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Voyage à Bangkok

Chapitre 6

le salon de

Travesti / Trans
Là, la masseuse de la dernière fois me demanda de la suivre et elle me guida jusque dans un bureau où m’attendait le docteur avec son infirmière. Celui-ci se leva et vint à ma rencontre, me guidant vers un fauteuil en cuir où il me pria de m’asseoir. En m’asseyant, mon regard se trouva à la hauteur de son sexe, et aussitôt, je me mordis les lèvres en essayant de deviner comment il était. Il vit mon regard et un sourire se dessina sur son visage. Il commença par me faire servir un cocktail et m’examina des pieds à la tête. Il me palpa le corps après m’avoir fait mettre en maillot, insistant sur mes aréoles. Il me pinça les pointes, ce qui me fit gémir, puis ses mains descendirent sur mes hanches et mes fesses. J’appréciai le contact de ses mains sur ma peau, il fit descendre le bas de mon maillot et manipula mon sexe qui n’était plus encagé, le branlant doucement. Il n’y eut aucune réaction. Il me fit pivoter et introduit un doigt ganté dans mon anus, cela me fit gémir aussitôt.
Il le fit coulisser en moi, m’arrachant de petits cris de plaisirs. L’infirmière notait toutes mes réactions et sourit en me voyant me tortiller de plaisir. Il finit par prendre ma tension qui était bonne. Il me dit alors que tout se déroulait bien, et que le processus pouvait se poursuivre. Il me tendit alors plusieurs feuilles, me demandant de signer. Je signai sans lire toute la liasse de documents, sans même la lire ou même y réfléchir, du moment que l’on me disait ce que je devais faire. En outre, je ne comprenais pas ce qu’il voulait dire par processus, mais cela ne m’intéressait pas, seul comptait le plaisir que je prenais et celui que je donnai. D’ailleurs, mon regard était fixé sur son entrejambe et je devinai sous la blouse une bosse laissant présager de bons moments de plaisirs. Il vit mon regard et sourit en écartant sa blouse. Il me fit signe et malgré la présence de la femme, je me mis à genoux devant lui pour extraire de son pantalon une belle queue.
Je la pris en bouche, salivant abondamment dessus. Le médecin sembla apprécier et prit les commandes en imposant son rythme. Il ne fut pas long à jouir et j’avalai son sperme, veillant à ne pas en perdre une goutte. Le médecin me félicita pour ma prestation, m’assurant que tout se déroulait vraiment de manière idéale. Il me fit servir un autre cocktail, prétextant que celui-ci me redonnerait des forces. Je bus tranquillement mon cocktail et sitôt celui-ci terminé, il me fit allonger sur un brancard afin de me faire une piqûre de fortifiant, car mon corps n’était pas encore habitué au climat local.
Je retournai ensuite à ma chambre en passant par le hall de l’accueil. Sumalee était derrière le comptoir et elle me fit de grands signes avec ses bras. Elle sortit pour m’embrasser et pour me féliciter pour la soirée précédente. Puis se tournant vers l’autre hôtesse d’accueil, se mit à lui parler en Thaï. Sa collègue inclina la tête dans ma direction et je reconnus Agun. Sumalee me fit passer derrière le comptoir. Là elle me dit de me mettre à genoux sous le comptoir et de venir leur faire plaisir à son amie et à elle. Je m’exécutai docilement, passant sous la banque de l’accueil. Ma tête se trouvait à la hauteur de leurs entrejambes. J’étais face à l’amie de Sumalee qui souleva sa jupe me dévoilant une culotte de coton blanc sous laquelle se développait une bosse. Sans réfléchir, je léchais son entrejambe par-dessus le coton. La verge se devinait sans difficulté par la transparence du tissu.
N’y tenant plus, je fis glisser la culotte le long de ses jambes et j’engloutis sa belle queue au fond de ma gorge. Je m’activai consciencieusement, observant les réactions de ma partenaire. Pendant ce temps, Sumalee avait fait glisser sa culotte blanche elle aussi à ses pieds et se branlait, assise contre le comptoir en nous regardant. L’hôtesse finit par jouir et j’avalai tout avec délice, veillant à ne pas en laisser une goutte, puis je pris le sexe de Sumalee en bouche, m’appliquant toujours avec passion. Ma langue jouait sur son gland, et malgré son désir de discrétion, elle ne pouvait retenir quelques soupirs de plaisir. Ma main droite caressait ses couilles tandis que la gauche s’était aventurée entre ses fesses où j’enfonçais deux doigts dans sa chatte anale. Je sentais les crispations dans sa queue, annonçant l’arrivée de son liquide séminal. Je restai les lèvres collées à sa queue, avalant le sperme directement à sa source.
