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Le voyage en train

Chapitre 1

Comment faire un bon voyage ?

Hétéro
Pffff...
Je pousse un profond soupir en tapotant mon stylet sur ma tablette. Je ne suis pas satisfaite de la fin de ma dernière mini-nouvelle. Si je trouve les trois-quarts plutôt bien écrits, j’ai l’impression d’avoir bâclé la fin. Mais j’étais plutôt en panne d’inspiration.
Mon regard glisse jusqu’à mon compagnon de voyage, monté quelques minutes plus tôt à Limoges. Depuis notre départ, il a mis en route son ordinateur portable et n’en a pas levé une seule fois les yeux.
Je m’installe confortablement, les jambes croisées, sur mon siège, ma robe remontant un peu sur mes cuisses. Je sens l’air frais de la climatisation me caresser mes cuisses. Je baisse les yeux sur ma poitrine et vois mes tétons dressés sous le tissu de ma robe. L’excitation que je ressens à chaque fois que l’on me frôle, que je sens l’air sur mon sexe a été plusieurs fois une bonne source d’inspiration.
Je sens le regard de mon compagnon de voyage glisser sur mes jambes... du moins, en ai-je l’impression... ou bien le fantasme. Par jeu, je décroise les jambes, en prenant le temps d’exposer mes lèvres épilées, puis prends une pose un peu plus pudique, mais qui fait relever un peu l’ourlet de ma robe.
Je reprends mon stylet pour noter les idées érotiques qui me viennent à l’esprit : regardant défiler le paysage à toute vitesse, je m’imagine assise sur les toilettes du train, me caressant les seins, glissant un doigt entre mes lèvres humides. Le stylet glisse rapidement sur la surface lisse, la noircissant ligne après ligne.
Assise sur la cuvette, les cuisses écartées, mes doigts caressent mes lèvres, les pincent en les frottant l’une contre l’autre. On tape à la porte.
— Contrôle des billets.
Mais, mes pensées se tournent alors vers mon compagnon de voyage.
Hmm... deux adultes seuls dans un compartiment de train, ça pourrait être excitant.
Mon stylet court de plus belle sur la page blanche.

Je regarde subtilement mon compagnon de voyage : il est concentré sur son écran. De temps en temps, il tape quelques mots sur le clavier, mais il semble captivé par ce qu’il regarde. Je le vois glisser furtivement une main à son entrejambe. Ses sourcils se froncent derrière ses lunettes. J’ai l’impression qu’il se caresse, mais je n’en suis pas certaine. Sa respiration reste calme.

Impossible qu’il se caresse devant moi. Je me fais des idées.
J’hésite à l’observer plus longtemps. J’ai peur qu’il me surprenne et qu’il le prenne mal. Rassemblant mes esprits, je me replonge dans mes écrits. Mais mon regard ne peut se détacher de cette main, qui semble caresser son sexe.
Prise d’une petite soif, je me penche sur mon sac, à mes pieds, pour y chercher ma bouteille. Ce faisant, je me rends compte que mon décolleté laisse apparaître la naissance de mes seins. Un coup d’œil rapide me permet d’apercevoir le regard gourmand de mon voisin qui ne se gêne pas pour me mater. Je prends alors mon temps pour fouiller mon sac, toujours bien penchée en avant, émoustillée par son attitude.
Je me redresse en sentant attrapant la bouteille en plastique. Elle est encore fraiche. Je m’étire voluptueusement sur mon siège. Ma robe remonte un peu, dévoilant un peu plus ma peau dénudée dessous.
Je me désaltère, le plus sensuellement possible. L’aguicher m’excite beaucoup. Mon compagnon de voyage ne me quitte pas des yeux. J’esquisse un sourire séducteur entre deux gorgées.
Alors que je vais reboucher la bouteille, le train freine violemment. Déséquilibrée, je m’effondre sur mes genoux, m’aspergeant la poitrine d’eau fraîche. Je me retrouve à quatre pattes, le visage en face de son entrejambe. La main que je vois glisser vers le haut me confirme ce que je pensais : il se caressait bien discrètement sous son ordinateur.
