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Voyage Incestueux

Chapitre 1

Inceste
Chapitre I

Je m’appelle Benjamin et j’ai 35 ans. J’habite Paris et je vais vous raconter ce qui m’est arrivé dernièrement. Je me rendis à Gruissan chez ma sœur Erika pour y déposer mon fils. Il passe une semaine à la mer avec sa tata.
Après quelques péripéties avec mon train, j’arrive enfin à destination en fin de journée. Sur le quai, ma sœur m’attend. Elle est debout, vêtue d’une robe très légère qui la sied parfaitement avec un décolleté plongeant. Je ne sais pas si c’est à cause de la fatigue du train ou la chaleur du sud, mais quand mes yeux se posèrent sur elle, je ne l’ai pas vu comme ma petite sœur, mais pour la première fois de ma vie je la découvris en tant que femme. Elle mesure 1m55 pour 45Kg, des cheveux blonds roux, des yeux noisette, de petits seins bien ronds (85B) et une cambrure à faire damner des moines. Je descendis du train avec mon fils. Sur le quai mon trouble se dissipa après lui avoir fais la bise et les formules de politesses entre frère et sœur.
La soirée se passa normalement. Je couchai mon fils dans une de ses deux chambres et revînt dans le salon terminer la soirée tranquillement. A mon retour, elle s’était changée et installée sur un pouf, assise en tailleur près de la fenêtre car elle avait chaud. Elle avait revêtue un top sans rien en dessous et un mini short de fitness. Au fil de la soirée, je me surpris à plusieurs reprises en train de fixer ses jolis seins qui pointaient au grès des courants d’air qui lui glissaient sur la nuque.
Dans le fils de la conversation, elle me proposa un café qu’elle s’empresse d’aller me faire. En passant à côté de moi, je lui mis une claque sur son cul (comme par réflexe). Me ressaisissant rapidement, je lui lance un «dépêche-toi!» pour essayer de noyer le poisson. Étant souvent taquin avec elle, je me dis qu’elle ne va pas y prêter attention. En revenant avec mon café, elle me le donne et s’incline devant moi en disant «tenez maître, en espérant ne pas avoir été trop longue». Elle se redresse, affiche un large sourire et retourne sur son pouf. Je la regarde, et constate qu’elle ne porte ni de culotte ni de string sous son mini short.
Je prie un court instant pour qu’elle se remette un tailleur face à moi. Je dois être chanceux. Tout en sirotant mon café, nous en venons à discuter de son récent divorce et de son nouvel emménagement. Ensuite je lui demande si elle sort de temps en temps pour se changer les esprits et si elle a retrouvé quelqu’un. Elle me dit qu’elle sort de temps à autre avec des collègues mais que non elle ne veut pas se fixer pour l’instant. Sur le ton de la plaisanterie, je lui dis que ce n’est pas forcément pour se fixer de nouveau mais plus pour le plaisir de la chair. Elle sourit et m’avoue que malgré une super collection de sex-toys, jouer avec une vraie bite ne serait pas de refus.
L’heure tardive de la nuit nous amène à nous décider de se coucher. N’ayant que 2 chambres et que la première est occupée par mon fils. Elle me proposa de dormir avec elle dans son lit car sur le canapé je serais vite réveillé par le soleil dût à un manque de volet dans le salon. Voulant flemmarder une peu demain matin au lit, j’accepte le premier choix. Elle me précède en direction de sa chambre. N’ayant pas réussi de la soirée à voir son intimité dans l’entrejambe de son mini short, je contemple allègrement son petit cul dandiner devant moi. Elle me demande quel côté du lit je veux et elle se couche de l’autre. Après plusieurs heures à tourner dans le lit à cause de la chaleur et à ses idées obscènes qui me trottent dans la tête, je finis par m’endormir.
