Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire zoo
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 27 J'aime
  • 1 Commentaire

Le voyeur épié

Chapitre 3

Zoophilie
Elle se tenait debout, les jambes légèrement écartées, subissant la pression de ma main, de mes doigts, sous ses fesses, immobile ou presque, elle contemple les chiens. Je lui murmure les noms à l’oreille : "Dagan et Daemon, tu auras aussi un beau collier quand ils t’auront saillie. Quand tu veux, comme tu veux. choisis en un ma belle"Je me suis écarté, la laissant seule.
Assis sur un fauteuil dans un coin, je regarde. Dire que je suis excité est très en dessous de la vérité.... Elle retire ses chaussures, avance, attend. Dagan vient voir, renifle autour d’elle. Elle lui laisse ses doigts à renifler, tend l’autre main vers Daemon qui s’approche, et renifle, Il lui lèche les doigts, c’est la main droite il faut dire.... Du coup Daemon est un peu plus bruyant, il lèche franchement les doigts.... Elle se tourne vers lui. Lui caresse la tête, entre les oreilles, Elle approche son visage de la gueule de Daemon qui le lèche. Le choix est fait semble-t-il.... Je me lève rapidement et prend Dagan par son collier, je l’attache à sa laisse, il restera à mes pieds pour le moment.
Elle offre encore son visage à la langue de Daemon. Lui murmure quelque chose à l’oreille. Je la vois maintenant déboutonner son corsage, le retirer, dégrafer son soutien gorge, libérer ses seins. s’agenouiller complètement pour les offrir à langue du chien, elle aime, un petit gémissement d’approbation me parvient aux oreilles. Elle se redresse, ouvre son jean, abaisse la fermeture, s’en extrait doucement avant de se remettre à genoux contre le chien, se frotte contre lui de nouveau, la peau contre la fourrure, elle ne porte plus que sa culotte, qui doit être bien trempée et odorante... et de petites chaussettes. Elle se laisse aller en arrière, les genoux s’écartent, elle se pose sur ses coudes, les genoux s’élèvent, écartés, elle attend, regarde le chien, l’appelle, l’encourage à renifler.... "Vient Daemon, vient sentir, vient mon chien, vient...." Daemon ne manque pas d’odorat, il s’approche, renifle les seins qu’il a léchés, lèche la peau le visage, renifle, et son museau descend doucement, avant de se coller sur la culotte, brusquement, bruyamment. On dirait qu’on ne joue plus.... De mon fauteuil je vois le chien coller son museau sur le tissus, je devine qu’il commence à lécher, elle gémit et l’encourage, se laisse aller sur ses reins bascule retire sa culotte, ce qui m’offre un moment de vue sur sa fourrure à elle, elle se remet en position, attire le chien vers son sexe, écarte ses lèvres.
Elle en veut, elle le veut, elle gémit sans retenue maintenant que le chien lui lèche les lèvres de son sexe, et que la langue glisse sur la chair tendre qu’elle offre avant de continuer son chemin pour énerver le clitoris, Elle gémit, l’encourage, commence à émettre des sons plus aigus. Je n’y tiens plus, je m’approche, je regarde de plus près. Elle ferme les yeux, se mord les lèvres. Elle va jouir. Le chien la fouille presque, la langue pénètre presque quand elle explose, elle jouit pour de bon, elle ouvre les yeux un moment, me voit, me regarde, tendue, crispée dans son orgasme. Elle se redresse, saisit la tête du chien, l’embrasse, ouvre la bouche pour que la grosse langue puisse s’y glisser. Elle en fait on amant. Elle est prête. Ouverte, trempée, couverte de la bave du chien qu’elle vient de goûter su la langue du chien. Une femelle qui s’abandonne au mâle venu pour la couvrir. Elle le lâche, se recule, se met sur les genoux, cambrée, la croupe en l’air, la fente bien visible, béante, luisante.... "MAINTENANT" Elle a crié. A l’intention de Daemon ? Ou pour que je voies mieux à quel point elle le veut, pour que sa volonté de se donner au chien me saisisse ?
