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Voyage en Afrique

Chapitre 6

Hétéro
La balade en pirogue

Une fois le petit-déjeuner fini, nous allons directement à la plage. A peine arrivées à notre emplacement favori et la couverture étalée, Cécile se jette sur Joy, s’en suit le merveilleux spectacle de deux êtres qui s’aiment et se le prouvent. Joy semble au comble du bonheur, Cécile aussi. Elles jouissent deux fois chacune, je les regarde attendrie, mais me sentant un peu délaissée. Heureusement, Djilane arrive, elle se déshabille et vient se coller à moi. Elle se jette sur mon sexe et me le bouffe avec appétit. Elle me fait merveilleusement jouir, je lui rends la politesse, mais une fois calmes, nous nous rendons compte que Joy et Cécile continuent, elles sont insatiables. Nous décidons d’aller nous baigner. Nous jouons dans l’eau, elle est à trente-deux degrés, un vrai bain, j’adore. Nous ne sortons de l’eau qu’au bout d’une bonne demi-heure, quand nous arrivons à notre place, Joy et Cécile nous regardent d’un air très joyeux.
— On a quelque chose à vous dire.— Je crois que je me doute de ce que vous allez nous dire.— Ah bon ?— Oui, et je vais le dire à l’oreille de Djilane, vous nous direz ce que vous avez à nous dire après.

Je m’écarte un peu avec Djilane et je lui dis qu’elles vont nous annoncer qu’elles s’aiment et qu’elles veulent mieux se connaître. Nous revenons vers elles.
— Alors ?

C’est Joy qui prend la parole.
— Eh bien voilà, nous pensons que nous nous aimons, tu sais que je suis d’abord lesbienne, rien ne me fera renoncer aux femmes, et j’ai envie de mieux connaître Cécile. Notre accord tient toujours, mais nous aimerions profiter du bungalow l’après-midi quand tu viens à la plage avec Bruno et Fabrice.— Et Djilane.— Oui, qu’en penses-tu ? — Evidemment que je suis d’accord, je ne vais pas t’empêcher de vivre ton amour tout de même.— Merci ma chérie.— Et je dois dire que c’est exactement ce que Céline m’a dit à l’oreille.