Au petit matin, je me réveille avec la sensation d’être observé. J’ouvre doucement les yeux et je trouve ma sœur en train de me regarder dormir mais surtout en train de reluquer mon gland qui ressort de mon slip dût à la turgescence matinale de ma bite. Je lui lance un «faut pas te gêner sœurette», et me rétorque «pas plus que toi hier soir frérot». Dans la lumière douce du soleil traversant les doubles rideaux de sa chambre, je reprends le drap que j’avais retiré cette nuit à cause de la chaleur et lui demande de m’excuser pour mes regards incestueux de la veille. Elle me dit que ce n’est pas grave et plutôt flatteur, surtout venant d’un homme qui est aussi exigeant envers les femmes en général.
De là, elle me demanda si je n’avais jamais trompé Delphine ma femme. Je lui répondu que non et que malgré mon passé de volage, elle me donnait entière satisfaction au si bien niveau vie de famille que niveau sexe. Je lui avoue que lui ayant tout appris, je peux m’amuser comme une porno star si je veux avec elle. Sur le fait je prends mon portable, et après lui avoir fait promettre de ne le dire à personne, je lui montre quelques photos de nos exploits et aussi certains des sextos envoyer par Delphine, dont le dernier remonte seulement à la veille.
Sur ce dernier on peut voir ma femme se mettre un gode hors norme dans sa chatte et écrivant dessous «à peine parti que je dois me soulager avec mes amants. Smiley clin d’œil, Reviens moi vite.» Ma sœur écarte les yeux est lance:
«OUAH, LA SALOPE!!!! Il est énorme son gode, j’en voudrais bien un comme ça moi aussi, pour compléter ma collection.»
Je lui dis que c’est le plus gros qu’elle a mais que ce n’est pas le plus gros objet qu’elle reçoit dans son con de chienne. Joignant les preuves à ma parole je lui montre ma fierté, des photos d’une séance de fist. Ma sœur n’en revient pas. Elle me demande comment on a fait car elle avait essayé à plusieurs reprises et avec des amants différents mais à chaque fois ça bloquait au niveau des têtes des métacarpes. Je lui confiai que c’était après de nombreux échecs et beaucoup de complicités et de patience qu’on en été arrivé à ce résultat. Sans oublier un très bon lubrifiant. Moi j’utilise de l’huile d’olive bio lui lançais-je, c’est naturelle et hyper lubrifiant.
Assise en tailleur et le téléphone dans les mains, elle regarda toutes les photos de ma galerie secrète. L’observant, je constatai que ça l’émoustillait fortement. Ses petits seins se mirent à pointer et elle commença à se trémousser sur le lit. Son regard était captivé par le téléphone, le mien commença à la parcourir de la tête au pied. Étant plus proche d’elle et à peine plus haut que son bassin, je réussi à voir une de ses grandes lèvres. Affichant un sourire vainqueur sur mon visage, elle ne mit pas longtemps à comprendre que je la reluquai. Elle fixât mon regard, sourit et rebaissa le regard sur le téléphone.
Peu de temps après, un bruit nous sort de ce moment étrange. C’est mon fils qui est réveillé et qui nous appelle pour avoir son petit déjeuner. Elle me redonne le téléphone, et dans un mouvement pour se lever, elle me mit sa main sur ma bite qui était dur comme du bois, se pencha vers moi et m’embrassa sur les lèvres et me lança un «coquin». Je restai statufié en la regardant sortir de la chambre en trottinant pour aller préparer le petit déjeuner.
Je m’habillai et les rejoins dans la cuisine pour participer avec eux à ce repas. Mon fils voulant aller à la plage dès son premier jour, elle me proposa une petite plage tranquille où elle avait ses habitudes de baignade. Prétextant un oubli de maillot de bain, je lui dis que je ne pourrais pas me baigner. Que je cru.
L’après-midi arrivant, elle alla mettre son maillot de bain pendant que je préparai mon fils. Sur la route, elle s’arrêta sur un parking d’un magasin et me dit d’aller en acheter un et que sinon on n’irait pas à la plage. Prenant mon fils en complice avec elle, je ne pouvais pas y échapper.
