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Voyage paradisiaque

Chapitre 1

Inceste
Je m’appelle Richard (comme mon père), j’ai 19 ans. Je suis de la région lilloise mais, étant étudiant en sciences économiques à Toulouse, c’est dans cette ville que je réside, le temps de mes études. Je reçus un jour un appel de ma mère qui me demandait de ne rien prévoir pour les vacances de février, car elle avait une surprise pour moi. J’appris bien vite que cette surprise était un voyage pour 2 personnes, à ZIPOLITE au Mexique (entre nous je n’avais jamais entendu parler de cette ville). Je lui demandai pourquoi moi et non Papa ? Maman m’informa que Papa, cadre supérieur dans son entreprise, avait dû changer, à la demande de la Direction, le calendrier de ses congés suite à un remaniement dans sa société, et comme les réservations avaient été faites, il ne pouvait donc accompagner ma Mère. Son travail, en plus, l’obligeait, par ses déplacements à l’étranger, à être absent 2 semaines sur 4
Pour les vacances de février, j’étais remonté dans le Nord afin de passer quelques jours avec Papa et Maman (qui, j’ai oublié de vous la présenter, se prénomme Aurélia) et préparer notre Départ, Maman et moi, pour le Mexique. Papa était vraiment déçu car il avait choisi cette période afin de fêter l’anniversaire de Maman là-bas. Il avait prévu quelques surprises sur place, mais il ne m’a fait aucune révélation de ce qu’il comptait faire.
Nous voici maintenant dans l’avion, direction soleil et plage mexicaine. A l’atterrissage, à l’ouverture des portes, une bouffée de chaleur nous envahit, nous suffoquons presque : il faut dire que chez nous, en ce moment, c’est l’hiver. Papa avait vraiment tout prévu car un taxi nous attendait à l’aéroport de HUATULCO. Après une bonne heure de route, le taxi nous déposa devant l’hôtel San Cristobal où une chambre double nous attendait.
Dans 3 jours Maman va fêter son anniversaire (je vous laisse faire le calcul, sachant qu’elle m’a eu à 19 ans). Maman ayant toujours pris soin de son corps : exercices physiques et visites régulières chez l’esthéticienne ont pris soin du corps de Maman, au point qu’on lui donne dix ans de moins ; c’est pourquoi dans l’hôtel, nul ne s’imagine, en voyant le couple que nous formons, que nous soyons mère et fils ! Maman tirait une grande fierté lorsque, s’adressant à elle on lui disait « Votre mari », en parlant de moi. Nos clins d’œil complices n’ont pas cherché à démentir qui nous étions réellement l’un pour l’autre, et je dois avouer que si elle n’avait pas été ma mère, j’aurais volontiers épousé cette femme d’une grande beauté. Ce n’était d’ailleurs pas bien difficile de jouer ce rôle car nos sentiments ont plus été amicaux que familiaux.
Qu’elle ne fut pas notre surprise lorsque nous découvrîmes que la plage, quelque soit l’endroit, était réservée aux nudistes. Papa en avait bien gardé le secret ; mais, sans doute était-ce l’une des surprises qu’il réservait à Maman ? Je pense qu’il devait rire, là-bas en France, de la situation dans laquelle, bien involontairement, il nous mettait. Nous avons tout d’abord profité de la piscine de l’hôtel, mais avec maillot 2 pièces pour Maman et slip de bain pour moi. Un peu plus tard, lorsque nous avons gagné le restaurant, nous vîmes tous les regards se tourner dans notre direction. Le directeur de l’hôtel s’avança vers nous :
« - Je vous prie de m’excuser Monsieur-dame, mais vous êtes dans un site naturiste et, comme il est spécifié dans le règlement, vous devez être nus. Exceptionnellement ce midi, nous vous servirons dans la tenue que vous portez, mais si vous avez l’intention d’aller à la plage tout à l’heure, je vous recommande de laisser vos textiles dans votre chambre !— Merci Monsieur, veuillez nous excuser, mais c’est la première fois pour nous, lui répondis-je ».
