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Voyage et Brassage

Chapitre 3

Mélanie

Avec plusieurs hommes
La suite du voyage ne fut pas particulièrement intéressante. Notre deuxième étape fut dans un coin près de Bordeaux. Nous avions donc le choix entre explorer des vignes, ou profiter de la zone d’activité entourant un lac. Choix qui fut rapidement trouvé quand la météo décida de plomber l’ambiance. Nous étions donc tous restés à l’intérieur du bus, ne sortant que pour faire des courses, ou éventuellement aller taper le bout de gras chez les autres.C’est comme ça que je pus d’ailleurs profiter d’un moment avec Rachel et la complicité de Laura, qui s’enferma dans la salle de bain pendant que j’honorais la jolie rousse. Rachel fut un peu mal à l’aise au début, mais ça se dissipa très vite, et les deux filles ont d’ailleurs débriefé ensemble sur ce qui venait de se passer pendant que, comme prévu, je changeais les draps. Laura expliqua même à Rachel qu’elle envisageait de se taper Paul. Celle-ci ne s’en offusqua pas.La troisième étape nous conduisit au Pays basque, côté français. Si la météo a été plus clémente, il ne s’y passa toujours rien qui vous donnerait envie que je vous raconte. J’ai une fois de plus couché avec Rachel. Et Laura m’a raconté comment elle avait fini par séduire Paul et à coucher avec lui. Effectivement, il avait un petit matos, et coucher avec lui avait été parfaitement ennuyeux. Elle m’indiqua que Paul avait eu le culot de dire que Rachel était trop large, ce qui m’avait fait éclater de rire (désolé coco, mais pour y être allé, je confirme que c’est toi le problème).
L’événement majeur suivant eut lieu lors de notre quatrième étape. Nous passions quelques jours en Espagne, non pas à la plage, mais, histoire de changer un peu, près des Pyrénées. S’il n’y avait pas d’habitation à proximité, nous avions l’occasion de voir du monde, car entre la rivière où se mêlaient pêcheurs et nageurs, et la forêt et ses randonneurs, nous croisions pas mal de locaux et de touristes. Rachel m’avoua même plus tard avoir couché avec un touriste allemand rencontré sur place.L’endroit était vraiment sympa. Le deuxième ou le troisième jour de notre étape, j’étais, ainsi que tout le reste du groupe sauf Mélanie et Jacob, à profiter d’une baignade dans la rivière. Malgré l’altitude et la proximité de la montagne, il faisait très chaud et l’eau fraiche était vraiment un plaisir. Chose rare, nous n’étions qu’entre nous. Nous nous amusions comme des petits fous, ou comme des enfants à la piscine, c’est selon. Même la petite Gabrielle oublia l’espace que quelques instants qu’elle était timide et s’amusa avec nous.Bien entendu, cela ne dura pas et au bout d’un moment, beaucoup d’entre nous sortirent de l’eau. Rachel et Paul pour aller faire une balade dans les bois. Gabrielle, Hilda et Laura pour prendre un bain-de-soleil. Et moi parce que j’en avais un peu marre. Seul Sacha continua à faire des longueurs.« Il adore l’eau, nous expliqua Gabrielle. »J’acquiesçai doucement, ne sachant pas quoi répondre.« Je retourne au bus, dis-je. J’ai envie d’une petite sieste. Amusez-vous bien. »Elles me saluèrent, et je pris donc le chemin du bus.Hilda avait eu la bonne idée, ou les instructions, je ne sais pas, de choisir un parking certes public et accessible, mais relativement éloigné. Ça faisait plus de marche, mais nous étions généralement tranquilles quand nous étions près du bus, les gens se garant le plus souvent dans le premier parking.Faisant le tour du bus pour rejoindre les entrées, je m’arrêtai soudain. J’entendais des bruits. Des bruits que j’avais entendus lors de la première nuit de voyage. Mélanie et Jacob étaient en train de faire l’amour dans leur appartement. Ils avaient profité de l’absence du reste de l’équipée. Et franchement, qui les en blâmerait ? Je me demandais si je devais leur signaler ou non ma présence. J’optais pour non. Ils étaient en droit de profiter d’un moment de plaisir et je n’allais pas le leur gâcher.
