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Voyage en Afrique

Chapitre 3

Hétéro
Fabrice et Bruno

Nous sortons du domaine et traversons la route, Fabrice et Bruno nous attendent sur le chemin de la plage, il n’est pas éclairé, mais comme c’est la pleine lune et on y voit assez bien. Nous arrivons sur la plage, il y a un couple qui se baigne à deux cents mètres, ils s’amusent et se chamaillent complètement nus. Nous enlevons nos robes et étalons nos serviettes, Fabrice et Bruno n’en ont pas. Je m’assois et fais signe à Fabrice de venir s’assoir à côté de moi. Bruno s’assoit à côté de Joy.
— On va prendre un bain de minuit.— Pas possible, nous n’avons pas pris de maillot de bain.— Tu n’as pas pris ton maillot pour venir à la plage ?— Et bien quand on vous a rejoints, nous ne savions pas que ça allait se terminer ici, donc pas de maillot.— Pas grave, un bain de minuit, ça se prend nu.— Tu vas enlever ton maillot pour te baigner ?— Oui, c’est comme ça qu’on prend un bain de minuit.— Tu vas être nue ?— Et toi aussi, car je veux que tu viennes avec moi, je me sentirais plus en confiance avec toi à mes côtés dans cet immense océan.

Il me regarde drôlement, il semble dubitatif. Je regarde vers le couple qui est dans l’eau.
— Regarde, ils se baignent bien nus eux !— Oui, mais ça me gêne un peu.— Ecoute, ne me dis pas que ça te gêne d’être nu avec moi.— Le problème, ce n’est pas d’être nu, mais simplement que je ne sais pas si je vais pouvoir rester zen.— Si je comprends bien, tu as peur de bander ?— Non, pas peur, je suis sûr que je vais bander.— Oh, alors ça, ça n’a aucune importance.


Je me lève et commence à enlever mon soutien-gorge, Joy se lève et m’imite. Les slips vont les rejoindre très vite. Nous nous retrouvons à poil devant eux, nous les regardons. Bruno se lève et enlève son tee-shirt et son short, il est lui aussi à poil, son énorme sexe pend entre ses jambes. Je regarde Fabrice qui me regarde et se décide à se lever et faire passer son tee-shirt par-dessus sa tête, le short suit, mais lui, il montre à tout le monde son excitation, il bande. Je peux admirer un énorme sexe coiffé d’un monstrueux gland dirigé vers la lune. Ils sont tous les deux imberbes, leurs pubis sont lisses et brillants sous la lumière de la lune. Je prends Fabrice par la main et vais vers la plage, Joy et Bruno nous suivent. Une fois dans l’eau jusqu’à la ceinture, je m’immobilise en attente de la vague qui devrait monter jusqu’à mon cou. Fabrice reste à côté de moi, j’attends trois ou quatre vagues, mais elles sont moins hautes que ce matin.
Nous nous avançons un peu plus, maintenant, les vagues ne descendent pas en dessous de mon sexe. J’attends de nouveau deux ou trois vagues, la houle ne va que de mon sexe à mon nombril, je m’approche de lui à le toucher pour me saisir de son sexe toujours aussi raide. Il me regarde, étonné.
— Tu n’aimerais pas que je calme ta tension ?— Et comment comptes-tu faire ?

Je m’approche, me plaque contre lui et passe mes bras autour de son cou.
— Tu me soulèves, me plaques contre toi et me laisses redescendre, je pense que je saurais quoi faire.— Céline, tu es sérieuse ?— Oui, exécution !— A vos ordres, cheffe.

Il me prend par la taille, me soulève avec l’aide de l’eau qui monte, me plaque contre lui, je passe mes jambes autour sa taille. Il me laisse descendre lentement, son gland touche mon périnée, je bouge de manière à l’amener vers mon sexe dans lequel il s’enfonce doucement jusqu’à ce que je sente son pubis contre le mien.
— Oh oui, oui, quelle bite.