Elle m’attire à elle, je lui tombe dessus et nos bouches se soudent. Pendant ce temps, Cécile défait les ficelles de mon maillot, je me retrouve à poil dans ses bras. Quand je m’allonge à côté d’elle, c’est la bouche de Cécile qui vient me remercier. Djilane s’assoit à côté de moi, nous nous enlaçons pendant que Joy et Cécile en font autant. Elle me caresse sur tout le corps, je la laisse faire, elle prospecte, elle veut s’imprégner du corps d’une femme. Quand sa main a parcouru tout mon corps, elle vient sur mon sexe. J’écarte les cuisses pour lui laisser le passage, je veux qu’elle fasse ce qu’elle veut de moi, je suis sa chose, elle peut s’amuser comme elle veut. Un doigt se glisse entre mes lèvres, je ruissèle, il en sort bien lubrifié. Il vient sur mon clitoris pour le titiller. Elle se met à genoux à côté de moi, sa bouche se pose sur un sein, elle passe à l’autre et descend vers la taille. Son doigt me titille toujours le clitoris, mais en douceur, pas pour me faire jouir.
Sa bouche arrive sur mon pubis, elle descend lentement vers mes lèvres. Sa langue se pose sur mon clitoris bien gonflé. Une décharge électrique me traverse le corps. Elle se positionne entre mes jambes que j’ouvre au maximum, sa tête vient au-dessus de mon sexe. Sa langue me lèche le clitoris et descend à la source de ma cyprine. Elle me lèche, m’aspire, m’enfonce sa langue dans le vagin. Je commence à donner des signes d’excitation, elle glisse ses mains sous mes fesses pour mieux me plaquer contre sa bouche, elle suce, lèche, mordille mes lèvres pour finir par aspirer complètement mon clitoris. Elle apprend vite, je me raidis pour jouir sous sa bouche. Elle reste sur mon sexe tant que je ne me détends pas. Quand elle me sent calme, elle glisse sur mon corps pour venir coller ses lèvres aux miennes. Un long baiser nous unit. Elle s’allonge à côté de moi, c’est à mon tour de m’occuper de ce magnifique corps. Quand nous sommes de nouveau lucides, nous décidons d’aller nous baigner.
Au retour, nous nous allongeons nues au soleil, elle est contre moi, je sens Djilane très détendue, elle semble comme apaisée.
— Ça va ma chérie ?— Parfaitement bien, je crois que je suis amoureuse, et ce qui s’est passé hier me conforte dans mon sentiment.— Et que s’est-il passé de spécial hier, à part ton dépucelage ?— Eh bien, c’est justement ça, j’ai fait l’amour avec Bruno, et je crois que je l’aime.— Parce qu’il t’a fait l’amour ?— Non, depuis que je suis arrivée début juillet, j’ai flashé sur lui, je pense tout le temps à lui, je ne le laissais pas voir, mais hier, j’ai eu la révélation, c’est lui que j’aime.— Et lui ?— Après avoir fait l’amour, nous sommes allés prendre une douche, il m’a savonné avec beaucoup de tendresse, il m’a encore fait jouir avec sa langue. Il n’a pas voulu que je le fasse jouir avec ma bouche, il m’a dit qu’on avait le temps.— C’est la preuve qu’il tient à toi, et qu’il ne veut pas te brusquer.— Oui, et quand nous sommes rentrés tous les deux, il m’a pris par les épaules, il a été d’une grande tendresse et quand nous sommes arrivés devant chez moi, il m’a embrassé avec beaucoup de passion, je crois qu’il éprouve lui aussi quelque chose pour moi.— Je te le souhaite de tout mon cœur, c’est un garçon super, comme Fabrice, en plus, ils sont beaux comme des dieux.— Ce qui ne gâche rien.

Vers onze heures et demie, nous rentrons au domaine, Joy et Cécile se tiennent par la main, elles affichent leur liaison devant tout le monde, c’est assez rare. Après une rapide douche crapuleuse, nous allons rejoindre Cécile au restaurant. Paul est là, il nous apprend qu’il doit retourner à Paris, sa boîte a un problème avec un équipement qu’il est le seul à pouvoir entretenir, il part cet après-midi pour Dakar. Cécile reste jusqu’au vingt-six, il n’est pas question qu’elle abrège ses vacances, surtout maintenant. Après le déjeuner, nous allons toutes les trois dans le bungalow pour nous reposer. En fait de repos, Joy et Cécile se jettent l’une sur l’autre pour s’aimer. Heureusement que Djilane arrive assez vite, elle veut prendre une douche, je l’accompagne dans la salle de bain. Je me glisse sous la douche avec elle.
— Tu t’es fait piquer Joy.— Ce n’était pas une exclusivité, nous venons tout juste de nous rencontrer.— Ah, je croyais que vous étiez ensemble depuis longtemps.

Je lui raconte les circonstances de notre rencontre et pourquoi nous vivons dans le même bungalow, elle semble soulagée.
— OK, et Fabrice, qu’en penses-tu ?— Ce n’est pas pareil, Fabrice, je l’aime, du moins je le crois sincèrement. Mais tu sais, je n’ai de rapport avec une femme que depuis trois jours, c’est tout, avant de connaître Joy, j’étais parfaitement hétérosexuelle. C’est elle qui m’a donné le goût des femmes, je ne regrette rien, j’aime beaucoup le corps des femmes, mais je préfère quand même le corps et la bite de Fabrice.— Et moi de Bruno.— Donc, tu ne voudrais pas que je te fasse une petite minette maintenant.— Mais il n’y a aucune incompatibilité entre aimer faire l’amour avec un homme et aimer se faire brouter le minou, vas-y, fais-toi plaisir.

