Il ne se passa rien de particulier les jours qui suivirent. Nous avons fait diverses activités, le séjour touchait petit à petit à sa fin. Sylvie et moi avons continué notre relation secrète. Nous étions contents de nous retrouver chaque soir pour un moment intime. Elza ne nous avait plus importunés, nous n’avions plus parlé du moment partagé avec elle.Nous sommes la veille du départ. Nous avons profité une dernière fois de la plage cet après-midi. Annick et Laurent ont décidé de profiter en amoureux de la dernière soirée. Elza, nostalgique, est enfermée dans sa chambre. Je regarde la télévision avec Sylvie, nous sommes enlacés, tristes, sachant que la fin du voyage est synonyme de séparation. Je ne sais pas de quoi le futur est fait, comment évoluera notre relation. Nous n’en avons jamais discuté, peut-être par peur de froisser l’autre.Elle blottit sa tête sur mon épaule et me murmure : — Je t’aime Adrien. Je rentrerai changée chez moi. Grâce à toi.— Moi aussi je t’aime. Promets-moi que l’on continuera à se voir !— Bien sûr ! Nous allons nous arranger ! Elsa sort de sa chambre. — Elza : Je suis triste que cela se termine.— Sylvie : nous aussi. C’est passé tellement vite.— Elsa : vous êtes mignons tous les deux. Le retour sera encore bien plus compliqué pour vous.— Moi : c’est certain. Fini la belle vie. Silence. Elza tourne en rond dans la pièce. Sylvie lui demande : — Il y a un problème Elza ?— Non, tout va bien. J’avais une question gênante...— Dis-nous !— J’ai beaucoup apprécié notre partie de jambes en l’air l’autre fois. Je ne sais pas si cela se reproduira un jour. Il y a quelque chose que j’aimerais essayer, que nous n’avons pas fait... J’aimerais essayer la pénétration anale. C’est quelque chose qui m’intrigue. Seulement, je veux le faire avec quelqu’un de confiance, quelqu’un qui me respecte. Cela peut faire mal, je veux qu’il soit doux. Vu l’opportunité, je pensais à toi, Adrien. Si Sylvie est d’accord. J’étais abasourdi par cette invitation. Le sexe anal est quelque chose qui me rebute, mais je me dis que pourquoi pas, c’est une expérience de plus. Avant que je n’ouvre la bouche, Sylvie répond : — Tu es vraiment bizarre, et culottée. Je laisse Adrien décider. J’ai soif, je pense qu’il nous reste de la tequila, je vais nous servir des shots.
Sylvie s’exécute après avoir mis la télévision sur une chaîne musicale. 2 minutes plus tard, je suis devant un shot de tequila que j’avale cul sec. 2e verre, pareil. Sylvie m’attire dans un coin, laissant Elza se dandiner devant la télé. — Adrien, mon amour, si c’est bon pour toi, c’est bon pour moi. Je fais un signe approbateur de la tête, et me dirige vers Elza en me dandinant à mon tour. Je me place derrière elle et danse avec elle. D’abord, mes mains sont sur ses hanches et remontent doucement sur son ventre, puis sa poitrine. Elza se laisse faire, appuyant son derrière sur mon entrejambe. Mes caresses sont de plus en plus appuyées, je commence à lui embrasser la nuque. Sylvie s’est assise, ne perd pas une miette du spectacle.Ma main droite glisse sous son débardeur, glisse sur peau douce, arrive au niveau de son soutien que je contourne par le haut. Quelques doigts se glissent entre le tissu et son sein gauche. Je touche son mamelon qui me semble déjà dur. Elle soupire. Quelques instants plus tard, elle se dégage. — Je reviens, je vais me préparer. Je reste au milieu de la pièce, vite rejoint par Sylvie qui met sa main sur mon entrejambe. — Oula ! Il y a de la pression ici. Je vais voir ce que je peux faire, suis moi ! Elle me guide vers la chambre d’Annick et Laurent, avec le lit double. Celui-ci est déjà défait, Sylvie met la couette par terre, puis enlève ses vêtements, je fais de même. Elle s’allonge sur le dos, je viens sur elle pour l’embrasser. Mon sexe bandé appuie contre le sien. J’effectue des mouvements de bassin, mon gland bute contre l’entrée de son vagin. Je me redresse pour mieux voir le spectacle. Elle a écarté les jambes en grand. La toison noire de son pubis laisse paraître de grandes lèvres