Je suis complètement possédée par cette verge monstrueuse et surtout ce gland d’une grande présence dans mon vagin. Il me fait monter et descendre sur son sexe, Fabrice est d’une très grande force, j’ai l’impression d’être une poupée entre ses mains, mais je me laisse aller à cette onde que je sens monter dans mon corps. Je vois Joy exactement dans la même position que moi, Bruno l’a empalé sur son sexe. L’eau participe, elle me caresse les fesses, ceci combiné aux va-et-vient que je fais sur son sexe déclenche assez rapidement mon orgasme. Je me serre contre lui en donnant des coups de reins, je sens un violent jet m’inonder le col, j’explose. Je suis submergée par un tsunami hors norme, des millions de feux d’artifice explosent dans mon corps, je suis pulvérisée dans l’atmosphère comme de la poussière, je plane au-dessus de l’eau, je m’approche de la lune, je suis sorti me promener dans l’univers.
Il me serre contre lui, je suis plaquée contre cet homme magnifique qui vient de me donner un plaisir comme jamais je n’en ai eu avec un homme. Je rapproche ma tête de la sienne, nos bouches se soudent. Nos langues font connaissance, elles se testent, s’apprivoisent, se reconnaissent, s’aiment. Notre baiser dure un long moment, quand je reviens à moi, Joy est à côté de nous.
— Allez, entrons, nous serons mieux dans nos chambres.— OK.

Je suis toujours empalée par le sexe de Fabrice, il a à peine ramolli. Il me libère, son sexe est toujours à l’horizontale. Je me penche pour lécher la dernière goutte de sperme qui perle sur son gland.
— Hummmmm, très bon.

Nous sortons de l’eau et allons récupérer nos serviettes pour nous sécher. Une fois sèche, j’enfile ma robe et prends mon maillot à la main. Joy fait la même chose. Nous entrons les premières dans le domaine et allons chez Joy, son bungalow est pour quatre avec un grand lit et des lits jumeaux dans les autres chambres. Nous prenons une douche en attendant les hommes qui doivent aller eux aussi se doucher. Joy se colle à moi.
— Tu es très belle, j’ai toujours envie de toi, tu sais.— Moi aussi, j’ai envie de toi.

Elle s’accroupit devant moi pour coller sa bouche sur mon sexe, sa langue s’en occupe pour me faire jouir au bout d’une minute. Quand elle se redresse, c’est moi qui m’accroupis pour m’occuper de son sexe. Je prends de plus en plus de plaisir à poser ma bouche sur le sexe d’une femme, en tout cas, sur celui de Joy. J’adore sentir ses lèvres souples et douces sous ma langue. Je lui aspire le clitoris, elle jouit elle aussi assez vite. Nous sortons de la douche, nous séchons et retournons dans la grande chambre principale. Nous voulons ajouter des lits pour en faire un immense où nous pourrons être tous ensemble, Joy a envie de goûter à Fabrice, et moi à Bruno, bien que Fabrice ne me laisse pas complètement indifférente. Nous commençons quand arrivent les hommes. Ils se sont splendides habillés en costume local. Nous sommes toujours nues, en nous voyant, ils enlèvent leurs boubous, ils sont nus dessous. Nous disposons les lits en un seul immense.

Je m’allonge au milieu, Joy à côté de moi, Fabrice se met à côté d’elle et Bruno à côté de moi. Indiscutablement, ils ont eu la même idée que nous, ils veulent nous goûter toutes les deux. Je me tourne du côté de Bruno, ma main commence à explorer ce magnifique corps, Joy fait la même chose avec Fabrice. Mes doigts glissent sur sa peau très douce, ils passent du torse au pubis. Je me penche un peu plus sur lui pour poser mes lèvres sur son sein gauche, je le titille, ma bouche descend le long de son corps, elle arrive au pubis pour tomber sur un énorme gland au bout d’une verge bien raide, épaisse et longue. J’ai du mal à le gober, mais j’y arrive en ouvrant ma bouche à m’en faire mal aux muscles. Ma langue titille le gland, je le sens réagir à mes caresses. Mon sexe commence à ruisseler, je n’ai qu’une envie, c’est de me planter sur ce vit bien dur. Pourtant, je ne peux m’empêcher de regarder Joy et Fabrice, j’ai un petit pincement au cœur.

