Nous étions en terminale, scientifique, et notre classe n’était composée que de LV2 allemand. J’avais 18 ans, me prénommais Alexandre, et j’étais plutôt petit (1m65) et fin (55 kg), des cheveux châtains, et une pilosité inexistante qui trahissait mon jeune âge. Bien que nous fussions dans un petit lycée, les 2 classes de terminale avaient chacune leur LV2 différente, dans le but de proposer un voyage dans le pays idoine à la fin de l’année, après les résultats du bac. Sur les 15 que nous étions dans notre classe, nous avons réussi le 100% et le bus nous emmenait tous, l’esprit léger, vers l’aéroport de Lyon à destination de Munich, afin d’y passer 15 jours dans une petite ville faisant partie de la banlieue de la ville de BMW. Arrivés à l’aéroport, nous passâmes les traditionnelles épreuves d’enregistrement des bagages et une fois le temps d’attente passé, nous nous installons dans l’avion et je prends place à côté de Mélina, ma blonde complice depuis le premier jour de première, sans qu’il n’y ait eu quoi que ce soit entre nous. On s’était arrangés pour être dans la même famille d’accueil, que nous allions partager avec Emilie, qui était la « mama » de la classe, par son âge de plus dû à sa seconde redoublée, et ses toujours bons conseils. Nous rigolions beaucoup, de tout et de rien, nous étions dans l’esprit bon enfant des vacances qui démarrent sans penser à l’avenir et les études supérieures qui allaient séparer certains d’entre nous. Le voyage passa très rapidement et une fois que l’avion finit d’atterrir, je rigolais beaucoup moins quand je fus le seul à ne pas trouver ma valise sur le tapis roulant de l’aéroport… Après l’instant de solitude et de gêne, j’allais avec un de mes profs à l’accueil pour me renseigner. On nous expliqua qu’une erreur l’avait envoyée au Portugal, et qu’elle serait rapatriée d’ici 2 jours. Je réfléchissais, puis je finis par me dire que pour 2 jours j’arriverais à me débrouiller. J’avais suffisamment économisé d’argent de poche pour profiter de ce séjour et parer ce genre d’imprévu. Nous primes un bus pour arriver au lycée correspondant, et nous avons passé la fin de l’après-midi avec nos correspondants et nos hôtes, à faire différents jeux pour faire connaissance, mieux manipuler nos langues d’apprentissages respectives, se chambrer en jouant au football (ce qui semble normal dans un échange franco-allemand, puis, la soirée tombant, ils ont lancé un barbecue, fait couler la bière à flot, et nous avons joyeusement continué la soirée. Vers 2h, tout le monde commençait à tomber de sommeil, le voyage n’aidant pas, et nous sommes donc rentrés chez nos hôtes. J’expliquais le long de la route mon problème, et la mère de notre Peter, notre correspondant, me dit qu’il n’y avait pas de soucis pour aller faire des courses le surlendemain, car les magasins locaux étaient fermés le dimanche… Arrivés chez eux, ils nous montrèrent nos chambres, nous étions les trois avec Emilie et Mélina au deuxième étage, nous prîmes nos quartiers, puis j’entendis toquer à ma porte. Je dis d’entrer, et Mélina se présenta, avec des (sous) vêtements à elle, me disant qu’elle voulait bien me dépanner le temps que ma valise arrive. Un peu déboussolé, j’acceptais et pris sa pile de vêtements, avant de regarder sa beauté s’éloigner de mon lit, en me disant de lui envoyer un WhatsApp pour lui dire si c’est ok. Fatigué, je voulais quand même prendre une douche pour évacuer la sueur de la journée avant de dormir dans des draps propres qui plus est, nos hôtes avaient laissé des linges de toilette mais pas de gel douche. Je retournais en chercher vers Mélina quand je croisais Emilie, qui m’en proposa après que je lui aie expliqué. Je ressortis de la douche en sentant la violette, puis pris dans les vêtements la culotte que Mélina m’avait prêtée. Elle était noire avec des cœurs argentés dessinés dessus, je la passais pour constater qu’elle m’allait à merveille, bien qu’elle fût rapidement trop courte après que mon sexe soit entré en érection, excité par la situation. Il ne me fut pas simple de débander car je passais immédiatement une nuisette bleu ciel à moitié transparente. Je m’empressais de sortir pour rentrer à la chambre et ne croisais personne dans le couloir, fort heureusement. J’essayais de faire abstraction de la situation et de l’excitation, et je m’endormis rapidement. Je dus me résigner à porter la culotte le lendemain sous mon short, en essayant de ne pas avoir à me pencher ou me baisser pour ne pas la dévoiler. La journée se déroula sans accrocs, et nous recommencions une soirée estivale avec nos correspondants. Nous sommes rentrés chez le nôtre complètement pompettes, que ce soit lui, les filles ou moi. J’attendais mon tour de salle de bain allongé sur mon lit, quand Mélina m’envoya un message pour venir la retrouver dans la salle de bain, j’avais bien compris son idée mais j’étais trop éméché pour ne pas trouver loyal de profiter qu’elle le soit aussi pour faire quelque chose avec elle. Il n’en fut rien dans l’immédiat, bien qu’elle se présenta nue à moi et me demanda de me déshabiller devant elle pour me voir avec sa culotte. Elle m’en donna une autre, violette avec des motifs dorés de fleurs, puis me dit de la rejoindre une fois ma douche prise. Je profitais de l’eau pour essayer de me remettre dans un état normal, et une fois que je sentais les fruits des bois (je préférais presque) je sortis de la douche, m’essuyant soigneusement avant de passer la culotte et la nuisette puis sortir de la salle de bain. Je traversais le couloir pour aller prendre la volée d’escaliers, perdu dans mes pensées de retrouver Mélina, quand je me retrouvai nez à nez avec Peter, qui sortait de sa chambre simplement vêtu d’un caleçon. Aussi surpris l’un que l’autre, nous restions figés, laissant se passer un long moment sans que je ne sache quoi faire ni quoi dire, avant qu’il s’avance, me saisisse par la taille avant de m’entraîner dans sa chambre…