A table, nous discutâmes, Maman et moi, sur le fait qu’il allait falloir se plier à la discipline de l’endroit car effectivement, nous étions dans un site naturiste. Après le repas nous avons regagné notre chambre.« - Bon, ben Maman, tu sais maintenant ce qu’il nous reste à faire !— Mais je n’oserai jamais me mettre nue ? S’offusqua Maman— Bah, mais pourquoi donc ?— Mais enfin mon chéri, tu m’imagines allant m’exposant sur la plage comme ça, à poil ?— Mais Maman, c’est en restant vêtus tels que nous sommes que nous allons nous faire remarquer ! Et puis c’est l’idée de Papa après tout ! Allez, moi j’ai envie d’aller me baigner dans cette mer chaude, répondis-je en enlevant mon slip de bain. — Oui mais…j’ai… un peu honte ! Renchérit Maman— Mais ne sois pas idiote Maman, avec le corps que tu as, tu vas faire sensation sur cette plage. »
Maman s’affranchit et, tournée aux ¾, ôta son soutien-gorge puis fit glisser sa petite culotte, que d’un coup de pied, elle expédia sur le lit. Dans mon champ de vision, je pus apercevoir un sein au contour arrogant, harmonieux, pointant droit, au téton proéminant ; un ventre plat, des fesses rebondies que mon père devait avoir plaisir à empaumer, à malaxer ; des cuisses magnifiquement longues et un galbe de mollets à donner envie de croquer dedans ; « bon sang, quelle belle femme ! » pensais-je. C’est alors que, se tournant vers moi, je vis la bouche pulpeuse de Maman esquisser un sourire. J’en compris la raison quand je vis son regard lorgner mon phallus, nu, bandé à l’extrême au point de toucher mon ventre !
Je ne pouvais quitter l’hôtel dans cette situation et allais prendre une douche afin de refroidir mes ardeurs. Lorsque je revins dans la chambre, Maman était assise dans le fauteuil, un livre entre les mains, m’offrant, cette fois de face, le spectacle de sa nudité. Mes yeux n’en pouvaient plus de regarder sa splendide poitrine, ses cuisses fuselées et le mince filet de poils blonds qui ourlaient les lèvres de sa vulve. Ma queue, que j’avais eu tant de mal à rendre « docile » sous la douche, regimba, trahissant ce besoin de jouir de ce corps qui n’appartenait plus à ma mère, mais à une femme désirable dont moi seul pouvait, en cet instant, en admirer toutes les courbes.

Une jalousie soudaine s’empara de moi : j’imaginais les regards qui allaient, irrémédiablement, se poser sur le corps sans défaut de cette femme que je désirais dorénavant. Je la voulais, elle, Aurélia, elle, ma Mère !
Je m’approchais de Maman, le sexe congestionné, au bord de l’explosion. Elle se leva, prit la main que je lui tendais, croyant à une invite pour sortir de la chambre. Je la fis pivoter pour me faire face, la regardais longuement dans les yeux :« - Qu’y a-t-il mon chéri ? S’inquiéta Maman -Maman…Je …. !!! »
Pour toute explication, je plaquais ma bouche contre la sienne. Elle résista, se débattant. Je lui pris la nuque, l’obligeant par la pression exercée, à ce que ses lèvres restent collées aux miennes. Elle poussa de petits cris, étouffés par ma bouche. J’essayais de lui entrouvrir les lèvres afin de glisser ma langue dans la bouche. Son instinct de mère opposait une résistance à ce geste que la morale interdit. Il n’était pas question pour moi de revenir en arrière, et sa résistance ne faisait qu’accentuer mon envie ! Dieu qu’il était agréable de sentir les tétons de cette beauté s’écraser sur ma poitrine, agréable de presser mon sexe turgescent sur la douceur de ce ventre brulant. Peu à peu, je la sentis mollir; ses longs cheveux blonds touchant nos épaules respectives ; puis le bonheur m’envahit lorsqu’enfin, Maman ferma les yeux, abandonnée, vaincue. Ses lèvres, non seulement s’ouvrirent mais laissèrent passer cette langue que j’espérais. Je relâchais alors la nuque, et allais m’agripper à ses fesses, douces et fermes, que je me mis à pétrir. Son bras droit, maintenant consentant, s’enroule autour de mon cou, le gauche entoure ma taille et appuie, comme s’il voulait que ma bite transperce le ventre maternel.
