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Et ça vous fait quoi ?

Chapitre 5

Inceste
5
Ce matin de juin il fait un soleil magnifique. Nous sommes dimanche, il est neuf heures et je suis toujours au lit. Nicole dort encore, profondément si j’en juge par un léger ronflement. Je me lève sans bruit, et, tout nu, après un passage par les toilettes je me dirige vers la chambre des parents. Le vieux est sans doute réveillé depuis un moment et comme tous les matins, son premier mouvement est de faire mettre la mère à quatre pattes et de la prendre en levrette. Même si je lui en veux de m’avoir confisqué ma femme, je ne peux m’empêcher d’admirer ce colosse sexagénaire et sa pine de bourricot, raide comme une batte de base-ball. Ma mère encaisse bravement les coups de reins qui font ballotter en tous sens ses nichons. Ce spectacle m’excite et je bande, ce qui fait rire mon père.— Alors gamin, tu viens prendre une leçon ? me dit-il sans arrêter pour autant son va-et-vient. Si t’as rien de mieux à faire, va installer le déjeuner. Je dois rejoindre les copains dans une heure et j’ai assez traîné ici. Tu finiras ta mère tout à l’heure, pour l’instant, va me faire un café pendant que je prends ma douche.Et le vieux décule, laissant la mère sur sa fin. Je file à la cuisine, car je n’ai pas intérêt à lui faire attendre son café. Quand il sera parti, je monterai voir ma Momone pour la bourriquer un peu. Comme je connais Nicole, elle ne va pas se lever avant midi. Lorsque le père me rejoint, tout est prêt. Il marque nettement qu’il apprécie mon service.— Tu fais un très bon café ma louloute, félicitations. Tu auras sans doute hérité du talent de cuisinière de ta mère. Dommage que tu n’aies pas hérité de ma bite !— Vous êtes le meilleur, vous savez bien, réponds-je en baissant la tête.— Tu me vouvoies, maintenant ?— J’ai pensé que cela vous plairait, vous êtes le maître !— Mélange pas tout, chochotte ! Je suis le maître de ta femme qui est ton maître à toi. Mais je ne veux pas de vouvoiement entre nous, juste une totale soumission. A ce propos, je te laisse toute latitude pour ta mère, fais-en ce que tu veux, mais ne la brutalise pas, sinon tu auras des comptes à me rendre. Ce soir, prévois deux personnes de plus pour le dîner. Je reviens avec un couple qui passera la nuit ici. En conséquence, tu pourras garder ta mère pour la nuit, parce que moi je prends Nicole. Peut-être d’ailleurs qu’on aura besoin de toi. A ce soir.Sur le seuil de la porte, je regarde partir mon père. Le voisin d’en face m’a vu, tout nu, la queue encore à moitié dressée. Il me fait de grands signes, mais je l’ignore. Je sais que Nicole lui fait souvent claquer du fric en fringues et en sorties, mais je m’en fiche. Et qu’il me voie à poil, je m’en fiche aussi, moi je n’ai pas besoin qu’on me suce pendant une demi-heure pour bander. Et puis je rentre et fonce rejoindre ma Momone qui s’est tout bonnement rendormie à poil sur le drap. Je me glisse derrière elle, la queue bien raide et je l’enfile sans peine, le passage vient d’être fait. Elle se réveille, se retourne un peu et en me voyant, elle me fait un grand sourire.— Déjà en action, mon petit chéri ?— Tu parles ! Rien que de penser à ton cul, je bande, alors, ce matin, quand je t’ai vu à quatre pattes avec la queue du vieux entre les miches, Wouaohhh !!!