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Voyage éro-galactique

Chapitre 3

Comment repeupler une planète

Erotique
Voyage éro-galactique. 3

— Ne t’arrête pas. C’est bon, c’est trop bon. Mon ventre me fait mal, mal de plaisir, mon cœur va exploser, je vais mourir ... Aaahhh !!!

Ses jambes se détendent violemment. Sa jouissance explose dans son ventre. Brusquement, je sens les muscles intimes de son sexe se contracter et se détendre à un rythme affolant et avec une puissance monstrueuse, elle me broie carrément la verge !!!
Suite :Je n’ai jamais ressenti ça ! Pire que dans certains appareils mécaniques. Je réalise ce que doit ressentir une vache quand quatre trayons tirent le lait en mouvements amples et puissants. Sa chatte malmène mon engin comme jamais. Je me crispe, ressentant les spasmes annonciateurs de ma jouissance proche que je sens venir en moi. Je suis bloqué au fond de son sexe, prisonnier comme un rat dans la gueule d’un boa et me mets à jouir en longs flots de sperme au plus profond de son sexe. J’essaie de donner un dernier coup de reins, mais, comme pour le pénis du chien, je suis complètement coincé et son corps suit le mien. Je reste au plus profond d’elle, je lui donne mon sexe, comprenant ce qu’avait voulu dire Hervé, nous sommes comme soudés par ma cheville. C’est une première, plus qu’agréable, mais il faut voir un palpitant qui tienne le coup, bon Dieu !
Elle se détend enfin et je peux libérer ma verge de ce piège à bites. Nous reprenons lentement nos esprits. Elle est béate de plaisir et irradie de bonheur. Une sensation curieuse me parcourt le bas-ventre. ­Ma queue palpite de nouveau, à peine repue, rien que le fait de penser à ce que viens de subir, je sens renaître et s’affirmer une solide érection, ma verge reprend déjà de la vigueur, s’allongeant et s’affermissant sur ma cuisse pendant que je caresse doucement ses seins de ma main droite. La sienne glisse sur mon ventre et bute sur ma grosse queue poisseuse de sperme qui bat la mesure.
— Mais. Adrien, ne me dis pas que ... ­— Si, j’ai encore envie !!! ­— Mais comment est-ce possible ? Un homme ne peut pas copuler deux fois de suite ! Dans le temps, il fallait à un Erosien au moins un jour pour recommencer pendant ces chaleurs, et maintenant une seule fois suffit.— Un Erosien peut-être, mais un Terrien non. On peut copuler plusieurs fois par jour et pendant toute la durée de notre vie d’adulte.— Votre population doit croître à une vitesse folle, comment faites-vous ? Je veux recommencer pour retrouver cette sensation incroyable.— On utilise la contraception pour limiter le nombre d’enfants sinon la planète ne pourrait pas suivre.

Axilie parcourt mon corps d’une main douce de la tête aux pieds, s’attardant au passage sur mes pectoraux saillants et durs, un abdomen ferme et plat, des cuisses lourdement musclées. Je frémis sous la caresse quand son exploration se fixe à mi-distance et parachève la transformation en cours.Je serre les dents, incapable d’endiguer une nouvelle montée du désir, un martèlement furieux fait battre mes tempes, je voudrais résister, mais elle se love contre moi, haletante, consentante. Je roule sur elle qui s’ouvre à mon offensive. Elle gémit sous mon poids, me laboure le dos de ses griffes alors que je l’investis de nouveau d’un brutal coup de bélier, prenant cette forteresse qui ne demandait qu’à se rendre.
Son sexe béant se vide d’une grande quantité de sperme mêlée de cyprine sous la pression de ma verge qui réinvestit la place. Je la caresse d’une main qui joue avec ses seins aux tétons douloureux tandis que l’autre glisse sur son ventre.
Elle attendait mon entrée, la plus réceptive possible et m’offre une voie royale dans sa chatte débordante de cyprine. Prenant appui sur mes bras tendus, je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement de sa grotte que j’envahis de plus de la moitié. J’avance encore mon bassin et d’un dernier coup de reins, entre totalement en elle. Mon gland bute conte le col de son utérus. Son sexe ne peut plus rien accepter. A chaque poussée qui vient taper cet endroit, ça lui provoque une sensation inconnue, électrisante pour elle. Elle s’extasie :
— Jamais je n’aurais cru connaître une telle jouissance. Un tel plaisir sous la queue d’un Erosien n’est même pas concevable... Mais que c’est bon de ressentir une telle sensation d’être qu’une femelle, une femme... enfin ! Mon corps est repu de ton sexe et je n’en reviens toujours pas que tu aies encore envie de moi. Je sens ta Bête battre en moi, et j’ai encore envie d’elle...

