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Un voyage dans le train de nuit

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Un voyage dans le train de nuit
Je suis Paul, j’ai 35 ans au moment de cette histoire.
Je travaille dans une société toulousaine qui a une antenne à Paris. Je suis responsable d’un secteur d’activité de ma société. Il se trouve que c’est la région parisienne qui est le plus développée dans ce secteur. Tous les mois, je passe une journée à l’antenne pour faire le point sur les différents clients et l’adéquation des produits à la demande. Nous sommes à l’été 2003 en pleine canicule et je dois me rendre à Paris. Je prends toujours le train de nuit, j’y ai vécu quelques bonnes aventures. Comme d’habitude, je fais une toilette approfondie et un lavement, j’aime les femmes, mais je ne suis pas contre une bonne bite dans le fion de temps en temps. Mon assistante étant en vacances, sa remplaçante me prend un billet de train première classe avec couchette à la place du billet seconde classe avec wagon lit que je prends d’habitude. J’ai horreur de dormir dans les sacs des couchettes, même de première classe, je préfère les lits des wagons-lits, ce sont de vrais lits avec des draps. Malheureusement, je ne peux pas faire l’échange à la gare, je monte donc dans mon compartiment. Comme nous sommes en été, et que je travaille dans une boite cool, je n’ai mis qu’une chemisette et un bermuda le tout avec des chaussures d’été ouvertes, je ne porte jamais de sous-vêtement. Il est presque vingt-trois heures et il fait encore plus de trente degrés. Je rentre dans le compartiment le premier, j’ai la place en bas devant par rapport au sens de la marche. Le train est resté toute la journée au soleil et on a l’impression d’être dans un four. J’ouvre la fenêtre en grand, mais ça ne sert pas à grand-chose. Je me déshabille entièrement et me couche nu dans le sac. Au bout de cinq minutes, je suis déjà en nage. Un homme entre dans le compartiment. Après les politesses d’usage, il se déshabille lui aussi intégralement et monte s’installer dans la couchette du haut en face de la mienne. Contrairement à moi, il reste nu sur son sac sans entrer dedans. C’est un homme d’à peu près mon âge, qui possède un sexe un peu au-dessus de la moyenne, à peu près comme le mien, mais contrairement au mien, sans avoir un gland proéminent. Le compartiment est éclairé et tout le monde peut voir ce qui se passe à l’intérieur, mais cela n’a pas l’air de le déranger. Je l’imite juste au moment où le train démarre, j’ai trop chaud. Il éteint la lumière, nous sommes juste éclairés par la lueur de la pleine lune.Nous sommes à peine sorti de la gare que je le vois se caresser la bite. Petit à petit son sexe se redresse, ça me donne des idées et je l’imite. Au bout de quelques minutes, nous bandons tous les deux. Je me dis que j’aimerais bien qu’il me défonce la rondelle avec son braquemard. Il me regarde, me sourit et continu de se caresser. Le petit jeux dure vingt minutes, juste le temps d’arriver à Montauban ou le train s’arrête pour charger des voyageurs. La lumière de la gare envahi le compartiment, je me couvre du sac, ce qu’il fait aussi. Cinq minutes après l’arrêt, la porte du compartiment s’ouvre et une femme d’une petite trentaine d’années entre. Elle est assez grande, assez jolie et a de belles formes. Elle est habillée d’une mini robe très courte et ample. Elle nous regarde, nous dit bonjour, veut mettre sa valise dans le porte bagage, mais n’y arrive pas. En levant les bras, elle me dévoile deux magnifiques fesses bien bronzées que rien ne protège si ce n’est un string minimaliste. L’homme s’assoit sur sa couchette pour se saisir de la valise et l’aider, mais en faisant ce geste, il se découvre et la femme se trouve devant un beau sexe, qui certes s’est ramolli, mais est tout de même encore un peu gonflé.–Je vous prie de bien vouloir m’excuser madame, il fait si chaud.Elle le regarde puis se tourne vers moi, me regarde.