Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 151 J'aime
  • 1 Commentaire

Voyage éro-galactique

Chapitre 2

Broyeuse de bite

Hétéro
Voyage éro-galactique. 2

J’ai choisi une belle rousse aux yeux noisette, ses cheveux lui tombent au creux des reins, une poitrine ferme et opulente gonfle son chemisier. Plus tard, elle me prend par la main et me guide dans une des innombrables chambres de ce palais.
Suite :A peine la porte fermée, elle retire tous ses vêtements et j’admire sa plastique qui n’a besoin d’aucun soutien, ses seins généreux, sa taille de guêpe. Ma tête est maintenant proche de la sienne. Mon bras gauche enserre sa tête et je la rapproche de moi pour que je puisse l’embrasser. Ses lèvres fines viennent au contact de ma bouche. Sa langue joue avec la mienne. C’est un ballet, une lutte, presque une guerre que nos langues se font. C’est très agréable. Je reprends mon souffle. Elle me regarde, les yeux ivres de bonheur. Son regard est brillant. ­Elle m’avoue :
— Je m’appelle Axilie, je suis très honorée d’avoir été choisie parmi des milliers de prétendantes pour rencontrer les premiers étrangers à fouler notre planète et leur servir d’hôtesse avec mes consœurs. Je suis entièrement à votre service. Vous savez : pratiquement aucune femme à part les prêtresses avec Hervé n’a eu la chance depuis des siècles d’avoir un partenaire en chair et en os, le pourcentage est infinitésimal. Nous nous consolons entre filles en regardant des vidéos anciennes où des couples font l’amour. Me permettez-vous de vous dévêtir ? Vous êtes mon premier « Homme ».— Oui Axilie, moi c’est Adrien.
Elle me déshabille, chaque vêtement retiré est pour elle comme un chemin de croix, elle marmonne des prières comme si elle honorait un saint. Elle arrive enfin à mon boxeur qu’elle retire en tremblant. Quand enfin je me retrouve nu comme un ver, elle ose à peine bouger. Je la prends dans mes bras et l’attire à moi, la serrant contre ma poitrine. Elle me murmure dans l’oreille, étonnée :
— Je ne sais pas si tous les hommes de la terre sont comme vous, mais les Erosiens ont dans la plupart des cas des sexes plus petits.— Prends-le dans ta main, je lui suggère, tu verras que pour moi aussi, ton corps magnifique est un hymne à l’amour.
Elle prend ma verge avec précaution entre ses doigts comme si c’était une petite chose délicate. Je l’encourage :
— N’aie pas peur, vas-y franchement, ce n’est pas fragile.— C’est chaud, je le sens durcir, mais... Que se passe-t-il ? Il n’arrête pas de s’allonger...— Et alors ! Qui y a-t-il d’anormal ?— Ce qu’il y a d’anormal ? Le sexe d’un Erosien devient dur, mais ne grandit pratiquement pas, le tien n’arrête pas de croître... Es-tu en chaleur ?— Que veux-tu dire par là, Axilie ?— Es-tu en phase de reproduction ? Le problème de notre race, c’est que les chaleurs des Erosiens sont de plus en plus courtes, de dix jours par an à l’origine, elles ne durent plus maintenant que quelques heures, leur sperme est moins abondant et les spermatozoïdes de moins en moins bons en qualité.
Quand je lui réponds que pour les terriens, cela dure de la puberté à pratiquement notre mort, elle n’en revient pas, pourtant j’en suis la preuve vivante.
Elle me repousse, comme hypnotisée par ma verge qui a pris sa taille de croisière, n’en revenant pas des six centimètres supplémentaires de mon engin.
— Ca ne te fait pas mal ? Vous êtes tous comme ça ?— Plus ou moins question longueur, moi, je suis peut-être un peu au-dessus de la moyenne, mais tous les terriens sont comme ça. Ça ne te plaît pas ?— Euh... si, mais tu vas souffrir. Tu as le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe qu’est jamais vu et encore moins touché une Erosienne.
Que veut-elle dire par là ? Mais elle ne peut me répondre, car elle distend ses lèvres pour avaler mon sexe et elle me procure une satisfaction intérieure inconnue à ce jour. Je pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière. Mes mains s’appuient sur ses épaules. Tout en suçant mon gland, elle fait aller et venir sa main serrée sur le reste de la hampe.