Après mes achats et enfin arrivé à la plage, je devais maintenant me mettre en maillot de bain. J’ouvre les deux portes du même côté de la voiture et commença à me déshabiller. Une fois en maillot de bain, je relève la tête et m’aperçois qu’elle n’a pas perdue une miette de mon strip-tease. Je ne lui dis rien et nous allons nous baigner.
Sur la plage, elle retira son top et sa jupe. A cette vision, j’ai cru que j’allais mourir. Le sang me monta à la tête et mon souffle se coupa. Elle était devant moi dans un bikini string rouge vif. Le haut n’était que deux petits triangles couvrant juste ses aréoles et le bas un string ficelle ne cachant que le plus minimum de son intimité. Avec mon fils, elle alla plonger dans la mer et jouer quelques temps avec lui. Je pris le relais et après quelques minutes je reviens sur les serviettes prétextant que l’eau été froide. Mon fils et un peu à l’écart faisant des allers-retours entre sa serviette et la mer pour son projet de construction de château-fort.
Erika s’était mise à plat ventre, les cuisses légèrement écartées et les jambes levées sur sa serviette et profitait du soleil pour parfaire son bronzage. Je posai ma serviette un peu en décalé par rapport à elle pour avoir une vue imprenable sur son cul. Après de longues minutes de conversation banale et toujours en lui reluquant ses courbes, je constate qu’une ficelle dépasse de son string. Sur un ton moqueur, je lui lance:
«Tu as ton tampon qui dépasse!».
Sans même relever la tête et me regarder, elle me rétorque:
«Ce n’est pas un tampon».
Sur ces paroles, elle mit une main sur ses fesses et d’un geste précis, elle remit cette mystérieuse ficelle dans la profondeur de sa fente. N’en pouvant plus et de peur qu’elle remarque mon érection, je me levai et allai plonger dans cette eau fraiche qui pourrait peu être atténue mes ardeur.
En fin d’après-midi, nous rentrons chez elle pour prendre une douche fraiche. Repartant le lendemain, je lui propose d’aller au restaurant. Elle accepte avec plaisir et me dit qu’elle va se changer pour l’occasion. Elle ressort de sa chambre dans une robe bustier blanche, elle lui arrive assez haut sur les cuisses mais elle ne fait pas du tout vulgaire dedans. Bien au contraire, et pour finir son look elle met des escarpins. Pendant tout le repas je ne peux m’empêcher de penser à ce qu’elle a bien pût mettre dessous. Le repas terminé, nous rentrons sans trop tarder car mon fils se plaint d’être fatigué.
Chez elle, je retire à peine mes chaussures et je vais mettre mon fils au lit. Quand je reviens dans le salon, Erika me dit qu’elle va se rafraîchir avec une bonne douche glacée. Restant seul dans le salon et l’entendant sous la douche, je me souviens qu’elle m’a dit qu’elle avait une collection de sex-toy. Je me lève et me dirige dans sa chambre avec l’idée en tête de trouver cette collection.
Je laisse la porte de la chambre ouverte pour entendre combien de temps il me reste pour trouver ce trésor. Je regarde dans ses tables de nuit mais ne trouve qu’un tube de vaseline bien entamé. Sous le lit, rien. Dans sa commode, je trouve une collection hallucinante de sous-vêtement mais toujours pas de trésor. Près à retourner dans le salon comme si de rien n’était, mes yeux tombe sur une immense boite à chapeau sur le sol de sa penderie restée ouverte. Je m’approche, l’ouvre et là je découvre une collection inouïe de sex-toys. Elle en a de tout les calibres, je vois aussi différents modèles de boules de geisha, des menottes, un mord en boule, des spéculums, une cravache et pleins d’autres. N’entendant plus l’eau couler, je referme avec hâte la boite et retourne m’asseoir sur le canapé.
