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Voyage en Côte d'Ivoire

Chapitre 3

Une mise à jour

Hétéro
Chapitre 3 - Une mise à jour.
Monsieur Lenard finit de se rhabiller, moi également, pourtant mon pantalon est bien taché, c’est ce moment que notre fille aînée choisit pour rentrer de l’école. Cinq minutes avant cela aurait été la catastrophe.
Suite :
Zoé vient d’avoir 18 ans, 1m65, très jolie métisse et très studieuse, elle est toujours serviable. Lorsqu’elle entre au salon, nous venons de nous rhabiller et elle est un peu surprise de voir que nous avons de la compagnie. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit, mon patron prend l’initiative et lui tend la main.
— Bonjour mademoiselle, je suis Monsieur Lenard, le patron de votre papa et voici son collègue Michel. Nous allons vous laisser en famille et j’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir prochainement.
Je n’aime pas trop cette dernière allusion et je laisse mon épouse raccompagner nos invités à la porte afin que ce jeu malsain se termine.
Le souper se passe en silence. Les enfants terminent vite et comme à leurs habitudes, ils vont dans leurs chambres. Je rejoins mon épouse sous la douche, je lui lave le dos, envie de la câliner, mais elle refuse mes gestes d’affection en me disant « je suis fatiguée ». Notre télévision dans la chambre nous permet de regarder un film sans grand intérêt et rapidement ma femme s’endort alors que moi, je revois la scène au salon. Je bande à nouveau. J’ai envie que ma femme me suce, mais je n’ose pas la réveiller. D’habitude, cela ne pose pas de problème, lorsque je regarde un porno, je peux la réveiller, lui mettre mon mandrin dans la bouche. Elle m’a dit qu’elle aimait ce genre de réveil, mais là, je n’ai pas l’impression que je peux le faire, alors je me branle la queue et je jouis assez rapidement tellement l’excitation est grande.
Le réveil est soudain, ma femme n’est pas là et il fait encore nuit. Je descends à la cuisine. Mon épouse prépare le petit-déjeuner. Elle me sourit et pourtant, je sens que c’est l’heure des explications et cela ne tarde pas.
— Mon amour, je t’aime, mais je n’aime pas ce qui est en train d’arriver. Je me sens sale et toi tu ne réagis pas. Pire, j’ai l’impression que tu aimes me voir dans les bras d’un autre ! dit-elle sur le ton des reproches. Je ne sais pas quoi répondre, car elle a raison, mais je n’ose lui avouer. Je prends mon courage à deux mains.— Moi aussi je t’aime et ne t’inquiète pas, je t’aime toujours. C’est que je te vois prendre du plaisir et... — Mais tu es crétin ! hurle-t-elle. Tu crois que j’ai envie d’être la salope de ton patron ! Je fais cela, car il me fait bien comprendre que si je ne me donne pas, tu vas perdre ton boulot ! On ne peut pas se permettre de ne pas avoir ton salaire. Avec la crise du Covid, je n’ai pas assez de clients et donc je dois accepter les délires de ton employeur, de sa connasse d’assistante et pire de ton collègue, comme cela tout le monde dans ta société sait maintenant que tu es marié à une pute !
Je ne m’attendais pas à cette réaction et comme à mon habitude face à une attitude agressive, je garde le silence. C’est plus courant au bureau avec mon patron, mais à la maison c’est une première.
— Dis quelque chose ! Elle fond en larme en répétant « Je suis une pute, une pute soumise et je t’avoue que j’aime être baisée comme cela, mais j’ai tellement honte ».
Je me lève et la prends dans mes bras « Mon amour, je ne te juge pas et je t’avoue également que la situation m’excite même si je ne maîtrise rien et que j’ai peur de te perdre ».

Nos regards se croisent et nous nous embrassons passionnément, j’ai envie d’elle et il semble que c’est réciproque. Tout naturellement, elle s’agenouille, ouvre la fermeture-éclaire, sort ma queue qui est déjà dure et embouche ma queue pour me faire une fellation délicieuse. Je pousse mon bassin pour aller au fond de sa gorge et je me lance à la traiter de petite salope. Plus je m’excite, plus je la traite de chienne, plus elle me suce comme si sa vie en dépendait. Son attitude est frénétique et je constate qu’elle adore ce moment. Je me lance alors dans un monologue.
