nath. Je m’enlève et aussitôt sa copine s’installe sur lui et continue ce que j’ai entrepris.
— Mes coquines.
Je les regarde. Mes mains se baladent sur mon corps. Je mouille mes doigts avec ce qui sort de ma chatte et je me caresse le bout de mes seins. J’entre un doigt en moi et le ressors et je goûte à mon miel.
— Humm. — Approche, me dit John. J’ai quelque chose à te demander.
Je mets mon oreille près de lui.
— Aimes-tu sucer ?— Surtout de grosses queues comme la tienne. Toi aimes-tu te faire sucer ?— Hummm oui, surtout par une belle femme comme toi. Nath, enlève-toi. Je veux que notre femme de ménage me mange la queue. — Et moi qu’est-ce que je vais faire ?— Suce-le avec moi. Je sais que ce genre de gars, ça doit aimer avoir deux femmes qui lui caressent le membre avec leur langue. Avoir deux bouches qui se succèdent pour une fellation qu’il n’oubliera pas de sitôt. Ça te dit ?— Hummm oui pourquoi pas.
La brunette et moi nous embrassons. Ensuite, des testicules jusqu’au gland, nos deux langues caressent le membre et se rejoignent au sommet. Nous faisons quelques aller-retour. Je regarde John et il aime ce qu’on lui fait. Ensuite, je titille le bout en donnant des coups de langue ou avec mes doigts humidifiés par ma mouille. Pendant que Nath lui mange les couilles, moi j’avale son membre dans ma bouche, le va-et-vient le fait gémir. On alterne pour ne lui donner aucun répit. Pendant que Nath donne du plaisir à son homme, je vais dire de quoi à l’oreille de John. Il me fait un sourire pour me donner son approbation.

Je vais chercher les bas de nylon. J’arrive derrière Nath, je lui mets le tissu devant les yeux et je l’attache.
— Qu’est-ce qui se passe ?— Laisse-toi faire chérie, elle veut que ton plaisir. — Place-toi à quatre pattes. Oui comme ça. Écarte tes jambes. Hummm oui.
Je la caresse avec mon plumeau. Sur la raie de ses belles fesses. Le plumeau caresse son dos. Je suis face à elle. Mes lèvres frôlent les siennes et Nath se laisse embrasser.
— Tu es belle.
Je me couche sous elle. Je lui caresse les seins avec l’objet et descends jusqu’à sa vulve. Ma bouche est près de sa chatte. Ma langue glisse entre les lèvres et la pénètre pour bien goûter sa sève.
— Tu goûtes bon.
John se place derrière son amie, sa queue se joint à ma langue pour la caresser. Je caresse le membre de John en alternance avec la partie intime de la femme. J’entends les deux amants respirer fort.
— Vous êtes cochons, hummm oui. Donne-moi ta chatte. Je veux la goûter encore. — Trouve-la.
Elle réussit à enlever son bandeau et ne prend pas de temps pour me manger. Sa langue passe partout, entre les lèvres, sur mon petit bouton de plaisir. Elle rentre deux doigts dans mon vagin bien lubrifié. Ses doigts en moi ne font qu’augmenter mon plaisir.
— HHHHAAAAA OUI NATH.
John profite que sa douce soit occupée à me faire plaisir pour la pénétrer. Nath, surprise par l’initiative de son copain, lance un petit cri suivi d’un ronronnement de plaisir. Je continue à lécher son clitoris. Parfois quand le membre sort du vagin, je lui donne un coup de langue.
— HAAAA OOOOUIII C’EST BON.— Je ne t’ai jamais entendue jouir autant ma chérie.— Vous êtes un duo formidable. À nous de lui faire plaisir maintenant.
John se retire de sa femme et vient finir en moi. Toujours couchée sur le dos, je vois John devant moi prêt à me pénétrer, Nath me tient les jambes bien hautes et écartées, et elle a une belle vue sur ma chatte et la queue de l’homme.
— Tu as envie de ma queue ma cochonne.— Ha oui pénètre-moi, je t’en supplie. Vas-y.
Il me caresse le clitoris avec son gland en se masturbant. Il le place à l’entrée de mon vagin qui coule. Il me pénètre d’un coup et en sorte que je le sens bien profond en moi. Il commence tout doucement et accentue le mouvement. Je me caresse le clitoris en même temps que de sentir sa queue en moi. Je n’en peux plus, je jouis et crie bien fort que tout l’hôtel doit m’entendre.
— Garde-toi une petite gêne. Tu cries fort que tu as enterré le mien.
Il sort son membre. On s’étend dans le lit, je suis sur le point de m’assoupir lorsqu’on frappe à la porte. Nath répond.
— Colombe c’est pour toi.— Oui, qu’est-ce qui se passe ?— Colombe, le directeur va t’attendre dans son bureau, demain à la première heure. Et retourne dans ta chambre. J’espère qu’elle ne vous a pas trop dérangée ?— Non, tout va bien. Elle a bien fait son travail.
Brianna me fait un clin d’œil.
Monsieur, madame, je dois partir. Désolée, je repars même si la chambre est dans un état lamentable.

Je prends une serviette et je me sauve dans ma chambre. Je prends un bain et je me couche.
Au petit matin, la sonnerie du téléphone me réveille.
— Colombe, je vous attends dans mon bureau.
L’homme raccroche. Je me demande ce que le directeur veut...C’est étrange, sa voix m’est familière ...
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