Le baiser que nous échangeâmes était d’une force jouissive telle (Maman m’a confirmé le même ressenti plus tard) qu’il devait son intensité, sans doute au fait qu’il était incestueux ! Nos langues s’enroulaient l’une autour de l’autre, nous buvions nos salives. La main de Maman descendit sur le devant de ma cuisse, touchant au passage l’extrémité de mon gland qui avait glissé sur le côté, recueillant au passage le liquide pré-éjaculatoire qui, collé à la main de Maman, formait un grand fil. J’étais au bord de l’apoplexie. Cet échange buccal sembla durer une éternité, pour notre plus grand plaisir. Nos lèvres, brulantes, se séparèrent et Maman me demanda :
« - Que faisons-nous mon chéri ! Je te demande pardon …tu sais, je…— Chuttttt, tu n’as pas à demander pardon Maman, c’est moi qui suis venu vers toi. Tu es ma Mère, je sais, mais je n’en ai que faire : tu es tellement belle. Te rends-tu compte à quel point tu me rends fou Maman ! J’ai envie de toi. — Envie de moi ? Mais ce n’est pas possible, et pourtant, maintenant que tu es là, nu, devant moi… »
Maman cessa de parler et ses lèvres reprirent possession des miennes, pour un baiser aussi ardent que celui qui venait de transformer ce lien filial en acte d’Amour. Puis, un long moment plus tard, Aurélia, ma mère, se laissa glisser, lentement, le long de mon corps jusqu’à ce que ses yeux, sa bouche, soient à hauteur de mon membre turgescent. Dieu, pensa-t-elle, comment cette queue, épaisse et gorgée de sang, pouvait-elle être celle sur laquelle elle faisait, pendant le bain et par jeu, de petits bisous sans conséquences quelques années auparavant. Elle abandonna toute réflexion, prit l’énorme engin dans sa main et le porta à ses lèvres. Elle déposa, sur le sommet du gland de son petit, de son enfant, de son amant de fils, un doux baiser, puis, alors que je pose la main sur la tête de Maman, celle-ci ouvre la bouche, ingurgite mon phallus tendu à l’extrême. Sa langue tournoie autour du gland violacé, puis ses lèvres enserrent ma hampe et sa bouche s’enfonce jusqu’à toucher mon pubis ; ses mains s’agrippent à mes fesses et appuient comme pour mieux enfoncer mon pieu au fond de sa gorge. Ses lèvres, rapidement, vont et viennent le long de cette longue et épaisse colonne de chair ; ralentissent pour revenir sur le bord du gland et titiller le méat, puis engouffrent de nouveau mon phallus, prêt à déverser sa liqueur. Voir ma mère, me faire la plus exquise des fellations, me rend fou. Je sens monter ma semence, je laisse faire les choses : Maman sent mon corps se raidir. Il est trop tard maintenant pour l’avertir, et puis, elle sent bien que je viens : ma tige, après quelques soubresauts déversent des flots de sperme visqueux, épais. Ma bite semble ne jamais se tarir. Je pense alors que Maman va se retirer ; c’est mal la connaître : au contraire, elle me boit, m’aspire, avale les nombreuses giclées que mes bourses ont fabriquées. Afin de ne rien perdre, elle fait un étau de ses lèvres autour de ma queue qui n’arrête pas d’éjaculer. Je ne sais quelle quantité de foutre j’ai pu répandre dans la bouche maternelle, mais je sais que jamais je n’en ai autant évacué ! C’est par gorgées entières qu’elle boit ma liqueur d’amour. Maman est une amante de rêve : de ses doigts fins et agiles elle empaume mes couilles qu’elle triture pour en extraire les ultimes gouttes de crème glaireuse.
