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Le Voyage Scolaire d'Émilie

Chapitre 2

Trash
La semaine se passe bien, il nous reste plus que deux journées et deux nuits avant notre retour en France, jour que je ne compte pas dans mon calcul. Bref, les élèves sont contents du voyage, ils ne mettent pas le bordel et ça, c’est bien.
La journée se passe encore une fois bien avec une matinée enrichissante. Nous mangeons donc avant de continuer notre aventure et comme à notre habitude, moi et Rudy, nous sommes un peu à l’écart.
— Bon, il nous reste une après-midi où on va devoir beaucoup marcher.— Oui, mais ça vaut le coup.— C’est vrai. Dis-moi, il y a une boîte pas loin de notre hôtel... On pourrait aller s’amuser un peu ce soir. Ce serait dommage de partir de l’Espagne sans en avoir profité.— Tu as raison, cela pourrait nous faire du bien... C’est une bonne idée.— Alors tu veux y aller quand ? Ce soir ou demain ? — Pourquoi pas ce soir ?— C’est bon pour moi.
Je me rappelle des propos de Manon quand je l’avais eue au téléphone le soir de notre arrivée ‘trouve-toi un Espagnol et fais-toi baiser’. Pourquoi pas... Cela me ferait du bien de prendre un sexe dans ma petite chatte en manque...
La journée avec les élèves arrive à sa fin et je pense à ce soir.Comment m’habiller, me coiffer, me maquiller ? Puis je repense à Rudy. Célibataire depuis quelques mois, il m’a avoué n’être jamais resté aussi longtemps sans faire l’amour. Il a tourné ça comme une blague, mais je voyais bien que le sexe lui manquait et qu’il ne dirait pas non à enfiler un vagin bien chaud. Et s’il me propose cette soirée pour m’amener dans son lit... Ce n’est pas qu’il ne me plaît pas, mais je ne vais quand même pas dans une soirée où il y a plein d’inconnus pour finir avec une personne que je connais. Surtout quand nous sommes dans un autre pays. Et depuis que Manon m’en a parlé, j’ai sacrément envie de me faire un bel Espagnol. Alors, j’espère qu’il prévoit de trouver une jolie minette latina, car moi, je n’écarterai pas mes cuisses pour lui ce soir.
De retour dans l’hôtel, on se retrouve à manger avec les élèves dans le réfectoire du self. On mange de notre côté en préparant la soirée.
— Le couvre-feu des élèves est à vingt heures trente. Il faut partir une trentaine de minutes plus tard, et ne pas nous faire remarquer...— Ne t’inquiète pas Émilie. Je me suis renseigné et la boîte n’ouvre qu’à vingt-deux heures. Et nous allons être discrets. On va s’amuser comme il se doit et nous reviendrons ici, ni vu ni connu.
Vingt et une heures quarante, nous sommes partis de l’hôtel où nous dormons pour nous rendre à la fiesta. Je me suis habillée d’une jolie robe noire décolletée, sous-vêtements en dentelle assortie, bas et talon. Je suis maquillée, avec un mascara sombre. Ma chevelure blonde est lâchée et j’ai laissé mes lunettes à l’hôtel. Rudy s’est fait beau lui aussi, mais cela se voit que c’est un touriste... Alors que moi, je suis vraiment élégante, limite sexy. Il me mate d’ailleurs assez fréquemment... Je vais le refroidir, même si je ne veux pas être méchante avec lui, je ne veux pas qu’il se fasse des idées.
— Toi qui parles couramment espagnol, tu vas avoir plus de facilité que moi pour draguer...— Ah... Oui, c’est vrai...— Tu aimes le style latina ?— Bah, c’est sexy, donc oui. Mais je préfère le style français.— Tu dis ça, car tu es habitué aux Françaises... On en reparlera demain quand tu auras couché avec une Espagnole.— ...
J’espère que je ne l’ai pas trop cassé, mais il fallait que je mette les choses au clair au cas où il avait l’intention de me draguer. Je ne veux pas me retrouver dans cette relation gênante où il vient danser sensuellement avec moi sur la piste de danse, alors que je veux trouver un Espagnol.