Je veillai là aussi à ne laisser aucune trace et je sortis discrètement pour rejoindre ma chambre.Sur le trajet, je croisai Claire qui ne me reconnut pas tout de suite. C’est seulement quand je lui dis bonjour qu’elle reconnut ma voix. Elle me fit alors remarquer avec un sourire malicieux qu’un peu de sperme coulait au coin de ma bouche. Elle vint donner un petit coup de langue dessus et elle m’embrassa ensuite sur la bouche, sa langue pénétrant entre mes lèvres. J’eus aussitôt une érection qu’elle s’amusa à caresser et à pétrir. Elle s’arrêta brusquement, retirant sa main, alors que j’espérai aller plus loin, me laissant sur ma faim. À bientôt me dit-elle, en partant rejoindre Stéphanie au restaurant.
Je rentrai frustrée dans ma chambre, ne désirant qu’une chose, ressentir encore du plaisir. J’ouvris le tiroir de la commode où étaient rangés les sex-toys et m’emparant d’un vibromasseur à ventouse, de bonne taille, je le positionnai sur la chaise. Je retirais mon minishort et mon bas de maillot. Je plaçais ma chatte anale au-dessus du sex-toy et lentement je m’empalai dessus, progressivement. Je n’avais pas utilisé de lubrifiants, mais je n’en avais pas visiblement besoin. J’étais assise sur la chaise, les yeux fermés, remuant mes fesses sur l’assise alors que je sentais la queue en latex vibrer en moi. J’étais concentrée sur mon plaisir et rien d’autre ne comptait. Je gémissais sous l’effet du plaisir que je me donnai, concentré uniquement sur le bonheur d’être remplie. Je n’entendis pas taper à la porte et encore moins quelqu’un entrer et venir face à moi.
Lorsque je sentis deux mains attraper ma nuque pour m’attirer vers un sexe tendu vers mes lèvres, je fus d’abord surprise puis ravie. Je n’avais pas vu à qui appartenait cette queue, mais j’ouvris l’écrin de mes lèvres pour accueillir ce sceptre de chair fièrement dressé pour moi. Il coulissait au fond de ma bouche, heurtant le fond de ma gorge. Je regardais enfin à qui était cette verge et je découvris avec joie mon Jean-Charles, le sourire aux lèvres, qui besognait ma gorge comme s’il s’agissait d’un vagin. Il me fit lever et mettre en levrette sur le sol avant de se placer derrière moi et de me prendre sauvagement, m’arrachant de petits cris. J’entendis toquer à la porte et J-C dit d’entrer alors qu’il me défonçait toujours mon petit cul de salope. Moi j’étais tout à mon plaisir, ne songeant qu’à contracter mes sphincters pour faire jouir mon homme. C’était Sumalee qui venait servir du champagne pour J-C et un cocktail pour moi.
Elle semblait gênée de voir mon mâle, son patron, qui me baisait férocement. Il lui ordonna de venir se faire sucer par la salope que j’étais. Il continua en me traitant de chienne assoiffée de bites. Moi de mon côté, j’éprouvai de la fierté d’être salie et humiliée par mon mâle Alpha, mon maître. Je suçai donc Sumalee jusqu’à la jouissance, avalant sa liqueur séminale, pendant que J-C me défonçait ma chatte anale. Il ne tarda pas à jouir, lui aussi, et sa jouissance entraîna la mienne. Nous reprenions notre souffle J-C et moi alors que notre serveuse nous quitta pour rejoindre l’office. J-C s’était allongé sur le lit alors que moi je m’étais écroulée les fesses en l’air, sur le sol, au pied du lit, aux pieds de mon maître. Je sentais le sperme commencer à couler de mon cul qui était maintenant grand ouvert. Je sentis la main de mon maître se poser sur mes fesses et un doigt s’y immiscer. Il le ressortit gluant de son sperme et vint le présenter à ma bouche en me disant de lécher.
J’ouvris donc mes lèvres et embouchai son doigt pour le sucer avec passion. Il le sortit de ma bouche pour recommencer une nouvelle fois, mais avec deux doigts. Au final, il m’enfila jusqu’à quatre doigts, ce qui me remplissait encore de jouissance. Puis il me fit nettoyer le sol avec ma langue là où mon sperme avait giclé.
