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Le Voyage Scolaire d'Émilie

Chapitre 3

Hétéro
Je me réveille doucement dans mon lit... Mes muscles ont des courbatures, j’ai mal à mes poignets, mon fessier est hyper-sensible tout comme mon cuir chevelu. Mon anus me brûle également. Et que dire de ma chatte ? Je me roule pour m’allonger sur le dos. Je place ma tête sur mon oreiller et j’écarte mes jambes.J’ai alors une vue sur mon sexe tout rouge. Les lèvres intimes qui entourent l’entrée de ma grotte sont poisseuses. Je me caresse doucement, ce qui me procure un frisson. Je me remémore alors la soirée d’hier. Cette rencontre au bar qui m’a amenée à une sacrée danse torride sur la piste. Et puis nous sommes venus ici... Il était sacrément en forme l’Espagnol ! Il m’a prise dans des positions assez peu communes et avec une certaine bestialité. Je me relève sur les coudes pour regarder de plus près mon sexe. Eh bien dis donc, elle a vraiment pris cher hier ma petite chatte...
— Il faut que tu apprennes à mieux encaisser ma belle... dis-je en me tapotant les lèvres intimes.
Je me lève et me dirige dans la salle de bain. Je manque de faire une crise cardiaque quand je vois mon reflet dans le miroir. J’ai une tête affreuse avec mes cheveux blonds emmêlés dans tous les sens... Mon maquillage a coulé sur mon visage, mélangé à ma sueur séchée et surtout, au sperme de mon amant d’hier. Il faut que Manon voie dans quel état je suis. Je me prends en photo, ainsi que mon vagin, afin de les envoyer plus tard à Manon. Elle ne va pas en revenir !Mais le problème le plus important, c’est que personne ne se doute de quoi que ce soit ici. Et quand je dis, personne, je pense notamment à Rudy. Je ne sais pas s’il m’a vue rentrer ici avec l’Espagnol, mais il nous a vus danser comme des bêtes en rut, avec ses mains malaxant mes seins et son entrejambe se frotter contre mes fesses bombées ... Alors il en a assez vu. Je ne veux pas qu’il sache comment la soirée s’est terminée pour moi. Surtout qu’il avait comme projet de ne faire qu’un avec moi cette nuit...
Je prends une bonne douche, sèche mes cheveux, m’habille, me maquille. Bref, j’efface tout ce qui peut paraître suspect. Un jean moulant, un débardeur blanc et un petit gilet comme vêtement. Je suis simple dans mon maquillage et ma coiffure également. C’est-à-dire un mascara discret autour de mes yeux et ma chevelure lâchée. Je ne semble pas très ‘fatiguée’ donc mission réussie.
Je me rends au réfectoire pour déjeuner. Tout le monde n’est pas encore arrivé, ce qui montre que je n’ai pas fait une énorme grasse matinée malgré mes quelques heures de sommeil. Mon collègue, lui, est déjà là. Je vais le rejoindre.
— Bonjour Émilie...— Bonjour Rudy...— Bien dormi ?— Oui et toi ?— Oui... Tu es rentrée tard ?— Un peu... J’ai beaucoup dansé.— Oui, j’ai vu ça...— Heu... Oui... Et toi, comment s’est passée ta soirée ?— J’ai eu des jours meilleurs...— Ah, désolé...
— Ce n’est pas grave. Au moins, toi, tu te seras éclatée...— Oui...
Pour m’être éclatée hier, on peut même dire que je me suis fait éclater par cet Espagnol... mais bon... Je déjeune avec mon téléphone dans les mains (le téléphone à table, ce n’est pas bien, je sais, mais je fais ce que je veux). J’envoie les deux photos à Manon.
[SMS, Manon]> Voilà ce qui m’arrive quand j’écoute des conseils. La prochaine fois, c’est toi qui te feras éclater par un sauvage hidalgo !< - Oh bébé !!!!! Il t’a défoncée ! Ta tête est trop drôle !!!> C’est ça, moque-toi ! Vilaine.< Raconte un peu comment ça s’est passé.> Oh, ce fut très particulier. Mais je te raconterais à mon retour.
Après le petit-déjeuner, nous partons dans notre chambre pour finir de nous préparer. Nous allons partir dans une heure environ. Le programme d’aujourd’hui c’est la Cathédrale Notre-Dame du Siège de Séville où se trouve le tombeau de Christophe Colomb ou Cristobal Colon si on le dit en espagnol. (même si en réalité, il est italien et s’appelle Cristoforo Colombo...). On toque alors à ma porte.
— Oui, entrez...
Je vois alors Rudy qui fait une tête assez bizarre. Derrière lui, il y a deux de nos élèves : Luc et Marc. Deux garçons de dix-huit ans qui ne causent pas de problèmes, qui sont discrets. Ils ne sont pas très imposants et de ce fait, n’ont pas de succès avec les filles. Je les imagine puceaux et sans copines dans leur vie. Pas qu’ils soient moches, mais ils manquent de confiance en eux, ce qui les prive de beaucoup de choses. Bref, eux aussi sont bizarres et quand ils me regardent, je peux percevoir du désir et... de la peur...
