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Le Voyage Scolaire d'Émilie

Chapitre 4

Divers
Dans mon lit, je suis au téléphone avec Manon, lui racontant cette folle journée. Quand j’y pense, j’ai vraiment été salope aujourd’hui ! Laisser à ces élèves une vidéo de moi en train de me faire démolir au pieu. Je dois admettre qu’une part de moi est sacrement excitée de savoir qu’ils m’ont matée, filmée et qu’ils ont en leur possession cette vidéo. Et qu’ils peuvent se branler sur cette dernière n’importe quand. Oui, je suis vraiment perverse parfois. Pas au point d’égaler Manon, mais elle est bien contente de mon évolution.
On discute donc de cette journée en se chauffant mutuellement. Je lui envoie quelques photos de moi : mes seins comprimés dans un soutif en dentelle noire, Taille 90B. Une taille en dessous pour les faire paraître bien plus gros. (Encore une idée de Manon), mes fesses et ma chatte avec mon string qui va avec le soutif. En retour, elle m’envoie son anus pénétré par 2 godes. Bref, la routine de deux amantes super salopes. C’est alors que Rudy m’envoie un message.
[SMS, Rudy]< Coucou Émilie. Tu es occupée ?
— Manon, je viens de recevoir un message de Rudy. Il me demande si je suis libre.— Oh, le petit cochon, il veut encore te tringler !... Et ooohhh ! Je viens d’avoir une idée de dingue !— Laquelle ?— Tu lui dis de venir dans ta chambre, tu baises avec lui. Et tu me laisses écouter avec ton portable ouvert.— C’est une bonne idée.— Non, j’ai encore mieux ! Tu demandes à tes deux élèves de vous filmer, sous deux angles différents.— OK pour ta première idée. Pour les deux jeunes, ils en ont assez eu ces deux pervers. Enfin, pour l’instant.— Pour l’instant ? Ah, t’es une vraie salope ma belle, rigole-t-elle.— J’ai dit ça comme ça. Je ne compte rien faire avec eux.— Dommage. Bon, amène ton collègue et baise avec !
Je réponds donc à Rudy.
[SMS, Rudy]< Coucou Émilie. Tu es occupé ?> Pourquoi cette question ? Tu n’es pas encore rassasié ?< Comment l’être avec toi ? Il me faudrait des années !> Alors, viens me rejoindre dans ma chambre.

Dix minutes plus tard, nous sommes en 69 sur mon lit. Rudy me caresse les fesses avec passion tout en me dévorant le sexe. Comme ce matin, il me donne beaucoup de plaisir avec sa langue habile et je ne peux m’empêcher de bien mouiller sur son visage. De mon côté, je le suce avec avidité, j’engloutis bien sa petite queue. Ces derniers temps, j’ai pris beaucoup de gros calibre et ça fait du bien d’avoir des sexes qui me plaisent vraiment. Je préfère définitivement les petites bites ! Bref, je le pompe comme une assoiffée et je sens son sexe avoir plusieurs spasmes de plaisir.
Je viens ensuite m’empaler sur lui et me déhancher. Ses mains posées sur mes hanches accompagnent mes mouvements de bassin.On gémit tous les deux de cette belle pénétration, mais je remarque qu’il veut apparemment plus, autre chose...Ses mains essaient à chaque fois de bien toucher ou emprisonner mes fesses. Monsieur a sûrement envie de me prendre en levrette pour pouvoir l’admirer et le chérir. Il est vrai que mon fessier est très gros, très rebondi et bien voyant. Un vrai mastodonte ! Ce n’est pas pour rien que c’est mon meilleur atout !
Je me dégage de lui pour rouler sur le côté et me mettre à genouxIl ne se fait pas prier pour se placer derrière moi et m’enfiler son sexe dans ma chatte avide. Ses coups de boutoir sont lents, profonds, sensuels. Il me fait beaucoup de bien et je sens bien l’intégralité de sa queue dans ma petite chatte toute chaude.Avec Bernard, son pénis de 20 centimètres me remplissait à cent pour cent et son gland titillait mon col de l’utérus. Ce que j’aimais bien. Mais même si mon sexe était rempli, le sien ne rentrait pas en entier. Et je préfère quand j’ai l’intégralité d’une queue en moi, car je peux sentir ses testicules contre mes fesses ou mon clitoris.