Pour me changer les idées, je prends mon portable pour jouer à un jeu. Je constate que Delphine m’a envoyé un sexto. Dessus je peux la voir complètement nue devant la fenêtre de notre salon avec un arrière plan les immeubles d’en face. Nous habitons un appartement au 8ème étage donnant sur une grande avenue de Paris.
Je lui dis que c’est petit joueur, car vu la hauteur de la fenêtre, même si des voisins étaient aux fenêtres, ils ne la voyaient pas ou peu. Elle me renvoi un SMS me demandant ce que je voulais qu’elle fasse comme photo, que mon moindre désir sera réalisé. Je lui demande alors de se mettre en porte-jarretelle, bas, et trench et chaussures à talons. Une fois habillée de la sorte qu’elle prenne l’ascenseur et qu’elle se prenne en photo dedans le trench ouvert.
Sur l’entre faite Erika sorti de la salle de bain et vient se mette sur son pouf. Elle était vêtue d’une nuisette en satin blanc. Voyant que mes yeux brillaient d’excitation, elle me demanda ce qui me mettait dans un état pareil. A peine lui ai-je dis que Delphine m’avait envoyé un sexto qu’elle se leva se mit à côte de moi et demanda de le voir. Ce que je fis. Le regardant un court instant, elle me déclara qu’elle était jalouse de la poitrine et des courbes de Delphine.
C’est vrai que pour une femme qui a eu 2 enfants, elle est magnifique. Elle mesure 1m68 pour 55Kg, fait une taille 36 et a une poitrine très opulente, un 85F. Erika complexe énormément sur ses seins, elle les trouve trop petit. Je lui dis que des gros seins ont aussi leurs inconvenants et que même avec des petits seins elle est magnifique. Elle me sourit et vient m’enlacer. Cette situation me provoque une énième érection. Dans un silence troublant, mon téléphone sonne, Erika se redresse et moi je regarde mon portable.
C’est le sexto de Delphine, ma sœur se penche pour le voir en même temps que moi, On découvre Delphine dans l’ascenseur son trench largement ouvert découvrant sa poitrine et laissant apparaître sa chatte imberbe encadrée par ses porte-jarretelles. Dessous un message me demandant où se trouvait Erika. Je lui répondis qu’elle venait de se coucher car elle avait un mal de crâne et que j’étais seul devant la télé. Ma sœur me regarda avec les yeux tous brillant d’excitation et me demanda si Delphine ferait tout se que je lui demande. Lui montrant un des messages précédent, je lui affirme que oui. Sur ces dires, elle me demande si elle peut demander à Delphine une photo. Je lui demande ce qu’elle a en tête et lui donne mon portable.
Erika me l’arrache presque des mains et écrit son SMS. Ne levant pas ses yeux du téléphone, elle me demande si j’ai un concombre chez moi. Je lui réponds que surement à moins que Delphine l’a mangé aujourd’hui. Une fois son SMS envoyé, elle posa le téléphone sur la petite table et me dit d’attendre la surprise. En attendant le prochain sexto de Delphine, Erika se leva et alla faire des cafés.
Malgré qu’Erika soit dans la cuisine et moi dans le salon nous continuons comme même de parler. Je lui demande si cela ne lui fait pas bizarre d’avoir vu ma bite en action et sa belle-sœur de cette façon là. Elle me répond du tac au tac que dans le monde où nous vivons maintenant le sexe n’a plus de tabou même entre frère et sœur. Erika m’avoua qu’en plus ce n’était pas la première fois qu’elle voyait ma bite. Elle continua en me relatant des faits bien antérieurs.
«Tu sais quand tu travaillais déjà mais que tu habitais encore chez papa et maman, et ben je t’ai déjà vu pleins de fois à poil dans la salle de bain et je t’ai même vu une fois te branler».
Je lui rétorque que moi par contre je ne l’avais jamais à poil. Elle répondit juste:
«C’est vrai».