–Ne vous en faites pas messieurs, car je présume que monsieur est nu lui aussi, je vais faire comme vous, il fait décidément trop chaud.Sur ces paroles, elle fait passer sa mini robe par-dessus sa tête, fait glisser le petit string le long de ses jambes en se penchant vers moi et s’allonge sur son sac sans y entrer. Elle a fait ça le plus naturellement du monde devant la fenêtre ouverte, tout le monde dehors pourrait la voir. Je remarque qu’elle est épilée, intégralement bronzée et que l’on voit très bien ses petites lèvres avec son clitoris qui affleure. Elle est vraiment très belle, ses seins pointent leurs tétons durcis, elle a un ventre assez plat, de belle jambes et des fesses à damner un saint, hautes et bien rondes, comme je les aime. Il se dégage d’elle une sensualité naturelle. Je fais valser le sac qui me couvre imité par l’homme. Elle me regarde intensément.–Nous ne nous sommes pas présentés, moi, c’est Isabelle, commerçante dans le centre-ville de Toulouse.–Paul, directeur de service dans une société de services.–Yves, commercial.–Dans quelle branche ?–Bonneterie, spécialisé dans les sous-vêtements, je vais à Paris présenter une nouvelle collection de lingerie dans la boutique d’un de nos fournisseurs.–Moi je vends des vêtements, et je vais moi voir un fournisseur, dites Paul, j’ai l’impression que je vous ai déjà vu, vous ne seriez pas client avec votre femme à la boutique XXXXX.–Non, je suis divorcé depuis quelques mois, je vie seul, mais je connais votre boutique, j’habite dans le même quartier.–Ou ça, si ce n’est pas indiscret ?–Rue de la pomme.–Ca alors, je comprends que vous me disiez quelque chose, j’habite la même rue depuis quinze jours.–A quel numéro ?–Au 15.–Non seulement vous habitez dans ma rue, mais aussi dans le même immeuble.–Ca alors.
–Mais comment se fait-il que vous ne preniez le train à Montauban ?–J’étais chez des amis pour le week-end.Un silence tombe sur le compartiment, chacun reste sur le dos à regarder au-dessus de lui. Je commence à transpirer, la chaleur est écrasante, je passe ma main sur mon corps pour enlever la sueur. Isabelle en fait autant, mais je remarque que sa main s’attarde un peu sur son bas ventre. L’annonce du départ du train nous soulage un peu, l’air va bouger. Le train démarre, le courant d’air créé rafraîchi un peu le compartiment, mais c’est quand même de l’air chaud. Isabelle continu de se frotter le bas du ventre. A peine sorti de la gare, elle se tourne vers moi. Là, je vois très bien qu’en fait un de ses doigts est sur son clitoris. Elle me regarde fixement. Je pivote pour m’assoir sur ma couchette, je pose ma main sur mon sexe, je commence à bander, le spectacle de cette femme se caressant m’excite et avec la chaleur, mon sexe se redresse doucement. Quand Yves me voit, il comprend, descend s’assoir à côté de moi et en fait autant.–Venez tous les deux.Je me lève et viens vers elle pour m’agenouiller devant sa couchette au niveau de sa poitrine. Elle a des seins pas très volumineux, mais bien ronds. Ses tétons pointent, je pose mes lèvres sur le sein gauche. Elle me plaque la tête contre son sein.–Oui, occupe-toi de lui.Je lui mordille le sein, elle se remet sur le dos, nous offrant son corps. Yves s’agenouille à côté de moi et pose ses lèvres sur son sexe, je passe à l’autre sein. Elle commence à réagir à nos caresses, son bassin s’anime. –Mettez-vous debout tous les deux.Nous nous levons, elle s’assoie sur sa couchette et se saisi de ma verge qu’elle prend en bouche. Elle me fait une super fellation, mais que quelques secondes, elle passe tout de suite à Yves. Elle alterne entre nous deux jusqu’à ce qu’elle soit satisfaite de l’effet obtenu. Elle nous met un préservatif à chacun, s’allonge sur sa couchette en écartant les cuisses au maximum, la couchette est étroite.–Paul s’il te plait.Je viens m’allonger sur elle, ma bite trouve tout de suite le chemin et s’enfonce dans une grotte chaude et humide. Elle pose ses mains sur mes fesses. Je lui rends hommage par d’amples va et vient dans sa chatte ruisselante. –Oui, c’est bon, vas-y, encore.Je continu encore un peu, mais Yves me donne deux coups sur l’épaule.