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voyage de noce africain

Chapitre 14

Hétéro
14ème jour :
Malgré ma nuit agitée, je n’étais pas trop fatigué. Je m’étais complètement adapté à mes deux chevaliers maintenant, car je n’avais plus de douleurs après m’être fait sodomiser. Je sentais que je devenais accro, car dès le petit déjeuner quand le guide et le cuisinier arrivèrent, ma chatte devint toute humide et mon anus me titillait. Ça ne me dérangeait pas de faire cocu Alain, je l’aimais toujours mais maintenant, je n’avais plus un, mais deux amants.
Toute la matinée, j’avais beau tenir la main de mon mari, mes yeux ne quittèrent pas le beau cul dans sa djellaba de Karim. J’imaginais ses deux grosses bourses se balader entre ses jambes.  Après le repas du midi, le groupe se dispersa pour dormir une heure et se protéger du soleil. Mon mari assoupi, je me levai et sans un bruit, passant devant mes deux marabouts, je leur fis signe de me suivre, je voulais juste goûter leurs crèmes.  Arrivés derrière un rocher, ils soulevèrent leurs djellabas, leurs dards fièrement dressés, je me précipitai pour les pomper. Je les voulais, sentir leurs odeurs, gober leurs couilles. Ils jouirent en même temps dans ma bouche mais Karim fit exprès de m’arroser le visage et m’interdit de m’essuyer avant de rejoindre mon mari en train de dormir sous le Baobab.
  Le camp se trouvait dans un assez important village avec, oh miracle, une douche commune. Attention ce n’était pas une douche européenne. Il y avait 3 pommeaux de douche avec une grosse citerne en plastique au-dessus qui était approvisionné par le torrent qui dévalait d’une falaise. Le sol était en béton et les murs seulement de pailles séchées. Même pas de toit. A la sortie, de l’autre côté du mur de paille un grand bac en inox tout cabosse faisait office de lavabos.  Karim savait que j’étais sous son emprise et que je ne lui refuserais rien. Il m’ordonna après le dîner d’aller prendre ma douche avec Alain et de lui faire l’amour à 21h. Je pensais qu’il viendrait nous espionner, peut-être avec Boubakar ou d’autres spectateurs. L’idée me plut. Voulait-il voir comment le sexe de mon mari était petit, ou sa piètre endurance.   Comme demandé à 21h, ma simple personne était accroupie sur le sol en béton pendant qu’Alain me prenait en levrette. Nous étions seuls car le groupe était dispersé dans leurs tentes. J’avais même peur qu’Alain éjacule trop vite avant que Karim puisse nous voir. Alors que mon mari, me tenait bien par les hanches. Karim et Boubakar surgissent par la porte complètement nue, nous découvrant en mauvaise posture. Alain se redressa aussitôt et se remis sous la douche, me laissant seule à 4 pattes. — Oups, désolé je pensais qu’il n’y avait personne, déclara Karim.   Boubakar m’aida à me redresser avec sa main, en demandant si cela nous dérangeait pas de partager les douches. Alain, accepta. La situation m’excita au plus haut point. Je pouvais comparer leurs 3 sexes. Le sexe d’Alain qui avait débandé en une demi seconde et était vraiment petit à côté de ces deux grands boas noirs.  Karim et Boubakar se mettent à bander devant nous et firent semblant d’être gêner et s’excusèrent prétextant ma beauté qui les troublait.
Boubakar ressorti rapidement de la douche et du lavabo, demanda à Alain s’il n’avait pas de la mousse à raser et un miroir. Mon mari en profita pour se couvrir d’une serviette, me laissant seul avec Karim qui bandait toujours.  Alain en profita pour se raser à côté de Boubakar et je suis sûre que notre cuisinier fit exprès de parler foot avec lui pour me laisser seule avec Karim, qui n’attendit pas une seconde pour me mettre à quatre pattes et je sentis son sexe pousser mon œillet. Je dû me mordre les lèvres pour ne pas faire de bruit. Karim me limait le petit trou en faisant le moins de bruit alors que nous pouvions entendre Boubakar et Alain parler de l’équipe du Mali.Au bout de 10 bonnes minutes, me retourna et planta son dard sortant de mon anus directement sur ma langue pour lâcher sa crème salée. Alors qu’il avait encore une demi-molle, il rejoignit mon mari et annonça à Boubakar qu’il avait laissé son savon dans la douche.
Tout en continuant de discuter avec mon mari derrière le fin mur de paille, il fit tomber sa serviette pour que je le suce. Pendant qu’il parlait de 4-4-2 ou 4-5-1, je m’amusais avec ma langue sur le bout de son gland violace. Ma langue glissait sur son grand chibre, sur ses deux belles bourses. Boubakar devait trouver ça trop délicat car il me prit la tête à deux mains et me baisa la bouche avec sa queue. Faisant de grands mouvements dans ma bouche jusqu’au fond de ma gorge. Ma bouche était carrément violée. Il se recula pour lâcher 5 grosses giclées sur mon visage.   Il me releva, me donna ma serviette et me tira par la main vers le lavabo alors que mon visage était recouvert de son sperme. Alain me fit remarquer que j’avais encore de la Biafine sur mon visage. D’un geste tendre Alain m’étala la fameuse Biafine sur mes joues et mon front devant ses deux cocufieurs.
Une fois sous la tente Alain me demanda si j’avais remarqué la taille de leurs sexes. Je lui répondis que non car j’étais trop intimidée devant eux. Mon mari rajouta qu’il plaignait leurs femmes qui devaient souffrir avec ça.S’il savait…
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