— Restez là vous deux !
Il rentre dans ma chambre en fermant la porte derrière lui.
— Qu’est-ce qu’il se passe Rudy ?— J’ai confisqué le téléphone de Marc et celui de Luc.— Pourquoi donc ? Et pourquoi me dis-tu ça ?— C’est en rapport avec toi.— Quoi ? Je ne comprends rien du tout là...— C’est... Je ne sais pas très bien comment te dire ça, alors regarde...
Oh ! Mon Dieu ! Ce que je vois est horrible... Il s’agit d’une vidéo de moi, en train de faire l’amour si cette expression peut-être utilisée vu la violence du rapport, avec l’Espagnol. C’est alors que je me rappelle. À plusieurs reprises, j’avais entendu des bruits étranges, et maintenant je sais de quoi il s’agissait. Je tremble en regardant ça. Si cette vidéo sort, je dis adieu à ma carrière. Et tout ça pour une baise !
— Je... Je...— Je ne sais pas quoi te dire Émilie. D’un côté, ils ont enfreint toutes règles concernant ta vie privée, ils t’ont manqué de respect, mais d’un autre côté, tu n’aurais pas dû ramener cet horrible individu dans ta chambre pour coucher avec lui.— Oh toi ta gueule ! Tu voulais aussi me sauter alors ne sois pas hypocrite !
Je m’énerve contre lui alors qu’il n’a rien fait de mal dans cette histoire.
— Tu as raison... Mais là n’est pas la question...— Fais-les rentrer.— Tu es sûre ?— Oui, il faut régler définitivement cette histoire.
Il part ouvrir la porte et fait entrer les deux voyeurs. Ils n’osent même pas me regarder dans les yeux.
— Bon, hier soir. Vous avez fait quelque chose de très grave... Vous savez qu’espionner quelqu’un et de le filmer en cachette est puni par la loi ?— ...— ...— Je n’ai pas entendu votre réponse.— Oui... disent-ils en même temps.— Je peux savoir pourquoi vous avez eu la brillante idée de venir m’espionner et de plus, de me filmer ?— On a entendu du bruit... dit Luc.— Et on est allé voir... dit Marc.— Et on a vu que vous... continue Luc.— Alors voilà... finit Marc.— Et c’est une raison pour filmer !— Bah... on voulait un souvenir... dit Luc.— C’était très excitant... Enfin... Vous vous faisiez défoncer... ose dire Marc.— Je vous demande pardon !!! Vous n’avez pas honte de me parler comme ça ? Je vous rappelle que toutes les femmes ont le droit de faire ce qu’elles veulent de leur corps. Et en aucun cas, vous n’êtes autorisés de les juger !— Non... enfin oui... On ne vous juge pas... dit Marc.— On est désolé... dit Luc.— Et vous comptiez faire tourner la vidéo ? Détruire ma vie et ma carrière ?— Non... On ne veut pas vous faire de mal... dit Luc.— C’était que pour... enfin...— Pour vous ? Pour vos branlettes ?— Heu... Oui... Vous êtes très belle et si sexy... commence Marc.— Ça va, j’ai compris... Je ne vais pas appeler vos parents. Vous avez de la chance. Mais je vous interdis de parler de ça à qui que ce soit.— Oui madame...— On vous rendra vos portables plus tard... Je ne suis pas dupe, j’imagine que vous n’oublierez pas ces images et vous avez probablement fait une copie par sécurité, alors... Je vais vous les laisser, car cela ne sert à rien de les effacer... Le mal est déjà fait. Mais si j’entends encore une fois parler ça, que je remarque des regards ou des propos déplacés, vous aurez de gros problèmes !
Ils ne répondent pas, mais semblent soulagés. Mais que je ne prévienne pas leurs parents ou qu’ils puissent garder leurs vidéos ? Rudy les fait partir.
— Tu leur laisses les vidéos et tu n’appelles pas leurs parents ?— À quoi cela servira-t-il ? Ils ne sont pas méchants. Si leur action est découverte, on va les prendre pour les pires des pervers. Mais tout le monde aurait réagi comme ça, à leurs âges. Tu aurais fait autrement toi ?— J’avoue que les photos sont assez captivantes...— Tu m’étonnes ! Marc a raison, je me suis fait défoncer. Et pour les vidéos, à quoi bon les effacer ? Ils ont dû les transférer sur leur ordinateur perso, les mettre à l’abri. Ce ne sont pas de mauvais garçons, ils ne feront pas les idiots.— Mais si jamais, ils font les idiots, comme bien des adolescents, ta carrière sera foutue.— Ils auront aussi de gros problèmes. Je ne suis pas inquiète...
Il y a un moment de flottement entre nous. Je me rends compte qu’il m’a vue nue, me faisant sauvagement baiser. Cela est très gênant.