–Vous permettez monsieur.Il me sourit, je comprends le jeu et me retire. Il prend ma place et je vois son sexe s’enfoncer d’un seul coup. Il fait comme moi, d’amples mouvements pas trop rapides. Au bout d’un moment, je lui tape sur l’épaule et nous échangeons notre place.–Vous vous amusez bien tous les deux ?–Tu n’aime pas ?–Si, au contraire j’adore, continuez.Le manège dure un bon quart d’heure, Isabelle sait maitriser son corps, mais elle finit par céder et éclate dans un superbe orgasme sous les coups de butoir d’Yves qui a accéléré le mouvement. Son corps se cambre en arc de cercle, son regard est lointain, elle se pince le bout des seins et donne des coups de tête de droite à gauche. Elle s’exprime en silence.–HHHHHUUUUUMMMMMElle se calme lentement, Yves n’a pas joui, il se retire la queue dressée vers le ciel. Il s’assoie sur la couchette. Isabelle m’attire à elle et m’embrasse. Nos langues se battent, se frottent, s’aiment. Quand elle me libère, son visage reflète la douceur et le bien-être. –Ouf, ça fait longtemps que je n’ai pas joui comme ça.–Tout de même, foutue comme tu es, ton mari ne t’honore pas ?–Non, je suis divorcée depuis un peu plus d’un mois et avec le travail, je n’ai pas le temps d’entretenir une relation, j’attends l’opportunité.–Ne t’en fais pas, faite comme tu es, tu ne vas pas tarder à trouver.–Ok mes chéris, mais vous n’avez pas joui.–Non, mais on a le temps. –Vous pensez vous servir encore de moi ?–Oui, tu es contre.–Pas du tout, bien au contraire, j’ai du retard à ratrapper, mais laissez-moi me reposer quelques secondes.–Ok.–Dites donc vous deux, quand je suis arrivé, vous vous masturbiez n’est-ce pas ?–Plutôt, on se caressait juste pour bander.–Ca veut dire que vous aimez les hommes.Yves la regarde avec de grands yeux.–Tu ne crois pas que tu y va un peu vite en conclusion ?–En tout cas que ça ne vous gêne pas de bander devant un homme.–Il m’est même arrivé de sodomiser un copain qui voulait savoir ce que ça fait.–Et toi, tu as essayé ?–Non, ça ne me dit rien.–Et tu as aimé le faire ?–Oui, beaucoup.–Et toi Paul.–Je dois dire que j’aime bien me faire sodomiser de temps en temps.–Et ça te dirait tout de suite ?–Si Yves veut bien, d’autant que je me suis bien préparé pour ça.–Te la mettre, sans problème, c’est me la faire mettre que je n’aime pas.–Et bien messieurs, en piste, Yves, viens par là.Isabelle s’empare de sa bite et lui fait une fellation d’enfer. Moi, je prends ma graisse anale et m’en badigeonne le fion. Quand Yves est prêt, Isabelle me fait mettre en appui sur la couchette, pousse Yves derrière moi, s’empare de sa bite et vient la positionner sur ma rondelle.–Prêt Paul ?–Oui.Yves donne un coup de rein et s’enfonce doucement dans mon anus. Le sphincter se détend et laisse le passage sans aucune retenue. Yves s’enfonce jusqu’à ce que je sente ses couilles sur mes fesses. Il me pistonne lentement sur toute la longueur de sa bite. Isabelle, qui s’est emparé de ma boite de graisse, lubrifie sa bite de temps en temps. J’ai envie d’être défoncé, il est trop précautionneux.–Vas-y à fond, défonce moi, donne-toi.Yves accélère ses va et vient et augmente le mouvement, tant et si bien que sa bite sort de mon cul à chaque retour pour revenir et me le défoncer la rondelle immédiatement après. Je suis comme un fou, mon cul m’envoie des messages de bonheur, je me concentre sur lui, je ne vis que pour lui, je veux qu’il me donne encore plus de plaisir.–Putain, il ne se referme même pas quand je suis sorti.Yves continu de plus en plus violement, il se déchaine dans mon cul.–Putain, j’aime, tu es serré, j’adore cette sensation.Je ne résiste plus, je me laisse aller au plaisir. –Oui, j’arrive, je vais jouir.Isabelle se précipite sous moi, m’enlève prestement la capote et me gobe la bite juste au moment où j’éjacule. Je lui remplis la bouche, mais je sens qu’elle avale tout avec application. Je sens la bite d’Yves qui palpite dans mon cul, lui aussi a joui, heureusement qu’Isabelle lui a mis un préservatif.