Après un court silence, elle revint avec les café. Quand je lève les yeux je la vois là devant moi une tasse dans chaque main et entièrement nue. Voyant ma stupeur, elle posa les tasses sur la petite table et me lança:
«Maintenant c’est fait».
Erika se rassoit à côté de moi comme si de rien n’était. Mes yeux ne peuvent plus se décoller de son corps nu. Elle a des seins magnifiques, ils sont en forme de poire. Elle a un ventre ultra-plat, un petit piercing au nombril et un mont de Vénus totalement imberbe.
«Tu me trouves comment?» me demanda-t-elle.
«Divine» lui dis-je.
Juste le temps de me remettre de mes émotions, que mon téléphone sonne.
«Tiens notre sexto» dit Erika.
Je prends le téléphone et ouvre le message. Je découvris Delphine nue, à quatre pattes au sol, dos au grand miroir de la salle de bain laissant découvrir ses 2 merveilleux orifices tout luisant. Dans la foulée, un deuxième message apparaît. Elle est dans la même position, mais nous voyons que le concombre de la demande de ma petite sœur tout à l’heure et rentré bien profond dans la chatte de ma femme. Erika lance
«WAOUH!!! c’est une sacré chienne, je comprends que tu n’ailles pas voir ailleurs, tu as tous a la maison!»
J’écris à Delphine qu’elle m’excitait, et que maintenant je voulais la voir toujours avec le concombre mais en plus avec son petit bijou anal que je venais de lui offrir. Delphine me répondis
«OK, mais avant je veux avoir une preuve que je t’excite vraiment.»
Erika me dit:
«Vas-y, déshabille-toi! Et montre lui sinon elle va être vexée et on aura plus de photo.»
Je commence à me lever et à peine debout Erika se jette sur moi pour me retirer mon bermuda. Elle me regarde droit dans les yeux et me suggère de retirer aussi mon T-shirt. Un fois complètement nu, je me dirige vers un des grands miroirs de ma sœur et je me prends en photo en entier la bite raide comme jamais. J’envoie la photo, et commence à retourner sur le canapé. C vient à ma rencontre et me demande si on peut prendre une photo ensemble dans cette tenue. L’idée m’excite et j’accepte. Nous faisons plusieurs photos avec son téléphone. Nous sommes de plus en plus libérés et à la fin nous agissons plus comme 2 amants que des frères et sœurs.
Mon téléphone sonne. Nous voyons Delphine se mettant son bijou anal et un message me disant d’aller sur ma boite mail. Erika saute du canapé pour aller chercher son ordinateur portable. En revenant, elle me dit que ce serait plus pratique comme ça. J’ouvre ma boite et je vois que Delphine m’a envoyé un lien pour aller sur son cloud. Je clique dessus et nous voyons un fichier vidéo. Je l’ouvre et là dessus nous apercevons Delphine sur notre lit en train de se goder la chatte avec le concombre. Ses mouvements sont au début lent et précis, puis peu à peu il commence à accélérer pour finir dans un rythme frénétique lui arrachant des hurlements de plaisir. Totalement hypnotisé par la vidéo, je ne remarquai pas tout de suite qu’Erika la regardait tout en s’insérant deux doigts dans son intimité. A la fin de la vidéo, Delphine me demande de faire pareil. Me filmer en train de me branler jusqu’à éjaculation et de lui envoyer via mon cloud. Ma sœur entendant ça me suggère de mettre son pouf devant le miroir de tout à l’heure et de poser mon téléphone sur un tabouret caler entre 2 boites d’allumettes. Ayant trouvé l’idée trop rapidement à mon goût, je pense qu’Erika l’a déjà fait.
Je m’installe et commence a me branler. Je me filmais en train de me branler sous les yeux de ma sœur, qui n’en perdait pas une miette, pour ma femme totalement nympho qui était à 800 Km de moi. Je ne mis pas longtemps à répandre des jets de semence sur mon ventre et sur le sol. J’arrête le film, le mets sur mon cloud et envoie le lien à Delphine.