— Je te laisse les portables. Si tu as envie de récupérer les vidéos... c’est les tiennes après tout...— C’est pervers comme idée... dis-je avec un rire nerveux.— Tu étais assez perverse hier.— Toi aussi.— Moi.— Tu n’as pas arrêté de me mater...— C’est vrai. Comme tu l’as dit, j’avais une furieuse envie de te baiser...— Alors tu vas m’avoir...
Je l’embrasse et il passe ses mains sur mon corps pour me caresser. Il grogne quand il touche mon cul.
— Elle n’a pas ça ton ex.— Ah non, elle n’a pas une si belle paire de fesses !
Il me pousse sur le lit et je retire mon jean pour dévoiler mon string blanc. Il vient le décaler pour loucher sur ma petite chatte. Il ne peut s’empêcher de rire.
— Houla ! En effet, il t’a défoncée ! T’es encore rouge et toute gonflée !— Très drôle idiot ! Maintenant, lèche-moi.— Je n’espère pas trouver du sperme.— Tu n’as pas regardé la vidéo complètement ? Il a giclé sur mon visage.— Si, mais je voulais te l’entendre le dire.— Ah ah, t’es aussi un pervers... AAaahhh... aahhhh, ouiiiii... ça me fait du bien...
Il me broute doucement et j’apprécie beaucoup sa douceur. Il me fait mouiller et je gémis de plaisir en caressant ses cheveux. Il remonte ses mains pour me caresser la poitrine, toujours dans mon soutif, sous mon débardeur. Une fois qu’il estime m’avoir suffisamment léchée, il sort son pénis pour l’emballer de son préservatif. Je peux alors voir un sexe plutôt fin de douze, treize centimètres environ. Il me pénètre doucement et je halète. Il me fait des petits bisous, puis remonte mon débardeur au-dessus de ma poitrine, libère mes seins de sa prison en dentelle blanche, pour les embrasser sensuellement. Puis il m’embrasse encore, sa langue chaude et douce danse avec la mienne. Ses coups de queue sont doux et profonds et j’aime beaucoup ce traitement. Il me demande doucement.
— Tu me suceras après...— Han, si tu veux, aaahhh, aaahhh...— Je pourrais aussi asperger ta jolie petite gueule de salope ?— Han, n’y compte pas, hann, ouiii, ooohhhh...
On continue de faire l’amour et il m’embrasse beaucoup. Décidément, il est très doux comme amant et il ne jouit pas trop vite.On se place ensuite en cuillère et il lève ma jambe avec une de ses mains tandis que l’autre vient me malaxer un nichon. De ma propre initiative, je tourne la tête pour faire valser ma langue autour de la sienne. À ses grognements, je comprends qu’il ne sera pas endurant comme mon précédent amant et ça tombe bien, car mon sexe ne pourra pas subir deux fois un marathon et de toute manière, nous n’avons pas le temps. Il se retire et à genoux sur le lit, je retire son préservatif et je le prends en bouche son pénis bien bandé. Je le suce avec passion en caressant ses testicules.
— Ahhh ! Oui, Émiliiiiie. Je vais venir...
Je le place entre mes seins et commence à le masturber avec. Il me caresse les cheveux et finit par éjaculer sur le haut de mes seins.
— Comme ça, tu auras eu quelque chose qu’il n’a pas eu lui.— Merci... Emilie, c’était divin...
Nous sommes remis de nos émotions quand nous sommes dans la cathédrale. J’ai attaché mes cheveux en chignon, mis mes lunettes sur le nez après la partie de jambes en l’air improvisée avec Rudy. Alors qu’on écoute le bla-bla religieux qui ne m’intéresse pas, j’ai une certaine pointe d’excitation qui se met en place. Je me rapproche dangereusement de Rudy.
— Hey...— Quoi ?— On s’éclipse ?— Quoi ? Ici ?— Oui, ici.
On chuchote pour ne pas être entendu des élèves. Il ne met pas longtemps à me dire oui. On se retrouve à l’écart, je l’embrasse puis me mets à genoux. Je libère son sexe qui bande déjà.
— Tu vas me sucer dans une cathédrale. Tu vas finir en enfer ma belle...— Je suis déjà en enfer. Je suce et pratique l’anal et cela fréquemment. Sans oublier la masturbation et le sexe lesbien. Il n’y a plus d’espoirs pour moi...— Le sexe lesbien ? Aaaaahhhh.— Chut !
Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je le pompe avec avidité. Il n’a pas un sexe démesuré donc je peux facilement lui faire des gorges profondes. Ma langue parcourt ses boules, ma bouche les gobe. Ma langue court le long de son manche, ma bouche l’embrasse. Ma langue lèche le gland entre mes lèvres, ma bouche le tète. Il se retient de gémir, mais il prend son pied. Le voir se tortiller m’excite follement. Il a sa main sur mon chignon pour accompagner le mouvement de ma tête. Il se crispe et en me prévenant avec un ‘Émilie...’ il se vide dans ma bouche. J’avale ce doux nectar...
— Amen...
Nous repartons, ni vus ni connus, avec les autres pour finir ce voyage hautement touristique.
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