Me dirigeant vers les portes, j’eus l’impression que mon cœur lâcha. Ils n’étaient pas en train de faire l’amour dans leur appartement. Non. Ils étaient sur l’une de nos tables de pique-nique. Mélanie était nue, allongée sur le dos, tandis que son mari, debout à côté de la table et aussi nu qu’elle, la pilonnait à un rythme régulier.De là où j’étais, je voyais les seins de Mélanie qui bondissaient au rythme de la pénétration. Jolis seins qui plus est. Pas gros, même plutôt petits, mais en poire, très bien dessinés, et terminés par de mignons tétons bruns.Je sentis mes jambes se liquéfier quand Mélanie tourna la tête vers moi. Pourtant, elle ne semblait pas spécialement surprise ni gênée.« Coucou Estéban ! »Jacob tourna la tête vers moi. Il n’arrêta pas pour autant de pilonner sa femme.« Ça ne te suffit pas de nous entendre, il faut que tu nous voies, plaisanta-t-il. »Était-ce ma présence ? En tout cas, ils ont tous les deux joui en même temps, laissant échapper pour Jacob un grognement de plaisir et pour Mélanie un cri étouffé.Ils se séparèrent. Sans aucune gêne ni pudeur, Jacob me fit face, me montrant sa bite encore dure et luisante de la cyprine de Mélanie. Cette dernière, pas plus gênée ni pudique, s’assit sur la table, m’exhibant son épaisse, mais manifestement bien entretenue toison brune.« On se demandait quand quelqu’un nous surprendrait, plaisanta Mélanie.— Vous vouliez être surpris ?
— Oui. J’ai parlé à Jacob du fait que vous nous aviez entendus, Laura et toi. On a adoré le savoir.— Tu as pourtant bien rougi.— Mais pas de honte, insista-t-elle. C’est bien pour ça qu’on ne s’est plus privés.— Ah bon ? On ne vous a plus entendus pourtant.— Vraiment ? Pourtant on n’y allait pas de main morte, intervint Jacob, simulant le ton de quelqu’un de vexé.— Vous deviez avoir le sommeil lourd.— Possible, dis-je seulement.— Maintenant que tu es là, dit Mélanie, pourquoi ne viens-tu pas avec nous ? »Je ne fus même pas étonné de la proposition. Ils baisaient en extérieur en espérant être surpris, avaient joui en étant vus, et maintenant continuaient de s’exhiber.« Vous êtes libertins, demandai-je carrément.— Oui, répondirent-ils en chœur. Et on est content que ce soit toi qui nous aies surpris, précisa Jacob.— Pourquoi moi ?— Parce qu’on ne s’attend pas à ce que Rachel et Paul soient ouverts (mauvaise analyse, mais je me tus), même chose pour Gabrielle et Sacha. Quand je dis qu’on est content que ce soit toi, on aurait été aussi content pour Laura ou Hilda. Parce que vous trois, on s’est dit qu’on avait une chance.— Et je pense que l’idée te plaît, plaisanta Mélanie. »En effet, mon maillot de bain ne cachait pas mon érection. Je ne sais pas si c’était la situation, ou le corps de Mélanie qui m’excitait à ce point. Et puis quoi ? J’étais venu dans ce séjour pour baiser. Eux aussi. Pourquoi se formaliser ?« Par contre, je ne suis pas exhibitionniste. Donc si vous voulez qu’on fasse quelque chose, c’est à l’intérieur. »Mélanie sauta à terre et applaudit très rapidement. « Chic. Enfin, le voyage prend une tournure intéressante. » Sans attendre, elle s’engouffra dans son appartement. « Bon bah venez les mecs ! »
J’entrais dans leur appartement, suivi par Jacob, toujours le soldat au garde à vous.Mélanie tapota la table, m’invitant à m’asseoir. Un fétichisme des tables Mélanie ? Bon en fait, je ne me suis pas posé la question à ce moment. J’étais trop pressé d’enchaîner. Alors j’ai viré mon maillot de bain, et je me suis installé sur la table. Mon hôte attrapa mon sexe et commença à me masturber. Elle était d’une incroyable délicatesse. Ses mouvements étaient amples, mais doux. Mon gland se décalottait en rythme. C’était génial.Jacob vint se placer à côté de sa femme et les deux s’embrassèrent d’une manière étrangement sage dans le contexte. Afin de leur faire comprendre que je n’étais pas fermé d’esprit, je tendis la main et attrapai entre mes doigts la queue toujours dressée de Jacob. J’avais déjà expérimenté avec des mecs et, même si je me qualifiais d’hétéro, je restais ouvert à des actes gays quand l’occasion se présentait.Remarquant ma main, Mélanie arrêta d’embrasser son mari et m’adressa un sourire très coquin.Elle me fit basculer sur la table et ouvrit la bouche, faisant entrer mon sexe