— Ça va ? Pas de bobo ? — Ça va, merci. » lui dis-je en baissant les yeux.
Je me redresse doucement, en me frottant les genoux. Nous entendons une voix grésiller dans le haut-parleur.
— Mesdames, messieurs. Notre train a été contraint de s’arrêter en pleine voie suite à un accident. Nous rencontrons quelques problèmes avec les circuits électriques, ce qui va entraîner une coupure de la climatisation. Nous vous invitons à rester dans vos compartiments, stores baissés pour éviter la chaleur. Il est strictement interdit de descendre sur les voies. Je vous tiendrai informés de la situation. »
Levant les yeux, je le vois poser son portable sur le siège vide à côté de lui et me tendre des mouchoirs :
— Vous devriez vous sécher avant... d’attraper froid. »
Une lueur aussi fugace que coquine dans son regard m’indique qu’il pensait à autre chose que ma santé. Baissant les yeux, je me rends compte que l’eau a rendu le haut de ma robe complètement transparent et que sa fraîcheur a fait se dresser mes tétons.
Il se lève brusquement, comme embarrassé. La bosse sous sa fermeture éclair ne permet plus aucun doute sur son activité. Maintenant, une question me taraude : que regarde-t-il ? Il me sourit en se levant à son tour :
— Je vais me renseigner. »
Il quitte rapidement le compartiment.
Poussant un profond soupir, je tamponne délicatement ma poitrine avec ses mouchoirs pour éponger un peu l’eau. Je me demande combien de temps on va rester bloqué en plein milieu des voies. J’entends des pas précipités dans le couloir, des pleurs d’enfant.
Ça promet.

Je vais profiter de son absence pour ouvrir le décolleté de ma robe et éponger ma peau. Si nous restons coincés ici, autant rester au frais. Mon regard se porte alors sur l’ordinateur, posé sur le siège en face de moi. Je devine la vidéo mise sur pause. L’écran figé titille mon imagination et ma curiosité. Je regarde la porte en me mordillant la lèvre. Je meurs d’envie de regarder, mais je crains qu’il ne revienne et me surprenne : je n’ose pas imaginer la scène, moi à moitié débraillée, regardant l’ordinateur d’un inconnu.
J’hésite un instant. Je réalise que plus j’attends, plus le risque de me faire surprendre est important. Ma curiosité l’emportant sur ma prudence, je me saisis de l’ordinateur et m’assieds à ma place.
Je suis stupéfaite en voyant l’image affichée sur l’écran : une femme, à plat ventre sur un bureau de bois massif. Sa robe relevée dévoile ses fesses nues.
La voir dans cette position m’excite. D’une main tremblante, je clique sur l’icône lecture. La caméra recule un peu, montrant deux hommes près d’elle, leurs sexes en érection à la main. Tandis que l’un se masturbe à côté, l’autre s’avance derrière la femme pour la pénétrer brutalement. La bouche de la femme s’ouvre, laissant échapper un cri silencieux. Je suis soulagée de voir que mon compagnon de voyage avait coupé le son. Les va-et-vient de l’homme se font plus rapides, plus forts tandis que la main de l’autre s’active de plus sur son sexe.
Ma main se glisse sur mon sein, à la recherche de mon téton. Déjà dressé par l’excitation de la situation, il est déjà très sensible. Sans hésitation, je le pince et tire dessus : une délicieuse douleur se propage en moi. Je le pince un peu plus fort, le tordant, irradiant jusqu’entre mes lèvres déjà humides. Poursuivant cette caresse, mon attention se porte sur le couloir extérieur : toujours des bruits de pas précipités, mais rien d’alarmant. Je continue de regarder la vidéo.
L’homme, qui était derrière la femme, la soulève, la soutenant sous les cuisses qu’il maintient bien écartées. Son compagnon se glisse entre ses cuisses écartées et la pénètre. Un nouveau plan de la caméra montre la scène par en dessous et montre une double pénétration. Les sexes énormes la labourent par les deux orifices. La femme s’accroche aux épaules de l’homme devant elle.