Ayant tous les deux récupéré, nous bûmes nos verres respectifs, pour lui le champagne et pour moi le cocktail... Il m’avait pris tendrement dans ses bras et je m’y sentis heureuse. Il me demanda alors si j’avais réfléchi à sa proposition et si j’avais pris ma décision. Je lui demandais alors si son offre était sérieuse, et il me répondit que vu mon tempérament de salope et de soumise, c’était la meilleure chose qui pouvait m’arriver. Je respirai un grand coup et je lui donnai mon accord. Il pouvait faire de moi ce qu’il voudrait. Je le vis afficher un sourire carnassier à ce moment, mais je n’y prêtai pas attention. Il appela alors la réception, commandant un cocktail "spécial pour sa salope" et du champagne. Il me dit que c’était pour fêter ma nouvelle vie, ma renaissance. Lorsque la serveuse vint nous amener la commande, j’étais toujours les fesses à l’air, le trou dilaté.
J-C avait refusé que je retrouve une position plus décente, après tout j’étais une salope qui se faisait tirer par tous ceux qui le désiraient. Je trinquai avec lui, savourant ce nouveau cocktail au goût différent des précédents. Par contre, il devait être plus fort en alcool. En effet, je commençai à me sentir vaseuse. Je me sentis partir, la tête me tournant, et je ne tardai pas à sombrer dans l’inconscience au pied du lit.
Je me réveillai, plus tard, me sentant toute engourdie et encore dans les vapes. Le docteur était là au-dessus de moi, il me regardait me demandant comment j’allai. J’eus du mal à parler, ma bouche était pâteuse et je sentais un poids sur ma poitrine. Il s’approcha alors avec une seringue qu’il planta dans mon bras. Je sombrai à nouveau dans un sommeil sans rêve.
Je me réveillai à nouveau, un peu moins dans les vapes, j’étais dans un lit blanc d’hôpital, seule dans une chambre sans fenêtre, juste la lumière froide d’un néon au-dessus de ma tête. Je tournai mon regard découvrant les murs blancs et nus. Je voulus regarder en direction de mes pieds, mais la couverture me gênait. Je voulus tendre la main pour rabattre le drap, mais je me rendis compte que je ne pouvais pas. Mes poignets ainsi que mes chevilles étaient attachés au lit. En outre, je sentis une sangle sur mon ventre qui me plaquait sur le matelas ainsi qu’un collier qui enserrait mon cou de. J’ouvrai la bouche pour appeler, mais je sentis quelque chose de bizarre au niveau de mon visage, j’avais les lèvres gonflées et mon visage me tirait. En outre en bougeant un peu, j’avais réussi à tirer un peu le drap et ce que je découvris dessous me laissa sans voix, choquée. Je venais de découvrir au niveau de ma poitrine une paire de seins, de gros seins. J’étais abasourdie, je devais rêver.
Visiblement, j’avais une poitrine féminine maintenant. C’était ça le poids que je ressentais sur mon thorax. À la place des pectoraux quasiment inexistants, j’avais une paire de seins. J’entendis alors une porte s’ouvrir et le médecin arriva avec l’infirmière.
— Enfin je vois que vous êtes réveillée, c’est parfait. La première partie du processus s’est bien déroulée, même mieux que ce qui était prévu. Vous allez pouvoir passer à l’étape deux, ma chère.
Je ne comprenais rien à ce qui m’arrivait et pourtant cela ne me gênait pas, bien au contraire. J’avais envie de toucher cette poitrine et de me voir dans un miroir. Le médecin se tourna vers l’infirmière et celle-ci me tendit un miroir pour que je puisse me regarder dedans. Je découvris un visage vraiment féminin, il avait été redessiné de manière harmonieuse. Le contour de mes yeux avait changé et mes lèvres étaient plus pulpeuses. Puis en même temps que le miroir descendait, je découvrais mes seins, une belle poitrine en forme de poire, très féminine et naturelle. Ma silhouette avait été aussi affinée pour correspondre à celle d’une silhouette féminine. Mes hanches avaient été creusées afin de faire ressortir le galbe de mes fesses. La surprise fut encore plus grande au niveau de mon sexe. En effet je possédai toujours ma queue, mais en dessous mes couilles avaient disparu. Celles-ci n’étaient plus là, parties laissant la place à une chatte. Je rêvai, j’hallucinai.
Sous ma verge se trouvait une fente ourlée de deux petites lèvres. D’ailleurs pour être plus précis, ma queue se trouvait au sommet de la chatte à l’emplacement du clitoris. J’avais désormais une chatte et une bite, ou plutôt un énorme clitoris. Le docteur prit la parole à ce moment-là pour me dire que mes couilles étaient toujours présentes, mais qu’ils les avaient dissimulées en interne. Rassurée sur ce fait, je le remerciai d’une voix plus aiguë et chaleureuse. Je venais de découvrir que même ma voix avait mué. Je découvris ensuite mes jambes longues et fuselées. J’étais abasourdie par le choc de la transformation effectuée sur ma personne et sans mon accord. De l’autre côté, je me trouvais belle et désirable et je ne songeai qu’au plaisir que j’allais pouvoir prendre et surtout donner. Le médecin voyant ma réaction sourit et s’approchant de ma tête ouvrit son pantalon, libérant son sexe que j’avais déjà sucé avec plaisir. Je tirai la langue pour lécher le gland.
