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Voyage en Corse

Chapitre 1

Découverte de nos corps

Inceste
Les faits se sont déroulés alors que j’avais 19 ans.
J’ai toujours eu un faible pour ma cousine, Sylvie, depuis notre plus jeune âge. Elle est âgée de trois ans de plus que moi. Elle était pourtant loin d’être un top model, avec un petit look de garçon manqué. Brune, assez petite, une poitrine on ne peut plus banale, les cheveux assez courts.A 19 ans, j’avais eu quelques petites amies. Malheureusement, aucune relation sérieuse. Cela s’était limité à quelques embrassades appuyées, j’étais toujours vierge. À 19 ans, j’en avais assez honte, étant fort porté sur le sexe et étant adepte de sites pornographiques.
Nous avions décidé de partir en Corse pour les vacances de Pâques. Nous étions un petit groupe de cinq personnes : Sylvie, moi-même, mon autre cousine Elza, et un couple d’amis communs, Annick et Laurent. Nous étions descendus du nord de la France vers Marseille avec la voiture de Laurent. Le soir tombé, nous avons embarqué dans le ferry de la SNCM pour une traversée de nuit. Arrivés au petit matin à Ajaccio, nous avons continué notre route vers Porto Vecchio, où nous avions réservé un bungalow dans un camping.Nous n’étions pas un groupe de fêtards. Nous comptions profiter de la nature, promener, passer de bons moments ensemble, profiter du soleil et de la plage. Un vrai séjour de détente. De mon côté, j’étais heureux de pouvoir profiter de Sylvie pendant quelques jours. Sur le chemin, je me suis remémoré l’expérience que nous avions vécue tous les deux, alors que nous étions cinq années plus jeunes :


Nos parents avaient loué un grand gîte ensemble dans le sud de la France. Il était séparé en deux parties, la première avait été dédiée aux enfants, l’autre aux parents. Ainsi, avec mes cousins, nous pouvions chahuter dans la grande chambre sans gêner les plus vieux qui voulaient se reposer.Un soir, alors que je prenais ma douche, je fus surpris par une silhouette au-delà de la paroi de verre couverte de buée. Je sortis de la cabine de douche, Sylvie était devant moi, en train de déshabiller.
— Eh bien mon cousin, c’est la première fois que je te vois tout nu !
J’étais embarrassé, nu comme un ver, mouillé. Le sang commençait à se concentrer dans mon membre qui avait tendance à vite se dresser à cet âge-là. Ma cousine dégrafa son soutien-gorge, laissant apparaître sa poitrine, une première pour moi. Ensuite, elle retira son shorty, laissant apparaître une toison noire. Je restais sans voix. Ma cousine, nue devant moi... Mon sexe était au garde à vous, Sylvie s’en amusa :
— Tu es en forme dis-moi ! Ecarte-toi, je meurs d’envie de cette douche, tu as pris trop de temps.
Je m’écartai, elle passa devant moi et fit une caresse sur mon sexe. Une caresse furtive mais tellement agréable. Je m’essuyai tout en observant Sylvie sous sa douche, l’eau parcourant son corps, ruisselant sur ses hanches. La vue de sa poitrine et de son pubis me rendait fou, c’était la première fois que je pouvais contempler une femme de la sorte. Une fois habillé, je sortis de la salle de bain et dus attendre un bon moment pour faire redescendre la pression. Plus jamais nous n’avons parlé de ce moment intime.