Je sens les muscles de mon bas-ventre se contracter, demandeurs de cette double pénétration. Je pose un pied sur l’accoudoir de mon siège et glisse deux doigts entre mes lèvres. Mon décolleté s’ouvre complètement. Mais je m’en moque. Seul m’importe mon plaisir. Je laisse échapper un gémissement en sentant mes doigts se glisser sans problème en moi. Mon jus chaud et doux s’écoule lentement sur mon siège. Renversant la tête en arrière, je profite de ses caresses interdites, tandis que les deux hommes éjaculent sur leur partenaire.
Bientôt un troisième doigt vient rejoindre les deux premiers. Je sens ma chatte s’étirer avec une pointe de douleur qui m’excite encore plus.

C’est alors que la porte du compartiment s’ouvre. Trop tard, je suis prise sur le fait. Mon compagnon me regarde surpris, avant de vite refermer. Cependant, il semble vite se remettre de sa surprise, car je le vois croiser les bras et s’appuyer contre la porte, avec un sourire pervers.
— Eh bien, voilà une situation très intéressante. » dit-il, alors que son regard fait le va-et-vient entre son ordinateur et moi.
Rouge de honte, je ressors mes doigts trempés et resserre les cuisses, telle une gamine prise en train de voler des bonbons.
— Je... suis désolée. »
Je bafouille en baissant les yeux. J’entends alors un cliquetis qui me fait relever la tête. Je vois qu’il a verrouillé la porte du compartiment. J’essaie de refermer mon décolleté, mais j’entends sa voix claquer brutalement.
— Non ! Continue ! »
Mais je ne parviens pas à continuer. Je me sens gênée d’être observée alors que je me masturbe comme ça. Il esquisse un sourire.
— Très bien, puisque tu le prends comme ça... Mets-toi à genoux. »
L’ordre est sec et simple. Je m’agenouille sur le siège, face à lui. Le tissu râpeux me gratte la peau. Je me contente de hocher la tête.
— Enlève ta robe. »
Mes mains saisissent le bas de ma robe et je la passe par-dessus ma tête. Je me retrouve nue, devant lui, aussi gênée qu’excitée.
Son sourire s’agrandit tandis qu’il s’installe à côté de moi.
— Eh bien, situation très intéressante... » répète-t-il.
L’une de ses mains se pose sur mon sein. Je frissonne à son contact : elle est froide. Mon téton se dresse à son contact. Il le pince, m’arrachant un cri de douleur et de plaisir. Je me tortille, mais la douleur augmente tandis qu’il tire un peu plus.
— Tu as été une vilaine fille.— Je... je suis désolée... »
Mon regard se porte vers la fenêtre, mais un murmure à mon oreille m’arrête.
— Ne t’inquiète pas, il n’y aura personne de ce côté. »
Il lâche mon téton et sa main descend sur mon ventre. Ses doigts me pincent les lèvres.
— Tu m’as bien aguiché depuis Limoges. »
Je laisse échapper un gémissement en me trémoussant tandis qu’il plonge deux doigts dans mon vagin. Ses va-et-vient aussi brusques que profonds me font me tordre de plaisir. Mon corps ondule, je gémis de plus en plus fort. Mais j’essaie de contenir mon plaisir, car si je peux entendre les gens dans le couloir, eux peuvent m’entendre. Je m’accroche à son bras, enfonçant mes doigts dans son biceps.
Il retire ses doigts et les essuie sur ma cuisse avant de s’asseoir en face de moi, toujours souriant. Je me sens frustrée, mais, en voyant son air satisfait, je comprends que c’est ce qu’il attendait. Mes lèvres gonflées palpitent, mais je force ma respiration à se calmer.
— Un beau spectacle que tu m’offres. Alors, tu as aimé ce que tu as vu ? »
Je me contente de hocher la tête. Le sourire affiché sur son visage s’étire, comme si c’était la réponse qu’il attendait.
— Très bien. Ça me fait plaisir. Car tu vois, je suis le réalisateur de ce film. »
Je me tortille sur mon siège humide du jus qui s’est écoulé de mon sexe.
— Oui... je crois... ça m’a très excitée de la regarder. »
Il hausse un sourcil.