J’étais gênée par le collier et l’infirmière vint le détacher. Je pus alors engloutir en gorge profonde la queue du chirurgien esthétique. Je m’appliquais, lui prodiguant une fellation d’enfer à laquelle il ne résista pas longtemps. Je veillais à bien tout avaler, ne voulant rien perdre. Il me caressait le sommet du crâne, me félicitant. Après s’être rhabillé, il m’expliqua que désormais j’avais bien un vagin et que celui-ci était tout à fait fonctionnel. Pour me le prouver, il enfila un gant en latex sur lequel l’infirmière déposa une grosse goutte de vaseline. Il descendit sa main vers mon vagin et appuyant son doigt enduit contre mes lèvres, il pénétra d’une poussée lente et continue. Je tressaillis de bonheur, ressentant un plaisir fantastique et jusqu’alors inconnu de moi. Il fit coulisser son doigt et m’arrachant des gémissements de plaisir. Je n’en pouvais plus. L’infirmière se pencha alors vers mon clitoris et le goba dans sa bouche pour à son tour me prodiguer une fellation.
J’étais aux anges, ressentant un plaisir fantastique. Je ne sais pas combien de temps cette débauche de jouissance a duré, mais lorsque je revins à moi, j’étais seule dans une nouvelle chambre, dont les murs étaient roses. L’un des murs était en réalité un grand placard avec des portes-miroir. Il y avait une coiffeuse contre un autre mur avec un fauteuil et à côté se trouvait une porte ouverte donnant visiblement sur une salle de bain. Je me levais, découvrant que je n’étais plus attachée au lit. Je me levai, nue, et je me dirigeai vers la salle de bain pour y prendre une bonne douche et m’examiner dans le miroir. Je caressai mes seins, me procurant là encore du plaisir, puis je me mis à me regarder sous toutes les coutures, cherchant la moindre trace d’une cicatrice. Même la cicatrice de mon appendicite avait disparu. Je ne trouvais que les traces de piqûres récentes au creux de mes bras, pour les perfusions.
Je pris ma douche et caressant ma chatte, je m’octroyai un orgasme sous l’eau chaude qui ruisselait sur moi. Je sortis enfin de la salle de bain et j’allai vers le placard pour en sortir des vêtements afin de m’habiller. Je choisis un ensemble en dentelle string soutien-gorge en dentelle blanche avec un porte-jarretelles assorti et des bas couleur chair. Puis je m’installai dans le fauteuil pour me maquiller légèrement. Je pus me coiffer avec une queue-de-cheval, car mes cheveux avaient poussé. Je ne me reconnaissais plus dans ce miroir, j’avais en face de moi une femme désirable n’ayant plus rien à voir avec le travesti que j’étais il y a peu encore. Je retournai choisir une robe légère et courte avec une paire de talons. Puis je m’assis au bord du lit, espérant la venue de quelqu’un.
Je n’attendis pas très longtemps, car l’infirmière vint me chercher. Elle se présenta à moi en me déclarant s’appeler Issara. Je lui demandai combien de temps j’étais restée inconsciente et celle-ci me répondit un mois. Je n’en revenais pas et comment allais-je justifier mon absence à mon boulot. En outre, mon séjour dans l’hôtel était normalement fini, comment allais-je payer les frais de séjour ? Et l’opération, qui allait payer ? Et soudain, je me souvins de Jean-Charles qui m’avait demandé de rester avec lui ? Je fondais en larmes, j’avais accepté sa proposition et voilà que je me réveille transformée irrémédiablement. Était-ce lui qui avait ordonné cette opération chirurgicale ? Qu’allais-je devenir maintenant ? J’avais exprimé mes craintes à voix haute et Issara s’empressa de me rassurer.
— Monsieur Jean-Charles est passé vous voir plusieurs fois quand vous dormiez, rassurez-vous mademoiselle. Tout a été réglé avec les papiers que vous aviez signé.
