Cette histoire s’est passée en avril dernier. Jeune trentenaire, ma femme m’a quitté au mois de février pour un autre mec, pour des raisons que je ne comprends toujours pas. Ayant eu besoin de changer d’air, j’ai décidé que j’allais effectuer un road trip, partir deux semaines en laissant derrière moi le boulot, les tracas quotidiens. La destination était toute choisie : la Corse, une île magnifique que j’avais beaucoup aimée lors d’un précédent voyage. Les billets pour le bateau furent rapidement réservés. Sachant que l’île n’était pas trop fréquentée à cette période, je ne fis aucune réservation de logement. J’avais acheté une tente, cela devait suffire. Une semaine avant le départ, tout était prêt : les affaires, l’itinéraire approximatif, le guide touristique. Ma mère m’appela au téléphone pour prendre de mes nouvelles et m’annonça que ma cousine Lisa souffrait de dépression. C’était suffisamment grave pour qu’elle soit écartée de l’école. Elle suggéra, sans m’obliger, que je ferais bien de la prendre avec moi en Corse, pour qu’elle se change les idées. Lisa était la fille de la sœur de ma mère. Je ne la voyais que 2 ou trois fois par an. A ce moment-là, je la voyais encore comme une gamine de 19 ans, quelconque. Loin d’être une bombe, de longs cheveux châtains, grande et mince, prenant assez peu soin d’elle. Après une nuit de réflexion, je me suis dit que je pouvais faire une bonne action en prenant Lisa avec moi. De plus, cela allait me permettre de mieux la connaître. Je lui ai donc téléphoné. — Salut, Lisa, c’est Tim ! Comme vas-tu ?— Bof. Tu as dû apprendre que je souffre d’une dépression. Mais j’ai reçu des médicaments, ça va doucement mieux.— Tant mieux ! Je pense qu’un bon moyen de te remettre serait de voyager aussi un peu. Dans moins d’une semaine, je pars en Corse deux semaines pour un road trip, veux-tu venir avec moi ?— Cool ! Oui, pourquoi pas ! Tu es certain que ça ne te dérange pas ? Je serai un boulet pour toi !— Mais non, t’inquiète ! Si je te le propose... Par contre, la tente que j’ai achetée n’est pas bien grande, et ma première étape à Dijon est une petite chambre d’hôtel. Il faudra donc se serrer.— C’est pas grave, nous aviserons.— Bien ! Je t’envoie un mail avec les détails. Je te laisse t’arranger avec tes parents, tu me confirmes encore aujourd’hui que tu viens avec moi ? Je reçus la confirmation rapidement. Quelques jours après, notre périple commença.Après quelques heures de route, nous sommes arrivés à l’hôtel, dans la périphérie de Dijon, en début d’après-midi. Nous avons pris possession de la chambre qui contenait un lit double. J’ai dit à Lisa : — C’est assez petit. Je vais aller voir si une seconde chambre est disponible.— Non, ne t’en fais pas. Chacun dormira d’un côté du lit. Nous n’avons pas tardé à reprendre la voiture pour visiter Dijon, et nous balader dans les alentours. Nous nous entendions bien, j’étais content de lui avoir proposé de m’accompagner. Après avoir mangé quelque chose de léger le soir, nous sommes retournés à l’hôtel.
