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Un voyage torride

Chapitre 1

Gay
Un voyage torride
Il est 22h45. Le train de nuit Toulouse-Paris démarre lentement et quitte la gare Matabiau, puis accélère son allure.Je suis dans un compartiment de première classe et j’occupe une des couchettes du haut. Les autres semblent vides. Vais-je avoir la chance de voyager seul ?Je me réjouissais déjà, lorsqu’est arrivé le contrôleur, suivi d’un passager sans doute monté en dernière minute dans le train. Il le laisse choisir sa couchette et l’homme prend celle du haut, à l’opposé de la mienne. Avant d’installer ses affaires, un simple sac de voyage, il me salue en souriant. C’est un jeune homme de 26 ou 27 ans, très brun, les cheveux coupés courts, imberbe, bien bâti, vêtu d’un tee-shirt blanc et d’un jean’s délavé, plutôt moulant, chaussé de tongs noirs.Avec la désinvolture des jeunes d’aujourd’hui il me dit :« Je crois que nous serons seuls pour ce voyage. J’espère que vous ne ronflez pas ? » Je le rassure sur ce point et lui demande s’il va jusqu’à Paris. Il me répond affirmativement, avec un nouveau sourire, qui dégage ses dents blanches et bien rangées. Plutôt agréable le mec me dis-je en aparté et je lui rendis son sourire en lui disant :« Je dors peu en train et vous ? »« Cela dépend » me répond-il en fermant la porte du compartiment, « cela dépend des autres occupants du compartiment ». Puis il tire les rideaux et grimpe souplement sur sa couchette. J’admire son aisance. Décidément il est beau gosse, épaules larges, bras bien dessinés, hanches étroites, fesses bombées, jambes longues et fines.Il retire et range ses tongs dans le filet puis se tourne vers moi, interrogateur : « cela ne vous gêne pas si je me mets à l’aise » ? Naturellement je ne peux que répondre que cela ne me gêne pas du tout. J’ajoute sans réfléchir que j’en ferais bien autant.Cela m’a échappé ! Je me sens rougir et je m’étends sur ma couchette pour dissimuler ma confusion. C’est que j’ai 46 ans, que je suis marié et père de famille et que je suis d’un naturel très pudique. Mais depuis longtemps je suis attiré par les garçons, en particulier ceux qui ont entre 20 et 30 ans. Et celui-là me plaît. D’où la réponse qui est venue spontanément.Le jeune homme retire son tee-shirt, dégageant d’un seul mouvement poitrine et haut du ventre. Je guette du coin de l’œil. Il a un peu de poils noirs entre les deux mamelons et autour des tétons, ainsi qu’un filet qui va du nombril, à la ceinture du jean’s. Mon cœur bat la chamade et je sens mon sexe se durcir. Heureusement que mon pantalon de coton est assez ample !Ne se sentant pas observé, ou faisant mine de ne pas s’en rendre compte, il se met à déboucler sa ceinture et à déboutonner son jean’s. Puis soulevant les fesses, il fait glisser celui-ci vers ses genoux, laissant apparaître un shorty noir, avec une belle bosse sur le devant. Il a l’air bien monté le salaud. Il range Jean’s et Tee-shirt et prend une revue dans son sac. Il s’installe commodément, appuyé sur le bras droit, tourné vers moi, la couverture de la SNCF remontée jusqu’à la ceinture. Je le dévore des yeux. Belle poitrine, belles épaules, ni maigre, ni gras, la peau plutôt foncée et une position pleine de grâce.Je me décide alors à me déshabiller discrètement, pendant qu’il semble occupé par sa lecture. Je me défais sans mal de ma cravate et de ma chemise, puis me glisse dans les draps pour retirer mon pantalon, ce qui n’est pas très pratique et m’oblige à me contorsionner.Bien entendu le mec m’a vu et sourit ironiquement, avec une lueur dans ses yeux bruns qui me fixent.« Vous savez, nous sommes entre hommes ce soir. Nous n’avons rien à cacher. Autant prendre ses aises, ne croyez-vous pas ? » Sa voix grave me trouble et je réponds bêtement : « C’est vrai, je ne sais pas pourquoi je fais des manières. Je ne voulais pas vous gêner ».