Je me couche sur Bruno, mes cuisses bien ouvertes, je glisse vers son sexe qui touche ma vulve. Je continue jusqu’à ce que je sente son pubis sur le mien. Je suis couchée sur lui, ma peau colle à la sienne, j’ondule du bassin, je sens son sexe entrer et sortir de mon sexe, il se laisse faire en fermant les yeux. Il est surpris quand je pose mes lèvres sur les siennes. Nous échangeons un baiser pendant que mon sexe masturbe le sien. Je le sens se tendre lentement, je commence à sentir les prémices de l’orgasme, mais je reste à mon rythme, je veux retarder le plus possible la délivrance et déguster le plus longtemps possible cet énorme sexe dans mon sexe. Il m’enlace, ses mains parcourent mon corps pour venir sur mes fesses, elles s’y installent et les caressent. Mais l’onde de plaisir fait son chemin dans mon corps qui commence à m’échapper, une vague monte en moi pour venir m’emporter au nirvana.
Mon corps se tend, j’explose dans un sublime orgasme, accompagné par Bruno qui se vide dans mon sexe. Quand je reviens à moi, Bruno m’enlace, je suis toujours sur lui, je tourne la tête pour voir Joy et Fabrice bouche à bouche eux aussi l’un sur l’autre. J’ai de nouveau un pincement au cœur, je ne comprends pas pourquoi. Je sens le sexe de Bruno sortir de mon sexe, je me laisse aller sur le côté, une main glisse sur mon corps.
— Tu es merveilleusement belle Céline, j’adore passer ma main sur tes seins.— Alors, profites-en.

Fabrice se lève, Bruno en fait autant.
— Il est très tard, nous bossons demain à sept heures, il faut y aller, à bientôt les filles, je crois exprimer aussi la pensée de mon cousin Bruno en disant qu’on a passé un moment merveilleux avec vous.— Et j’espère qu’on en passera d’autres, tu es d’accord Joy.— Absolument, nous avons pratiquement quinze jours pour ça.— Alors demain, même endroit, même heure.— OK, dormez bien les filles.

Ils nous quittent, je n’ai pas le courage d’aller chez moi, je reste dans le lit de Joy.
— Je me sens bizarre.— Ah bon, pourquoi ?— Je ne sais pas, j’ai eu une drôle d’impression en te voyant avec Fabrice.— Tu es jalouse ?— Non, ce n’est pas ça, je ne pourrais te dire pourquoi, je n’en sais rien.

Nous nous collons l’une à l’autre, je l’enlace pour l’embrasser tendrement. Elle répond à mon baiser avec ardeur, je finis par m’endormir dans ses bras.

Le lendemain, je suis réveillée par une langue titillant la mienne. Instinctivement, je réponds à ce baiser, ma main se pose sur son corps pour le caresser.
— Bonjour, ma chérie, tu as bien dormi ?— Oui ma chérie, j’étais très bien dans tes bras.— Oh là, ton langage évolue.— Oui, j’aime bien être avec toi, donc tu es ma chérie.

Elle pose ses lèvres sur les miennes pour un baiser langoureux. Je me surprends à aimer ça de plus en plus. Je réponds avec passion à cette preuve de tendresse. Nous prenons une douche, je passe vite fait chez moi me changer et nous allons prendre notre petit-déjeuner. Nous arrivons juste avant la fin du service, le serveur prend notre commande avec le sourire, ils sont vraiment géniaux ici. Nous déjeunons, mais tout à coup, une sirène retentit, c’est l’alarme incendie. Toute l’équipe du domaine se précipite vers le fond d’où s’échappe une fumée noire. Nous pouvons quand même finir notre déjeuner et allons dans mon bungalow. La situation a l’air de bien évoluer, les mouvements du personnel sont moins précipités, plus calmes. Nous allons à la plage, toujours autant de monde, au moins deux personnes pour cent mètres carrés. Nous nous installons un peu à l’écart pour pouvoir nous poupouiller un petit peu.
Nous sommes derrière des dunes, personne ne peut nous voir, je décide d’enlever mon maillot et de bronzer intégral. Joy en fait autant, mais de voir ce magnifique corps nu à côté de moi me met dans tous mes états, je ne peux résister et me couche sur elle tête-bêche.
— Eh bien, pour une débutante, tu en redemandes.— Fais-moi jouir chérie, fais-moi jouir.— Ne t’en fais pas, je vais m’occuper de ta petite chatte.