–Ton sperme est excellent mon cher Paul, j’espère que je pourrais goûter celui d’Yves, j’adore le sperme.–C’est quand tu veux, mais dans un petit moment.Isabelle s’allonge sur le dos, elle écarte les jambes et pose sa main sur son pubis. Un doigt descend entre ses lèvres et en ressort brillant de cyprine. Elle le fait tourner sur son clitoris. Son autre main s’occupe de ses seins. Je veux me pencher pour lui titiller un sein, mais elle me fait signe d’arrêter.–Je veux me faire jouir devant vous, je veux me donner en spectacle, m’exhiber devant vous, le fait que vous me regardiez décuple mon plaisir, regardez simplement.Son doigt s’active de plus en plus vite, il va se lubrifier de temps en temps entre ses lèvres et remonte pour exciter son clitoris. Petit à petit son regard se trouble, sa respiration s’accélère, son ventre se crispe.–Ca va être géant, regardez, je vais jouir devant vous. Le train ralenti un peu pour passer dans une gare, le compartiment s’éclaire, on y voit comme en plein jour, c’est le moment que choisi Isabelle pour exploser dans un gigantesque orgasme. Son corps se cambre, ses fesses sont à quinze centimètre de la couchette, son doigt tourne à une vitesse folle sur son clitoris, elle ne peut qu’exprimer sa joie bruyamment.–AAAAAAAAAHHHHHHHHH oh oui, je joui, je joui, regardez, regardez, aaaaaaahhhhhhhh.Les quelque personnes présentes sur le quai ont dû se demander ce qui se passait dans ce compartiment. Elle retombe sur sa couchette, son doigt ralenti progressivement pour finir dans sa vulve, accompagné des autres. Je vois sa main s’enfoncer lentement, elle nous regarde, son regard est un peu trouble, sa main continue de s’enfoncer jusqu’à disparaitre. Ses lèvres se referment sur son poignet.–Regardez, ma main, Paul, peux-tu prendre la relève ?–Bien volontiers, mais je vais prendre des précautions.Je prends une capote et l’enfile sur ma main. Elle retire la sienne de son sexe, j’avance la mienne les doigts en pointe et entre en contact avec ses lèvres bien humides. Ma main est plus grosse que la sienne, j’avance lentement.–Oui, vas-y, ne t’en fais pas, je me fiste régulièrement.–Oui, mais ta main est plus petite.–Oui, mais je suis super excitée, vas-y franchement.Je pousse, son vagin résiste de plus en plus, je m’arrête quand j’arrive au bout des doigts, elle le sent, s’empare de mon bras et se l’enfonce entièrement. Ma main est absorbée par son vagin, je pénètre jusqu’au-delà de mon poignet. J’hésite un peu, mais elle ne me lâche pas le bras et se pistonne la chatte comme avec un gros gode.–Oui, j’aime, sert ton poing.Je sers mon poing, je sens que sa paroi interne est plus tendue. Serré, mon poing doit bien faire ses dix centimètres de diamètre, je présume qu’elle le sent passer. Elle accélère ses va et vient.–Voilà, c’est comme ça qu’il faut faire, à toi.Elle me lâche, je maintiens le rythme en accentuant le plus possible l’amplitude. –Oui, continu, je vais jouir avec ta main, continu, continu.Je m’évertue à garder la cadence, je la sens se crisper de plus en plus, j’ai l’impression que son vagin se contracte et veut m’emprisonner la main. Tout à coup, son ventre se soulève et elle jouit de tout son corps. je vois sa peau s’iriser, ses tétons durs pointer, ses muscles se tendre. Elle ouvre la bouche comme si elle manquait d’air. –AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHPetit à petit elle revient à elle, je sens son corps se détendre, son vagin desserrer son étreinte, elle se pose sur la couchette. Je retire ma main délicatement, elle m’attire à elle pour me donner un baiser plein de tendresse.–Quel pied, merci.Yves est assis sur ma couchette, elle lui fait signe de venir pour l’embrasser lui aussi.