Je descends le long de son corps en rigolant, elle a une peau extrêmement douce, son corps est pratiquement imberbe. Je la fais jouir avec ma langue, elle me fait jouir avec sa langue. Quand nous revenons dans la chambre de Joy, elles sont encore enlacées tête-bêche. Nous décidons d’aller à la plage tout de suite et de laisser Joy et Cécile seules. Notre petit coin est libre, personne à quatre cents mètres à la ronde, nous enlevons nos maillots et nous allongeons sur nos serviettes. Nous restons un bon moment au soleil, mais il chauffe et nous allons nous baigner. Nous jouons dans l’eau, la houle est assez importante aujourd’hui, tout à coup, nous voyons débouler dans l’eau Fabrice et Bruno. Fabrice me prend dans ses bras pour m’embrasser avec fougue, j’ai juste le temps de voir Bruno enlacer Djilane et l’embrasser. Nous sortons de l’eau pour aller nous allonger nus sur nos serviettes.
Je vois que Fabrice et Bruno bandent comme des ânes, je me mets à plat ventre sur Fabrice et me laisse glisser pour m’empaler sur sa bite. Je vois Bruno allonger Djilane sur sa serviette et lui embrasser tout le corps, elle se laisse faire les yeux fermés. Fabrice nous fait basculer pour se retrouver sur moi, il veut me faire l’amour en missionnaire. Je me donne à lui, je l’enlace et le serre au maximum de ma force contre moi. Je veux sentir tout son corps me faire l’amour. Bruno et Djilane font maintenant l’amour, elle jette un regard vers moi, j’y lis un immense bonheur dans ses yeux. Elle les ferme pour se donner complètement à lui. Je jouis en même temps que Fabrice, Djilane est un peu plus longue, mais elle jouit aussi avec Bruno. Nous nous rhabillons pour aller nous baigner. L’après-midi se passe rapidement, bain, caresses, bain, jouissance, caresses. Vers dix-neuf heures, nous rentrons, moi avec Djilane, les deux hommes après.

Quand nous arrivons au bungalow, il est fermé. Nous allons chez Cécile, elles sont là.
— Salut les filles, vous avez déménagé ?— Oui, on s’installe ici, je vais te donner les clefs du bungalow, tu pourras t’y installer.— Vous voulez être seules.— Oui, j’espère que tu ne nous en veux pas.— C’est surtout que je ne veux pas rencontrer d’hommes, et je ne veux pas t’en empêcher, je crois que c’est la meilleure solution.— Je le pense aussi.— Donc, tu ne nous en veux pas.— Pas du tout, tu sais, je crois que j’ai trouvé mon homme, et je voudrais en profiter moi aussi.

Je récupère les clefs du bungalow et y retourne avec Djilane. Joy a enlevé toutes ses affaires, c’est assez marrant, je suis dans le bungalow qu’avait loué Joy à son arrivée et elle est dans celui que j’avais loué à mon arrivée.
— Ça te dit de t’installer avec moi, tu ne travailles pas ici, donc tu peux faire ce que tu veux.— Oh oui, ça serait super, mais quand tu seras avec Fabrice, je fais quoi ?— Tu vas faire l’amour avec Bruno dans une autre chambre, je suis sûre qu’il sera d’accord.— OK, j’accepte avec plaisir, tu sais, ils ont fini de travailler pour le domaine à la fin de la semaine.— Oui, et ils peuvent rester comme des touristes, Apo leur paye une semaine de vacances.— Donc, ils pourront peut-être rester avec nous ?— Je le pense et je l’espère.