Elle se laisse aller, je sens son souffle léger dans mon cou. Je la laisse partir dans cet instant de béatitude, admirant ses tétons dressés comme un unique palmier au milieu d’une oasis. Une de ses mains est venue saisir mes bourses et au moment du plaisir les presse violemment pendant qu’elle recommence à me broyer la verge avec sa chatte. Je manque m’évanouir sous cette double sensation douloureuse, mais me vide à nouveau dans son réceptacle à foutre. Si avec ça, elle ne tombe pas enceinte, ce ne sera pas de ma faute...
Je suis obligé d’attendre qu’elle se détende un peu en redescendant sur terre pour pouvoir retirer de ce piège à bites mon bâton de chair tout poisseux de nos secrétions. Aussitôt, elle empoigne mon pénis et commence à le masturber doucement. Elle en veut encore, la garce ! Sa main enregistre vite un nouveau gonflement de l’objet qui grandit et grossit. Il suffit de demander pour être servie...
J’ai le sentiment qu’elle va vouloir savoir combien de fois je peux l’honorer avant de baisser définitivement pavillon. Ma foi, après six mois de privation...
Pendant 30 jours, les 122 hommes d’équipage ont vécu au rythme des accouplements avec les femmes de cette planète, toutes filles d’Hervé. Nous avons dû mettre le holà lors d’une réunion avec le gouvernement d’Erosia, car sinon des hommes seraient mort d’épuisement sexuel. Au bout de quelques jours, il y avait déjà eu deux crises cardiaques, des hypertensions en cascades, des épuisements sans fin. Nous nous sommes donc mis d’accord sur un timing de deux heures chaque soir et le reste du temps pour récupérer en visitant la planète, en approfondissant nos connaissances dans tous les domaines. Chaque soir, suivant la résistance de chaque homme, une ou plusieurs Erosiennes partageaient notre couche et chaque copulation était suivie de la récupération religieuse de notre semence comme si c’était dix fois plus précieux que de l’or.
A notre départ, de nombreuses Erosiennes étaient enceintes et leur technique était assez avancée pour savoir qu’il y avait un très bon pourcentage de garçons. Nous avons été largement récompensés, car un vaisseau aux performances à peine pensables nous attendait à la place de notre navire, pourtant le plus moderne de la terre. Notre retour ne prendrait que quelques jours contre plusieurs mois pour l’aller. Les Erosiens auraient pu tenter l’expérience beaucoup plus tôt, mais une loi de l’espace interdit désormais une telle immixtion dans le développement de races pérégrines. Il fallait donc qu’un peuple arrive de lui-même à se libérer de sa planète et aille explorer les étoiles pour faire partie de la grande famille galactique.
Dans les mois et les années qui suivirent, une fois que notre descendance mixte fut prouvée qu’elle n’était pas stérile, un échange commercial fructueux pour les deux parties fut mis en place. Nous recevions de la part des Erosiens (ennes) leur technique en avance de plusieurs millénaires sur la nôtre et en échange, nous envoyions nos meilleurs (mâles) triés sur le volet par leur fertilité et leur volume éjaculatoire pour diversifier génétiquement le repeuplement masculin de leur planète.
Un sacré bon marché, un centimètre cube de sperme contre des machines valant des centaines de milliers de Solars (monnaie galactique).
Fin.
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