–Vous êtes des amours. Le train ralenti, nous arrivons à Limoges ou il fait une longue escale de presque une heure. Le compartiment est éclairé, je vois des gouttes de sueur perler sur la peau d’Isabelle. Je fais signe à Yves et me penche pour la lécher. Il en fait autant, lui sur le haut, moi sur le bas. Je m’occupe du bas de son ventre et de son pubis pendant qu’Yves s’occupe de ses seins et du haut de son ventre. Elle semble apprécier car elle commence à onduler du bassin. –Oui mes chéris, c’est bon, continuez.Pendant qu’Yves lui titille les seins, je m’occupe de lui lécher le vagin du périnée au clitoris. Nous la léchons jusqu’à ce qu’elle parte dans un nouvel orgasme. –Oui, oui, je joui, je joui encore, merci, merci mes chéris.Nous la léchons de plus belle, j’insiste beaucoup sur son clitoris. Elle finit par se calmer. Nous la laissons alanguie sur sa couchette et regagnons tous les deux la nôtre. C’est à ce moment que je réalise que nous sommes arrêtés sur le premier quai et que pas mal de personnes circulent. De plus, il y a des bureaux au-dessus qui ont une vue plongeante sur le compartiment. Isabelle s’en rend compte aussi, mais ça ne l’empêche pas de porter sa main sur son sexe et de jouer avec son clitoris.–Tu es vraiment insatiable Isabelle.–J’aime par-dessus tout jouir, et comme je n’ai personne pour me satisfaire, je me masturbe toute la journée, au moins quatre ou cinq fois par jour, je vais dans les toilettes du magasin, il m’est même arrivé de me masturber dans une des cabines d’essayage. –Si c’est fermé, pas de problème.–C’est seulement un rideau, heureusement que je peux jouir en silence, pas comme ma sœur qui hurle quand elle prend son pied.–Tu n’as vraiment personne ?–Non, mais je fais attention, je suis très connue dans le quartier, et mon mari était très apprécié, je ne veux pas choquer en m’envoyant en l’air avec n’importe qui, j’attends de rencontrer quelqu’un pour plus que la bagatelle.–Mais maintenant que tu sais que Paul est seul dans ton immeuble, tu vas pouvoir t’éclater.–Encore faudrait-il que Paul je veuille bien.–Mais je suis à ton entière disposition ma chère Isabelle, je suis au troisième.–Mais moi aussi.–C’est toi qui a remplacé les italiens ?–Oui, c’était des italiens qui habitaient l’appartement, ils l’ont laissé impeccable, comme neuf, je n’ai rien eu à faire, heureusement parce que je ne suis pas très bricoleuse. Bon, je vais me reposer un peu, recharger les batteries pour la fin du voyage.Tout le monde se calle dans sa couchette, je finis par m’endormir. Je suis réveillé par un mouvement brusque du train, Yves est toujours dans sa couchette, il dort, mais Isabelle n’est pas là. Il est deux heures du matin et je suis un peu ensuqué. La nuit est toujours très claire, il faut toujours aussi chaud, plus de vingt-cinq degrés, je regarde un peu le paysage d’une désolante platitude qui défile devant moi. La porte s’ouvre, je me retourne et je vois Isabelle entrer, elle est nue et tient un sac à la main, qu’elle remet dans sa valise.–Tu es sortie dans cette tenue.–Si on peut parler de tenue, à cette heure-ci, il n’y a pas grand monde dans les couloirs, même de contrôleur n’est pas là. Elle réveille Yves.–Messieurs, je vous propose une dernière petite partie, j’aimerais que Paul me baise une dernière fois, mais qu’en même temps, Yves lui défonce le cul, ça devrait être intéressant, qu’en pensez-vous mes chéris.–Je suis d’accord à condition que Paul le soit aussi.–Bien sûr, j’aime bien me faire défoncer le cul de temps en temps, et comme j’ai pu remarquer que toi tu aimais bien les défoncer, nous sommes faits pour nous entendre. D’autant que maintenant, après la séance de tout à l’heure, il sera encore plus souple.–Allez les hommes, en piste.Je me badigeonne l’anus de graisse pendant qu’Isabelle nous masturbe pour nous faire bander. Ca vient très vite. Elle nous met des préservatifs et s’allonge sur le dos. Je vois que sa vulve brille, le fait de nous masturber l’a assez excité. Je lui écarte un peu les jambes, vient lui titiller quand même un peu le clitoris et glisser ma langue entre ses lèvres, histoire de l’exciter un peu plus, mais surtout de me délecter de ce nectar d’amour. Au bout de quelques coups de langue, elle pose ses mains sur ma tête–Hum, j’aime, mais je suis assez lubrifiée comme ça, vas-y, baise moi.Je m’allonge sur elle, ma bite trouve tout de suite le chemin du bonheur, je m’enfonce en elle d’un seul coup. Je m’immobilise, attendant qu’Yves se place derrière moi. Isabelle s’empare de mes fesses et les écarte un peu pour bien dégager le passage à la bite d’Yves. Je sens son sexe se glisser entre mes fesses et venir buter contre ma rondelle.