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Voyage en Afrique

Chapitre 4

Lesbienne
Cécile
Nous devons rentrer, il va être dix-neuf heures, juste le temps de rentrer et de prendre une douche avant d’aller prendre l’apéritif avec le couple de trentenaires. Les garçons restent encore pour ne pas attirer l’attention du gardien du domaine. Une fois entrées, nous nous précipitons sous la douche, mais j’ai envie de la savonner et, évidemment ça se termine accroupie devant elle à lui titiller le clitoris avec ma langue. Après avoir joui, elle me rend la politesse. Nous arrivons au bar, j’ai juste enfilé une jupe droite et un tee-shirt, j’ai volontairement oublié les sous-vêtements, de même pour Joy. Quand nous arrivons, le couple est déjà là, la femme vient vers nous pour nous embrasser.
— Vous ne pouvez pas savoir notre joie de pouvoir rester ici, à dix heures, nous envisagions le retour précipité à Paris ou aller au Saly hôtel, mais on nous a proposé cette solution, merci encore à vous deux.
Je la regarde mieux, elle est très jolie, beaux seins, beau cul qui me semble nu, comme ses seins, sous sa robe courte juste au corps. Elle s’habille assez sexy. Lui est en bermuda blanc et chemisette hawaïenne, il nous regarde à peine. Nous discutons un peu, ils repartent en même temps que nous à la fin du mois, elle s’appelle Cécile et lui Paul, ils ont tous les deux vingt-cinq ans. Elle est là pour bronzer et se reposer, lui, pour aller à la pêche au gros avec un club. Il part tous les matins à six heures à la pêche, elle s’ennuie un peu, mais elle se repose et passe son temps dans l’eau. Je vois que Joy s’intéresse beaucoup à Paul, elle le drague ouvertement. Après l’apéritif, nous allons manger ensemble, ils sont un peu plus détendus, la soirée se passe très bien. Paul a un certain humour, mais reste un peu distant, j’avoue que je ne le sens pas très bien.
Vers vingt-deux heures trente, il décide d’aller se coucher, il se lève très tôt demain pour sa partie de pêche, mais Cécile décide de rester encore un peu avec nous, il nous embrasse et rentre chez dans son bungalow.
Une fois seules, Cécile change complètement de comportement, elle est beaucoup plus volubile. Nous sommes sur la terrasse, elle est en face de nous, elle bouge beaucoup en remuant les jambes. A un moment, elle écarte un peu ses cuisses, je distingue un pubis blanc et lisse. Joy a décidé de moins serrer mes cuisses, Cécile peut voir sous le pont de sa jupe jusqu’en haut de ses cuisses. Elle se penche sur la table basse pour prendre son verre et en profite pour ouvrir un peu plus ses cuisses, je pense qu’elle veut la tester. Moi-même, je ne serre pas mes cuisses, elle doit pouvoir voir jusqu’à mon pubis. Je vois que les yeux de Cécile vont dans la direction du sexe de Joy et du mien alternativement. Cécile attire notre attention.
— Bon les filles, je ne vais pas tourner autour du pot pendant cent-sept ans, vous êtes ensemble, ça se voit, c’est évident. Je dois vous dire que je m’ennuie toute seule, Paul n’est jamais là. Pensez-vous qu’il soit possible que je partage un peu vos journées, sans m’imposer, ça va de soi.— Parfaitement, nous sommes disposées à t’accueillir parmi nous, pourquoi penses-tu que ça puisse nous gêner ?— Vous voudriez peut-être être seules.— Plus on est de folle, plus on s’amuse.— Super, mais il faut que je rentre, j’ai eu une journée très stressante, il faut que je dorme, on se revoit demain ?— Oui, nous déjeunons vers neuf heures en général, mais on va rentrer aussi, on t’accompagne.— OK, en route.
Elle se lève, non sans avoir ouvert en grand ses jambes pour nous présenter sa petite chatte bien rose. Nous l’accompagnons jusqu’à son bungalow, arrivées devant, je lui précise une chose.
— Tu viens avec ton maillot, nous irons directement à la plage après.— OK, je mets mon maillot sous ma robe.
Elle nous quitte non sans avoir posé furtivement ses lèvres sur les nôtres. Nous rentrons, prenons une douche crapuleuse et nous couchons, enlacées.