Elle s’allonge sur le lit, je m’allonge sur elle tête-bêche, elle pose ses mains sur mes fesses et m’attire à elle. Sa langue s’empare immédiatement de mon sexe et commence son exploration rationnelle. Elle passe partout pendant que ma langue explore elle aussi son sexe. J’aspire son élixir d’amour, je me repais de cette subtile crème, je ne m’en lasserais jamais. Nous n’avons pas pris de douche, et nos peaux sont encore salées, c’est juste bien salé à mon goût. Mais nos langues font leurs effets et nous jouissons l’une après l’autre. Je me retourne pour m’allonger à côté d’elle, elle me prend dans ses bras.
— Tu sais, je ne suis pas lesbienne, j’aime Bruno, et je veux faire quelque chose avec lui, mais j’aimerais beaucoup rester en contact avec toi une fois à Toulouse, j’adore le contact de ta peau.— Aucun problème ma chérie, tu seras la bienvenue chez moi, surtout que je n’habite pas loin de ta fac, j’habite à côté de la place du Capitole, c’est à peine à quelques centaines de mettre de la fac.— Super, on pourra se voir assez souvent comme ça.

Nous allons prendre une douche, j’invite Djilane à venir manger avec nous, je peux avoir des invités, je paye un prix assez ridicule compte tenu de ce qu’on mange. Avant d’aller manger, j’accompagne Djilane chez elle pour l’aider à porter ses affaires, elle prend possession de la seconde chambre. A vingt heures, nous rejoignons Joy et Cécile au restaurant, Paul est déjà dans un avion pour Paris. Le repas se passe bien, mais quatre femmes assez canon seules ensemble, ça attire les mâles en rut. Il faut qu’un responsable intervienne et nous installe sur une table particulière isolée de la grande salle. A la fin du repas, nous retournons chacune dans notre bungalow respectif. Djilane va dans sa chambre et en ressort nue, elle vient m’enlacer.
— J’adore ta peau.— Je dois dire que moi aussi, j’adore ta peau, elle est d’une extrême douceur.— C’est naturel, en plus, je lui passe une crème tous les matins, c’est ma mère qui me fait le dos.— Je pourrais la remplacer, ne t’en fais pas, mais moi, je ne me contenterais pas que du dos.— J’entends bien.

Les garçons arrivent, je me jette sur Fabrice et Djilane sur Bruno. Nous restons un petit moment ensemble, mais très vite Djilane et Bruno vont dans la seconde chambre. Fabrice me fait l’amour avec beaucoup de tendresse, il est très doux et attentif à mes réactions, c’est un amant tendre, attentionné, puissant et très endurant, l’amant idéal. Nous nous endormons enlacés, c’est une sensation merveilleuse. Le matin est plus brutal, nous ne nous réveillons qu’à six heures trente, ils ont tout juste le temps de prendre une douche et d’aller rejoindre leur travail. Nous nous retrouvons seules, Djilane vient se blottir contre moi, nous nous rendormons jusqu’à neuf heures. Après une douche rapide, nous rejoignons Joy et Cécile au petit-déjeuner, elles ont déjà fini, mais restent avec nous. Je vais voir la direction pour associer Djilane à mon bungalow, le responsable se souvient de mon geste et l’inscrit gratuitement, elle peut donc venir manger avec nous.
Nous arrivons à la plage vers dix heures quinze, Joy m’enlace, nous nous aimons pendant que Cécile et Djilane font mieux la connaissance de leurs corps respectifs. La matinée se passe comme d’habitude, baignade, amour, baignade, caresses, baignade et retour au domaine vers midi. Après la douche, repas et sieste. Joy et Cécile restent ensemble, elles sont inséparables et se tiennent constamment collées l’une à l’autre, j’ai l’impression qu’un couple s’est formé. Nous allons à la plage après une petite sieste, vite rejointes par les garçons.