–Tu peux y aller, tu y seras bien reçu.Il pousse, ma rondelle s’ouvre et laisse passer sa tête chercheuse. Le passage du sphincter se fait en douceur et je sens sa verge glisser inexorablement dans mon conduit anal. Quand ses couilles touchent mes cuisses, il s’arrête.–Allez mes chéris, tous en cœur.Je commence à le pistonner, Yves suit mon mouvement de recul, mais quand le pousse pour pénétrer Isabelle, il se fige et reste sur la même position. Ce mouvement fait que quand je rentre dans la vulve d’Isabelle, la bite d’Yves sort de mon cul, quand je me recul, sa bite me le défonce. J’aime sensation de chaud dans la chatte d’Isabelle et de glisse dans mon cul, ces mouvements alternatifs me font monter en pression, je sens que mon corps ne va pas résister longtemps.–Putain, c’est bon, ton cul se resserre quand tu t’enfonces dans sa chatte et se détend quand tu en sors, c’est génial, je ne vais pas résister longtemps.–Oui mes chéris, oui mon Paul, de savoir que tu te fais baiser pendant que tu me baise, ça me rend folle, vas-y, accélère, je vais jouir.J’accélère dans la mesure de mes possibilités, je sens qu’elle est au bord de l’orgasme, mais c’est la bite d’Yves que je sens palpiter dans mon cul en premier, je regrette un peu qu’il ait une capote, j’aurais aimé sentir ses jets de sperme me remplir le cul, mais les temps sont durs, protection d’abord. Isabelle se raidi au moment où moi aussi je joui.–Oui, c’est bon, je joui, je joui, AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH.Elle s’est exprimée un peu fort, j’ai peur que le reste du wagon ne soit au courant de ce qui se passe, mais je m’en fous, tout à mon plaisir du moment. Nous redescendons sur terre lentement, toujours imbriqués les uns aux autres. Isabelle m’embrasse et embrasse Yves.–Merci mes chéris, j’ai fait le plus beau voyage en train de ma vie, et je dois dire que je n’ai jamais autant joui avec des hommes de ma vie. Maintenant, si vous vous sentez encore d’attaque, j’aimerais bien vous sentir chacun de son côté, un devant, l’autre derrière. Je viens de me préparer aux toilettes, j’ai ma petite poire.–Tu es vraiment insatiable.–Je te l’ai déjà dit, j’aime jouir, donc j’aime le sexe, et puis, je me sens en confiance.–Un instant s’il te plait, nous devons récupérer un peu tout de même.Nous nous allongeons chacun sur sa couchette, je m’endors en un instant. Une demi-heure plus tard, Isabelle vient me réveiller avec un baiser.–Allez mon Paul, le devoir t’attend.–Tout ce que vous voudrez ma chère isabelle.Yves bande déjà comme un âne, il est déjà encapuchonné, Isabelle s’occupe de moi et je suis prêt en un temps record. Elle m’enfile un préservatif et me tourne le dos. –Tu t’occupe de l’arrière, Yves de l’avant. J’aimerais qu’on le fasse debout, ok ?–Ok.–Ok.Je lui saisis les hanches, la fait courber un peu, présente ma bite entre ses fesses graissées et pousse doucement. Ma bite glisse entre les fesses et arrive sur sa rondelle. Je pousse encore, mon gland se positionne au centre et commence à ouvrir le paradis. Je sens une légère résistance du sphincter, mais il cède assez facilement, on voit qu’il a l’habitude de ce genre de traitement. Quand je suis à fond, je fais redresser Isabelle, c’est au tour d’Yves de jouer. Je sens son sexe glisser le long du mien jusqu’à ce que son gland arrive au niveau du mien. Je commence à la pistonner, Yves en fait de même, mais désynchronisé, de manière à ce que quand un sexe est enfoncé dans son orifice, l’autre est sorti. Les deux sexes se frottent l’un à l’autre au travers de la fine paroi qui les sépare.