— Je suis la plus heureuse des femmes, convient-elle. Mon mari adoré me réveille pour me bourriquer, il me fait jouir une première fois puis c’est mon fils qui prend le relais et je sens que je vais repartir. Allez, mon chéri, fais couiner ta mère !Notre sympathique chevauchée est interrompue par l’irruption de Nicole dans la chambre à coucher des parents. Nue, elle est très belle, mais nue et en colère, elle est à tomber ! Je ne cherche même pas à éviter l’énorme claque qu’elle m’applique sur les fesses, au contraire, je bande de plus belle et accélère mon pilonnage dans le cul de Momone. Loin de s’en plaindre, Momone donne, elle aussi, de grands coups de reins. Nous continuons de baiser comme si nous étions seuls au monde, indifférents aux gifles qui s’abattent sur mon dos sans épargner complètement ma mère. Finalement, je lâche la purée et Momone marque bruyamment sa satisfaction au point qu’elle ne peut retenir un pet incongru. Nicole éclate de rire en s’asseyant sur le lit, à nos côtés, et commence à chatouiller Simone.— T’es ben une sacrée caille toi, lui dit-elle en lui taquinant les tétons. Tout compte fait, on se ressemble beaucoup. Sauf que toi, tu es une simple soumise, tu n’as personne à dominer.— Et ça me convient parfaitement, répond ma mère. Autant j’ai du bonheur en obéissant, autant je me sentirais très mal s’il fallait que je domine quelqu’un.— Aimerais-tu être dominée par une femme, insiste Nicole ?— Ça dépend. Si c’est mon fils qui le veut, ce sera avec plaisir, si c’est pour remplacer mon fils, c’est non, je refuse catégoriquement !— Veux-tu que je te la prête, interviens-je alors ?— Ça me plairait, sourit Nicole, mais seulement nous trois pour commencer, j’ai trop peur de déplaire à Arthur, il peut être très violent parfois.— Je vous rassure tous les deux, sourit ma mère. Il apprécie hautement de voir sa femme se faire maltraiter. Je suis incapable de vous dire combien de femmes et de couples m’ont passé sur le corps depuis notre mariage. Et en général, j’aime bien !— Momone, t’es une cochonne, dis-je en conclusion. En conséquence, je vous propose à toutes les deux de rester au lit pendant que je vais m’occuper de préparer le repas de midi. Si vous avez besoin de moi, vous appelez, ok ?— Un esclave peut parfois avoir de bonnes idées, remarque ma femme. J’accepte ta proposition. Simone va s’occuper de moi, toilette, massage, léchage, etc… Quand je t’appellerai, tu viendras la pilonner un peu, histoire de la faire gémir un peu plus fort. Au travail.Nicole s’est allongée dans le lit, Momone, à genoux à côté d’elle, commence à la caresser. Elle cambre très fort son cul, jambes écartées. Je vois sa rosette palpiter et sa chatte s’entrouvrir. Ses lèvres brillent, aucun doute, ma mère est en train de jouir parce qu’elle caresse ma femme. Je suis debout, la queue douloureuse à force de bander, n’osant pas me branler car Nicole ne me l’a pas demandé. Je dois sortir de la chambre sinon je vais encore éjaculer devant cette scène. Un peu de ménage devrait me calmer.Le reste de la journée se passe dans le train-train habituel. Le ciel est bleu, il fait chaud, je n’ai que du plaisir à rester dans ma tenue habituelle, c’est-à-dire un simple mini-tablier de soubrette, avec une poche sur le devant, trop court pour cacher ma bite et me laissant les fesses à nu. Nicole est partie faire les boutiques et Momone finit le ménage que j’ai commencé. J’adore la regarder, à quatre pattes sur le carrelage, sa blouse très courte laissant voir ses fesses nues. Quand elle aura fini les sols, elle commencera l’épluchage des légumes pour le repas que je préparerai dans l’après-midi. Les violences de Nicole ce matin m’ont mis en appétit. J’ai apprécié de les recevoir, même si c’est douloureux, c’est en même temps assez jouissif, à condition sans doute que les coups soient portés avec retenue. J’ai envie d’essayer