— C’est une femme soumise, qui obéit au doigt et à l’œil à son patron. »
Je hoquète de surprise en rougissant. Son sourire s’agrandit alors.
— Je vois... toi aussi alors... »
Il se lève et défait la boucle de sa ceinture. Ma respiration s’accélère lorsque je le vois faire sa ceinture glisser lentement sous les passants de son jean. Il affiche un sourire tandis qu’il saisit sa ceinture des deux mains et la tend devant lui. L’air sérieux, il m’ordonne de me pencher en avant. Mécaniquement, je lui obéis, sans broncher. Je me retrouve dans une posture très soumise, dans laquelle je ne me suis jamais trouvée. D’un geste rapide, je sens qu’il passe la ceinture autour de mes poignets et la resserre suffisamment pour que je ne puisse pas les bouger. Puis, tirant sur la ceinture, il me redresse.
— Si tu voulais savoir ce que ça fait, voilà. Ça t’excite toujours ? »
J’ai l’impression de subir un interrogatoire et cette position, aussi excitante soit-elle, n’est guère confortable ni propice à une discussion. Et pourtant, la sensation de tiraillement dans mes épaules, mes seins et mon sexe exposés à son regard, ma position aussi soumise qu’ouverte m’excite à un point que je n’aurais jamais pu imaginer.
Je halète sous l’effet de l’excitation. Sa main me caresse les cheveux et me les tire brusquement.
— Bonne fille. J’aime ça. »
Il me lâche et ouvre la fermeture éclair de son pantalon. Son sexe gonflé jaillit devant moi. Son gland turgescent brille, véritable appel à la pipe. Il hausse un sourcil.
— Tu sais ce que tu as à faire. »
Je me penche autant que je peux, mes épaules me tirant. Mes lèvres se referment sur son gland humide et tendu. Ma langue en fait le contour. Il halète lorsque je l’aspire. Je commence à le lécher du gland à la racine, plusieurs fois. Il grogne de plaisir. J’ouvre alors la bouche et enfourne son sexe tendu, jusqu’au fond de ma gorge. Je le sens se raidir. Ses doigts se glissent dans mes cheveux et ses mains suivent les va-et-vient de ma tête. Ses mains poussent et tirent ma tête à son rythme. Je me contente de le suivre, caressant son sexe dur de ma langue.
— Oh... oui... bonne fille. »
Ses mains pressent brusquement ma tête, me faisant avaler son sexe en entier. J’aspire un peu son sexe, le tétant le mieux possible. J’ai hâte de le sentir profond en moi. Je le sens palpiter et se contracter dans ma bouche. J’ai l’impression qu’il va jouir. Mais il se retire. Lorsque je lève les yeux vers lui, son sourire se fait plus pervers.
— Oui, on va bien s’amuser... Tourne-toi. »
Je lui tourne le dos. Il me libère les mains avant de me pousser dans le dos. Je me mets à quatre pattes. Mais cette position ne semble pas lui convenir. Il appuie sa main entre mes omoplates et je m’écrase contre le siège. Le tissu rêche me râpe la joue. Cette position est à la fois humiliante et excitante. Il prend tout son temps, me caressant les fesses, le sexe, me félicitant pour ma docilité. Je sens alors ses doigts m’écarter les fesses et me caresser l’anus.
— Quel joli petit trou, bien serré comme j’aime. » dit-il alors que son doigt étire les berges de mon anus. « Mais pas tout de suite. »
Ses doigts se saisissent de mes lèvres et les pincent. Je pousse un cri de plaisir, rapidement étouffé par sa main sur ma bouche. Je sens alors son poids sur mon dos, quand il se penche sur moi pour me dire à l’oreille.
— Continue comme ça, et je vais devoir te bâillonner. »
Mes gémissements se font plus fort tandis que ses doigts me pénètrent brutalement.
— Puisque c’est comme ça... »
Il retire brutalement ses doigts de mon vagin avide d’être repris tout de suite. Un murmure de tissu se fait entendre, et, avec brutalité, il me bâillonne avec sa cravate. Le tissu pénètre dans ma bouche. J’essaie de crier, mais le son est atténué par le tissu.