Daemon a compris en tout cas, il fait le tour de la femelle, lèche la fente, et saute en avant, les pattes autour des hanches de la femme animale, le bassin du chien avance, recule frénétiquement, il ne trouve pas le chemin du premier coup, son membre sort, grossit, et brutalement la pénètre d’un coup. Elle crie de douleur, de surprise, il lui a mis son membre jusqu’au fond, il pilonne, elle doit sentir le bout du membre marteler le fond de sa matrice. Les cris se mêlent de gémissements. Je regarde, je tourne autour pour tout voir, les yeux hagards de la femelle, la langue du chien qui bave sur le cou et les cheveux, le membre qui entre et sort de la fente, puis le chien semble se calmer, il respire bruyamment, il pousse de toute la force de ses pattes arrières, la grosse boule de son sexe pénètre le con de la femelle. Elle crie sans que l’on puisse dire si c’est de la douleur ou du plaisir. Et ses cris de plus en plus forts deviennent des cris de jouissance. Elle jouit comme une bête, comme une folle. Le chien se vide les couilles. Il la remplit. un jet continu, chaud, qui lui remplit la matrice, le con, fermé par la boule qui ferme l’orifice et colle la femelle contre le chien.
Il la possède. Elle est sa chienne sans retenue, ses cris sont un abandon de son caractère humain, sans un mot elle hurle qu’elle est à lui, qu’elle en veut encore, qu’elle veut garder ce membre, cette boule qui la dilate, ce flot de sperme qui lui gonfle le ventre. Elle jouit encore. Le chien reste, je regarde ce chien qui semble presque un amant reposant sur les épaules de sa maîtresse. La langue laisse couler de la bave. Elle ne crie plus, jouit en silence de l’instant, cherche à frotter sa tête contre celle du chien. sort la langue pour recueillir de la bave. Bon sang, quelle spectacle.... Je bande, comme une bête moi aussi, Dès qu’il la laisse je l’encule.
Le couple bestial se calme. Le chien montre cherche à se retirer, et y parvient finalement, Son membre jaillit, encore ruisselant, et de la fente un flot de sperme s’écoule. Obscénité absolue. Une croupe souillée, une toison qui laisse couler, qui retient des quantités inépuisables de sperme, des lèvres gonflées, écartées, et au dessus un orifice étroit, bien fermé... Je sors mon membre à mon tour et je saisis la femelle par les épaules. Je me ravise, je retire pantalon, caleçon, mes mains se crispent à nouveau sur ses épaules. Je ne sais pas si elle a repris le contrôle assez pour comprendre ce qui va se passer. Je le lui dit à l’oreille : "C’est mon tour ma belle, je vais te défoncer le cul, comme promis"
Il y a un peu de bave, un peu e sperme du chien il faudra que ça lui suffise comme lubrifiant. J’ai une envie folle de lui mettre mon sexe d’un coup. Je veux l’enculer comme une brute. Je pousse et son cul résiste, elle réalise.... "non pas comme ça...."l est trop tard, je force, de toutes mes forces mes bras la tirent sur moi, mes jambes, mes reins poussent brusquement.... je crie. ma queue entre, force, ouvre, je force encore pour la mettre en entier. Elle crie. Je force encore plus, enragé, ma queue s’enfonce jusqu’à la racine, je crie, elle crie. Elle crie de douleur, je cri dans mon effort, mais ça fait mal aussi ce viol de son cul. Et je me mets à pilonner, malgré ses protestations, sans retenue ma queue entre et sort, de son cul qui s’ouvre, ses cris s’atténuent, elle subit. Je sens mon plaisir qui monte. je le contrôle, je le laisse venir jusqu’au moment ou je me décide. A fond.... Je jouis, je crie je décharge. Je vide mes couilles. Elle subit, gémit. je me retire. Elle m’insulte. "SALAUD !" Elle gémit.
Je me rhabille, attache Daemon et je vais chercher Dagan.