effacées, un clitoris gonflé surplombant des petites lèvres grandes ouvertes, donnant accès à son trou d’amour. Sa chair est rosée, luisante de cyprine. Je dirige mon sexe à l’entrée, j’appuie. Je le vois disparaître en ressentant une douce chaleur. L’entrée de son vagin entoure mon gland. Je m’enfonce un peu, reviens en arrière. Son sexe réagit telle une sorte de ventouse. Je m’enfonce à fond en Sylvie qui déguste le plaisir ressenti. Je ne vois plus mon pénis, juste le sexe de Sylvie, ouvert, laissant s’échapper la base de ma queue.Elza arrive à ce moment-là. Elle a son œuf en main et nous indique avoir fait un petit lavement. Sylvie lui propose de se mettre à genoux au-dessus de sa tête, elle a envie de goûter un sexe féminin. Moi qui suis toujours en elle, me retrouve face à face avec Elza. Nous nous embrassons. Elle semble apprécier le traitement de Sylvie. Sylvie gémit sous mes coups de reins qui me procurent beaucoup de plaisir. Je ralentis d’ailleurs la cadence pour ne pas faire monter la pression trop vite. Sylvie propose de changer les rôles. Je me dégage. Elza se couche sur le dos, je m’avance vers elle pour lui et plonge ma tête entre ses jambes. Le fait qu’elle soit épilée change un peu les choses. Son sexe dégage une odeur différente de celui de Sylvie. Ma langue commence son travail. Son mont de Vénus est déjà trempé, sa sœur ayant déjà fait beaucoup. Sylvie, elle, s’est enfoncé l’œuf dans le vagin, et joue avec la télécommande en poussant des petits cris.Elza prend son pied, mord ses lèvres, me caresse la tête, caresse sa poitrine. Ma langue s’immisce dans son intimité, je lèche, je suce son clitoris. Je remonte vers son nombril, puis vers sa poitrine, je m’y attarde. Je remonte à sa nuque puis je l’embrasse. Je suis sur elle. Mon pénis en érection est contre son sexe brûlant. Mon gland trouve naturellement l’entrée, je pousse et entre doucement, sans m’arrêter jusqu’au plus profond d’elle. Elza râle de plaisir. Je commence un va-et-vient rapide, elle crie de plaisir. Je ralentis le rythme, je m’arrête au fond d’elle, lui demande si elle est prête. En signe d’approbation, elle se dégage, se met à quatre pattes, et se cambre. Sylvie qui avait fini avec son œuf revient de la cuisine avec une bouteille d’huile d’olive, et en étale un filet sur ma queue, en n’oubliant pas de me masturber au passage. Elle écarte un peu les fesses de sa sœur, je vois son anus, ainsi que son vagin ouvert. J’y fais une nouvelle incursion, pour détendre Elza. Je sors après quelques allers-retours, et je présente mon gland contre son anus. — Détends-toi, je vais aller doucement. Je pousse doucement. Mon gland s’écrase, puis force doucement l’entrée. Il est passé. La sensation est bizarre pour moi : je sens le muscle de son anus entourer localement mon pénis, tels deux doigts l’entourant. Je continue doucement ma progression en m’assurant qu’Elza va bien. Arrivé à mi-parcours, je fais marche arrière pour mieux revenir, et répète doucement ce mouvement. Les gémissements de douleur d’Elza se transforment en gémissements de plaisir. J’accélère le mouvement, les sensations nouvelles m’excitent, ainsi que la vue du dos cambré d’Elza. Sylvie se masturbe en nous regardant. Au bout de quelques minutes, je me vide au plus profond de son fondement, ne sachant plus retenir la pression. — Ouah c’est trop bon. Merci Adrien. Je n’ai pas eu trop mal. C’est bizarre, mais tellement bon comme sensation !— Content que cela t’ait plu ! Je me dégage et m’assieds à côté de Sylvie qui semblait contente elle aussi. Nous discutons du voyage du lendemain, puis je pars me laver. Nous remettons de l’ordre dans la chambre, avant de retrouver chacun la sienne.Le lendemain matin au réveil, Sylvie et moi faisons une dernière fois l’amour, de manière sensuelle, un moment rempli d’émotions. Nos corps devaient se dire au revoir.Deux heures après, nous remettons les clés du bungalow, et démarrons la voiture pour rentrer. Nous sommes tristes, je ferai tout pour que Sylvie et moi puissions continuer notre relation.