« Cela ne me gêne pas du tout, au contraire » me répond-il, « j’aime regarder des corps d’hommes, surtout bien foutus ».Je pique un fard et ne sais plus où me mettre. Je suis à demi couché, vêtu de mon seul shorty blanc et de mes chaussettes, le bas du corps enfoui dans mes draps, le sexe en érection. « C’est pas vrai, c’est un homo » pensais-je « et il me fait des avances, à moi qui suis plus vieux que lui et un peu défraîchi. Il doit être en manque ». Le gars se penche vers moi et me tendant une revue me dit « voulez-vous un peu de lecture ? » Je la prends en remerciant d’une voix étranglée. C’est un numéro de « Tétu » la revue phare des homosexuels, avec en première page la photo d’un éphèbe en slip. Je la connais, car il m’arrive de l’acheter parfois. Cette fois je n’ai plus de doute. Chance ou malchance, je suis tombé sur un homo qui semble chaud et prêt à agrémenter son voyage d’une petite aventure. Vais-je sauter le pas ? je n’ai encore jamais eu de relations sexuelles avec un homme, en dépit de mes attirances. Des possibilités s’étaient déjà présentées, mais je n’ai jamais osé. Ce soir c’est l’occasion rêvée.Je lui souris encore et sans plus hésiter, je parcours la revue, plutôt excitante. De temps à autre je regarde discrètement mon voisin et je le vois se caresser le sexe sous la couverture. Sans doute lit-il aussi une revue homo pour se mettre en forme.Le temps s’écoule ; le contrôleur passe pour la vérification des billets A ma demande il m’indique qu’aucun voyageur ne viendra plus occuper une couchette dans ce compartiment. Après son départ, je verrouille la porte de ce dernier, restitue la revue à mon compagnon et m’enfouis sous les draps et la couverture de la SNCF. Il me demande si le journal m’a intéressé et je lui réponds que oui et qu’il m’arrive en effet de lire celui-ci.
Il fait chaud dans ce wagon et mon voisin rejette sa couverture. Je vois alors qu’il se touche le sexe par-dessus le coton de son shorty, ostensiblement. Mal à l’aise, je lui souhaite bonne nuit et me retourne vers la cloison. Je m’en veux de ma gêne et de ma timidité. Pourquoi ne pas répondre à ses avances ? Pourquoi ne pas profiter de cette occasion unique, avec un mec canon, qui me fait flipper ? J’enrage in petto.Il éteint la lumière, laissant seulement la veilleuse et s’étend. Pour moi c’est donc raté, rien ne se passera et il ne me reste plus qu’à dormir. Mais je n’y parviens pas, sa présence tout à côté de moi continue de me troubler. Je l’entends respirer, se retourner, cherchant lui aussi le sommeil.Alors que j’allais m’assoupir, je l’ai entendu bouger. Jetant un œil dans sa direction, je vois qu’il s’est assis au bord de sa couchette, les cuisses écartées, les jambes pendantes. « Vous ne dormez pas ? dit-il. Je grogne un non. « Moi non plus, le bruit du train m’en empêche. « Vous voulez bien bavarder un peu ? ». Il faut que je me lance. C’est le moment ou jamais. Cette fois j’ose : « Bien sûr. Merci pour la revue de tout à l’heure. Vous êtes homo ? Comment le vivez-vous ? »Cette fois je ne pourrai plus reculer. Je le vois se pencher et s’agripper à l’échelle, puis passer de mon côté, poser ses fesses sur ma couchette, les jambes toujours ballantes et se tourner vers moi avec un grand sourire. « Oui je suis homo et je le vis très bien ».Je me redresse pour m’asseoir et ce faisant me découvre un peu. Il me regarde, détaillant mes épaules étroites, ma poitrine glabre, mon ventre un peu grassouillet avec sa fine toison dorée autour du nombril, la ceinture de mon shorty qui laisse dépasser un peu de poils pubiens. Moi je fixe ses fesses bien rondes, dans leur fine enveloppe de coton noir, juste devant mes yeux et je suis pris d’une folle envie de les caresser. Il reprend la parole : « Tu sais, cela n’a rien d’extraordinaire d’être homo. C’est une vie