Je pose ma bouche sur son sexe, elle en fait autant, sa langue me fouille partout, j’essaie de faire la même chose qu’elle. Mon corps commence à réagir positivement aux caresses linguales de Joy, il m’envoie des signes de plaisir de plus en plus fort. Une énorme onde se forme, je sais que ça va finir par un énorme orgasme, mais je voudrais que Joy jouisse aussi, j’ai envie de sentir son corps vibrer sous ma langue. C’est le cas, elle bouge de plus en plus, je la sens se tendre dans mes bras, mais c’est moi qui jouis la première, dans mon extase, je lui mords un peu le clitoris au moment où elle explose dans un gigantesque orgasme. Elle est secouée de violents spasmes, je la serre dans mes bras pour vivre avec elle son bonheur. Je n’arrive plus à distinguer si c’est moi ou elle qui nous secoue comme ça. Elle se détend doucement, je lui lèche la vulve à grands coups de langue. Je ne me lasse pas de ce jus d’amour doux et abondant. Je sens sa langue sur ma vulve.
Je me laisse aller sur le côté et m’allonge contre elle.
— Excuse-moi Joy, mais je n’étais pas dans mon état normal, je ne t’ai pas fait mal j’espère.— Non, ne t’en fais pas, au contraire, ça m’a fait encore plus jouir, je dois être un peu maso.
Nous échangeons un long baiser au goût de cyprine. Nous nous allongeons sur nos serviettes pour prendre un peu de soleil. Je ferme les yeux pour apprécier encore mieux ce moment de détente au soleil.
— Viens voir ces merveilleuses sirènes, chéri.
J’ouvre les yeux en sursautant pour voir une très belle femme assez bronzée d’une trentaine d’années en deux pièces. Un homme du même âge déboule de derrière la dune. J’ai le réflexe de me cacher en rabattant la serviette, mais je réalise que c’est complètement ridicule, donc, je m’assoie sur ma serviette et les regarde. Joy est assise à côté de moi.
— Bonjour mesdemoiselles, on ne veut pas de marques de maillot ?— Surtout mon amie, moi, vous savez, je suis assez bronzée comme ça, n’est-ce pas Céline ?— Tu as raison ma chérie, ça n’intéresse que moi.— Vous avez raison, vous êtes tellement belles.
Le couple s’avance vers nous, je vois que le slip de bain de l’homme est bien rempli et qu’en plus, le volume augmente. La femme s’accroupit devant moi en écartant un peu ses jambes, je vois une énorme auréole humide sur son slip blanc au niveau de l’entrejambe. L’homme est à côté de Joy qui semble très intéressée par le contenu de son slip. Je regarde la femme dans les yeux, son regard est franc et gourmand.
— Et en plus, le spectacle ne te laisse pas indifférente.— Tu as raison, j’adore regarder les belles femmes comme toi, et tu es particulièrement excitante, comme ton amie d’ailleurs qui excite mon mari.— C’est tout, regarder ?— Et aussi jouer un peu avec elles quand elles le veulent bien.— Je ne vois aucun obstacle qui pourrait empêcher cela, qu’en penses-tu Joy.— Aucun problème à jouer un peu, tu me laisses le mâle ?— Bien sûr, je prends la femelle.
La femme me sourit, passe ses mains derrière le dos pour dégrafer son soutien-gorge, deux magnifiques seins apparaissent, hauts, ronds et fermes, je me surprends à avoir un nœud dans le bas-ventre. Mon sexe s’humidifie. Elle tire sur les ficelles de son slip qui tombe à terre, encore un nœud dans le bas-ventre. Je m’allonge sur ma serviette, elle vient se mettre sur moi tête-bêche, décidément, c’est la journée. J’ai le temps de voir l’homme s’allonger sur Joy et lui introduire un énorme sexe bien raide dans sa chatte. La langue de la femme commence à s’activer sur ma vulve, je l’imite en la plaquant sur ma bouche. Ses fesses son très fermes, limite dures, ce doit être une sportive. Nos langues s’activent sur nos sexes, je sens monter en moi un orgasme, mais elle met un malin plaisir à retarder au maximum la délivrance.