Dans le cas de cette levrette, c’est mon clito qui se fait caresser par sa paire de couilles. Il tient bien la distance Rudy et il continue de me faire l’amour en me caressant avec tendresse. Ses mains viennent sur mon dos, sur mes fesses. Des caresses, du pétrissage, du malaxage. Mes deux fesses sont bien choyées. Il me donne même une petite fessée, faisant tendrement remuer ma peau. Puis, il se couche à moitié sur moi pour passer ses mains sur mon ventre afin d’attraper mes seins. Il me relève pour me prendre en levrette, mon dos collé à son ventre, sa bouche me léchant le cou. Je tourne ma tête pour qu’on s’embrasse. J’accompagne ses gémissements.
— Han ! Han ! Han ! Oui ! Oui ! Oh c’est bonnnnn ! Ohhhh, ouiiii !
Oh je jouiiiisssss !
Après mon orgasme, il me reprend en missionnaire. On s’embrasse, on gémit de nouveau, on prend beaucoup de plaisir. Il se tient sur ses bras, posés à côté de moi, sur lesquels je repose mes mains. Mes seins remuent beaucoup sur mon buste et il ne les quitte pas des yeux. À chaque fois que je suis avec un homme dans cette position, il est fasciné par les mouvements incontrôlés de mes seins : gros et mou, ce qui les fait bouger n’importe comment.
— Mes nichons sont mieux que ceux de ton ex ? Han !— Les siens sont moins gros, mais beaucoup plus fermes. C’est la première fois que j’en vois des comme ça. Leurs mouvements sont fascinants... Et si excitants.— Ravi que ça te plaise. Han ! Han ! »
Il recommence à m’embrasser et je sens qu’il va bientôt me donner une seconde jouissance et rendre les armes après. Il a d’ailleurs une idée en tête, la même que ce matin et il la remet sur le tapis.
— Je pourrais gicler sur ton visage ?— Han ! Non ! Han !— Pourquoi lui en a eu le droit, et pas moi ?— Han ! Lui, il n’a pas demandé mon avis. Han ! Et puis, c’était du sexe violent. Avec toi, c’est romantique et sensuel. Han ! Et je veux que ça reste comme ça. Han ! Han !
Il continue de me faire l’amour, je jouis une seconde fois et il grogne en se retirant de moi, vire sa capote et en envoie trois giclées de son sperme chaud sur l’intérieur de ma cuisse gauche et mon ventre. On s’embrasse encore, le temps que nos sens excités se calment, puis il me quitte après avoir pris le soin de se rhabiller.
Après le départ de mon amant, je reprends le téléphone pour parler avec Manon, en massant le sperme de Rudy sur ma peau.
— Eh bien, c’est une belle petite baise tout ça. Bisous... bisous et tout le tralala.— C’est ça, moque-toi de moi. Mais j’aime bien quand ce n’est pas hard de temps en temps.— Oui, mais tu préfères quand même quand tu es ma petite pute, hein, Émilie ?— Il faut toujours que tu sois crue dans tes propos. Mais oui, je préfère être ta soumise, et de loin !— En tout cas, ton amant aurait bien aimé finir sur ton visage. Dommage que tu n’aies pas voulu.— Oui. C’est vrai qu’il méritait plus de m’asperger le visage que l’Espagnol. Mais bon, je ne voulais pas de ça.— Pourtant t’aimes bien ?— Oui, mais bon, ce n’est pas ce que je préfère le plus. Bon, je te laisse, on se voit demain.
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Dans le train pour rentrer en France, je repense à cette semaine en Espagne... Tout était classique au début avant que n’arrivent ces deux derniers jours. Un passage en boîte de nuit où je finis avec un Espagnol très chaud. Il m’a défoncée sans vergogne dans ma chambre et j’ai eu le malheur de découvrir le lendemain que deux de mes élèves m’avaient filmée. J’ai également couché deux fois avec mon collègue avec en plus, une fellation dans une cathédrale.
C’est parti dans tous les sens en très peu de temps, mais bon, je ne vais pas refaire le passé. Ce qui est fait est fait. Je suis avec Rudy, à l’écart des élèves comme pour le trajet à l’aller. Encore une fois, il a sa main posée sur ma cuisse et me caresse sensuellement. On parle ensemble et je sens une certaine alchimie depuis qu’on a fini par emboîter nos sexes...