Je la fais se lever, la regarde droit dans les yeux et lui dit :« Aurélia (je l’appelle volontairement par son prénom), je t’aime !— Moi aussi mon fils, je t’aime » Je suis heureux qu’elle ne m’ait pas appelé par mon prénom, car ainsi je sais que c’est à moi qu’elle s’adresse ! Nos bouches s’ouvrent largement pour se souder de nouveau dans un baiser incendiaire. Je prends Maman par la taille et la couche, doucement, sur le premier lit qui est là, le sien, le mien, qu’importe ! Je la sens anxieuse, mais impatiente de ce qui va se passer. Ma bouche quitte la sienne et descend lentement dans le sillon de sa poitrine. Je prends un sein dans une main, que je pétris savamment, alors que mes lèvres se referment sur le téton de l’autre, faisant virevolter ma langue autour de celui-ci pour l’exciter davantage. Maman ahane de plaisir. De petits soupirs s’échappent de sa gorge ; sa respiration est de plus en plus saccadée. Ma langue tournoie autour de son nombril, puis va rejoindre sa source d’amour. De mes lèvres, j’écarte celles de sa chatte pour faire pénétrer ma langue au plus profond de son vagin, qui dégouline de cyprine. Je reçois une décharge électrique dans les reins, à l’idée de savoir que je tourbillonne la langue dans cet antre par lequel je suis sorti il y a quelque 19 ans déjà ! Je bois d’un cœur heureux, le nectar que Maman distille. Quand ma langue effleure son clitoris, c’est elle qui reçoit une décharge. De deux doigts, je décapuchonne le petit bouton, que j’agace à petits coups de langue. Largement lubrifiée, j’arrive à faire pénétrer deux, puis trois doigts, dans le vagin de ma mère amante. Le plaisir, la jouissance, lui fait soulever les genoux, jambes écartées au maximum pour mieux faciliter mon intromission. Je crois que je pourrais faire entrer ma main entière, mais un orgasme plus fort que les autres la fait hurler, et Maman resserre les jambes, m’emprisonnant la tête, comme un étau, alors que ma langue fourrage ses entrailles. Epuisée par tant de plaisir, elle tombe d’inanition. Je sors la tête pour reprendre ma respiration, glisse sur son corps jusqu’à la couvrir complètement en une union parfaite : jambes contre jambes, ventre contre ventre, seins contre seins et bouche contre bouche.
Il ne fallut que quelques secondes pour apaiser notre soif : le mélange de notre salive était notre breuvage. La découverte de cet amour, réprouvé par la société dont nous n’avions que faire, raviva nos sens. Maman me fit mettre sur le dos, glissa hors du lit, me laissant sur le dos, la pine au garde à vous. Elle me présenta ses fesses, recula vers moi, écarta les lèvres de sa vulve et vint s’empaler sur mon chibre qui n’attendait que cela. Comme une folle, elle montait et descendait sur ma verge, gémissant, allant jusqu’à englober ma colonne entière, ses fesses allant épouser mon pubis. Mes mains caressaient ses hanches; je la soulevais par la taille afin de faciliter ses montées et descentes sur ma queue. Parfois, je la lâchais, lui laissant libre court à la cadence de son empalement ; mes mains en profitaient alors pour aller à l’assaut de ses deux magnifiques globes laiteux pour les malaxer. J’emprisonnais le téton entre le majeur et le pouce et le tournoyais pour le faire ériger davantage.
Papa avait de la chance : Maman était une déesse au lit, avec ses mouvements de hanches elle me rendait fou… Je la couchais sur le côté, la retournais, lui repliais les genoux et, me plaçant derrière elle, je la pénétrais en levrette. Juste quand j’allais jouir, ma mère eut un orgasme monstrueux, et elle me demanda de jouir en elle. Comme un animal en rut, je la transperçais jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir. J’avais l’impression de déverser des litres de sperme chaud et gluant dans ses entrailles. De nombreuses giclées de foutre se déversèrent au plus profond de son vagin, jusqu’à la dernière goutte.
Épuisés, satisfaits, nous nous reposâmes l’un à côté de l’autre. Ses yeux fermés, sa respiration encore agitée, ses dents mordant sensuellement ses lèvres, je regardai chaque détail de son corps et je l’aimai plus encore…
Depuis ce moment, nos vacances ont été consacrées à faire l’amour sous toutes ses formes, à tout moment de la journée et quelque soit le lieu.
A notre retour, nous avons cherché à satisfaire nos pulsions interdites chaque fois que Papa était absent. A la rentrée universitaire, je retrouvai mon appartement de Toulouse et Maman, lors des déplacements de Papa où lorsque je n’étais pas en vacances dans le Nord, vint me voir bien plus souvent qu’elle ne le faisait auparavant.
Beaucoup appellent ça « Inceste », Maman et moi : « Amour ».
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