Je fais exactement ce qu’elle me fait, ça a l’air d’être une grande spécialiste, elle est capable de m’amener au bord de l’orgasme pour faire descendre la tension immédiatement après. Je sens aussi son corps se tendre et se détendre, je fais glisser mes mains sur ce corps magnifique et très doux lui aussi, mais je crois que ça vient essentiellement de sa crème solaire. Soudain, j’entends Joy jouir, elle exprime son plaisir assez bruyamment, je ne peux résister et explose dans un nouvel orgasme accompagné par la femme. Nous exprimons nous aussi notre bonheur bruyamment. Je la serre à m’étouffer, j’ai envie de sentir ce corps vibrer contre le mien, je réalise que j’éprouve un extraordinaire plaisir à sentir jouir une femme contre mon corps, ce sentiment ne m’était jamais arrivé avec un homme. Deviendrais-je lesbienne, ou est-ce la découverte d’un nouveau plaisir ?
— Tu es bien ma chérie ?
Je suis allongée sur ma serviette, Joy est allongée à côté de moi, je tourne la tête pour tomber sur ses lèvres. Nous échangeons un tendre baiser. Quand je rouvre les yeux, le couple a disparu, je regarde Joy.
— Ne t’en fais pas, ils sont partis, ils ne veulent pas d’attache, alors, ils sont partis comme ils sont venus.— OK, mais on va les revoir au domaine.— Non, ils ne sont pas au domaine, ils sont à l’hôtel Saly.— Tant mieux.
Nous enfilons nos maillots pour aller nous baigner. L’eau est toujours aussi bonne, je me régale. Je reste un bon moment dans cette eau extraordinaire, je vois les pêcheurs qui tendent leurs filets avec leurs pirogues. Ils vont au-delà des rouleaux pour revenir sur la plage cinq cents mètres plus loin. Là, toutes les personnes présentes tirent sur chaque bout du filet. Au bout d’une demi-heure, le filet est revenu sur la plage et libère les poissons qu’il a piégés. Une ribambelle de poissons gigote sur le sable, les femmes viennent prendre la friture, elles laissent les plus grosses pièces aux pêcheurs. Il n’y a pas de problème, chacun prend ce qui lui est dû, un extraordinaire exemple de vie et de partage en communauté. Je vais rejoindre Joy que je surprends la main sur son sexe. Je me précipite, lui écarte la main et plonge ma bouche sur son sexe liquéfié. Elle jouit en moins d’une minute. Je me redresse et la regarde triomphante.
— Alors, on voulait jouir sans moi.— Excuse-moi, mais tu tardais à revenir, j’avais trop envie de jouir.— C’est ce superbe spectacle des pêcheurs qui m’a retenu.— OK, mais il est midi, il faut rentrer pour le déjeuner.— Allons-y.
J’enfile ma robe et nous repartons au domaine. Après une rapide douche, nous allons manger. C’est encore une fois extra, le cuisinier est génial, que ce soit en cuisine française ou régionale. A la fin du repas, une annonce est faite.
— Mesdames, messieurs, vous n’êtes pas sans savoir qu’un incendie a ravagé trois bungalows ce matin, ce qui a eu pour conséquence de priver de chambres trois familles. Comme il n’y a pas d’autres bungalows disponibles, nous demandons à chacun s’il peut héberger une personne dans son bungalow pour une ou deux nuits, jusqu’au départ des personnes concernées. Merci de venir me voir pour me faire part de vos disponibilités.
Je regarde Joy.
— On pourrait laisser un de nos bungalows et occuper l’autre, qu’en dis-tu ?— Super, comme ça, on dormira toutes les nuits ensemble, allons le voir.— On libère le mien, le tien est plus grand.— Bien sûr.
Nous allons voir le responsable, nous lui indiquons que je peux libérer mon bungalow jusqu’au vingt-six août, date de notre départ. Il est très heureux de cette surprise, il ne s’attendait pas à récupérer un bungalow pour presque quinze jours. Il a trois fiches devant lui, il les regarde et en sort une.
— J’ai justement un couple qui est arrivé samedi et qui repart le vingt-six comme vous, ils vont être agréablement surpris, ils s’attendent à être obligés de partir dès qu’on aura trouvé deux places de libres dans l’avion.— OK, on va récupérer mes affaires.— Oui, j’envoie quelqu’un préparer votre bungalow pour eux et passez me voir vers seize heures, il va falloir régulariser au niveau du paiement, je vais faire en sorte qu’on vous rembourse la location de votre bungalow, c’est le moins qu’on puisse faire.— OK.