–Oh oui mes amours, c’est bon, je n’ai jamais été baisée comme ça, je vais jouir comme une folle, c’est trop bon, encore, encore.Nous accélérons nos va et vient, Isabelle est de plus en plus en transe, elle s’agrippe à Yves et l’embrasse. J’ai mes mains sur ses hanches, je la maintiens en position. Je sens ma bite être encore plus serrée par son sphincter, ça y est, elle jouit.–AAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHJe la suis assez vite, je sens la bite d’Yves frémir, il nous rejoint aussi. Je remonte mes mains le long de son corps, elle a la chair de poule par vingt-cinq degrés. Mes mains se referment sur ses seins, ils sont fermes et gonflés, je lui pince doucement les tétons. Je la sens frémir. Yves se dégage, j’en fais autant, Isabelle va s’allonger sur son lit, nous en faisons autant.–Il est plus de trois heures, je pense qu’il est temps de dormir un peu, le contrôleur nous réveille dix minutes avant l’arrivée.Nous nous endormons très vite.Le matin, le contrôleur frappe à la porte et l’ouvre immédiatement, il tombe sur trois adultes nus sur leurs couchettes.–Excusez-moi messieurs dames, le train arrive dans dix minutes. Il referme la porte. Isabelle se lève, j’en fais autant, Yves descend de sa couchette, nous sommes tous les trois nus devant la fenêtre, juste au moment ou un train de banlieue nous double doucement. Isabelle s’en rend compte, nous prend par les épaules et nous fait pivoter pour regarder le train. Quand quelqu’un d’un wagon nous aperçoit, il doit se manifester bruyamment car tout le wagon se tourne vers nous. Certaines personnes ont l’air choquées, mais la plupart applaudissent en riant. Ce petit jeu ne dure que deux ou trois minutes, le temps de voir passer trois ou quatre wagons, car il faut qu’on s’habille pour l’arrivée, ce que l’on fait à contre cœur. Une fois à quai, Yves nous quitte assez rapidement, une femme l’attend un peu plus loin. Isabelle me regarde en riant.–J’en connais une qui a des cornes.–Ce n’est peut-être qu’une collaboratrice.Quand nous la voyons l’embrasser à pleine bouche, nous nous regardons en éclatant de rire. Isabelle me prend la main et nous nous dirigeons vers la sortie. Je dois prendre le métro dans une autre direction qu’elle.–Tu finit à quelle heure ?–Vers seize heures, je prends le Capitol pour le retour, j’ai réservé un repas à la place.–Moi aussi, tu es où ?Je sors mon billet retour pour vérifier dans quel wagon je suis, elle vérifie aussi, nous ne sommes pas dans le même wagon. –J’ai envie de rentrer ce soir avec toi, ok ?–Bien sûr, allons voir ce que l’on peut faire.Nous allons aux réservation pour faire modifier nos billets. Nous avons de la chance, car c’est possible, nous pouvons réserver dans le même wagon deux places côte à côte. Nous nous quittons après un dernier baiser. Je trouve qu’Isabelle y a mis beaucoup de passion. La journée de travail se passe un peu trop lentement pour moi, j’ai hâte de retrouver Isabelle, elle ne quitte pas mon esprit. Nous nous retrouvons une demi-heure avant le départ du train. Isabelle se jette sur moi et m’embrasse passionnément. Je réponds ardemment à son baiser. J’ai l’impression qu’elle veut donner une chance à notre rencontre, ce que je partage, cette femme me plait décidemment beaucoup. Le voyage se passe bien, le repas est excellent, nous partageons la table avec un autre couple, la discussion est agréable, mais je sens Isabelle sur les feux ardents, elle veut autre chose. Sa main s’égare souvent sur ma cuisse et remonte un peu. Arrivés à Toulouse, nous ne prenons pas de taxi, nous habitons trop près et ils n’aiment pas ces courses. Nous rentrons à pied. Une fois sur le palier, personne ne se pose de question, sans se dire un mot, nous entrons tous les deux chez moi, la nuit a été très chaude. Depuis, elle a libéré son appartement pour venir s’installer chez moi. Nous sommes mariés depuis douze ans et nous sommes toujours aussi épris l’un de l’autre.
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