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Voyage New-York avec mon meilleur ami hétéro

Chapitre 2

Surprise dans les toilettes de l'aéroport

Gay
Nous sommes la nuit du 27 janvier 2020, il est 3 heures du matin et le réveil que j’avais programmé sur mon téléphone la veille au soir sonne enfin. Je n’ai hélas pas eu l’occasion d’attendre le doux et mélodieux son de ma sonnerie de téléphone pour me réveiller, car je n’ai quasiment pas fermé l’œil de toute la nuit à cause de l’excitation que me provoquent les départs en vacances. Cette excitation a d’ailleurs été cette fois décuplée par la simple présence d’Hugo dans le lit en face de moi et par les idées salaces et les fantasmes que je m’étais imaginé réaliser avec lui lors de notre voyage à New York. Pour ne rien gâcher, je me tapais une érection monumentale depuis notre coucher à 21 heures et je ne pouvais pas me soulager, car j’avais peur qu’Hugo me surprenne ou comprenne ce qu’il se passe sous mes draps bouillants et que ma branlette salvatrice puisse créer un malaise entre nous avant même notre départ.
Alors que je cherche mon téléphone pour couper la sonnerie du réveil, je me rends compte qu’Hugo n’a pas encore bougé un seul orteil et qu’il semble toujours se trouver dans un sommeil profond. C’est vrai qu’il m’avait déjà parlé de sa capacité à dormir très profondément en me disant sur le ton de l’humour qu’il ne serait même pas sûr de se réveiller si la 3e Guerre Mondiale se déclarait au pied de sa porte.
Je décide donc de me lever de mon lit afin d’aller le réveiller en personne en le secouant un peu, mais en m’approchant de son lit, je me rends compte que Hugo n’a vraisemblablement pas eu peur de se branler cette nuit, car je marche sur 1 mouchoir usager oublié sur le sol de ma chambre, complètement mouillé et que j’imagine alors rempli de sa semence.
Ce contact humide me laisse un peu sous le choc, car moi de mon côté, je me suis retenu de me branler toute la nuit et je pense que l’idée de se faire surprendre ou de créer un quelconque malaise ne lui a pas traversé l’esprit, contrairement à moi...
Je m’active donc à le secouer et à lui demander de se réveiller, car il dort encore très profondément et au bout d’une vingtaine de secondes, enfin, il se réveille avec des petits yeux et un grand sourire en me disant :
— C’est enfin le jour du départ, je suis tellement excité de faire ce voyage avec toi ! Merci de m’avoir réveillé, on va se préparer ? Je n’ai pas envie de déjà nous mettre en retard alors qu’on n’est même pas encore parti ! dit-il en rigolant.
Légèrement émoustillé par le mouchoir rempli de son sperme encore tiède que j’écrase avec la plante de mon pied droit, je lui réponds en balbutiant que je suis moi aussi super content de partir et que l’idée d’être dans l’avion en direction de la Grosse Pomme m’excitait beaucoup. Il n’y avait d’ailleurs pas que cela qui m’excitait à ce moment précis. Je m’éloigne alors de son lit et ramasse discrètement le mouchoir collé à mon pied en profitant de l’obscurité de la chambre pour qu’il ne se rende compte de rien. Je me dirige vers les toilettes avec une demi-molle dans le caleçon et le mouchoir humide dans ma main droite. Une fois arrivé dans les toilettes, je me dépêche d’analyser ce mouchoir en commençant par l’ouvrir tout en espérant y voir encore quelques traces, mais malheureusement, le mouchoir avait déjà tout absorbé.
Je porte alors ce tissu à mon nez pour essayer de le sentir et je me retrouve alors envahi par une odeur très masculine, un peu âcre et brute, mais tellement enivrante qui a comme effet immédiat de transformer ma demi-molle en grosse érection. C’est la première fois que je sentais le sperme d’un autre garçon et maintenant que je l’avais senti, je voulais y goûter, mais je ne voulais pas me contenter d’essayer de lécher le mouchoir, je désirais goûter ce nectar à sa source, Hugo.
30 minutes plus tard, nous voilà prêts et dans la voiture en direction de l’aéroport. Une fois arrivés, nous embrassons mes parents pour leur dire au revoir et nous nous dirigeons vers le grand hall de l’aéroport afin d’enregistrer nos bagages. Il était environ 4 h 30 du matin et notre avion ne décollait qu’à 8 heures, cela nous laissait donc le temps de déambuler tranquillement dans l’aéroport, d’aller y prendre un petit-déjeuner et de lécher un peu les vitrines des boutiques Duty-Free de notre terminal en attendant l’heure du grand départ.