Le bruit qui s’en suit m’excite encore plus. Je bande plus fort encore. C’est à cet instant que son poignet vient buter sur mes couilles velues. La tentation est trop forte. Elle les saisit dans sa main et les fait rouler l’une contre l’autre. Cette action me plaît. Si ça continue, je ne vais pas pouvoir me retenir et lui éjaculer dans la bouche, mais est-elle prête à me boire ?Mais je me recule. Mon gland échappe à ses lèvres. Elle pousse un "non" de déception. Je l’installe sur mes genoux et lui caresse les cuisses avec des gestes d’une infinie douceur. Elle se cale plus confortablement sur le lit, se doutant confusément de ce qui va lui arriver. Elle se positionne mieux sur mes cuisses, face à moi, ses mains sur mes épaules.
— Tu m’as rendue très heureuse... mais je veux connaître ma première verge dans mon sexe.
Elle se laisse partir en arrière, écarte les jambes et s’installe sur moi, mon membre douloureux coincé entre nos deux ventres. Le contact de ma matraque l’électrise, prête à la saillie. Elle m’embrasse dans le cou. Je glisse mes mains sous ses fesses et la soulève, écarte les deux globes et lui dit :
— Axilie, j’ai très envie de toi... je peux te prendre ? ­­Elle écarte au maximum les cuisses. Ses mains écartent ses lèvres intimes pour fendre son sexe. Elle s’amuse de mon envie débordante. Elle joue de mon gland sur sa vulve et son clitoris, imaginant la grosse tête chercheuse entrant et sortant, s’attardant sur la vulve offerte aux portes béantes, humide, palpitante et avide.
Je n’y tiens plus, mon gland écarte les lèvres, repousse les chairs et la pénètre tout en douceur avec prudence. Je ne rencontre aucune résistance, bien au contraire, j’ai l’impression de m’enfoncer dans un antre étroit plein de graisse qui s’adapte automatiquement à mon calibre comme une seconde peau. Je joue pendant un long instant avec mon gland sur les premiers centimètres de son sexe, faisant monter son plaisir, puis j’entre encore et toujours, sans aucune difficulté, sans que sa chatte qui avait l’air si étroite ne se rebelle. Sa mouille abondante déborde de son sexe et coule sur ma queue. Mon gland bute un peu plus loin et boute des chairs plus intimes encore. Je la regarde, surveillant ses réactions à mon entrée triomphante dans son ventre.
— Ça va ? Je ne te fais pas mal ? ­— Non, tu me fais du bien, c’est merveilleux de connaître de telles sensations... ­ Ton sexe est très dur et toi tu es très doux.— Axilie, je n’ai jamais connu de chatte comme ça, si serrée et pourtant qui s’adapte si bien, c’est très bon pour moi aussi.
Je cherche sa bouche, elle détourne la tête, presque gênée par ce geste trop intime. Je reviens à la charge et malgré ses réticences, elle me cède ses lèvres. J’entame une cavalcade, une série rapide de va-et-vient, accélérant encore la cadence, la pilonnant de longs coups de reins. Je n’en peux plus. Chaque butée lui fait pousser des petits cris, elle reprend sa respiration à chaque recul. J’ai remonté ses jambes et ses genoux tapent sur ses épaules, je défonce son sexe de longues minutes.Ses mains, crispées sur mes fesses dures, comme pour surveiller le rythme, me garder en elle, mais aussi me demander de ressortir, puis revenir, m’indiquent que son sexe a encore faim de moi. Elle veut que cela cesse, mais en même temps, que cela dure encore très longtemps.Elle crie enfin sous la violence de l’orgasme.
— Ne t’arrête pas. C’est bon, c’est trop bon. Mon ventre me fait mal, mal de plaisir, mon cœur va exploser, je vais mourir ... Aaahhh !!!
Ses jambes se détendent violemment. Sa jouissance explose dans son ventre. Brusquement, je sens les muscles intimes de son sexe se contracter et se détendre à un rythme affolant et avec une puissance monstrueuse, elle me broie carrément la verge !!!
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live