— Tu pourras jouir aussi fort que tu veux. »
Trois de ses doigts me pénètrent.
— Oui, tu aimes vraiment ça. »
Ses mains s’emparent de mes fesses et je le sens me pénétrer profondément du premier coup. Je ferme les yeux tandis que ses doigts s’enfoncent dans ma chair. Si mes cris meurent au fond de ma gorge, je n’en prends pas moins de plaisir. J’ai l’impression que mon bas-ventre va exploser. Ses doigts se crispent soudainement et il lâche un râle de plaisir alors qu’il se déverse en moi. Je sens son sperme chaud m’envahir et déborder de mon vagin. Il tire sur mes mains dans mon dos. Je me redresse brusquement et il se saisit de mes seins, les empoignant sauvagement comme pour se contenir. Il continue à se déverser en moi par spasmes.
— Putain, putain... »
Alors qu’il se retire, je reste dans cette posture, incapable de bouger. Je sens mon jus et son sperme couler lentement à l’intérieur de mes cuisses.
— Ne bouge pas. »
J’entends le siège grincer. Je tourne la tête et le vois penché au-dessus de son sac. Avec appréhension, je le vois sortir un appareil photo. Il doit deviner mon inquiétude.
— C’est juste pour moi, pour mes films. Tourne la tête de l’autre côté. Personne ne pourra te reconnaître. »
À moitié rassurée, je m’exécute. J’entends plusieurs déclics. Prise au jeu, j’essaie de prendre une pause plus lascive.
— Non, reste comme ça. »
Une dizaine de clics plus tard, sa main caresse mon sexe exposé. Je laisse échapper un soupir de plaisir. Il me claque les fesses avant de le libérer les mains.
— Lève-toi. »
Les mains légèrement engourdies, je m’agenouille doucement. Le bâillon m’empêchant de parler, je l’interroge du regard. Je le vois hésiter, mais son regard se porte sur les tablettes rabattues sous la fenêtre.
— Hmm... quelle bonne idée. »
Je le suis du regard : il déplie les tablettes et m’invite à le rejoindre.
— Assieds-toi. »
Il doit lire la surprise dans mon regard, car il tapote la tablette près de lui et me dit plus fermement de m’y asseoir. Avec hésitation, je me lève et m’installe sur les tablettes : une cuisse sur chaque. L’écart entre les tablettes m’oblige à bien écarter les cuisses. Mes lèvres trempées me semblent grand ouvertes.
— Oui... ultra-bandante... caresse-toi ! »
Toujours excitée, je promène mes mains sur mon corps. La pause, l’exhibition, le risque d’être surprise m’électrisent. Ma peau est douce sous mes doigts. Ma transpiration fait ressortir mon parfum à base de thé vert. Fermant les yeux, je laisse glisser mes mains sur ma poitrine. Mes doigts effleurent mes tétons dressés. Je les pince en gémissant, je tire dessus. Mon bas-ventre se contracte à nouveau. Je sens quelques gouttes couler sur mes lèvres. Une de mes mains descend sur mon sexe, écartant mes lèvres. Je glisse le bout de mon doigt entre mes lèvres en laissant échapper un soupir. Tout autour de mon doigt est chaud, doux, humide et moelleux. Un bruit régulier devant moi attire mon attention. J’ouvre les yeux : mon compagnon de voyage est debout et se masturbe devant moi.
— Ne... t’arrête... pas... » halète-t-il.
Je glisse alors deux doigts entre mes lèvres. Un lent va-et-vient profond arrache des gémissements étouffés par la cravate. Ma respiration s’accélère, mon jus continue de couler le long de mes doigts. Je le regarde arrêter de se masturber et reprendre son appareil photo.
— Tête en arrière. »
Lui obéissant, je bascule la tête le plus en arrière possible. De nouveau, le bruit de cliquetis de l’appareil photo retentit dans le compartiment, couvrant le bruit humide de mes doigts.
— Hmm, j’ai une idée. Arrête-toi. »
Il pose son appareil photo et va fouiller dans son sac. Il en sort une longue chaîne équipée de quatre chainettes, se terminant par des pinces avec une molette. Je regarde l’objet avec envie, me souvenant du plaisir de la morsure des pinces sur mes seins dans d’autres circonstances.