— Drôle de couple, tu ne trouves pas ?— Oui, ils n’ont pas l’air très unis, comme s’ils vivaient chacun de leur côté, ils n’ont aucun geste de tendresse l’un envers l’autre, pourtant ils sont jeunes, ce n’est pas l’usure du mariage.— Je ne sais pas, mais ce qui m’a le plus étonné, c’est que je lui ai fait du rentre-dedans, il n’a pas sourcillé. Il est raciste ou quoi ?— Je ne pense pas, j’avais remarqué ton petit manège, mais ce qui m’a surpris, c’est que Cécile n’a pas réagi elle non plus.— Justement, elle m’a paru bizarre tout de suite, j’ai voulu tester leur couple, et elle n’a pas bougé.— C’est vrai que tu n’y es pas allé de main morte.— Oui, mais je pense qu’elle aime les femmes, beaucoup même, elle m’a fait du rentre-dedans dès que Paul est parti. — J’avais remarqué, bizarre.— Pas si elle aime les femmes, et je dois dire que cette femme ne me laisse pas indifférente, son corps m’émeut, mais surtout, j’ai eu un petit pincement au cœur quand je l’ai revue ce soir.— Aurais-je de la concurrence ?— Ça se peut.— Assez causé, j’ai envie de ton petit corps cuivré.
Nous nous collons l’une à l’autre et faisons l’amour tendrement. Nous nous endormons dans les bas l’une de l’autre.
Le lendemain, nous allons prendre le petit-déjeuner vers neuf heures, Cécile est déjà là, après une bise sage en public, nous petit déjeunons joyeusement, nous sommes toutes les trois en grande forme et joyeuses. Après le déjeuner, nous allons à la plage, Cécile a un grand sac, je me demande ce qu’elle peut bien mettre dans un truc aussi gros. Arrivées à notre coin, nous enlevons nos robes, Cécile est en maillot deux pièces minuscule, mais surtout, son slip est en fait un string, il dévoile entièrement ses superbes fesses. Joy et moi allons étaler nos serviettes quand Cécile nous arrête.
— Non, non, aidez-moi plutôt à étaler ma couverture.
Elle sort de son sac une couverture de deux mètres sur deux, nous l’étalons, ce qui nous donne une place suffisante pour toutes les trois. Elle s’allonge au milieu, nous obligeant à nous mettre de chaque côté d’elle. En m’asseyant, j’enlève mon slip et mon soutif, imitée par Joy.
— Vous bronzez nues ici ?— Oui, nous sommes bien isolées, et avec le monde qu’il y a sur la plage, nous ne risquons pas grand-chose.— C’est vrai que ce n’est pas Pampelonne à seize heures.— Et vu ce que cache ton maillot, le porter ou pas ne doit pas faire beaucoup de différence.
Elle semble hésiter un peu, mais se décide et enlève son maillot. Je découvre de très beaux mamelons aux tétons érigés et un pubis glabre et bien bombé. Elle est très bien bronzée, mais les triangles de son maillot lui laissent ses mamelons et son pubis blanc, ça attire l’œil. Elle s’allonge au milieu de nous. Au bout de quelques minutes je me redresse et la regarde.
— Tu devrais protéger ton pubis et tes seins, ils sont bien blancs et le soleil tape fort.— Je n’ai pas pris ma crème, si tu en as, tu veux bien me la passer, je suis bien comme ça.— Si je comprends bien, tu veux que je te caresse les seins et le sexe.— En quelque sorte.— Bin voyons !— S’il te plaît.— OK.
Je prends de la crème sur mes doigts et commence à l’étaler sur ses seins dont les tétons s’érigent, et son pubis, en vingt secondes le travail est fini, mais ma main continu le massage du pubis, elle ouvre un peu ses cuisses, ma main se glisse entre elles pour venir caresser ses lèvres ruisselante de cyprine. Je vois une main de Joy lui caresser les seins. Mon majeur glisse entre ses lèvres et remonte sur le clitoris. Elle se cabre pour m’offrir son sexe en ouvrant les cuisses. Je redescends le long de ses lèvres, mes doigts glissent sans entraves, je descends jusqu’au périnée, même chose, elle ruissèle de cyprine.
— Oui, occupe-toi de ma chatte, elle a envie de ta bouche, pose ta bouche dessus ma chérie, elle n’attend que toi.
Je me positionne entre ses jambes, je commence par embrasser ses cuisses, je les lèche en remontant, je prends mon temps, son bassin ondule de plus en plus.
— Ma chatte chérie, ma chatte.
Je passe mes mains sous ses fesses pour la plaquer contre ma bouche, je glisse ma langue entre ses lèvres, elle les soulève et se tortille en me donnant son sexe.
— Oui, oui, comme ça, tu vas me faire jouir, encore.
Ma bouche aspire ses lèvres, ma langue lui titille le clitoris de temps en temps, mes dents lui mordillent les lèvres, ma bouche se promène sur son sexe, mais je me délecte de son nectar d’amour, j’aime ce liquide crémeux, je l’aspire, le lape, le bois. Je sens qu’elle est au bord de défaillir, je pose mes lèvres sur son clitoris et l’aspire de toutes mes forces en lui titillant avec ma langue. Elle explose dans un magnifique orgasme.
— Ah oui, oui, je viens ma chérie, oui, tu me fais jouir, ah oui, oh lala, oh lala, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.