On rentre dans la boîte de nuit et prenons un verre. L’ambiance est bonne, il y a de la musique latine qui donne envie de bouger sur la piste de danse. Plein de belles nanas à la peau dorée et plein de beaux mecs sexy. On a de quoi faire. Rudy parle avec quelques femmes, mais son côté touriste bloque. Il faut qu’il soit plus naturel, qu’il ne se prenne pas la tête... Enfin je dis ça, mais moi, vu comme je suis sexy, je ne vais m’embêter à draguer, c’est les mecs qui vont venir me draguer.
— Holà señorita.— Holà.
Eh bé, j’ai un beau spécimen qui vient de m’adresser la parole. Comme je le pensais, je n’ai pas eu beaucoup de temps à attendre. Il remarque de suite que je ne suis pas espagnole, et cela semble lui donner une certaine pointe d’excitation envers moi, ce qui n’est pas pour me déplaire. On se débrouille pour échanger quelques banalités même si nous ne parlons pas la même langue. Il m’offre un verre, puis me propose d’aller danser.
Nous dansons face à face, collés. Il me colle de lui-même contre lui en me pelotant de plus en plus proche de mon fessier. Il me chauffe l’espagnol et ne perd pas de temps avec des banalités.
— Pais ?— France, heu... Francia.
Il embrasse mon buste sensuellement, à proximité de la naissance de mes seins.
— Amor la Francia.
La danse devient plus ‘caliente’ et il me parle beaucoup. Je ne comprends rien à ce qu’il me raconte. Cela pourrait être des choses romantiques, sales, irrespectueuses ou belles... Je n’ai aucun moyen de le savoir, mais la façon dont il parle, le ton, sa gestuelle dans sa danse, son regard de braise m’excite énormément.
Je l’embrasse sans réfléchir et notre baiser est vraiment très chaud. Il passe ensuite derrière moi pendant la danse et ses mains s’aventurent sur mon ventre et alors que je ne m’y attendais pas, il me chope les seins. Mes deux grosses poires 90C sont bien englobées par ses mains qui les tiennent fermement. En même temps, il frotte son entrejambe contre mon fessier rebondi. Ça ressemble trop au début d’un film porno à mon goût, mais étrangement, cela m’excite. Je regarde autour et personne ne semble s’intéresser à nous.
À vrai dire, ils sont tous dans le même délire de début de baise. Mon regard croise celui de Rudy qui semble dégoûté... On dirait bien que je voyais juste en début d’après-midi : il avait comme objectif de me baiser ce soir... La danse continue et je suis chaude comme la braise. Il me dit des choses que je ne comprends toujours pas. Puis il me dit simplement. ‘Tu, me. Casa tu’.
Il veut finir chez moi... C’est risqué avec les élèves... Oh et puis merde, je suis trop chaude pour en rester là. On va vers la sortie et il récupère son sac avant de me suivre. On rentre à l’hôtel en s’embrassant, se câlinant, mais rien de sensuel, c’est vraiment le début d’une grosse baise. Quand nous pénétrons dans le bâtiment, je lui fais chut avec mon doigt sur mes lèvres. Il me fait un clin d’œil et me suit discrètement jusqu’à ma chambre.
Dès que nous sommes dans ma chambre, il me saute dessus. Baiser bestial et il passe ses mains dans mon dos pour descendre la fermeture de ma robe. Je l’aide à me la retirer et alors que ma robe a à peine touché le sol, il me prend et me jette sur le lit. Il se retrouve sur moi et tire sur mon soutien-gorge en dentelle noire pour y faire jaillir mes deux seins avec mes tétons qui pointent. Il les prend en main pour les serrer l’un contre l’autre et il crache sur chacun d’eux. Puis, sa langue vient jouer avec sa salive pour l’étaler sur mes tétons qui réagissent à ce traitement. Il se met ensuite à me les bouffer avec rage et fait beaucoup de bruit. Il les lèche, les tète et les recrache. Il descend rapidement vers mon sexe et après avoir décalé mon string, il me lèche avidement. Aucun geste doux, il rentre dans le vif du sujet et vu comment je suis chaude et trempée, cela ne me pose pas de problème. Je me mets à geindre en posant mes mains sur son crâne.