— Alors, Émilie, tu es pressée de retrouver ton fils ?— Oui, mais en réalité, je ne le verrais que demain. Ce soir, je vais rester avec ma meilleure amie.— Tu vas en avoir des choses à lui raconter.— Ah, ah, oui, c’est clair. Et toi, tu vas faire quoi ?— Je ne sais pas. Je t’aurais bien invitée chez moi, mais tu es prise...— En parlant de ça... Enfin... de ce qu’on a fait en Espagne.— Oui ? Tu regrettes ?— Oh non, c’était super. Tu es un super amant... Mais on avait parlé de tes envies lors du voyage aller. Je sais que tu veux une compagne avec un enfant. Et je ne peux pas te donner ça. Je ne veux pas me mettre en couple ni avoir un deuxième enfant.— Ne t’inquiète pas pour ça. Je l’avais compris. Tu préfères t’éclater pour le moment.— Bah oui. Mon premier mariage fut un désastre et je ne veux pas faire la même erreur une deuxième fois. Mais si cela te va, nous pouvons avoir des rapports de temps en temps. Sans rien de vraiment régulier ni d’officiel.— Là, je ne comprends pas ce que tu veux me dire. Être plan cul sans être plan cul ?— En gros, c’est ça. Je ne veux pas d’une vraie relation de sexe. Pour être honnête avec toi, ma meilleure amie que je vais voir ce soir, c’est aussi ma confidente et mon amante.— AH d’accord... Je ne l’aurais pas pensé.— J’imagine. On me voit généralement comme une femme simple. Mais au lit, je peux être très peu commune. En gros, ce que je veux dire, c’est que je ne pourrais pas avoir de rapports réguliers avec toi.— Je vois. Mais tu ne dirais pas non de temps en temps, de manière exceptionnelle.— Oui. Quand tu sens que tu es vraiment en manque. Tu m’appelles et je viendrais te vider les burnes.— Tu veux devenir mon vide-couilles quand je suis en manque ? C’est bizarre ton idée.— C’est vrai que dit comme ça... Mais restons sur le côté exceptionnel. Ça sonne mieux.— Si tu veux. Je ne vais pas dire non à ton corps. Tu es super bonne au lit alors... si je peux en profiter de temps en temps...
Pourquoi je ne veux pas de vraie relation sexuelle régulière avec lui ? La raison est simple. Il est super comme homme. Et si nous devenions des ‘sex-friends’, et si je tombe amoureuse de lui ? Je ne dis pas qu’il me plaît et que je sens que je commence à avoir des sentiments pour lui. Mais si cela devait arriver...La chose qui me plaît le plus aujourd’hui, c’est ma relation avec Manon. Et je ne veux pas la gâcher. Après, si je me mets en couple avec Rudy, on pourrait finir par réaliser des plans à trois... L’inclure dans notre sexualité de couple. Si on veut trouver des solutions, on peut. Mais la deuxième chose qui me bloque, c’est que je ne veux pas la partager. C’est ma Manon et elle m’appartient.
Perdue dans mes pensées, je suis de retour sur terre grâce à Rudy qui me dit dans l’oreille : ‘ça te dit de venir aux toilettes avec moi ?’
— Quoi ?— Un passage aux toilettes.— Tu es sérieux ? C’est trop risqué.— Mais non, on sera discret.— Je te rappelle que deux de nos élèves m’ont déjà filmée alors que je me faisais défoncer la chatte !— Et alors ? Cela ne t’a pas empêchée de me pomper dans un lieu sacré à une dizaine de mètres d’eux.— ... Tu as de la chance que tu m’excites autant ! »
On s’éclipse alors en toute discrétion. Arrivée dans ce lieu exigu, on commence à s’embrasser. Rapidement, je finis à genoux, son sexe en bouche. Il râle doucement de plaisir pendant que je le suce langoureusement.
— Hannn oui, mon ex ne me suçait pas aussi bien, hhhhuuumm...
Cela me fait sourire. Depuis que j’ai commencé Glory-hall avec Manon, je suis devenue une bonne suceuse... Il faut dire qu’avant, je suçais rarement. De ce fait, je n’avais pas une super technique.
