— Salut Claude c’est chichi je viens de trouver ton profil sur Facebook, j’espère que vous allez bien? J’ai répondu à mon ami perdu de vue depuis une dizaine d’années et après plusieurs mois de dialogue ou échange téléphonique nous sommes invités pour le réveillon de noël. Quinze jours avant ce voyage vers le pas de calais, nous recevons un ami surnommé petit homme à cause de sa taille. Ce dernier est un amant régulier de ma femme et nos rencontres sont assez fréquentes, ma femme Martine est très friande de partie à trois avec deux hommes. Une semaine plus tard, le vendredi elle me dit j’irai bien faire une surprise à Stéphane pour le week-end mais seule. — Je ne suis pas contre si c’est ton envie.— Tu es un amour mon homme, je t’aime mais tu ne seras pas seul, tu sais ma collègue de travail qui veut baiser avec toi est libre, son mari est absent tout le week-end. Effectivement la copine est une affamée de la bite qui accepte tout sans problème. le samedi soir après un échange téléphonique avec Martine chacun de nous deux gardes son téléphone en marche et chaque couple écoute les ébats de l’autre c’est très stimulant. Martine me contacte le dimanche vers dix heures. — Je veux faire une surprise à Stéphane pour son retour il est parti chercher les croissants et tu n’as pas d’idée?— Mets juste tes talons et rien d’autre et tu l’attends dans l’entrée dans cette tenue.— C’est quoi le petit bruit que j’entends?— Ta copine qui toujours présente, elle me suce la queue comme une morte de faim, elle est comme toi toujours envie de jouir. La surprise à eu un énorme succès car les croissants on attendu seize heures pour être déguster. Nous passons la nuit de samedi à dimanche à donner du plaisir à Martine dans différentes positions et la nuit se termine par une double pénétration donc elle est très friande et elle s’endort repue la bouche encore pleine de sperme. Sa chatte et son cul laissant couler un liquide blanc sur les draps. En prenant un rafraîchissement, j’annonce à Stéphane notre déplacement prévu pour Noël. — Moi aussi je vais à Arras voir ma mère.— Tu pars à quelle date? — Trois jours avant Noël.— Pareil pour nous, si tu veux on te récupère au passage à Rennes et on fait la route tous les trois.— On pourra se relayer au volant le voyage paraît moins long de chez moi il y a cinq heures de route.
— Pour nous une heure de plus, marché conclu on en parle à la belle Martine demain matin. Lorsqu’elle apprend la nouvelle, Martine est ravie. — J’ai une idée pour rendre le voyage plus agréable.— Expliques-nous!— C’est une surprise je n’en dirais pas plus. Le jour du voyage elle porte des cuissardes à lacets jusqu’à mi-cuisses, une jupe relativement courte et un gros pull. — Monte chercher Stéphane tout seul , je reste dans la voiture je vous attends. Cinq minutes plus tard, en plaçant sa valise dans le coffre, je suis surpris de voir Martine sur le siège arrière. J’ouvre la portière car les vitres un peu teintées ne laissent rien voir et nous découvrons un joli spectacle. Ma salope de femme” je l’appelle souvent comme cela et elle adore être appelée ma salope” a retiré sa jupe son pull, elle ne porte que ses cuissardes, des bas accrochés aux jarretières de sa guêpière qui laisse ses seins nus. Ils sont de bonne taille un bon 95 D et ils grossissent encore plus sous les caresses et l’excitation, comme ses tétons sont très sensibles on arrive à la faire jouir qu’avec ses seins.— Je pense rendre le voyage plus agréable, Stéphane va s’occuper de moi une heure et après on change.— Tu es capable de nous satisfaire pendant cinq heures?— Réfléchi chéri en club on reste plus de cinq heures et généralement j’assume avec dix hommes et plus.— Exact ma salope là tu te contenteras de ne vider que deux paires de couilles.— Pas les vider, les essorer jusqu’au moment où il n’y aura plus une goutte de sperme dans vos couilles. Bien sûr nous les hommes on est ravis de la proposition, en bon complice on se tape dans la main. — On va bien la défoncer la salope elle se souviendra du voyage. j’ai parcouru cinq cents mètres que déjà j’entends les bruits de succions. Le voyage s’annonce très chaud, effectivement au bout de dix kilomètres Marine commence à jouir. J’ai réglé le limiteur de vitesse et la boîte automatique facilite la conduite, j’oriente le rétroviseur intérieur pour ne pas rater la vue sur le siège arrière. Martine en position de levrette subit les assauts de Stéphane, ses cris fusent et j’encourage mon pote Stéphane. — Défonce- moi plus fort, pince mes tétons. Ho oui encore plus fort donne-moi ton foutre rempli ma chatte de salope.— Tu es insatiable plus je te prends fort plus tu demandes.— Oui je jouis c’est bon fait cracher ta queue vide tes couilles. Petit moment de calme où les deux protagonistes se désaltèrent et récupèrent un peu. — Une bonne demi-heure, tu es fatiguée.