Il retire sa bouche de mon sexe et sort sa queue avant de me faire signe de venir la sucer. Je vais enfin pouvoir goûter à ce saucisson espagnol. Il mesure au moins quinze centimètres avec une largeur que je qualifierais de normale. Mais quand je prends son sexe en main, je peux sentir qu’il est super dur et brûlant. Ma langue passe sur son gland qui frétille de bonheur, je commence à le pomper et je me rends rapidement compte que monsieur est un dominateur. Sa main gauche vient me faire une queue-de-cheval tandis que sa main droite se pose sur le haut de mon crâne pour m’éviter de bouger. Il se met à me donner des coups de bites dans ma bouche. Il baise ma bouche avec de courts va-et-vient, mais ils sont rapides. Ma bouche fait ‘glop, glop, glop, glop, glop’ et il râle de plaisir en me sortant un ‘ Chupa ! Pequena puta’. Je ne suis pas experte en espagnol, mais il me semble qu’il vient de m’insulter de pute là... Et je ne suis pas fan, seuls Manon et Bernard peuvent en arriver là...
Il arrête ce traitement et me pousse sur le lit, en position levrette. Il commence par mettre son gland dans ma chatte tout en caressant mon cul puis, d’un coup de reins avec une claque sur mes fesses, il s’enfonce entièrement dans mon sexe heureusement trempé. Une fois à l’intérieur, il s’agite comme un fou dans ma chatte dégoulinante de cyprine et je ne peux m’empêcher de gémir.
— Aaahh, aahh, aaaahhh, ouiiiii !
Puis la partie sexe va changer de registre... Il chope son sac et en sort quelque chose. Avant que j’aie le temps de comprendre, je me retrouve avec un harnais pour chien sur le visage. Une lanière est dans ma bouche et vu qu’il tire celle de l’autre extrémité, cela me fait tirer la tête, cambrer les fesses et la lanière me rentre dans la bouche en m’étirant les lèvres...
Mais qui fait ça bon sang ! Je suis tombé sur un putain de pervers ! Il accélère aussi ses coups de bites et je me retrouve baisée comme une pute, comme il aime m’appeler, avec des cris bizarres qui sort de ma bouche. Il me pilonne et je reste là, subissant sa bestialité, à me faire défoncer le vagin, le visage rouge et extatique, les yeux écarquillés qui fixent le mur blanc, et j’ai l’impression que mes lèvres se font déchirer.
J’entends des bruits étranges, des mots, des rires, des respirations fortes, mais il est difficile de me concentrer dans mon état. Je pars néanmoins dans un orgasme que je n’aurais pas cru avoir dans une telle situation alors que mon espagnol est dans une sorte de marathon... sexuel...
— Ahhhhh ! Putaaaaaaaa !— Rahhhh ! Arrggghh ! Ragggghhaaarrrgghh ! Arrrurrgggaagggguuggggarrrrr !
Je ne crie pas, je hurle. Le harnais me fait affreusement mal et il me baise avec beaucoup d’énergie. Je fais tellement de bruit que même si les murs sont épais, je fais finir par réveiller les filles qui dorment dans les autres chambres. Et je n’ai pas envie qu’elles voient leur prof de français dans cette situation !
Il me lâche enfin et je tombe vulgairement sur mon lit. Il retire le harnais et il me pénètre une nouvelle fois par-derrière, puis il nous fait tourner. Je me retrouve au-dessus de lui, mon dos contre son torse. Encore une fois, je n’ai pas le temps de comprendre quoi que ce soit, car il passe ses mains sous mes cuisses pour les placer sur mes tempes. Je suis en boule sur lui dans la position ‘full Nelson’ que j’ai apprise grâce à Manon dans un film porno. Un acteur blanc, chauve et musclé qui prend des petites minettes dans cette position. Et me voilà être la petite minette ! Il me donne des rafales de coups de bites en m’obligeant à regarder ma petite chatte se faire maltraiter de la sorte. Je n’arrête pas de crier, c’est plus fort que moi...