en elle. Sa bouche était chaude et aussi douce que sa main. Elle entama des va-et-vient d’une infinie douceur.Jacob vint se positionner à côté de moi. Il avait l’air hésitant. Comme s’il ne savait pas si j’irai plus loin. Alors pour le rassurer, je suis allé plus loin. J’ai à mon tour ouvert la bouche et ai laissé glisser son sexe sur ma langue. Oh, je n’étais certainement pas aussi bon suceur que Mélanie qui faisait grimper mon plaisir à grande vitesse, mais Jacob eut l’air d’apprécier ma fellation. Afin d’accentuer son plaisir, je fis passer ma main derrière ses fesses. Jacob comprit immédiatement et se pencha légèrement afin d’ouvrir à mes doigts l’accès à son anus.Il y eut cependant un souci. J’approchai très vite du point de non-retour. Mélanie s’en était-elle rendu compte ? Je ne sais pas, toujours est-il qu’elle arrêta alors sa fellation.« J’ai envie de ta queue en moi. »Elle me fit comprendre que je devais lui laisser la place sur la table. Je m’exécutais et lui laissais la place. Elle s’allongea sur la table, ouvrant grand les cuisses. Qui aurait pu résister à une telle invitation ?Sans attendre, je m’avançai et entrai en elle. Elle était chaude et humide. C’était très agréable.Comme la pression était descendue d’un coup, je sentis que j’allais pouvoir encore tenir un peu le temps. Tant mieux. Ç’aurait été dommage de finir trop vite.Jacob n’avait pas bougé. Mélanie attrapa sa queue d’abord avec sa main, puis avec sa bouche, tandis que ses doigts prirent la place qu’occupaient les miens quelques instants plus tôt.Je pilonnais Mélanie qui continuait de sucer son homme. La scène était particulièrement érotique. La pièce sentait le sexe. La température montait littéralement. Les seuls bruits que j’entendais étaient les gémissements de Jacob et les miens, ainsi que le bruit de mon corps percutant celui de Mélanie.À ma grande surprise et à mon grand plaisir, c’est elle qui fut la première à jouir. Combinaison, je suppose, du traitement que lui avait prodigué Jacob avant mon arrivée, du contexte très chaud, et de mes pénétrations.Cette fois-ci, j’allais jouir.Je quittai le corps de Mélanie, et éjaculais en saccades sur ses poils noirs. Jacob me sourit. Puis il jouit à son tour, poussant un nouveau grognement. Il sortit sa queue de la chaude bouche dans laquelle elle se trouvait, aspergeant le visage et la poitrine de la jolie brune.« Bon bah merci les mecs. Je suis bonne pour prendre une douche maintenant, plaisanta cette dernière. »
Moi, je n’avais plus du tout envie de faire de sieste.Jacob passa un coup d’éponge sur la table que nous venions de souiller, et me proposa un Coca. C’était bien venu.Nous nous sommes assis autour de la table, à siroter notre soda. Ni lui ni moi n’avions trouvé nécessaire de nous rhabiller. Pas plus d’ailleurs que Mélanie qui ressortit de la douche, les cheveux ruisselants d’eau. Ça la rendait encore plus jolie.« C’est quand même de chouettes vacances, dit-elle en s’installant à côté de moi. »Nous avons papoté pendant un moment. Ils m’avaient notamment parlé de leur rencontre en club, de certains de leurs coups d’éclat, ou encore des fantasmes un peu fous de Mélanie. Mais il était temps que je les quitte. J’avais bien sûr remis mon maillot de bain avant de sortir, et Mélanie et Jacob s’étaient rhabillés.Les autres revenaient alors que nous quittions l’appartement de Mélanie et Jacob. Je vis aux yeux de Rachel et de Laura qu’elles se doutaient de ce qui s’était passé.
Et en effet, le soir même, Laura avait à peine fermé la porte qu’elle m’interrogea sur le moment que j’avais passé à l’appartement voisin. Bien sûr, je lui racontais tout, du moment où je les avais surpris jusqu’à notre discussion à poil autour de la table.Laura était nue, prête à aller sous la douche. Elle faisait un peu la tête.« Tu as déjà couché avec trois fois avec Rachel et une fois avec Mélanie et Jacob, et à chaque fois tu as kiffé. Moi j’ai juste couché avec Paul et c’est oubliable. Je suis jalouse.— On est seulement à la moitié du voyage. Tu auras le temps de rattraper ton retard.— Tu vas être abstinent le temps que je te rattrape ?— Même pas en rêve. »Elle me balança une serviette en pleine tronche avant d’éclater de rire.
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