La chambre était assez petite, avec le strict minimum. Une cabine « salle de bain » en plastique, contenant des w.c., une douche, et un lavabo, une télévision, et un lit double composaient la pièce.Lisa alluma la télévision en s’installant sur le lit, et me proposa de prendre ma douche si je le souhaitais, qu’elle la prendrait ensuite. Je la prévins que je dormais en boxer et t-shirt, elle me répondit que cela ne lui posait pas de problème. Je sortis de la salle de bain peu de temps plus tard, elle y entra à son tour. J’étais allongé sur le lit, regardant la télévision, lorsqu’elle est sortie. Elle portait un t-shirt ample, mais assez court, accompagné d’une culotte noire. Ses cheveux étaient lâchés, encore mouillés. Je découvrais ma cousine sous un autre angle. Alors qu’elle ne m’attirait pas du tout auparavant, elle dégageait ici une grande sensualité. — Je fais comme toi, t-shirt, culotte !— Je vois ça ! Ça te va très bien ! Elle s’allongea à côté de moi, et nous avons regardé la fin d’un film, avant d’éteindre la télévision lumière. Chacun dormait de son côté. En tout cas au départ. Je me suis réveillé au milieu de la nuit, Lisa lovée contre moi, son fessier touchant mon entrejambe, mon sexe en érection, positionné entre ses deux fesses. Je trouvais cela terriblement excitant. Lisa fit un mouvement, reculant son bassin, exerçant une pression supplémentaire sur mon sexe. Si elle avait été réveillée, j’aurais dit qu’elle l’avait fait exprès pour m’exciter. Pourtant elle dormait bien. Je me suis dégagé de cette situation en me retournant, mais j’ai mis pas mal de temps avant de m’endormir, l’excitation étant trop forte.Le lendemain matin, je me suis réveillé sur le dos. Ma cousine était déjà réveillée, allongée sur le côté, me regardant. — Dis donc cousin, tu as un bel engin là ! L’érection du matin... la couverture n’était plus sur moi, et mon t-shirt ne cachait pas mon boxer contenant mon bâton de chair dur comme fer. Je pris la couverture pour cacher tant bien que mal cette vision. — Ne t’en fais pas, j’en ai vu d’autres... Mais tu me parais bien monté.— Ça me gêne. Je suis désolé que tu aies vu ça.— Ça ne me choque pas, tu sais ! Si tu savais le rêve que j’ai fait cette nuit ! Je découvrais ma cousine sous un autre angle... coquin. D’autant plus qu’elle s’était habillée de manière coquine pour la journée : mini-short et t-shirt moulant. Et l’allusion par rapport à son rêve ne me laissait pas indifférent, vu ce qu’il s’était passé la nuit.Nous avons repris la route après un petit-déjeuner copieux. Le bateau nous attendait à Toulon le soir même. La route se fit sans problème. Un peu avant d’arriver à destination, Lisa me demanda de m’arrêter sur une aire d’autoroute, dans un endroit un peu isolé. — Tu m’as dit que nous allions dormir dans des sièges confort. Je suppose donc que je n’aurai pas l’occasion de me changer...— Non, effectivement, ce sera difficilement possible.— Dans ce cas, je vais le faire dans la voiture. Je me suis garé sur un emplacement ombragé et isolé, curieux de savoir comment ma cousine allait s’y prendre. Elle sortit de la voiture pour chercher des affaires dans un de ses sacs de voyage, puis revint s’asseoir à mes côtés. Sans aucune pudeur, elle enleva son t-shirt, et dégrafa son soutien-gorge, libérant sa poitrine sous mes yeux abasourdis. Sa poitrine n’était pas très grande, ferme de par son âge, en forme de petite poire. Ses tétons étaient rose foncé, légèrement tendus, probablement par une excitation. — Eh ben, cousin, tu fais une drôle de tête. Tu n’as jamais vu une poitrine ?— Si si. Mais je ne m’attendais pas à ce spectacle de ta part !— Ça te gêne ? Il ne faut pas ! Je mets un soutien plus ample pour le confort. L’autre est un peu trop serré.— Ah...— Que penses-tu de mes seins ? Pas trop petits ? (elle prend ses seins en main, les fait bouger)— Je les trouve très bien !— Bon, assez maté. Elle prit son soutien-gorge de rechange, l’enfila, ainsi qu’un débardeur. Le spectacle était terminé, heureusement, je commençais à me sentir à l’étroit dans mon short.Nous avons repris la route, arrivant rapidement au terminal portuaire. Ma cousine m’avait donné pas mal d’émotions ces dernières 24 heures. Dire que j’allais passer deux semaines en sa compagnie, dormir dans une petite tente à ses côtés...