— Tu aimes être la pute de mon patron ? Réponds-moi salope ! — Mmmm oui mon ammmour, ronronne-t-elle, la bouche pleine.
Elle me lèche les boules, c’est si bon que j’ai de la peine à tenir. Nous sommes comme possédés et nous ne voyons pas notre grande fille Zoé en bas de l’escalier qui nous observe en silence.
— J’aime quand il te baise la bouche avec son énorme queue ! Tu as envie de la prendre dans la chatte ? Que tu lui obéisses, être sa pute et qu’il te partage avec des clients si tu viens au bureau et que je te regarde jouir !
Nous sommes tellement en transe que rien n’existe sauf notre plaisir.
— Prends ma chatte, baise-moi, j’imagine que c’est Monsieur Lenard qui me prend comme une chienne devant toi ! Tu aimes mater ta petite pute ?
Je me sens avoir vingt ans, j’ai une énergie extraordinaire et je lui bourre la chatte avec force, elle gémit et nous sommes près de jouir en même temps alors j’ose, pour la première fois, lui mettre un doigt dans le cul, ce qui déclenche une puissante jouissance commune. Je m’effondre sur elle et pourtant j’ai envie de plus et je lui dis :
— Salope, nettoie-moi la queue !
Docilement elle s’agenouille et lèche ma queue, la nettoie et c’est à ce moment-là que mon regard croise celui de ma fille. Elle me sourit et je ne dis rien, car ma femme continue de me faire reluire la bite. Pire, je rebande devant ma fille ! Je prends la tête de mon épouse et lui baise la bouche avec force tout en soutenant le regard de Zoé. Je ne sais pas combien de temps cet instant dure, mais à un moment Zoé remonte les escaliers pour nous laisser seuls finir notre affaire.
Je me retire de la délicieuse bouche de Cattleya et je m’écroule sur la chaise. C’était bestial et tellement bon. Mon épouse se pose et me sourit. Un peu de sperme apparaît sur le côté de sa bouche.
— Nous sommes fous ! me dit-elle avec un beau sourire de coquine.
Nous entendons Zoé descendre bruyamment les escaliers. Je comprends qu’elle fait ce cinéma pour ne plus nous surprendre.
Elle m’embrasse joyeusement en me regardant avec insistance comme pour me montrer une certaine complicité et se retourne pour embrasser sa maman qui n’a pas eu le temps de nettoyer sa bouche. Zoé se retourne vers moi avec un sourire malicieux.
— Je vous fais un café ? Vous avez l’air fatigué ! dit-elle.
Quelques minutes plus tard, les autres enfants nous rejoignent et le cours de la matinée reprend son cours habituel.
Un bisou à ma femme, je sors de la maison pour aller au bureau. Durant le trajet, je reçois un WhatsApp de mon épouse.
— Mon amour, je ne sais pas quoi faire. J’ai peur que tu me quittes si on continue cette folie. Dis-moi quoi faire et je le ferai, mais jure-moi que l’on restera ensemble.
A un arrêt, je profite pour répondre à son message.
— Ne t’inquiète pas mon cœur, c’est une expérience que nous vivons ensemble et juste accepte que si je dis " stop ", on s’arrêtera immédiatement OK ?.
Quelques secondes plus tard, je reçois la réponse. « Oui, toujours ».
Je suis rassuré et c’est avec un cœur léger que je poursuis mon trajet. Pourtant, je m’interroge au sujet de Zoé qui nous a regardés baiser comme des bêtes.
* * *La journée au bureau se passe bien. Je croise mon patron et nous discutons travail sans aucune allusion. On continue les préparatifs pour mon déplacement dans quinze jours. Il me donne les dossiers clients, explique ses attentes, définit les objectifs et je suis excité du challenge, car je commence à me rendre compte que si ma mission est un succès, ma carrière va prendre une autre dimension.