Je restai bouche bée, les papiers que j’avais signé ? Je n’en avais aucun souvenir.Après m’avoir réconforté, elle me conduisit enfin à l’air libre. Nous étions devant la piscine face à l’hôtel. Là je pris place à une table et Sumalee vint m’apporter un petit-déjeuner avec mon verre de cocktail habituel. Elle me complimenta sur mon nouveau physique et sur mon choix de tenue, un appel au viol d’après elle. Sumalee proposa aussitôt de m’emmener dans un coin tranquille pour découvrir et profiter de mon nouveau moi, mais Issara s’interposa, arguant que j’avais besoin de repos à l’heure actuelle. Je bus mon cocktail en déjeunant. Je ne pensais à rien, si ce n’est à savourer l’instant présent. Je commençais à somnoler doucement et mon infirmière me proposa de retourner dans ma chambre m’allonger. Et alors que je lui donnais mon accord, elle prit mon bras et me ramena à ma chambre. Là, elle me fit quitter ma robe avant de m’allonger sur le lit. Elle commença un massage pour me détendre, mais contrairement au but recherché, une érection me vint.
Elle sourit en découvrant que mon clitoris avait hissé les couleurs. Je la vis se déshabiller langoureusement avec plaisir. C’était une vraie femme et non une ladyboy. Elle enjamba mon corps, ses jambes de chaque côté de hanches et s’empala directement en poussant un feulement rauque de plaisir. Elle me dit de ne surtout pas bouger, elle allait s’occuper de tout. Je lui obéis et je sentis mon sexe être serré dans son vagin comme si une main le tenait. Elle montait et descendait sur mon sexe tout en me branlant la verge avec les muscles de sa chatte. C’était trop bon et je jouis rapidement en elle avant de sombrer dans le sommeil.
Je me réveillai un peu plus tard seule dans ma chambre. Je me levais l’esprit embrumé quand je vis que mon infirmière m’avait laissé un mot avec un cocktail posé à côté sur la commode. Je sirotais à nouveau mon verre l’esprit vidé de toutes pensées négatives, ne songeant qu’au plaisir de l’instant présent. Sur le mot, je lus que l’on allait venir me chercher pour aller à la piscine. J’allais prendre une douche pour me rafraîchir et mis un maillot de bain rouge terriblement sexy avec mon nouveau physique. Le string de bain rouge faisait ressortir ma croupe et les deux triangles de tissus centrés sur mes nouveaux seins avaient du mal à les cacher, ceux-ci débordant de tous les côtés. Puis je mis une micro jupe à volants qui couvrait à peine mes fesses. Je complétai ma tenue avec une paire de mules à talons compensés. Je m’étais dit que tant qu’à être une femme, autant être une bombe sexuelle.
Jintana arriva quelques minutes plus tard et m’enlaça tendrement en me félicitant pour ma nouvelle apparence. Elle aussi portait un maillot de bain une pièce, noir, partiellement caché par un paréo multicolore. Nous partîmes pour la piscine, bras dessus, bras dessous comme de vieilles amies. Jintana me dit qu’elle avait 26 ans et cela faisait presque 10 ans qu’elle était devenue une ladyboy. Nous arrivâmes à la piscine et elle me fit m’installer sur un transat. Aussitôt, Paveena arriva avec un cocktail pour moi. Elle me complimenta, elle aussi, sur mon nouveau physique et sur mon maillot, un appel au viol d’après elle. Paveena voulut m’emmener dans un coin tranquille pour découvrir et profiter de mon nouveau moi, mais Jintana s’interposa, arguant que j’avais besoin de repos à l’heure actuelle.
Je bus mon cocktail et je commençai à somnoler doucement. À un moment, je sentis des mains caresser mon dos, je m’éveillai pour découvrir Jintana me passant de la crème pour éviter les coups de soleil. Ses mains étaient douces et descendirent sous mes aisselles frôlant la base de mes seins. Puis elles descendirent sur mes jambes qu’elles massèrent avant de remonter sur mes fesses. Le frôlement de sa peau contre ma peau me rendait folle de désir. À un moment, ses doigts s’aventurèrent sous mon string titillant mon anus. Je ne pus retenir un gémissement de plaisir. Elle me fit me tourner, mais j’en étais incapable, mon sexe s’était dressé et il était sorti de son écrin de tissu. Comprenant ma gêne, elle prit des glaçons et les appliqua sur ma queue. Je poussai un couinement et je me mis à débander. Elle rangea discrètement ma verge et je me tournai pour qu’elle puisse étaler la crème solaire sur le reste de mon corps.
Là encore, ce fut un plaisir, je découvris de nouvelles sensations, mon corps semblait totalement réceptif et je jouis sous ses caresses. Voyant mon émoi, Jintana me proposa de me baigner, d’après elle l’eau allait me faire du bien.
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