Nous rentrons chez moi, je fais vite fait ma valise, au moment de sortir, je vois Fabrice qui arrive avec deux femmes. Il vient vers nous, j’ai un petit coup au cœur. Il me regarde droit dans les yeux.
— Bonjour, mesdemoiselles, nous venons pour préparer le bungalow, merci de votre solidarité, croyez bien que nous ferons tout pour vous rendre votre séjour encore plus agréable.— C’est très gentil à vous, nous y comptons bien.

Nous les quittons, nous avons failli exploser de rire devant le sérieux de Fabrice, surtout que ses yeux trahissaient son ironie. Je pose mes affaires dans le bungalow de Joy, j’ai envie de m’allonger un peu, histoire de me détendre, mais Joy ne l’entend pas de cette oreille, elle m’écarte les cuisses et se jette sur mon sexe. Sa langue se promène entre mes lèvres, mon périnée, ma vulve, mon clitoris pendant quelques minutes jusqu’à ce qu’elle se fixe sur mon clitoris, que ses lèvres me l’aspirent pour me faire jouir encore une fois comme une folle. Je suis submergée de bonheur, elle vient s’allonger à côté de moi, elle m’enlace, elle pose sa tête sur mon épaule.
— J’ai envie de dormir un peu dans tes bras.

Elle s’endort en une minute. Je ne bouge pas, je regarde ce merveilleux corps sombre, lisse, doux, brillant, éclairé par un rayon de soleil. J’ai un pincement au cœur, je suis très émue, je ne comprends pas trop pourquoi. Une chose est sûre, cette fille m’émeut, c’est la première fois qu’une femme déclenche une émotion chez moi, mais je l’accepte, je ne veux pas lutter contre mon cœur. Au bout d’une bonne demi-heure, elle se réveille, je fais glisser ma main sur ses fesses que j’adore caresser. C’est vrai qu’elle a une peau d’une douceur extraordinaire, j’ai remarqué que Fabrice et Bruno avaient eux aussi une peau très douce, serait-ce la conséquence de la couleur de la peau ou du soleil omniprésent en Afrique.
— Tu n’as pas bougé ?— Non, je ne voulais pas te réveiller, et puis, j’adore te voir dormir dans mes bras, tu es magnifique.— Tu vas te rendre indispensable, fais attention, je vais m’attacher à toi.— Oui, et alors.— Alors, ne bouge pas, je suis si bien dans tes bras.

Nous restons encore quelques minutes comme ça, mais l’heure tourne, il faut aller au bureau pour régler l’affaire du bungalow. Le responsable nous présente le couple qui va prendre ma place, ils ont au maximum trente ans, ils semblent assez coincés, ils restent dans leurs coins. Pourtant, lui est très beau, et elle a une magnifique poitrine moulée dans un tee-shirt et est très jolie. Je regarde Joy qui semble très intéressée par la femme. Quand elle se lève pour nous serrer la main, je vois qu’elle a en plus un très beau cul moulé dans un short seconde peau très sexy. Le responsable nous rembourse la moitié de la partie logement à toutes les deux, et en plus, il nous fait un avoir à valoir dans les boutiques du domaine ou au bar, ça nous satisfait amplement. La femme vient vers moi.
— Nous voudrions vous remercier et vous inviter à prendre l’apéritif avec nous tout à l’heure vers dix-neuf heures trente, ça vous va ?— OK, dix-neuf heures trente au bar, à tout à l’heure.