Elle est tendue sur sa couverture, ses fesses ne la touchent plus, je la sens raide sous ma bouche, focalisée sur son plaisir. Je continue de lui titiller le clitoris jusqu’à ce qu’elle commence à redescendre sur la couverture. Quand elle est détendue, je redresse la tête.
— Oh ma chérie, quel merveilleux moment tu m’as fait vivre !

Elle tend son bras, m’attire à elle pour poser ses lèvres sur les miennes. Notre baiser dur un moment jusqu’à ce que je la sente se tendre de nouveau. Joy a glissé sa tête entre ses cuisses et s’occupe de son sexe.
— Oh oui ma chérie, encore, je veux encore jouir avec vous, oui, fais-moi jouir toi aussi.

Elle me regarde.
— Et toi, viens sur ma bouche.

Je l’enjambe au-dessus de sa tête, elle me saisit les fesses et m’attire pour poser mon sexe sur ses lèvres. Sa langue batifole dans mon sexe, elle a une certaine expérience, encore plus que Joy, je sens que mon corps ne va pas tarder à m’échapper. Sa langue se glisse partout où elle peut aller, c’est une spécialiste, je me laisse aller, je laisse mon corps décider. Il réagit très positivement aux caresses de cette langue magique et me fait exploser dans un magnifique orgasme. Je me crispe sur sa bouche au moment où elle aussi jouit sous les caresses de Joy. Je me laisse basculer sur la couverture, Joy vient me rejoindre, nos bouches se soudent, dans l’odeur de Cécile, je la vois se redresser et s’allonger de nouveau. Joy commence à bouger d’une drôle de manière, c’est en regardant par-dessus son épaule que je vois que Cécile est installée entre ses cuisses et s’occupe de son sexe. Je la fais mettre sur le dos pour m’occuper de ses seins.
Ma bouche les titille, les lèche, les aspire, elle se tend doucement pour finir par exploser dans un violent orgasme. Elle jouit pendant au moins une minute à dire des mots incompréhensibles. Quand elle est de nouveau calme, Cécile se glisse sur elle pour venir l’embrasser. Deux minutes plus tard, nous sommes toutes les trois allongées côte à côte sur la couverture.
— Tu as une sacrée maîtrise du sexe féminin, tu es lesbienne déguisée en femme d’intérieur ou quoi ?— En quelque sorte, je suis lesbienne, et exclusivement lesbienne.— Mais tu es mariée !!— Je ne me suis mariée avec Paul, qui lui-même est gay, que pour la famille. Nous avons fait cet arrangement il y a quatre ans, nous en avions marre des sous-entendus de notre entourage. Nous nous connaissons depuis le primaire, et comme à l’adolescence on avait le même problème on était toujours ensemble. On s’entendait très bien, et du coup on s’est mariés et comme Paul avait trouvé un boulot à Paris, nous nous y sommes installés, à huit cents kilomètres de Bayonne. Ils nous foutent la paix. — Je comprends mieux, mais vous vivez comment ?— On a loué deux appartements mitoyens dans le même immeuble, des T2, chacun le sien, comme ça, on a la même adresse. Quand la famille vient, et c’est heureusement très rare, on les reçoit chez moi, mais comme il n’y a pas de place pour les loger, ils ne peuvent pas rester. Et quand tout le monde est parti, chacun chez soi.— Pas mal le coup des appartements.— Je comprends mieux pourquoi il a paru indifférent quand il nous a vus.— Oui, j’avais remarqué ton manège, et ça me faisait marrer, mais je dois dire que tu es gonflée de draguer un homme devant sa femme. — Je voulais vous tester, votre relation me paraissait bizarre.— Et quand je suis rentré et que je lui ai dit qu’on devait se revoir, il n’a pas été étonné, et m’a demandé avec laquelle j’allais faire l’amour en première.— C’est moi qui ai gagné.— Et si nous allions nous baigner.