— Pas du tout, c’est juste pour savoir. J’ai le temps de sucer Stéphane pour le remettre en forme et lui offrir mon cul. Je suis absorbé par un ralentissement avant un péage et je cesse un instant de jouer le mateur. Heureusement aujourd’hui avec les badges on ne passe plus devant les guichets mais même si cela était encore d’actualité ma salope aurait continué de se faire sodomiser car en plus elle est très exhibitionniste. Je pose mon regard sur le rétroviseur pour mater, Martine à une drôle de position, une jambe sur le sol, l’autre à genoux sur le siège, les cuisses bien écartées. Le buste droit les bras accrochés à un repose tête arrière. Stéphane accroché à ses hanches la possède à grands coups de reins sous les encouragements de la salope qui demande plus vite plus fort. Je continue la conduite un oeil sur la route et l’autre sur le rétroviseur, j’annonce: — ils ne vous restent que cinq minutes!— Dépêches-toi Steph rempli mon cul crache ton foutre. Juste au moment où je prends la bretelle de l’aire de repos, Stéphane arrive à son plaisir et sa queue tapisse le rectum de Martine qui jouit encore plus fort. Sur une heure de route, elle a joui plus d’une demi-heure.Nous échangeons nos places et je trouve Martine à demi-assise, les cuisses bien écartées du sperme coule de ses trous. — Tu veux ton dessert mon chéri, viens me lécher et nettoyer mes trous de salope. Elle me connait très bien et sait que j’adore me repaître du sperme de ses amants quel qu’en soit le nombre qui l’a honorée. Ma langue commence par faire le tour de sa chatte avant de lécher ses lèvres et puis j’enfonce ma langue de plus en plus profond ce qui bien sûr déclenche sa jouissance et sa cyprine se mêle au restant de sperme, étant un peu fontaine pendant dix minutes un jet rempli ma bouche pour mon plus grand bonheur. Martine s’allonge alors sur le dos et collent ses pieds au plafond en écartant ses jambes au maximum pour m’offrir son cul à lécher. Lorsque les premiers signes d’une nouvelle jouissance commencent je me redresse, présente mon gland sur sphincter et d’une seule poussée j’enfonce ma queue jusqu’aux couilles. Martine apprécie beaucoup la sodomie un peu sauvage et ma queue est presque le double de volume par rapport à Stéphane. — Putain que c’est bon de se faire démonter le cul par ta queue mon amour, défonce-moi comme la grosse salope que je suis. Quelques instants plus tard ses cris de plaisir remplissent l’habitacle de la voiture, Stéphane augmente le son de l’autoradio pendant plus d’une demi-heure ma queue entre et ressort de son cul et replonge au plus profond, elle adore et est devenue complètement accro de la sodomie.Elle a bien changé car lors de sa première sodomie elle ne m’a plus parlée pendant trois jours. — Jamais tu ne me sodomiseras de nouveau j’ai eu trop mal.— Pas grave-j’en connais plus d’une qui aime et qui sont ravis d’être sodomisées.— Pas question tu ailles voir une salope pour l’enculer, je préfère encore souffrir pour te faire plaisir. Ceci était avant qu’elle découvre l’échangisme et le libertinage et petit à petit elle s’est ouvert à tout, la pluralité masculine, jouir avec d’autre femmes, les gangs-bangs et son péché mignon l’exhibition totale où elle aime se faire prendre par moi devant des voyeurs et être offerte à eux. Lorsque ma queue est expulsée de son cul elle me branle et me suce, je dois dire me pompe la queue comme une morte de faim. — Donne moi du sperme chéri j’en ai pas encore goûté aujourd’hui. Je me répands dans sa gorge au moment où Stéphane annonce cinq minutes. — Ok on est loin d’une station?— Dans dix kilomètres environ.— Bien conduit jusque là-bas on va faire une pause-café.— Attendez-moi il faut que je me rhabille!— Pas la peine tu mets juste ton manteau et tu le laisse ouvert. Martine râle un peu mais je sais que d’un autre côté son penchant exhibitionniste prend le dessus. Effectivement certains mâles présents ont eu droit à un beau souvenir de voyage, elle a écarté les pans de son manteau pour se faire remarquer et nous reprenons la route où Stéphane conduit de nouveau pour trois quarts d’heure c’est le temps qui me restera aussi. Martine me redemande une sodomie et lors du dernier trajet Stéphane s’occupe de sa chatte. — Dans cinq minutes on arrive chez ta maman.— Fais le tour de la place doucement s’il te plaît je suis au bord de la jouissance. Stéphane se videra les couilles à cent mètres de la maison de sa mère, il nous remercie et récupère sa valise. Martine est revenue s’asseoir sur le siège passager et les pieds posés sur le tableau de bord elle se caresse le clito avec un gode et l’enfonce dans sa chatte. — Tu deviens de plus en plus salope il te faut quelque chose dans la chatte ou le cul tout le temps.— Merci mon amour mais c’est toi qui as fait de moi la salope que je suis aujourd’hui, tu le regrettes ?— Pas du tout ma salope d’amour je t’aime en chienne assoiffée de sperme.
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