De retour à la maison, ma femme est adorable. Très câline, très complice. Nous sommes mariés depuis longtemps et nous vivons une vie paisible et agréable. Très peu de disputes, mais il semble qu’un peu de piment soit agréable si c’est un choix commun. Et les deux moments très coquins nous font du bien sauf que je suis conscient d’être soumis au choix d’un autre et d’habitude, à la maison, c’est mon épouse qui a ce rôle. Mais les jours se succèdent sans activités sexuelles nouvelles. Cela me surprend un peu, car je m’attendais à ce que mon patron me relance ou me fasse des allusions, pourtant c’est silence radio. Et c’est la même chose du côté de Zoé où les choses reviennent à la normale.
Encore trois jours et c’est le grand départ. Cattleya est tout excitée. Elle a déjà commencé à faire nos bagages, les défait et les refait en modifiant telles tenues. Moi-même, je suis stressé, car chaque jour, un nouveau client potentiel apparaît et la liste s’allonge. Je ne sais pas comment je vais pouvoir tous les rencontrer alors que mon agenda est presque complet. En fin de compte, je ferai au mieux pour satisfaire tout le monde. Il est prévu d’arriver à Abidjan samedi, d’y rester deux nuits puis un transport jusqu’à la ville d’Abengourou et de là on sera dirigée par Zaida pour les quatre jours restants puis on rentre.
Il est 20 heures passé et mon téléphone sonne, c’est Monsieur Lenard.
— Bonsoir Jean, je ne vous dérange pas j’espère. Je ne suis pas très loin de chez vous et je voulais passer pour discuter de votre voyage. Dans quinze minutes, je serai là, OK ?
Même pas le temps de lui donner mon approbation. Il a déjà raccroché. Cela me dérange un peu, car toute la famille vient de finir de manger. Les deux petits démons sont déjà dans leur chambre et Zoé aide sa maman à ranger la table.
J’informe ma femme que mon patron va passer dans un quart d’heure et sa réaction me surprend.
— Je ne suis pas habillée pour recevoir Monsieur Lenard, ni même maquillée ! Je file et je me dépêche. Toi et Zoé, occupez-le, je vais faire au plus vite.
Elle monte à l’étage et je l’entends dire aux enfants « Papa et maman, on reçoit un client important et donc vous ne venez pas nous déranger ! ».
— Elle a quoi maman ? me demande Zoé.— Mon patron impressionne maman et tu la connais, elle veut que tout soit parfait. — Impressionnant, ton patron ? Je suis curieuse de voir cela. Moi, je reste avec mon pyjama.
Zut, c’est vrai. Je tilte à ce moment-là que nous sommes les deux habillés casual. Mon patron comprendra, du moins je l’espère. Un quart d’heure plus tard, la sonnette d’entrée retentit et Zoé, espiègle, se lance pour ouvrir en rigolant.
— Bonjour Mademoiselle, vous devez être la fille de Jean. Délicieuse comme votre mère.....
Je les rejoins à l’entrée et je vois Monsieur Lenard prendre dans les bras ma fille et lui faire deux bises très appuyées. Juste derrière lui, il y a Zeida qui l’accompagne et qui en fait de même, mais, cette fois-ci, elle lui fait en plus un bisou sur la bouche que ma fille ne refuse pas.
— Jean, vous allez nous laisser refroidir à l’entrée ! Ne me dites pas que Cattleya n’est pas là ? Car on venait vous briefer sur les entretiens que vous allez avoir ensemble.
Rendez-vous ensemble ? Je m’interroge. De quoi parle-t-il ? Cattleya n’est pas censée être aux réunions de travail avec moi lors de notre déplacement.
— Pardon, venez, entrée. Allons au salon. Zoé, veux-tu prendre les manteaux s’il te plaît.
Il apparaît que Zaida a une jupe très très courte, on voit le début de ses fesses. Un chemisier presque transparent où on voit ses tétons ressortir.
— Mon cher Jean, Zaida et moi-même, nous étions au restaurant où nous étions tous les quatre. Vous vous souvenez bien. Où Zaida vous a chauffé. Cela nous a donné envie de vous voir et on pourra profiter pour que Zaida présente ses tontons, car beaucoup dépendent de leur plaisir à vous recevoir.