Nous enfilons nos maillots et courrons nous jeter dans la mer. Nous jouons comme des gamines, il y a de plus en plus de monde, c’est l’heure de pointe sur la plage. Nous restons un bon moment dans l’eau et retournons à notre place pour constater que trois garçons se sont installés à cinq mètres de nous, ce sont des gamins qui doivent avoir seize au maximum. Constatant qu’il est plus de onze heures et demie, nous décidons de rentrer chez nous. Les garçons font la gueule, ils ne s’imaginaient tout de même pas qu’il pouvait se passer quelque chose entre nous quand même !! Nous ne sommes pas des baby-sitters.

Arrivées au bungalow de Cécile, elle nous laisse pour prendre sa douche, elle nous donne rendez-vous pour manger. Nous prenons une douche crapuleuse comme d’habitude. Nous décidons d’aller manger avec juste une robe sur nous, nous avons remarqué que beaucoup de femmes le font. Quand nous arrivons au restaurant, Cécile est déjà là, dans une robe juste au corps assez courte. Il est évident qu’elle est nue dessous. Nous déjeunons ensemble, la moitié des hommes présents ne nous quittent pas des yeux, trois femmes seules, c’est peut-être une bonne affaire, mais manque de chance pour eux, l’une d’elles est lesbienne pure et dure, et les deux autres sont déjà servies. A la fin du repas, nous allons sur la terrasse pour prendre un café. Inévitablement, nous voyons arriver trois hommes qui semblent bien se connaître. Ils viennent vers nous, un grand sourire aux lèvres, l’air conquérants.
— Alors mesdemoiselles, on ne s’ennuie pas trop ?— Si, énormément, mais on adore ça et surtout, ce que l’on aime par-dessus tout, c’est rester seules entre nous et qu’on nous foute la paix, OK ?

Ils nous regardent, dépités, font la gueule et font demi-tour.
— Dis donc Joy, tu ne les as pas ratés.— Je ne supporte pas ces cons qui se croient irrésistibles.— En tout cas, ils ont compris, je ne pense pas qu’ils y reviennent.— J’espère.

Il commence à faire très chaud, nous allons dans le bungalow de Joy. Evidemment, nous passons notre temps à faire l’amour, Cécile est une amante extraordinaire, elle nous fait jouir comme jamais nous n’avons joui, même Joy qui a plus d’expérience que moi avec les femmes. Vers seize heures trente, nous décidons d’aller sur la plage, quand elle apprend que Fabrice et Bruno vont nous y rejoindre, elle décide de retourner chez elle, elle ne veut rien avoir à faire avec des hommes. Nous nous donnons rendez-vous pour le dîner à vingt heures. Nous n’arrivons à la plage que cinq minutes avant les garçons, je voudrais aller voir les pêcheurs de plus près, Fabrice m’accompagne, il connaît très bien certains d’entre eux. Quand j’arrive vers eux avec Fabrice, je fais un certain effet, surtout qu’il ne tient par la taille.
— Je fais ça pour bien leur faire comprendre que tu n’es pas libre, sinon, ils vont être sur toi comme des mouches.— OK.— Ne te vexe pas, je vais parler dans le dialecte du coin, ça facilitera le dialogue.— Toi le Toulousain, tu parles leur dialecte ?— Oui, car à la maison, mes parents ne parlaient qu’en dialecte d’ici, et chez mon oncle et ma tante c’est pareil, j’ai été obligé d’apprendre.— Et bien tu vois ça sert.

Je me serre encore plus contre lui et ça ne me gêne pas du tout, bien au contraire. Fabrice leur explique que je veux les voir faire, que j’ai été très impressionnée par ce qu’ils ont fait hier. La discussion dure un peu, mais ça semble se passer dans la bonne humeur, ils rigolent de temps en temps. Fabrice se tourne vers moi.
— Tu ne voudrais pas participer ?— A quoi ?— Ramener le filet sur la plage une fois installé.— On ne pourrait pas aller avec eux sur la pirogue ?— Non, c’est trop dangereux, ils n’ont pas le droit.— OK pour tirer le filet.