Arrivés à Porto Vecchio, nous prenons possession du bungalow. Celui-ci est constitué de trois chambres : la première avec un lit superposé pouvant accueillir deux personnes, une seconde avec un lit double, et une troisième avec un lit simple.Elza demande si elle pouvait prendre la troisième chambre. Elle doit dormir avec une pompe l’aidant à respirer la nuit afin d’éviter une apnée du sommeil. Cette pompe fait un peu de bruit et elle ne veut déranger personne. Tout le monde acquiesce et c’est naturellement qu’Annick et Laurent investissent la chambre avec le lit double, et pour mon plus grand bonheur, Sylvie et moi prenons possession de la première chambre. Sylvie réagit :
— Je te préviens, je dors en bas ! J’espère que tu ne ronfles pas !— Ca tombe bien, je préfère dormir en haut. Et non, je ne ronfle pas.
Chacun installe ses affaires. Le reste la journée sera assez calme. Nous allons nous coucher de bonne heure, le voyage nous ayant fatigués. Sylvie porte un ensemble pyjama pour dormir : un short et un T-shirt assortis.Je me réveille, la lumière du jour emplit la chambre. Je baisse ma tête pour voir si ma cousine dort toujours. Mon regard croise le sien, son visage est affiche un beau sourire.
— Salut cousin, bien dormi ?— Très bien, et toi ?— Comme un bébé. Je suis contente que l’on partage cette chambre toi et moi !— Moi aussi !
Pourquoi a-t-elle dit cela ? Se souvient-elle de notre petit moment dans la salle de bain ? Est-elle aussi attirée par moi ?Nous discutons de choses et d’autres pendant un petit moment, décide ensuite de se lever. Elle fait pivoter son bassin avec ses jambes tendues et dressées vers moi. De mon point de vue, je ne perds pas une miette du spectacle : Sylvie ne porte pas de sous-vêtement sous son short qui est assez ample, laissant paraître son pubis de par sa position. Cela ne dure qu’un instant, et Sylvie referme vite ses jambes, se lève, sa tête arrivant à la hauteur de la mienne.
— Dis-moi Adrien, tu as une copine en ce moment ? — Non, c’est le néant en ce moment ? Et toi, tes conquêtes ?— Oh, tu sais, je n’attire pas les garçons. Je ne fais rien pour non plus : je ne m’habille pas sexy, je ne porte pas de talons. Pourtant j’aimerais bien...
J’ai connu un ou l’autre garçon, mais je les ai envoyés promener. Tout ce qui les intéressait était le sexe.— Je comprends. Mais rassure-toi chère cousine, tu es belle à craquer. Si je n’étais pas ton cousin, je t’aurais déjà fait la cour !
Nous rigolons tous les deux. J’étais pourtant sérieux. Mon désir pour Sylvie est de plus en plus fort.L’après-midi, alors que nous jouons dans la mer un peu fraîche à cette saison, Sylvie me semble étrangement proche : en essayant de me couler, elle effleure mon entrejambe à plusieurs reprises. Je ne suis pas en reste. Ce jeu me permet de toucher sa peau autant que possible, tout en restant discret.Le soir, une fois tout le monde couché, chacun dans son lit, Sylvie m’interpelle :
— C’est gentil ce que tu m’as dit ce matin, ça beaucoup touché !— Par rapport au fait de te faire la cour ?— Oui... J’ai 22 ans tu sais... Je suis toujours vierge et j’aimerais vraiment découvrir les sensations que ça doit procurer— Tu n’as jamais fait l’amour avec un garçon ? Je dois t’avouer que je suis toujours vierge aussi.— J’ai déjà masturbé un garçon, mais nous ne sommes pas allés plus loin. Il n’avait pas de sentiments pour moi. Les sentiments sont importants, tu ne trouves pas ?— Je suis d’accord avec toi.
Un silence s’installe. Sylvie l’interrompt :
— Tu te souviens lorsque nous étions au gîte, il y a quelques années ? Tu prenais ta douche, et je me suis dénudée devant toi.— Et comment ! C’est la première fois que je voyais une fille nue. Cela ne m’a pas déplu !— C’est vrai ?! Moi c’est la première fois que je voyais un garçon nu, cela ne m’a pas déplu non plus !
Une tension s’installe dans cette petite chambre. Je sens que la situation peut déraper. Je l’espère secrètement. Un nouveau silence s’installe, vite interrompu par Sylvie :
— Ton corps a dû changer entre-temps. Tu es plus musclé, ça doit être beau à voir... Tu veux me montrer ?— Euh... Sylvie... Je ne sais pas si c’est une bonne idée...— Oh excuse-moi... Je ne voulais pas te choquer ou quoi que ce soit.— Non t’inquiète, ce n’est pas grave.
Ma tête bouillonne. J’avais fait le garçon sérieux, mais je meurs d’envie de m’exécuter, et de voir ou cela peut mener. Ma cousine est silencieuse. J’allume la lumière, et descends du lit.
— Bon, c’est bien parce que c’est toi... Et parce qu’il n’y a pas grand-chose à enlever de toute façon...
Il n’y a effectivement qu’un t-shirt et un boxer à retirer... Je commence par le haut, en imitant une danse lancinante. Sylvie n’en perd pas une miette, silencieuse, avec un grand sourire, redressée sur son lit. Je suis embarrassé et excité à la fois. Un début d’érection se dessine dans mon boxer. J’expose ma musculature, tends mes abdos.Ensuite, je fais doucement glisser mon boxer vers mes pieds. En me redressant, je vois Sylvie, les yeux ébahis et bloqués sur mon pénis à moitié redressé. Au bout de quelques secondes, elle me dit :
— Tu as bien changé, tu es beau. Ton engin a pris de la taille... Je peux... Je peux toucher ?
Je m’avance vers elle, elle tend son bras vers mon entrejambe, je ferme les yeux. Je sens sa main chaude envelopper mon sexe qui se dresse maintenant fièrement. Elle considère ce sexe palpitant dans sa main, puis commença un léger va-et-vient. Je ne peux m’empêcher de lâcher un soupir. Soudain, elle lâche tout, et me dit en se levant :
— Tu veux bien me déshabiller ? Ainsi nous serons à égalité.
Elle est à nouveau dans son ensemble pyjama. Je m’approche d’elle, lui retire son T-shirt. Sa poitrine est dressée vers moi. J’ai la gorge sèche, l’atmosphère est très tendue. Doucement, je fais glisser son short à ses pieds, laissant apparaître sa toison noire. Je la regarde dans les yeux. Je lui murmure :
— Tu es magnifique
En guise de réponse, elle prend ma main droite et la pose sur sa poitrine, chaude. Au contact de ma main, Sylvie est comme parcourue par une petite décharge électrique. Je commence à malaxer sa poitrine, elle soupire. Sa main gauche se dirige vers mon sexe bandé comme jamais. Elle le prend en main et commence à monter et descendre en douceur. C’est bon, agréable. J’en veux plus... Ma main droite descend vers ses hanches, se dirige au creux de ses cuisses, touche ses poils pubiens. Je tends mes doigts, je sens ses lèvres. Sylvie écarte un peu ses jambes pour me faciliter l’accès. Mon index glisse entre lèvres, doucement. Je sens son clitoris, ses petites lèvres, l’entrée de son vagin. Le tout est visqueux, recouvert de cyprine. Sylvie a les yeux fermés, soupire. Je n’ai jamais caressé de sexe féminin, c’est bon, agréable, comme du velours. J’ai envie d’aller plus loin. Je continue à explorer l’intimité de ma cousine pendant qu’elle continue tant bien que mal à me masturber en douceur.
— Viens ! – me chuchote-t-elle
Elle s’assied sur son lit, et m’invite à l’y rejoindre...
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