Je n’ai pas eu le temps de demander quoi que ce soit à Erika qu’elle nettoyait déjà le sol. Cherchant un mouchoir des yeux, elle me dit de patienter qu’elle allait s’en occuper aussi. Une fois qu’elle avait fini d’astiquer le sol, elle se mit à genoux devant moi et avant même une parole de ma part, elle m’agrippa par les hanches et commença à lécher tout le foutre qui était sur mon ventre. Je prends sa tête entre mes mains et lui dis qu’il ne fallait pas car après je ne pourrais plus me retenir et que l’on ne devait pas faire ça entre frère et sœur. Erika se relève et me regardant droit dans les yeux, elle me dit:
«Je te récompense simplement en te nettoyant comme je pense que Delphine aurait fait si elle était là.»
Après ses paroles nous décidons d’aller se coucher. Une fois au lit, Erika me dit que ce serait dommage de finir comme ça la soirée. Je lui demande ce qu’elle a en tête et pour toute réponse, je sens la se relever dans le lit est se diriger vers ma bite. J’allume la lumière et je la vois, là, prenant ma bite dans sa bouche. Ce fût merveilleux, la chaleur humide de sa bouche et son jeu de langue sur mon gland me donnèrent une nouvelle vigueur. Ses gestes précis me font dire que ce n’est pas la première fois qu’elle suce une bite et qu’en plus elle adore ça. Erika alterne entre des mouvements de va et vient le long de ma bite l’enfonçant de temps en temps au fond de sa gorge, des coups de langue sur mon gland et tout au long de ce chibre et des aspirations de mes couilles. Je suis aux paradis du sexe. Il ne m’en faut pas plus pour tout lui cracher sur le visage.
Raclant avec son index les jets de foutre, elle le nettoie avec sa langue. Elle me dit:
«Maintenant c’est à toi de t’occuper de moi».
Ne réfléchissant plus, je la mets sur le dos et commence à l’embrasser dans le cou, lui mordille ses lobes d’oreilles, et commence à descendre. La pointe de ma langue arrive au niveau de ses seins durcit pas mes coups de langue. Erika pointe comme jamais (ses dires). Je l’entends gémir de plaisir. Je gobe un seins pendant que ma main malaxe l’autre et j’alterne. Elle m’appuie sur la tête, alors ma langue continue son périple sur le corps doux et chaud de ma sœur. Arrivé à son entre-jambe, je commence par lui mordre l’aine, ce qui lui fait lâcher un cri. J’embrasse son mont de Vénus, frotte son clitoris avec la barbe naissante de mon menton. Erika commence à se tordre dans tout les sens, là je commence par lui mettre des coups de langue sur ses grandes lèvres, je lui pénètre sa petite chatte avec ma langue. Je m’écrase le visage pour enfoncer au plus profond d’elle ma langue et y sortir une cyprine d’un goût délicieux. Là elle se cabre de tord avec des cris entrecoupés de feulements. Erika vient de jouir grâce à mes coups de langue. Pas peu fier, je la contemple, elle a les jambes qui tremblent encore par saccade. Reprenant peu à peu ses esprits, Erika me regarde les yeux pleins d’étoiles et me dit:
«Maintenant je veux que tu me fistes comme une salope!»
Je lui demande si elle est sûre et si elle avait du lubrifiant. Elle me répond oui et que je trouverais ce qu’il faut dans la porte du bas de sa table de chevet. Je me lève et l’ouvris. Je trouvais une petite bouteille d’huile d’olive neuve.
«C’est un pro qui m’a conseillé d’utiliser de l’huile d’olive».