1 heure avant le décollage, Hugo me fait part de son envie d’aller s’asseoir sur les fauteuils devant notre porte d’embarquement, car il est un peu fatigué et n’a plus vraiment envie de se balader dans l’aéroport. Nous marchons donc vers la porte et nous nous asseyons, mais étant un peu stressé et excité, j’avais beaucoup de mal à rester en place sans bouger sur ma chaise, alors je décide de me relever et de me balader encore un petit peu dans le Terminal, mais cette fois-ci, seul.
Au bout de quelques minutes de marche, j’arrive au niveau des toilettes des hommes et décide d’y rentrer pour aller faire pipi avant d’embarquer dans l’avion. En rentrant dans les toilettes, je m’aperçois qu’il n’y a pas énormément de monde, nous ne sommes que trois personnes. Il y a un homme d’une cinquantaine d’années, chauve et plutôt bien habillé qui se trouve sur le deuxième urinoir en partant de la gauche, et il y a un homme plus jeune, d’une trentaine d’années environ, à l’allure plutôt sportive, et habillé avec un short gris et un débardeur laissant entrevoir ses beaux biceps qui se dirige vers le quatrième urinoir. Étant donné qu’il n’y a que 6 urinoirs dans ces toilettes, je me retrouve donc contraint d’aller vider ma vessie à côté de l’un des deux hommes, car je n’ai pas la possibilité d’avoir un écart avec eux.
Au dernier moment, j’hésite même à plutôt me rendre dans une cabine de toilette, car je vois que les urinoirs ne sont pas très espacés et qu’il n’y a aucune séparation visuelle entre les cuvettes, ce qui doit laisser une vue dégagée sur les attributs des voisins. Étant assez pudique, cela me met légèrement mal à l’aise, mais finalement, je décide d’y aller, encouragé par mon excitation naissante due à la situation et à mon envie d’apercevoir une jolie queue en attendant de voir celle d’Hugo, peut-être.
Je me dirige alors vers l’urinoir du milieu et commence à défaire la ceinture de mon pantalon, j’ouvre ma braguette et je sors mon pénis tout en essayant de regarder discrètement et sans tourner la tête le pénis de mon voisin de gauche.

Malheureusement, je n’ai pas su voir grand-chose de ce côté, car ses vêtements amples m’empêchaient de voir quoi que ce soit et en plus, il avait fini déjà finit d’uriner, étant arrivé quelques minutes avant moi dans les toilettes. Ce n’est qu’au moment où il a secoué sa queue que j’ai pu très légèrement apercevoir le bout de son gland qu’il rangea très vite dans son pantalon. Il se retourna ensuite en direction des urinoirs et quitta la pièce sans un mot, me laissant seul à seul avec mon voisin de droite.
Même si je n’avais vu qu’un petit bout de queue, cette position de voyeur que j’adoptais pour la première fois commençait vraiment à m’exciter, en témoigne le fait que j’étais aux urinoirs depuis une quinzaine de secondes et pourtant, je n’avais toujours pas commencé à uriner à cause de mon érection naissante entre les mains. Je finis par me forcer à pisser afin d’éviter les soupçons de la part de l’homme à côté de moi, mais la puissance de mon jet était presque nulle.
N’y tenant plus, je décide alors de tourner ma tête en direction de l’urinoir à côté de moi, car je ne voulais pas quitter ces toilettes avant de voir un pénis. Et quelle ne fut pas ma surprise quand je m’aperçus que mon voisin n’urinait pas non plus et qu’il avait une grosse queue entre ses doigts avec laquelle il était en train de jouer en regardant la mienne. Elle devait faire à peu près dans les 20 centimètres et elle était plutôt épaisse avec de grosses veines la parcourant de part et d’autre. Cette vision venait de m’achever et une chaleur indescriptible m’envahit le corps de la tête aux pieds en passant par ma queue qui prenait alors toute sa vigueur. Comme hypnotisé, je commence alors à me branler doucement à côté de cet homme et au bout de quelques secondes qui me paraissent interminables, il décide de briser la glace en me disant d’une voix basse et virile :
— Eh bien... Je ne pensais pas faire une rencontre aussi intéressante avant de prendre mon vol aujourd’hui.— Oui... C’est clair, je ne pensais pas non plus avoir l’occasion de faire une rencontre de ce style et je dois bien avouer que je ne suis pas déçu d’être venu. Vous avez une très jolie queue, elle est très excitante... C’est la première fois que je vois le pénis de quelqu’un d’autre.