La troupe se rend au salon. Zoé se rapproche de moi et me dit dans un chuchotement « Ton patron a bu, mais c’est vrai qu’il est bel homme et ta collègue est presque à poil. Je suis certaine qu’il la baise ».
Si elle savait seulement ce qu’est cette bombasse, plus perverse tu meurs, mais je garde ces mots dans mon esprit tellement le cul de Zaida me donne la trique.
Monsieur Lenard se met sur le canapé et appelle Zoé à le rejoindre. Moi, naturellement, je me retrouve en face et Zaida se met sur mes genoux. Lorsqu’elle s’assoit sur moi, elle fait un « Oh » de surprise et se met à rigoler. « Il semble que je vous fais toujours beaucoup d’effet Jean » et sans aucune gêne, elle me caresse ma verge tendue. Zoé me fixe du regard et la situation a l’air de l’amuser.
— Mais Zaida, Jean est comme tous les hommes face à toi. Tu es si cochonne que l’on aurait tous envie de te baiser à la chaîne et toi tu n’aurais qu’une envie, c’est de dire encore !
Il s’adresse ensuite à Zoé.
— Si vous saviez ce que Zaida est capable de faire. D’ailleurs, elle adore dévergonder les jeunes pucelles, elle adore les femmes, mais en fait, elle aime tout. Jolie Demoiselle Zoé, comme votre mère n’est pas à l’heure, pouvez-vous me montrer où je peux me servir un digestif ?
Zoé est totalement surprise de ces paroles et se lève pour aller à la cuisine avec un Monsieur Lenard qui la suit de près. Zoé, sur le trajet, me sourit et me fait comprendre que la situation est sous contrôle, surtout que Zaida a sa main qui me caresse la queue à travers le pantalon et sans aucune discrétion.
Moi, je suis tétanisé. Je ne bouge pas. Ma femme ne descend toujours pas et Zaida se penche vers moi et me susurre à l’oreille. « Ta fille a l’air d’être très réveillée et tu penses qu’ils vont rester longtemps dans la cuisine ? Ton patron est un grand cochon. Il a baisé ta femme devant toi et il va baiser ta fille. Mmmmme j’aime cette petite famille. D’ailleurs, montre-moi ta queue, j’ai besoin de ma dose ».
Zaida se met à genoux et prend ma queue tendue en bouche. Elle me suce divinement bien. Je perds la notion du temps. Je ne me pose même plus la question de savoir où est ma fille, où est mon épouse. Je reste focalisé sur ce plaisir divin que me prodige cette salope. Soudainement elle s’arrête comme si elle avait senti ma jouissance venir ».
— Viens ! Lève-toi.
J’obéis comme un automate et nous allons à l’entrée de la cuisine pour découvrir mon patron en train de boire un digestif avec Zoé, également un verre à la main. Zoé ne nous voit pas et comme à son habitude Monsieur Lenard parle sur un ton dirigiste.
— Tu as vu Zaida ? Elle te plaît ? En tout cas ton père ne se gêne pas pour se faire branler devant toi et tu as l’air d’être une sacrée coquine, peut-être es-tu une cochonne comme ta mère que j’ai baisée devant ton père il y a quelques jours ! Mais tu sais, c’est si bon le sexe. Il n’y a aucun tabou tant que l’on est adulte et consentant. Regarde petite cochonne, je bande pour toi. Moi j’ai une bite de compétition !
Mon patron prend la main de Zoé et la dirige sur son entrejambe. Zoé ne résiste pas, bien au contraire, elle semble y prendre plaisir. Zaida m’embrasse dans le cou, continue de me caresser la bite. Me lèche le lobe de l’oreille.
— Regarde bien mon Jean, personne ne lui résiste. — Zoé, j’ai envie de sentir vos lèvres. Non pas ici, mais en bas. Regarde comme tu m’excites.
Ma fille se met à genoux devant lui, ouvre son pantalon et est surprise de la taille de l’engin.
— Mon Dieu, jamais je n’ai vu ça sauf dans les films pornos.