La semaine se termine comme ça, ma peau commence à rattraper la couleur de celle de Joy, Fabrice est adorable et Djilane et Bruno semblent s’aimer vraiment. Le dimanche vingt, grande nouvelle, les garçons restent avec nous, ils ont fini leur contrat de travail, ils ont une semaine de vacances avec nous. Nous allons tous les quatre ensemble au petit-déjeuner pour la première fois. Les serveurs hésitent un peu au début, mais après une explication claire, tout se passe bien. Nous allons à la plage, Joy et Cécile viennent avec nous, mais se mettent un peu à l’écart, Cécile a décidément une haine farouche des hommes, elle ne peut supporter leur proximité. J’ai eu peur que les garçons ne prennent ça pour du racisme, mais ils ont bien assimilé son problème et comprennent très bien ses motivations. En fait, elle a failli se faire violer à treize ans, par trois gamins de seize ans. C’est un homme avec un doberman qui les a fait fuir, depuis, elle ne supporte plus les hommes.
Seul Paul avait le droit de la toucher, mais c’est surtout parce qu’elle a vécu un peu la même souffrance d’être différente des autres comme lui. Je vais voir les pêcheurs avec Fabrice, il y a un de ses cousins, Laurent, qui est d’ici et qui a une pirogue, ce n’est pas une pirogue de pêche, il promène parfois des touristes dessus, il fait un tour d’une heure environ. Fabrice discute avec lui et l’aide à glisser sa pirogue dans l’eau.
— Allez chérie, embarque, on va faire un tour.

Je me précipite dans la pirogue, Fabrice me fait assoir sur une planche qui sert de banc et s’assoit en face de moi. Laurent dirige la pirogue vers les rouleaux.
— Prépare-toi chérie, on arrive sur les rouleaux, ça va être du sport. — OK.

Je me retourne et m’agrippe bien aux bords de la pirogue. Elle est soulevée par les rouleaux, mais Laurent maîtrise parfaitement la situation et elle les fend en définitive assez facilement, je suis quand même complètement mouillée. Fabrice écope l’eau qui est rentrée dans la pirogue, une fois les rouleaux passés, je me rassois dans le sens de la marche à côté de Fabrice. Je me blottis contre lui, il passe son bras sur mon épaule. Je frémis à son contact, je me penche à son oreille.
— J’ai envie de toi.— Moi aussi.— Tu crois que ça gênerait Laurent si on faisait l’amour au fond de la pirogue ?— Tu veux faire l’amour tout de suite ?— Oui, j’en crève d’envie.— Mais il y a Laurent.— Je m’en fous, j’ai envie de toi, je veux que tu me fasses l’amour tout de suite, et je me fous que Laurent nous voie.

Laurent commence à chanter, il a une superbe voix grave, je pense que c’est une mélodie du coin. Au bout d’un moment, Fabrice se penche sur mon oreille.
— Tu sais ce que dit la chanson ?— Non.— C’est l’histoire de deux personnes qui s’aiment et qui ne peuvent pas faire l’amour, car ils n’ont aucun endroit ou le faire.— C’est triste.— Mais il a rajouté une petite partie.— Et elle dit quoi ?— Qu’il aurait bien aimé trouver une pirogue pour le faire.

Je me retourne vers Laurent, il me sourit d’un air malicieux. Je regarde Fabrice, défais les ficelles de mon soutien-gorge et celle de mon slip et m’allonge sur le dos au fond de la pirogue en ouvrant mes jambes. C’est un peu froid, mais je suis tellement excitée que je trouve ça érotique. Fabrice enlève son slip de bain, il bande déjà. Il s’allonge sur moi, j’ouvre encore plus mes jambes pour lui ceinturer la taille, il enfonce lentement son sexe dans le mien. Je l’enlace et le sers le plus fort possible dans mes bras, je donne des coups de reins pour qu’il s’enfonce encore plus. Son gigantesque gland me laboure le vagin, mais j’adore ça. Je suis tellement excitée que je jouis très rapidement, mais Fabrice ne s’arrête pas, il continue de me labourer la chatte. Mon corps renait et recommence à réagir à ses coups de reins.
Encore une fois, je me donne sans réserve, je sens son sexe commencer à palpiter, je suis moi-même au bord d’un nouvel orgasme qui explose dans un gigantesque feu d’artifice arrosé par les jets de sperme de Fabrice. Nous restons enlacés au fond de la pirogue, Laurent entonne une nouvelle chanson, sa voix me berce, je me blottis contre mon homme en fermant les yeux, je suis bien. Fabrice se libère et s’assoit sur une des planches, j’en fais autant sur une autre. La pirogue glisse sur l’eau sans à-coup, elle fend l’océan en douceur. Je regarde cette étendue d’eau jusqu’à l’horizon, le soleil commence à plomber sur ma peau que je réalise nue. Mon maillot de bain est au fond de la pirogue, mais je m’en fous, je suis très bien comme ça. Laurent me regarde, il me sourit.
— Tout va bien Céline ?— Oui Laurent, tout va bien, je ne pense pas que ça te dérange de me voir sans maillot.— Pas du tout, tu es si belle.— Merci.