Il me pousse sur le côté et je roule pour sortir du lit. Je veux reprendre mon souffle. Mais il ne m’en laisse pas l’occasion. Je me retrouve sur le parquet froid, une nouvelle fois en boule ! Il fait venir mes pieds à côté de mon visage et me pénètre pour continuer de me baiser bestialement. J’avais déjà réalisé cette position avec Manon et son gode ceinture et j’avais beaucoup aimé être sa soumise, mais là, ce n’est pas du tout la même histoire. Il me défonce littéralement le vagin en me donnant des coups de bites profonds en s’excitant tout seul.
— Arrrh ! Puta ! Puta ! Puta ! Puta !
Mais il va arrêter de m’insulter, de me traiter de pute cet enfoiré ! Il continue de me baiser et j’ai honte de jouir une seconde fois... J’en bave et j’ai quand même du plaisir, même si je n’aime pas du tout comment il me le procure... Mais je ne peux pas nier qu’il sait se servir de sa queue ! Et il est sacrément endurant !Le sexe bestial, c’est cool, mais avec plus de respect, ce serait mieux.
Il se retire de mon vagin et me porte pour me jeter encore une fois sur mon lit. Il crache sur mon anus et tente d’y insérer son pouce. Oh là non ! Il est hors de question qu’il m’encule avec cette férocité.
— Non, pas mon cul... Heu... Culo, no ! Culo, no !
Il grogne et s’enfonce dans ma chatte. Il me prend en levrette allongée et vient rapidement me doigter le cul. Le connard sait y faire et il me donne l’envie de la prendre dans le cul. Mais je ne veux pas de sa brutalité. Mais je fonds à l’idée d’une sodomie. Et il le remarque bien.
— Culo, siempre no ?
Comment on dit doucement en espagnol ? Et merde, je ne sais pas...
— Si ? No ?— (je lève le pouce en l’air) Culo si... Pero... gentil, culo gentil...
Il a compris ?
— AAAaaaahhh ! Le salaud !
Non ! Il n’a pas compris.Il me prend le cul d’une traite et me lime le cul. Mes mains viennent sur son torse pour essayer de le bloquer. Je n’ai pas la force pour, mais c’est surtout un message pour lui dire de ralentir, mais il les saisit et... ‘shlack, shlack’, il me met des menottes !
Il me prend mes mains menottées et son autre main vient me tirer les cheveux. Il me prend avec ardeur et je me retrouve dans le même état que la dernière levrette. Sauf que nous sommes de l’autre côté. Mes yeux fixent l’autre mur. Mon visage est toujours rouge, en sueur, extatique. Mes yeux écarquillés, mes cheveux humides de sueur et décoiffés par toutes les fois où il me les a tirés, avec le harnais ou sa main, ma bouche bave... Je n’arrête pas de gémir...
Je recommence à entendre ses bruits étranges... J’essaye de tourner la tête du côté où se trouve l’entrée de ma chambre, mais impossible, il me tire les cheveux avec trop de force. Dès que je tourne légèrement la tête, il me les tire plus fort. Alors j’essaye juste de rouler mes yeux, mais des mèches de cheveux me rentrent dedans et il fait trop sombre pour voir quelque chose. Il lâche mes mains menottées pour me claquer les fesses, ce qui me fait penser à autre chose. Mon fessier est brûlant et douloureux...
Il détache mes mains et j’en pose une sur le lit et une autre sur sa main qui tire ma longue tignasse blonde. Son poignet plus exactement que je sers pour qu’il lâche l’emprise de mes cheveux. Mais rien à faire, il tient bon l’enfoiré. Mais rapidement, il se retire de mon anus en flamme et il me tire les cheveux pour me faire tourner et sans surprise, car je m’attendais que cela finisse comme cela vu son côté dominateur, il me gicle au visage. Quatre giclées d’un sperme vraiment très chaud viennent s’écraser sur mon joli visage, qui ne ressemble plus à rien je dois bien l’admettre, avec mon maquillage qui a coulé, ma sueur, mon teint rouge...
Après une dernière phrase que je n’ai pas vraiment écoutée, il s’en va en récupérant son sac. Je peux juste assurer qu’il a terminé avec un ‘puta’, encore... Difficilement, je me tourne pour être dans le bon sens de mon lit, c’est-à-dire avoir ma tête sur un oreiller. Le cul en l’air et la tête sur le lit, je me sens partir dans les bras de Morphée...
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