Tais-toi, prends-moi en bouche et applique-toi, sinon je devrai t’apprendre avec mes amis comment sucer une vraie bite d’homme ! »
La situation est hypnotisante. Nous sommes complètement sous le joug de ce pervers, mais ce n’est que du plaisir. Malsain, j’en ai conscience, mais tellement bon. Je regarde la scène et Zaida s’est mis à genoux également puis commence à me sucer. Contrairement à Zoé, Zaida est expressive et loin d’être discrète, ce qui alerte Zoé qu’ils ne sont plus seuls dans la cuisine.
— Ne t’arrête pas petite salope, c’est juste ton père qui aime te mater et Zaida qui le suce. Tu veux voir, je pense, car toi, tu es comme Zaida, une vraie chienne !
Monsieur Lenard bouge sur le côté, de façon à ce que Zoé et lui puissent nous voir. Moi, la queue à l’air et Zaida qui s’acharne dessus comme pour donner une leçon de sucette. J’ai honte, mais c’est plus fort que moi et je laisse faire. Pourtant Zoé continue de sucer mon patron tout en jetant des regards qui démontrent qu’elle aime ce qu’elle voit.
— Mmmme, mets-la au fond, plus profond. Continue chienne ! Oh Zaida, cette petite aime la bite. On va bien s’amuser ce soir, mais la soirée ne fait que de commencer. Zoé plus vite et avale bien mon foutre quand je vais jouir. Continue, oh la salope, elle me fout son doigt dans le cul, j’adore cela. Tu es plus experte que je pensais. J’adooore, là vite, viiite oui, je viens !
Voir mon patron posséder la bouche de ma fille avec sa queue énorme et jouir m’amène à jouir également dans la bouche ébène. Mais contrairement à moi, mon patron jouit plus longtemps et je vois Zoé avoir de la peine à tout garder, alors Monsieur Lenard retire sa queue de sa bouche et continue de jouir sur son visage une quantité impressionnante de sperme.
— Viens Zaida, montre-lui comment une femme embrasse !
Zaida, à genoux, va vers Zoé, lui prend le visage dans les mains et lui roule une pelle. Leurs langues pleines de sperme se mêlent.
— Bon les petites salopes, on retourne au salon, moi je veux voir ta femme Jean, on doit discuter clients.
Comme à son habitude, il passe d’une situation à une autre si rapidement et cela me surprend toujours.
— Zoé reste avec nous et surtout reste comme tu es. A croquer !
Zoé et moi ne disons rien pourtant je suis gêné, mais ma fille aucunement. On dirait un jeu pour elle. Nous nous réinstallons au salon. J’ai pris, au passage, une bouteille de vin et je bois d’une traite mon verre tellement je me sens coupable et honteux. J’ai surtout peur d’avoir franchi une ligne où je pense tout perdre. J’attends ma femme avec crainte pourtant elle n’est toujours pas là. Cela fait au moins trente minutes qu’elle se prépare.
— Bon, on ne va pas y passer la nuit, soit vous montez la chercher soit c’est moi !
Je me lève prestement et monte les escaliers. Je rentre dans notre chambre pour découvrir mon épouse habillée hyper-sexy. Porte-jarretelles, robe moulante, également sans soutien-gorge, elle finit un maquillage des plus beaux. Elle est vraiment désirable et elle le sait bien.
— Mon amour, nous t’attendons depuis un bon moment déjà et ils s’impatientent.
Je lui fais part que Zaida est là également et qu’ils ont déjà bu plusieurs verres.
— Tu dois être content qu’elle soit là. Cette pute te fait danser comme elle veut et moi aussi d’ailleurs. J’espère qu’ils seront contents de moi. Viens embrasse-moi mon amour. Je t’aime.
Elle se lève. Elle est juste magnifique. Nous descendons ensemble les escaliers pour rejoindre nos hôtes. Zaida et Zoé sont ensemble sur l’un des canapés. Monsieur Lenard tout sourire est sur le deuxième et invite ma femme à le rejoindre. Il ne reste que le fauteuil pour moi.
La soirée s’annonce ...
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