Le chien a dû sentir, renifler toute cette odeur de foutre depuis un moment. Il tire sur la laisse, je la lâche et il va planter son museau sur la croupe de la femelle encore sur ses genoux. Avant qu’elle ait réalisé il lèche la croupe goulûment. Cela semble la calmer. Le ton des gémissements change tandis que la langue du chien va et vient le long de la fente, des cuisses, glisse sur l’anus encore ouvert. La femelle s’ouvre à nouveau au plaisir. Et le chien le sait qui se prépare de toute évidence à la couvrir à son tour.
Elle ne l’encourage pas, mais s’offre, se cambre, semble libérer sa fente bien en évidence, béante, grasse, charnue, d’où le sperme de Daemon goutte encore. Le chien la monte, ses pattes sur le dos, contre les hanches ; bien vite, frénétiquement, il cherche à faire entrer son membre qui gonfle. Elle le reçoit, le cherche, propulse sa croupe vers le chien. "Vas y baise-moi, baise-moi" Il la couvre à son tour, en grognant, plus brutal. Elle chute sur le sol, la tête en avant, complètement cambrée, le chien tombé sur son corps la recouvre du sien. Il cherche à faire entrer le bulbe, force, pousse. Elle ne gémit pas, elle attend, elle l’encourage. Toute sa conscience semble être contenue entre ses cuisses. "Mets-moi tout salaud ! Vas-y, cogne..."Elle crie quand le bulbe entre ’OUI!!!!!!!!!!!!" la bouche grande ouverte, les yeux exorbités, elle subit, foudroyée par la jouissance du chien. Le bulbe est-il plus gros ? elle ne dit plus rien, effondrée, un gémissement parfois, pendant que le chien se vide, que son sperme se déverse, des filets s’échappent de la fente, son ventre semble gonfler. Le chien tombe. Le spectacle est bestial, ils sont là, collés, comme deux bêtes, le chien et sa chienne qui s’abandonne au chien qui tire. Elle crie, cherche à le retenir. Je prends le collier pour limiter la liberté du chien. Mais il la tire par le con. Elle suit, Je stoppe Dagan. "Attends mon grand". Ils restent collés, elle reste effondrée. Tout à coup le membre du chien se libère, et un flot monstrueux de sperme jaillit bruyamment. Il lui en a mis une sacrée dose.
Elle se laisse tomber sur le sol, Je la laisse, libère les deux chiens qui vont et viennent autour d’elle et se couchent un peu à l’écart. Elle reprend conscience semble-t-il. Je pose une couverture sur elle. j’attends. Je sorts un cigare, un verre de calvados. J’attends. Je la regarde, je vais voir, elle semble reprendre se esprits. Je m’accroupis à côté d’elle. "Tu as eu ce que tu voulais ma belle on dirait". Elle me regarde, acquiesce en hochant la tête.
Elle ne semble pas regretter. Elle me regarde à nouveau. "C’est bien plus fort que tout ce que j’avais imaginé, J’ai joui, sans arrêt, comme une bête, je n’avais jamais approché ça, j’en prendrais bien encore un vous savez.... tout de suite, pour m’évanouir en jouissant". Puis elle ajoute ’vous aussi vous avez eu ce que vous vouliez n’est-ce pas, vous m’avez violée....". "Si l’on veut, vous aviez consenti... mais oui...." "Salaud !.. mais ce n’est pas cher payé pour ces deux chiens et je voulais savoir ce que ça voulait dire se faire défoncer le cul maintenant je sais si ça se trouve on peut en jouir"
"Je dois aller à la salle de bain" "Comme vous voulez, mais vous ne vous lavez pas, et vous n’essuyez pas le sperme" "Je vais uriner, si vous voulez me surveiller...." Elle est un peu exhibitionniste, mais je suis un voyeur.... comment résister.... Et elle manifeste sa soumission aussi... Je regarde, elle me regarde la regarder, assise sur le siège des toilettes elle pisse.... Les toilettes sont envahie par l’odeur de foutre qu’elle promène.... Elle se lève rapidement sans s’essuyer, un peu d’urine doit couler sur ses cuisses. Elle ne semble pas gênée le moins du monde....
Pendant qu’elle va s’installer sous sa couverture pour se reposer je vais préparer le repas.... La situation est aussi excitante que je le pensais
Diffuse en direct !
Regarder son live