comme une autre et cela a bien des charmes. Tu n’as jamais essayé avec un garçon ? » Ce tutoiement me fait à nouveau battre le cœur et d’une voix basse je réponds avec peine : « Non, je n’ai jamais essayé …Tu sais, je suis marié ».A ce moment, il prend l’initiative. Je sens sa main droite se poser doucement sur mon ventre, au niveau du nombril et caresser légèrement mes poils. Je retiens ma respiration, les muscles tendus, pour mieux sentir cette peau contre la mienne. Il se rend compte de l’effet produit. Il s’enhardit et de sa main descend mon drap, découvrant tout mon shorty et le haut de mes jambes jusqu’aux genoux. Mon sexe présente une barre sous le coton blanc. Je ne peux plus rien cacher. Sûr de lui et de mon désir, il s’allonge alors à mes côtés, sa poitrine contre la mienne et sa bouche se porte sur mes lèvres. Je me laisse faire, comme paralysé. Ce baiser est bien doux. Comme j’entrouvre la bouche, il y glisse sa langue humide de salive, l’enfonce, la tourne et retourne. Ce baiser profond s’éternise et j’y prends plaisir, mes bras malaxant son dos et ses épaules. Il se couche alors sur moi de tout son long et je sens sa bite dure contre la mienne, au travers de nos sous-vêtements.Ce corps jeune, chaud et vigoureux, pressé contre le mien, ces gestes à la fois fiévreux et tendres, cette bite roulant sur la mienne, ce souffle haletant contre mon visage, ces baisers langoureux, me font perdre toute retenue.Cette fois je m’abandonne, l’embrasse passionnément dans le cou, sur les joues, sur les épaules, sur la bouche, lui caresse les fesses au travers de l’épaisseur du tissu, lui murmure à l’oreille « Vas-y, continue, fais-moi jouir ». Cet inconnu providentiel, ce jeune mâle excité se redresse alors et entreprend de me retirer mon shorty. Il le fait glisser vers mes pieds, le repousse d’un coup de talon au bout de la couchette et ma verge libérée se lève, bien droite, le gland découvert, palpitante. Je râle de plaisir. Pour la première fois je montre mes parties les plus intimes à un homme et cela m’excite énormément. Serais-je exhibitionniste ? Je panique soudain. « Que fais-tu ? Tu es fou. Et si quelqu’un nous surprenait ? Un nouveau contrôle est toujours possible et le train s’arrête encore dans plusieurs gares ». La peur du scandale éventuel, mais aussi la crainte de l’acte qui se prépare m’envahissent soudain. Il me rassure d’un sourire en me rappelant la réponse du contrôleur. Nous sommes seuls jusqu’à la fin du voyage.En même temps, de sa main gauche il me caresse la jambe gauche, en remontant d’un geste lent vers l’aine, effleure doucement mes couilles durcies et duveteuses, remonte le long de ma verge qui tressaute, titille le gland déjà humide, puis égare ses doigts dans ma toison pubienne. Cette caresse sensuelle apaise mes craintes et je râle de plaisir. Je glisse mes deux mains sous la ceinture de son shorty pour sentir la douceur de la peau lisse de ses fesses, puis je tente maladroitement de lui descendre ce dernier.Mon partenaire se redresse alors, fait descendre son shorty noir le long de ses jambes poilues, le dégage de ses pieds et l’envoie valser sur sa couchette, de l’autre côté du compartiment. Son sexe est devant moi, à 15 cm, avec sa verge longue et fine, son gland gonflé et rougeoyant, ses bourses noires de poils, son pubis à la toison abondante et foncée, palpitant comme un oiseau. Je ne peux retenir mon geste. Mes mains se portent sur cet objet de tous mes rêve, de tous mes désirs, qui m’avait été jusqu’alors interdit. Je le branle doucement d’une main, tandis que de l’autre je lui malaxe les couilles. Je m’exclame : « Mon Dieu que c’est beau, que c’est doux, un sexe de jeune gars ».Je sens sous mes doigts cette peau si douce de la verge de mon partenaire. Je la sens vibrer à mes caresses.
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