Nous retournons au bungalow pour enfiler nos maillots de bain et aller à la plage, Fabrice et Bruno doivent nous y rejoindre dès qu’ils sont libres. Nous sommes au même endroit qu’hier, nous enlevons nos maillots pour bronzer nues. Ils arrivent à dix-sept heures vingt.
— Nous sommes venus vous rendre le séjour le plus agréable possible.

Tout le monde éclate de rire, je me jette sur Fabrice, j’aime me serrer contre son corps puissant, il a quelque chose en plus, son allure, son aisance, un je ne sais quoi qui me plaît beaucoup. Je pose mes mains sur la ceinture de son maillot et tire vers le bas, je lui enlève complètement, il est nu devant moi, le sexe dressé vers le ciel.
— C’est moi qui te mets dans cet état ?— Oui, c’est toi.— Alors, nous allons satisfaire à ton désir.

Je m’allonge sur ma serviette et l’attire sur moi, son sexe s’enfonce directement dans mon vagin déjà bien lubrifié. Nous faisons l’amour tendrement, lentement, comme de vieux amants. Je jouis pratiquement en même temps que Joy qui fait l’amour avec Bruno. Fabrice a lui aussi joui, je me blottis contre lui, j’aime son torse puissant et sa peau douce, nous échangeons un long baiser. Au bout d’un petit moment, nous nous asseyons.
— Tu es originaire du coin.— Mes parents sont originaires d’ici, mon grand-père a fait la guerre de quarante dans les tirailleurs sénégalais comme sous-officier, à la libération, il est resté à Paris. Ma grand-mère l’a rejoint en mille neuf cent quarante-neuf, une fois qu’il était bien installé. Ils ont eu un fils, mon père, et suivant la tradition, il a dû épouser une fille du village qui est venue le rejoindre en mille neuf cent soixante-douze. Je suis né à Paris, comme mon cousin, nous sommes de l’ethnie des Sérères, une ethnie du coin.— Mais tu ne vis pas à Paris.— Non, mes parents ont déménagé à Toulouse quand j’avais trois ans, mon père y avait trouvé un meilleur boulot. Je ne connais pas Paris.— Je vois que tu as un prépuce comme Bruno, vous n’êtes pas circoncis, vous n’êtes pas musulmans ?— Non, nous sommes catholiques, nous sommes à peu près cinq pour cent de la population sénégalaise, ici, pas de problème de religion, la quasi-totalité de la population est musulmane, mais tout le monde se mélange sans problème. Il faut dire que toute la population a gardé en elle une part d’animisme, ça facilite les choses, je porte un gris-gris par exemple, c’est une tradition animiste, mais pratiquement tout le monde en porte.— Et il sert à quoi ton gris-gris ?— A me protéger de ceux qui me veulent du mal, même si je ne les connais pas, je sais, c’est absurde, mais c’est la tradition ici.— Tu sais, je respecte toutes les traditions, ça a toujours un fondement.— Il le faut ici, tu es mieux accepté surtout si tu n’es pas né ici.— Et tes parents ?— Ma mère est morte d’un cancer quand j’avais sept ans, et mon père est revenu au Sénégal pour créer une société d’import-export il y a une quinzaine d’années.— Mais comment tu vis à Toulouse ?— Chez les parents de Bruno, c’est pour ça que c’est plus un frère qu’un cousin.
Il passe son bras sur mes épaules et m’attire à lui, nos bouches se soudent. Je réponds à son baiser avec plaisir, il me serre contre lui, je suis bien contre sa peau. J’ai envie d’aller me tremper dans l’eau, nous enfilons nos maillots, mais Joy et Bruno font une nouvelle fois l’amour, nous nous éclipsons sans les déranger. Nous jouons dans l’eau comme des gosses, je suis merveilleusement bien, détendue, joyeuse, heureuse. J’ai rencontré une femme et un homme qui m’apporte chacun quelque chose qui me manquait. Ça ne durera certainement pas au-delà de ces vacances, mais je veux en profiter au maximum.
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