avec ma mère, fesser ce cul rose et rebondi doit être jouissif. C’est décidé, la fessée d’abord, les pluches après.A l’heure de l’apéritif vespéral, tout est prêt. Mon père est venu me voir en cuisine pour vérifier mon travail. La consigne donnée était de faire simple, léger et classique quand même. J’ai donc imaginé une mousse d’avocat au saumon fumé et parfumé à l’aneth, un baron d’agneau en croûte sur lit de morilles et des boules de sorbet au citron (faites maison) copieusement arrosées de vodka. Mon géniteur semble apprécier le soin que j’ai pris et me remercie par une petite tape sur mes fesses nues, ce qui m’émeut illico. Nicole a mis la dernière main à mon costume de soirée qui se compose d’un collier de chien équipé d’une courte laisse de cinquante centimètres d’un masque intégral, lacé sur la nuque et n’ayant d’autres ouvertures que celles des yeux, et de deux bracelets très larges, en cuir, serrés autour de mes poignets. Pour le reste, je suis nu de la nuque aux orteils, si l’on excepte l’impressionnant plug qu’on m’a enfoncé entre les fesses.Simone a droit à une tenue un peu plus sophistiquée quoi qu’assez peu conventionnelle. La robe qu’elle porte se compose d’un bustier qui soutient les seins sans les cacher et de deux pans latéraux, non cousus, laissant ainsi une vision parfaite sur le ventre et les fesses tous deux nus bien évidemment. Bouche, yeux, chatte et tétons sont maquillés d’un bleu qui s’harmonise parfaitement à la blondeur de sa chevelure et de sa toison pubienne. Bref, ma mère, elle est bandante ! Nicole a opté pour une tenue style dompteuse de fauves, sauf que son justaucorps rouge ne cache pas grand-chose de ses seins magnifiques et que son pantalon noir, très ajusté, est totalement ouvert à l’entrejambes. Mon père s’est trouvé un pantalon de smoking cramoisi qu’il a complété d’une chemise en soie blanche.Lorsque nos invités arrivent, je suis mort de honte d’être tout nu, car c’est moi qui ai dû leur ouvrir la porte. L’homme est grand, mince, l’air autoritaire renforcé par son uniforme de lieutenant-colonel. Il est accompagné par une jeune fille brune, très belle, mince, qui lui ressemble beaucoup. A la rondeur de son ventre, on peut dire qu’elle est enceinte d’au moins six mois. J’apprends qu’elle s’appelle Agnès, fille du Lieutenant-Colonel de gendarmerie Nevicato. C’est un ami personnel de mon père, qui vient de rentrer en France après une longue carrière dans les Dom-Tom.Pendant que je les installe pour prendre l’apéritif, j’ai droit à un compliment du militaire, accompagné d’une main qui se balade sur mes fesses avec insistance.— Toutes mes félicitations Arthur, ton fils est à mon goût. Je serais ravi que tu m’autorise à investir son cul. L’endroit me paraît sympathique.— Je ne pense pas que cela pose problème, mon cher Alban. Tu demanderas à Nicole, c’est sa propriété personnelle. Elle sera ravie de te prêter son mari. Pour mon compte, je suis un grand classique, tu le sais, je préfère les femmes. Quelle bonne idée que tu as eu d’amener ta fille.— N’est-ce pas ? Il faut qu’elle sorte la petite, elle a tendance à rester à la maison parce qu’elle a honte de son gros ventre. Mais moi j’en suis plutôt énormément fier. C’est quand même à la fois mon fils et mon petit-fils, non ? Qu’en pense cette chère Simone ?— Ah, mon Colonel, je vous admire et j’envie Agnès pour son bonheur. — Tu n’es pas malheureuse non plus, je crois savoir ! Ton fils me paraît tout à fait de nature à combler les vœux d’une mère. D’une belle cochonne aussi, si mes souvenirs sont bons.