— Je vois que tu connais. »
Avec dextérité, il installe les pinces sur mes tétons dressés, les serrant très rapidement. Je pousse un long gémissement à cette douleur exquise. Un sourire pervers sur les lèvres, il pose les deux autres pinces sur chacune de mes lèvres. Là, il n’hésite pas à serrer plus fort. La douleur se propage jusqu’à mon cerveau, lâchant une onde de plaisir intense. Je sens tous mes muscles se contracter, mon jus s’écouler encore plus abondamment.
— Dommage que je n’ai pas ma caméra. » me dit-il avec un plaisir non caché. « Ça aurait été mieux que des photos. »
Il se met alors à tirer sur les pinces. Mes tétons s’allongent douloureusement et mes lèvres s’écartent. Je me cambre sous l’effet de la douleur. J’entends pulser mon sang dans ma tête. J’ai l’impression que mon vagin va exploser. D’un seul coup, je me sens me vider.
— Oh Putain ! Quelle cascade. »
Je baisse les yeux pour voir une flaque se former sous moi, tandis que des spasmes finissent d’évacuer mon jus. Je halète de plaisir, la tête penchée sur la poitrine. Épuisée. J’entends alors taper à la porte.
— Je suis le contrôleur. Veuillez ouvrir la porte. »

Je suis, un instant, prise de panique. Je relève la tête pour me rendre compte que je suis installée sur mon siège, ma tablette sur les cuisses. Mon compagnon de voyage est assis en face de moi, toujours en train de bosser sur son ordinateur.
J’ai rêvé tout ça.
Je sens le regard du contrôleur sur moi.
— Un souci Mademoiselle ?— J’ai dû m’endormir. » lui réponds-je en souriant.
L’agent sort deux bouteilles d’eau fraîche de son chariot et nous les fait passer avant de nous souhaiter bon voyage.
Je replonge le nez sur ma tablette et me rends compte que j’ai écrit tout ce qui m’était passé par la tête.
Waouh, je n’aurais pas cru ça !
Encore excitée de mon rêve et de mes écrits, je me lève pour aller aux toilettes. Même si le train est à l’arrêt, le personnel a laissé accès aux w.c..
Après un peu d’attente, je m’y précipite. Je n’en peux plus. Posant les pieds sur le lavabo, je n’hésite pas un instant pour glisser immédiatement mes doigts dans mon sexe humide. L’autre main sur mes lèvres pour étouffer mes gémissements, je me pénètre rapidement et profondément, en songeant à mon compagnon de voyage : comme j’aimerais qu’il me saute. Mais un fantasme reste un fantasme. Je me cambre lorsque mes spasmes me font jouir.
Ouf, ça fait du bien.
Je me redresse, m’essuie consciencieusement le sexe et l’intérieur de mes cuisses et me lave les mains avant de regagner mon compartiment.
Heureusement que personne n’attendait derrière la porte. Ça aurait été dommage.
Je ris intérieurement à cette pensée. J’arrive devant la porte de notre compartiment. Je suis surprise d’entendre des bruits à l’intérieur. Je colle l’oreille à la porte et l’ai l’impression d’entendre des gémissements.
Non, j’hallucine...
Sans hésitation, j’ouvre la porte. Je reste bouche bée devant le spectacle qui s’offre à moi : mon compagnon de voyage se masturbe d’une main, tandis que de l’autre, il tient ma tablette. Je me précipite pour fermer la porte derrière moi. Le claquement de la porte fait sursauter mon compagnon. Je lui souris.
— En voilà une situation intéressante. » dis-je en verrouillant la porte. « Une situation très intéressante. »
Je m’avance lentement jusqu’entre ses genoux, le regardant poser ma tablette à côté de lui, son sexe en érection. Il esquisse un pauvre sourire. Il va pour ouvrir la bouche, mais je pose mon index sur ses lèvres, en m’agenouillant devant lui.— Ce serait dommage de ne pas en profiter, hein ? »
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