Nous naviguons encore plus d’une heure, nous faisons une seconde fois l’amour au fond de la pirogue, Laurent reste imperturbable, il godille en souplesse. Au retour, la pirogue surf sur les rouleaux, nous prenons pas mal de vitesse, j’ai juste le temps d’enfiler mon maillot avant qu’elle ne s’échoue sur la plage. Nous aidons Laurent à remonter sa pirogue en haut de la plage, Fabrice remercie son cousin, je lui fais deux énormes bises et nous allons rejoindre les autres. Djilane dort dans les bras de Bruno qui la maintient contre lui. Joy et Cécile sont rentrées, c’est vrai qu’il est déjà midi. Bruno réveille doucement Djilane, elle lui sourit, l’attire à elle et l’embrasse fougueusement. Ils finissent par se lever, nous rentrons pour la première fois tous ensemble au domaine. Nous déjeunons ensemble, Joy et Cécile nous ont rejoints.

La semaine s’est déroulée tranquillement, je suis de plus en plus amoureuse de Fabrice et il me rend cet amour. Fabrice s’est mis sur la liste d’attente de mon vol, on ne sait jamais, et bonne nouvelle, le vendredi, on l’appelle pour lui demander s’il veut toujours prendre ce vol, une place s’est libérée. Je suis folle de joie, nous rentrons ensemble. Bruno et Djilane rentrent le deux septembre. Le samedi, c’est la séparation, je rentre à Toulouse avec Fabrice, mais Joy décide de rester un peu avec Cécile, qui commence à parler divorce. Elle est lesbienne et veut le montrer à tout le monde, y compris sa famille rétrograde. Fabrice s’installe chez moi, il est hors de question qu’il ne soit pas avec moi tous les jours. J’ai un appartement assez grand, un trois-pièces de plus de cent mètres carrés avec deux chambres et un grand salon.
Bruno et Djilane entre le deux septembre, elle s’installe dans sa chambre universitaire, mais il est très difficile pour elle d’y accueillir Bruno, et lui-même ne peut pas l’accueillir chez ses parents, ils sont un petit peu coincés. Nous décidons donc avec Fabrice de les accueillir chez moi.
Nous nous marrions le vingt-quatre mars deux mille un, Bruno est le témoin de Fabrice et Joy le mien. Bruno et Djilane se marient le seize juin deux mille un. Cécile demande le divorce et vit en couple avec Joy qui a quitté définitivement Toulouse. Je mets au monde deux jumelles le deux août deux mille un, deux magnifiques bébés chocolat au lait, Joy et Djilane. Fabrice et Bruno sont devenus médecins généralistes, ils exercent dans un centre médical. Djilane est devenue avocate en droit international, elle travaille dans un cabinet spécialisé. Cécile est Joy se marient le neuf février deux mille quatorze, elles ont tenu à ce que Djilane et moi soient leurs témoins. Nous n’avons pas participé à la fête, ça s’est déroulé exclusivement entre filles, nous n’avons pas voulu faire la fête sans nos maris sachant que ça allait être une partouze gigantesque, nous sommes rentrées directement sur Toulouse, ce qu’elles ont parfaitement compris.
Je n’ai plus de rapport amoureux avec Joy et Cécile, même quand on se revoit, il me reste juste Djilane, mais ça me suffit amplement. J’ai un mari que j’aime comme une folle, deux adorables filles et Djilane, je n’ai besoin de rien d’autre.
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