Je retourne sur le lit et ouvre la bouteille. Mets une bonne dose dans ma main et commence à l’appliquer sur sa chatte. Au contact de l’huile, elle eue un frisson. Naturellement Erika releva les jambes. Une fois sa chatte bien enduite d’huile, je commence à la pénétrer. Un doigt puis deux et enfin trois, Elle recommence à se tordre de plaisir. Elle se mordille la lèvre inférieure et se masse les seins. Je vais et viens dans sa chatte de plus en plus ouverte à mes assauts. Je décide d’y ajouter mes deux derniers doigts en y remettant allègrement de l’huile pour éviter toute résistance. Je ne dois pas échouer, je veux être à la hauteur de son envie. Être le premier à l’avoir fister. Maintenant elle a cinq doigts dans son intimité et en redemande encore. La sentant prête à passer à l’étape d’après, je lui demande de ce mettre sur le côté et les jambes pliés en chien de fusil. Docile, Erika s’exécute sans dire un mot. Avant de remettre mes doigts dans sa chatte, je prends la bouteille d’huile et en renverse sur sa fente. Je commence un mouvement de piston de plus en plus ferme à l’entrée de cette chatte dégoulinante de plaisir et d’huile. J’y suis presque, mes têtes de métacarpe commence à disparaître. Erika lâche de temps à autre des cris de jouissance. Une de ses mains s’est dirigée vers son clitoris et elle se prodigue des petits cercles qui sont au même tempo que mes insertions. Dans une dernière pression de ma main, j’arrive à rentrer entièrement dans son vagin. Cette pénétration hors norme lui fait lâcher totalement prise. Ma petite sœur se raidit complètement, elle attrape un oreiller pour étouffer ses cris de plaisirs. Toute tremblante encore, je commence à tourner mon poing dans son vagin. Je ne veux pas qu’elle redescende de son extase. J’alterne alors entre rotation de mon poing et des mouvements de pistons sans lui laisser le temps de récupérer de son dernier orgasme. Elle est à ma merci, je me retire d’elle pour la mettre à quatre pattes la face écrasée dans les oreillers et son cul en l’air. Je remets de l’huile, la faisant couler le long de sa raie. Ma main rentre sans résistance maintenant. Je m’amuse à entrer et sortir avec de moins en moins de tact. Elle a la chatte béante j’aperçois le plus profond de son vagin. J’y remets mon poing une dernière fois pour lui faire lâcher encore un ou deux feulement.
Une fois terminé, je me levais du lit pour aller me nettoyer un peu. En rentrant de nouveau dans la chambre, je la trouve endormi dans la position que je l’avais laissé deux minutes plutôt. Je la recouvre et me couche à ses côtés ensuite. Je ne mis pas longtemps non plus à m’endormir.
Ayant un train assez tôt le lendemain, Erika et moi n’avons pas reparlé de la nuit. Sur le quai de la gare, lors des au revoir, j’embrasse mon fils lui donne les instructions d’usage et me redresse vers elle. Elle m’attrape les bras et à la dernière bise, me susurre à l’oreille
«Merci, je n’avais jamais autant d’orgasme en une nuit.»
Acquiesçant ses paroles d’un signe de tête et d’un sourire, je monte dans le train et rentre vers Paris.
Le train roule depuis peu que je reçois un SMS de sa part. Dessus il est marqué
«Pour te remercier de cette nuit inoubliable, je tenais à te faire un petit cadeau. Regarde dans la poche intérieure de ton sac à dos et dis moi si ça te plais.»
J’ouvre mon sac à dos regarde dans la poche et découvre une boîte noire. Dedans se trouve des boules de Geisha, un string avec de la cyprine dedans et un mot. Sur ce mot, Erika m’informe que c’était les boules qu’elle avait à la plage et le string souillé et le simple résultat d’avoir passé une soirée au restaurant avec moi. Je porte le string à mon nez. L’odeur de sa cyprine me déclenche une érection immédiate. Après l’avoir respiré plusieurs fois, je mets le string dans ma poche et me dirige vers les WC du TGV. Une fois à l’intérieur, je pris en photo l’effet que ce merveilleux cadeaux m’a provoqué et l’envoie à ma sœurette. Elle me répondit
«Je m’en doutais, vivement la semaine prochaine, ;-).»
Oui vivement la semaine prochaine.
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