À ce moment, je suis dans un état d’esprit assez étrange mélangeant stress et excitation et je n’arrive pas à croire que je suis en train de parler aussi ouvertement à cet inconnu. Je détourne brièvement mon regard de sa grosse queue afin de voir à quoi ressemble son visage, car je ne l’avais même pas encore vu. Je me rends alors compte que c’est un homme très séduisant avec un teint de peau un peu hâlé, une mâchoire musclée, des yeux noisette et un sourire Colgate renversant qui me fait totalement craquer. Nous nous fixons dans les yeux quelques instants et je suis de plus en plus en chaleur, et je crois que lui aussi. Il brise soudainement ce silence et me dit :
— Je vois qu’on a tous les deux un peu de mal pour se vider... Si ça te dit, je peux peut-être te la tenir pendant que tu essaies, mais en échange, tu dois faire la même chose pour moi, j’aimerais bien que tu m’aides aussi et que tu me la tiennes. L’union fait la force après tout, non ? Dit-il en rigolant sur un ton provocateur.
Sans même avoir eu le temps de répondre pour lui faire part de mon approbation, il prend ma main droite et la place sur sa queue. J’essaie de faire le tour de sa hampe avec mes cinq doigts, mais je n’y parviens pas, tellement que celle-ci est épaisse. En plus d’être épaisse, elle est terriblement chaude et étonnamment dure. Il crache alors dans sa main et vient placer à son tour celle-ci autour de ma queue et de mon gland et commence à me tripoter. Je prends exemple sur lui et décide alors de faire pareil et crache aussi dans la mienne afin de lubrifier sa queue au maximum et commence à faire des mouvements de va-et-vient. C’est la première fois que je me branle mutuellement avec un autre homme et je suis plus excité que jamais par cette situation pourtant plus qu’inédite et bizarre. Nos deux queues sont pleines de salives et elle commence à se mélanger avec du liquide pré-séminal qui s’écoule abondamment de nos deux urètres.
Tout en malaxant ses grosses couilles pendantes et bien chaudes, il approche son visage du mien, me demande d’ouvrir la bouche et il me crache soudainement deux gros molards dans celle-ci avant de me rouler une immense pelle baveuse. Alors que cet acte aurait normalement dû me dégoûter, je me suis totalement abandonné à lui et à ses désirs et je suis au summum de l’excitation et finis par éjaculer intensément dans l’urinoir et sur ses doigts que je tapisse entièrement de ce sperme que je retenais en moi depuis quelques jours maintenant. Je continue de le branler avec vigueur et il finit lui aussi par déverser son foutre quelques secondes après moi, me recouvrant également entièrement les mains d’un blanc immaculé.
Alors que j’essaie de reprendre mes esprits et que je redescends sur terre, j’entends dans les haut-parleurs de l’aéroport une annonce demandant aux voyageurs du vol UA856 en direction de New York de bien vouloir rejoindre leur porte d’embarquement afin de commencer la procédure d’enregistrement.
Je me rends alors compte que c’est mon vol et que cela fait déjà 25 bonnes minutes que je suis dans ces toilettes avec ce parfait inconnu et qu’il est plus que temps que j’y aille au risque de ne pas pouvoir embarquer dans l’avion. Pris par le stress, je me précipite et décide alors à la hâte de me débarrasser des grosses giclées de sperme étant restées sur mes mains en les frottant sur ma propre queue et sur le tissu de mon boxer pour faire au plus vite. J’avais donc le sperme d’un autre sur ma propre queue pour les 12 prochaines heures de voyage et encore une fois alors que cette idée m’aurait habituellement dégoûté, elle faillit presque me refaire bander une deuxième fois.
Avant de quitter les toilettes, je le regarde une dernière fois, je le remercie et je lui souris tout en me disant que je ne connais même pas son prénom et que je ne le reverrai sûrement jamais de ma vie. En sortant des toilettes, je vois Hugo, paniqué et arrivant à toute vitesse dans ma direction. Une fois à ma hauteur, il me demande :
— T’étais où tout ce temps mec ? On doit embarquer là, je pensais que tu t’étais perdu ! Tu m’as vraiment fait flipper putain...— Oh, t’inquiète pas mec, j’ai entendu les annonces, on a encore un peu de temps. Mais je te remercie d’avoir couru un sprint tout le long du Terminal pour venir me chercher, lui répondis-je alors sur un ton moqueur.— Et quoi tu étais aux toilettes tout ce temps ? Qu’est-ce que tu y faisais ?— Oui, je suis un peu stressé pour le vol, alors j’ai essayé de me rafraîchir et me changer les idées, mais ça va maintenant. On y va ?
Nous nous dirigions enfin vers la porte d’embarquement, enfin prêts pour le grand voyage et la suite de notre histoire.
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