Sylvie se baladait tranquillement dans la forêt quand elle fut attaquée par-derrière. Elle tenta de se débattre mais son agresseur la tenait fermement. Elle voulut crier mais un objet se fourra dans sa bouche, la mère de famille découvrit rapidement que c’était une verge. Ils étaient deux, celui à l’arrière lui prit le cul et l’encula comme un sac. Sylvie dut se résoudre bien malgré elle a sucé son agresseur. Il était bien membré et sa peau ébène était lisse et musclée, la mère de famille hoquetait à chaque fois que l’homme qui se trouvait derrière elle l’enculait et criant comme un goret. Une fois les hommes vidés de leur pulsion ils partirent.
Trois mois plus tard Je me levais sous le son du réveil. J’étais dans mon lit, nu un mal de crane envahit ma tête comme un lendemain de cuite. Maman vint vérifier si tout allait bien, nos relations incestueuses avaient continué mais dans la plus grande discrétion. Papa nous avait formellement interdit de parler de notre voyage. De toute façon qui nous croirait ? Maman passa sa tête dans l’encadrement de ma porte et voyant que j’étais debout elle entra pour m’embrasser les lèvres. J’inspirais, quel bonheur. Elle se leva et me dit : « Dépêche-toi tu vas être en retard. » Elle sortit en se déhanchant pour mon plus grand plaisir. Les draps bougeaient... Et ne fut pas ma surprise de voir à mes côtés Cindy totalement nue, ses seins pointus d’excitation. Je l’embrassai dans le cou pour la réveiller. Elle me sourit en m’embrassant les lèvres. « - Tu viendras ce soir ?Non ! Dit-elle franchement.Pourquoi ? Après que la docteure m’ait enlevé mon troisième sein elle... m’a proposé un rendez-vous. Waw, et comment elle s’appelle ? Esther Lopez. »
J’ouvris de grands yeux étonner, Esther Lopez,1m70, Brune,90 C ma surveillante de lycée le genre de femme sublime à avoir une suite improbable de mecs qui désir la baiser. Et ma sœur allait se la taper comme ça. Elle vient s’asseoir à côté de moi et posa sa main sur ma verge. Je déglutis. « - Tu as cinq minutes ?Bien sûr mon cochon. »
Ma sœur s’empara de mon membre et le pompa avec adresse, j’étais décidément le plus combler des hommes. Son piercing joua avec mon gland, pendant que sa main me branlait avec force. Je l’invitai à rejoindre mon lit et passa mon engin dans son trou humide et d’une sensuelle lenteur me branla dans son vagin.
« - Cindy ? Appela une voix.
Je suis chez Carl maman. »
En entrant maman nous vit tous les deux, elle sourit disant à Cindy qu’elle prend le relais, une surprise l’attendait.
Cindy descendit quatre à quatre les escaliers et tomba nez à nez avec... Esther Lopez, une jolie fille, la peau légèrement bronzée à moitié nue. Elle semblait stresser, puis prenant son courage à deux mains elle dit :
« Cindy, je... Tu hantes mes pensées de... depuis le début de l’année... J’ai même ressenti de la jalousie quand tu regardais Sandra dans les vestiaires, et... » La jeune fille blonde attira a elle Esther et l’embrassa langoureusement, la langue des deux filles s’enroulaient avec amour.
Cindy partie maman s’assit a sa place et me dit : « Elle est douée... Mais l’est-elle plus que ta mère ? » Maman me suça comme une déesse, sa langue passait de mes boules à mon gland en quelques secondes laissant une longue trace de salive. Puis enfonça ma verge dans sa bouche jusqu’à la glotte. Mais je voyais dans ces yeux qu’une simple fellation ne lui suffirait pas pour la satisfaire. Elle attendait juste mon ordre, pour sauter sur moi et se faire défoncer la vulve et l’anus par son fils. Lui relevant le menton et lui prenant la main je l’invitai à se mettre à quatre pattes. Des sourires naquirent sur nos lèvres quand nous entendîmes Cindy et Esther jouirent dans la pièce voisine. Ma tête dans le cul de maman pour bien le lubrifier et m’y enfonça d’un coup sec pour ensuite me masturber avec son petit cul. Et alors que mes couilles claquaient fort ses fesses elle hurla : « Va s’y mon cochon engrosse ta salope de mère. » Ce que je fis avec plaisir.
Quelques mois plus tard
« Bébé je suis rentré ! » Papa avait claqué la porte après avoir violé Cindy, en la traitant de catin. Esther l’avait soutenue pendant de longs mois et avait finalement mis l’anneau à sa main. Maman, ou ma femme désormais avait un ventre bien rond. Je lui avais demandé sa main quelques semaines après le viol de papa. « Je suis dans la cuisine bébé. »
En entrant je vis ma femme en petite culotte, elle préparait le dîner habillée d’une simple culotte. Ces deux gros seins qui se remplissaient me donnaient des frissons. Je passai dans son dos et massa son ventre. Mes lèvres la caressant sur sa nuque, je dis : « -Alors ?Encore quelques mois mon amour.C’est si long. J’ai envie de toi...Je sais bébé, moi aussi mais j’ai peur pour notre enfant. Mais tu m’excites trop.Je sais mon amour, moi aussi sa me manque mais va voir Cindy elle peut t’aider.Mais je vais pas faire l’amour à une autre fille... ???C’est ta mère et ta femme qui te l’ordonne.Entendu... Mais tu m’aimeras toujours ?Comme une folle mon étalon. Aller va saillir deux trois filles pour me faire plaisir.A tes ordres. »
Je l’embrassai langoureusement puis alla voir ma sœur, elle avait peut-être des amies a qui me « confier ». Ma requête la fit exploser de rire et me promit en m’embrassant sur la joue de me promettre de faire quelque chose.
Cela arriva trois jours plus tard, ma sœur en petite culotte sans haut me prit par la main. Passant devant ma femme elle m’embrassa et dit : « - Profite bien. » Cindy me fit grimper dans sa voiture, puis on roula pendant plusieurs minutes avant d’arriver à une sorte de casino coquin. Ma sœur prit les devants, alla voir la femme de l’accueil et lui susurra quelque chose à l’oreille avant de nous inviter dans une salle plus éloignée. Ma sœur me tapota l’épaule et me dit. « Moi je prends la petite et toi tu vas par là, on se retrouve dans deux heures. »
Cindy courut rejoindre la fille du guichet en se déshabillant. Prenant mon courage à deux mains je pénétrai dans la pièce, qui d’abord fut noir avant que je trouve interrupteur. Ce fut une lumière tamisée qui m’offrit dix déesses nues. Des Asiatiques, des femmes ébène avec des seins à croquer et des Européennes. La porte claqua, mes habits disparurent et mon corps fut livré à vingts mains désireuses de me procurer du plaisir. « Cindy prépare toi. »
Ding dong Cindy se leva, sa mère dormait, qui pouvait bien venir ? Elle ouvrit la porte sur quatre filles aux tenues à peine remarquables qui se jetèrent sur Cindy en la déshabillant. Et ce fut à quelques kilomètres de distance mais le frère et la sœur dirent « Merci » en même temps avant d’être emportés par un flot de poitrines et de chattes humides.