Il me relève et relève ma robe. Il plonge dans mon entrejambe après avoir décalé mon string. Langoureusement, il fait parcourir sa langue le long de mon sexe. Elle lape ma fente, tourne autour de mon clito avant de le torturer. Je ne peux m’empêcher de gémir. Ma main se pose sur ma bouche pour étouffer mes bruits au cas où il me prendrait la folie de ne pas me contrôler et donner de la voix. Mais ce salaud comprend où j’en suis et il s’amuse à me faire monter. Je ne vais pas tarder à jouir et il le sait. En fermant les yeux et en serrant les dents avec ma main toujours plaquée sur ma bouche, je jouis. Je ne peux m’empêcher de gémir de manière audible malgré mes efforts.
— Putain, mais tu veux qu’on se fasse repérer !
Il se relève et m’embrasse avant de sortir une capote. Je lui dis.
— Non, on ne fait pas l’amour. On va se faire griller. Je te finis à la bouche.— Tu es sûre ?— Oui.— D’accord.
Il range le bout de latex et je me mets une seconde fois à genoux pour le sucer. Vu comme il est excité et que je suce bien (ce n’est pas moi qui le dis, c’est lui), il ne met pas longtemps à grogner de plaisir. Son sexe grossit légèrement dans ma bouche et il me la remplit en caressant ma longue chevelure blonde.
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Je suis de retour chez moi. Enfin avec ma Manon. Ses yeux rivés sur mon téléphone, elle regarde la vidéo de sexe. La vidéo filmée par mes élèves où je me fais littéralement détruire par ce chaud latino.
— Woah... C’est vraiment hard...— Oui, on peut le dire. Tu ne t’attendais pas à ça !— Oh non. Il y est allé fond.— Oui, à fond. Ma chatte a eu du mal à encaisser.— Ma pauvre chérie. Mais ton collègue était là à la rescousse, pour prendre soin de ta pauvre petite chatte... — Encore une fois, on peut dire ça. Et encore dans le train.— Tu n’es pas croyable toi, ha ha. »
On commence à s’embrasser avec tendresse. En même temps, nos mains viennent caresser nos corps. On se déshabille ensuite en continuant nos embrassades sensuelles. On se lèche les seins mutuellement. Elle a ce truc pour me faire pointer instantanément. Elle joue avec mes seins avec tellement de sensualité, c’est vraiment très excitant. Elle me sort ensuite un gros vibromasseur blanc comme on voit dans les pornos. Un nouveau joujou...
— Allonge-toi mon bébé.
Sans réfléchir, je m’exécute. Elle me lèche le ventre, l’intérieur des cuisses puis sa langue passe entre mes lèvres intimes avant de plonger dans mon vagin. Lèvres, fente, clito, intérieur de mon vagin. C’est une farandole ininterrompue. Rien ne lui échappe. Et puis ‘zzzzzz’ son jouet est allumé. Manon le place sur mon clitoris et commence à me lécher le sexe avec plus d’entrain. Je gémis fort et cette fois-ci, je peux me laisser aller.
— hannn ! Ouiii ! Manonnnn ! Ouii, c’est bonnnn ! Hannn ! Hannn ! Hannn ! »
Je finis par jouir avec beaucoup de plaisir, car en plus du vibro et de sa langue, elle a rajouté ses doigts.
Elle sort un gode-ceinture de vingt centimètres, l’enduit de lubrifiant et commence à me baiser en missionnaire. Elle me donne de bons coups de reins pour faire tressauter mes gros nichons sur mon buste. Un spectacle dont elle ne se lasse jamais de regarder. Tout comme mon collègue a apprécié mater hier soir.
— Je baise mieux que ton collègue ?— Han ! Han ! Oh oui, t’es la meilleure ! Han ! Ah !— Quand est-ce qu’on se fait un plan à trois avec lui ?— Han ! Jamais ! Han !— Ah oui ? Tu ne veux pas le partager avec moi ? me dit-elle avec malice.— Hannn ! Non, c’est toi. Han. Que je ne veux pas partager ! Han ! Han !— Oh, ma chérie, t’es trop mignonne ! Pour la peine, je vais bien te baiser !— AH ! AH ! AH ! AH ! AH ! »
C’est littéralement une rafale de coups de bite qu’elle me donne et que je subis avec joie. Un vrai marteau-piqueur. C’est dans un hurlement d’animal que je jouis avec elle.
Ce voyage a peut-être été intense en sexe, mais personne ne me fait jouir comme Manon...
FIN
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