— Merci mon Colonel, toujours à votre disposition si mon maître est d’accord§— Ce cher Arthur ! Je ne crois pas que ce sera un problème !— Certainement pas, mon ami, sauf que le maître de Simone est son fils Daniel, dont j’ai fait de sa femme ma soumise. Crois-moi, choisis la jeune, tu ne perdras pas au change. Simone se fait vieille, maintenant. Et toi, si tu n’as rien contre les grosses dondons, amuse-toi un peu avec Agnès, tu verras, c’est du haut de gamme.Le programme de la soirée était donc clair. Ces messieurs allaient s’en donner à cœur joie sur notre dos. A voir briller les yeux de ma femme, je ne doutais pas qu’elle se réjouissait déjà de me contempler bientôt cloué à quatre pattes sur la moquette par la queue du colonel. Et le plus étonnant était que cette perspective m’excitait beaucoup, au point que je me suis retiré pour ramener des glaçons de la cuisine.Deux bourbons plus tard, j’avais dû suspendre mon service. Mon père avait pris possession des fesses d’Agnès qui grimaçait un peu vu la grosseur de la bite paternelle comparée à la modestie de son plissé. Momone était couchée sur le dos, tête-bêche avec moi, s’occupant d’entretenir la raideur de ma queue en même temps que le colonel, avec l’aide de ma femme, me dépucelait le cul à grands coups de reins. Douloureux, ça l’était, mais pour rien au monde j’aurais voulu que cela s’arrête. Je découvrais un plaisir que je n’aurais jamais imaginé aussi intense. Physiquement, sentir coulisser en moi cette verge dure, brutale, impitoyable, me procurait une jouissance dont le paroxysme m’avait conduit à inonder la bouche de ma mère d’un foutre abondant sans que je débande pour autant. Mentalement, être réduit à un simple vide-couilles dont on se sert sans lui accorder la moindre caresse, me rabaissait au niveau de l’objet. Les commentaires qu’échangeaient ma femme, mon père et son ami n’étaient ni méchants ni violents, ils m’ignoraient simplement en tant que personne.— Ça va comme tu veux, Alban ? demandait mon père.— Pour moi, c’est parfait, il est un peu serré, mais ça n’en est que meilleur.— A ma connaissance, tu dois être le premier à t’en servir.— Tu te prives d’un grand plaisir, Arthur, ne l’appelle-t-on pas le Plaisir des Dieux ?— Oui, ben écoute, je vais rester sur mes opinions, d’autant que tant qu’il y aura des culs comme celui de ta fille, je ne vois pas l’intérêt d’utiliser un mec.Bref, à la fin de la soirée, j’avais le cul en feu, je ne pouvais plus m’asseoir, je bandais toujours mais plus rien ne sortait de mes couilles asséchées par les pipes ininterrompues des trois femelles et j’étais à la limite de la nausée après avoir dû nettoyer à la langue leurs chattes copieusement graissées par les deux vieux. Et malgré cela, j’étais aux anges. J’avais découvert ma vraie nature et j’avais compris qu’elle correspondait aux goûts de ma femme et de mon père. Ce qui signifiait que pour les années à venir, mon destin était tracé : le bonheur dans l’esclavage, comme aurait dit Jean Paulhan, ce serait mon lot. Et déjà je m’imaginais répercuter sur ma chère Momone, toutes les misères qu’on me ferait subir par ailleurs. Après tout, l’expression populaire assemble souvent les deux termes, sadisme et masochisme. Maso, ça, je l’étais, c’était une certitude. Deviendrai-je Sado ? En cette fin de soirée, première d’une série que je prévoyais longue, de réunions de débauche et de stupre, je regardais Momone d’un œil nouveau. L’imagination n’était pas mon point faible et j’entrevoyais déjà les ‘’misères’’ que je pourrais faire à ma petite mère adorée.Maman chérie, fais-moi plaisir, pleure !
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