La pirogue s’en va, libérant derrière elle le filet. Elle fait un énorme tour, il lui faut vingt minutes pour arriver sur l’autre point de la plage. Quand la pirogue est arrivée à l’autre bout et que les hommes ont débarqué, tout le monde se met à tirer sur la corde. Le filet remonte doucement, c’est extrêmement lourd, il faut se donner à fond, Fabrice est derrière moi, nous tirons comme des bêtes pendant trois quarts d’heure, le filet est enfin sur la plage, les femmes commencent à prendre la friture, je suis complètement épuisée, je m’assois sur la plage, à même le sable qui ne se gêne pas pour se glisser dans mon slip et venir me titiller la chatte, ce qui me gêne. Je vais dans l’eau, attend une vague pour baisser mon slip et enlever le sable, mais la vague redescend très vite, je n’ai pas le temps de remonter mon slip, je me retrouve cul nu devant tout le monde.
Je m’accroupis dans l’eau, Fabrice vient vers moi, je réussis à enfiler mon slip et me redresse, il me prend dans ses bras et me sort de l’eau. Tout le monde me regarde en souriant, il me repose à terre. J’ai mon soutien-gorge qui s’est réduit au minimum et comme j’ai remonté mon slip très vite, il est rentré entre mes fesses, les dévoilant entièrement. Toutes les femmes viennent vers moi, elles m’entourent, je regarde Fabrice, il me sourit.
— Elles veulent mieux te voir, et certainement te toucher pour sentir ta peau blanche.— Pas de problème, tu es là.

Il me sourit et leur parle dans le dialecte du coin. L’une d’entre elles pose sa main sur ma peau, j’ai un frisson, je deviens très sensible, dès qu’on me touche, j’ai une réaction. Petit à petit, elles tendent leurs mains pour me toucher, je sens des mains sur tout mon corps, y compris sur mes seins et mes fesses. Certaines ne se contentent pas de me toucher, des mains glissent sur ma peau, elles me caressent. Je sens que mon sexe s’humidifie de plus en plus, je vais finir par avoir un orgasme si ça continue. Une main passe sous le tissu de mon bonnet droit, c’est une magnifique jeune fille, d’au maximum vingt ans, qui me caresse le sein en souriant. Fabrice lui dit quelque chose que je ne comprends pas, elle passe son autre main sous le bonnet de mon autre sein et me les caresse en les malaxant un peu. Fabrice lui dit autre chose, elle me pince les tétons, je commence à couler grave. Fabrice défait les lacets de mon soutien-gorge, mes seins sont libres.
D’autres mains se posent sur mon corps, elles me caressent toutes, l’une d’elles passe sous mon slip et m’effleure le clitoris qui a bien gonflé.
Je commence à sentir les prémices d’un orgasme, je suis au milieu d’un cercle de femmes qui me caressent, je regarde autour de nous, tous les hommes sont occupés à nettoyer et ranger le filet dans la pirogue, je décide de me laisser aller, mes seins sont maintenant découverts, Fabrice a dénoué les lacets de mon slip, il est par terre, mon soutien-gorge juste à côté, je suis nue au milieu d’elles. Une multitude de mains se promènent sur mon corps, sur le ventre, le pubis, les fesses, le dos, rien ne leur échappe. Une femme pose la main sur mon pubis et commence à faire tourner son majeur sur mon clitoris. Comme il est un peu sec, je m’en empare et le trempe entre mes lèvres pour le lubrifier. Elle me sourit, je la laisse faire, son doigt me titille lentement le clitoris. Quand elle sent que son doigt est trop sec, elle va le tremper dans mon vagin, mais elle reste un peu et remonte doucement sur mon clitoris.
Des doigts me pincent les tétons, c’est toujours la jeune fille, des mains me caressent les fesses et se glissent entre elles, un doigt me masturbe, je ne peux plus résister, j’explose dans un sublime orgasme, mon corps est secoué de spasmes, je suis sur le point de tomber quand je sens un corps se coller derrière le mien et des bras m’enlacer pour me soutenir. Quand je suis complètement revenue à moi, je me retourne pour tomber encore une fois sur la jeune fille. J’ai les seins et le pubis à l’air, Fabrice me prend dans ses bras et m’amène dans l’eau, il me dépose là ou l’eau monte jusqu’à mes seins. La jeune fille l’accompagne et l’aide à me remettre mon soutien-gorge. Elle réajuste mes bonnets en passant sa main sous le tissu pour bien positionner mes seins dans les triangles. Elle me remet mon slip sans oublier de caresser mes fesses. Nous sortons de l’eau, tout le monde est parti, il ne reste que les pirogues remontées sur le sable au fond de la plage.
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