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Voyeur de ma mère

Chapitre 8

Le cadeau de Florent et ses copains

Inceste
8h, après un réveil un peu tardif probablement du fait d’une nuit agitée, Karine et Florent avalent rapidement leur petit-déjeuner car tous les deux se sont couchés tard et il faut partir chacun vers ses occupations. Karine au bureau, Florent à la Fac.
— Tu es rentré tard Florent. Ta soirée a été sympa ? — Oui, mais nous avons pas mal bu, j’avais peur de me faire contrôler par les flics. En rentrant, je me suis endormi comme une souche. — Et toi, ton dîner s’est bien passé ? Vous n’avez pas trop parlé boulot ? C’était bien chez ta directrice ? — Oui, c’était très convivial, elle habite une petite maison bourgeoise en banlieue, son mari était en voyage. Elle avait vraiment bien fait les choses. Elle est très agréable et c’est une très belle femme qui doit attirer la convoitise des hommes. Elle semble avoir une splendide poitrine et quand elle se déplace, elle a un cul de rêve bien souligné par une jupe collante. Je vois bien souvent les regards baladeurs de mes collègues, mais c’est la patronne ! — Mais dis-moi, elle semble t’avoir tapé dans l’œil ? — Oui, c’est vrai, mais comme je te dis, c’est notre directrice.
Karine se demande si elle lui parle de ses rapports avec sa directrice. Non, elle préfère garder le secret, peut-être un jour.
— Bon, je vais finir de me préparer et je file au bureau.
»

***************

Quelques journées se passent sans grande nouveauté. Aujourd’hui, en rentrant du bureau, Karine monte se mettre à l’aise dans sa chambre et surprise : 3 préservatifs bien remplis sont posés en évidence sur la table de nuit. Avec un petit mot : « chose promise chose due, c’est notre cadeau à Julien, Alain et moi comme tu l’avais demandé. Fais-en bon usage ! »

A peine déshabillée, Karine caresse les trois cadeaux, les embrasse et les suce un à un et comme elle le souhaitait, se les introduit dans la chatte largement lubrifiée par la mouille provoquée par l’excitation. Couchée sur le lit, elle se frotte énergiquement l’entrecuisse sur l’oreiller libérant de puissants jets de cyprine. Elle imagine trois queues en train de la baiser et se cabre sentant la montée de l’orgasme. Insatiable, elle ouvre le tiroir de la table de nuit pour y prendre le double dong acheté avec Julien et se l’introduit sans ménagement une extrémité dans le cul et l’autre avec les préservatifs dans le con.Ayant joui deux fois, elle se libère du double dong, mais s’introduit le mini-gode télécommandé comme le lui avait demandé Florent en espérant qu’il le mettra en marche à distance avant qu’il ne rentre. Ne voulant pas perdre son jus et laisser s’échapper ce qu’elle a dans la chatte, elle remet précautionneusement sa culotte.

En préparant le dîner elle a oublié la présence des objets lui bourrant cette chatte en chaleur, mais soudain le gode se met à vibrer. Florent lui avait promis qu’il ne le déclencherait que s’il était sûr qu’elle ne soit pas au bureau pour ne pas la perturber comme la première fois.Les vibrations se font de plus en plus intenses et de temps en temps, une légère décharge électrique se manifeste. Karine, comme elle en a pris l’habitude, s’approche du coin de la table et se masturbe énergiquement le clito avec des mouvements de va-et-vient comme si elle baisait le meuble. Elle a baissé sa culotte à mi-cuisses pour mieux sentir le froid du coin de table.Florent qui était rentré en catimini observe le spectacle depuis l’embrasure de la porte. Tout ceci est tellement bandant qu’il sort sa queue et avance vers Karine.
— Alors salope de maman, tu t’amuses seule ?
Karine surprise, quitte le coin de table, se retourne et aperçoit l’imposante bite raide comme un gourdin dans les mains de Florent.
— Je ne t’avais pas entendu rentrer. J’étais prête à jouir, mais tu m’as interrompu, viens vite me bourrer, j’ai les trois préservatifs et le minigode, ta queue en plus devrait m’envoyer au septième ciel.
Florent ne se fait pas prier, il prend sa mère par derrière pour lui peloter le seins.
— Tu sais que j’aime tes gros seins et ton gros cul et comme ta chatte est garnie, je vais t’enculer.— Oh oui ! viens, vas-y baise moi ! j’ai trop envie, je sens mon jus qui coule le long de mes cuisses. Je suis sûre que je mouille également du cul, vas-y fort, très fort. Défonce-moi.
Sans hésiter et sans préparation, Florent entre sans ménagement entre les fesses de Karine. Effectivement, l’orifice est particulièrement lubrifié. S’ensuit un pilonnage effréné.
Karine les mains accrochées aux rebords de la table accompagne les mouvements pour mieux « avaler » l’engin au plus profond de son cul.Florent tient maintenant sa mère par le haut de ses cuisses. Sous les coups de boutoir, les seins de Karine se balancent en effleurant le dessus de la table.
— Ah ..... je vais jouir mon Florent donne-moi tout dans le cul, ce sera merveilleux.— Je pars moi aussi, je vais t’inonder comme tu aimes.
Avec beaucoup de chances, les deux orgasmes sont simultanés et chacun laisse échapper un bruyant râle de plaisir.

La partie terminée, Karine remonte sa culotte pour être sûre de ne rien perdre de ce qui peut s’échapper de ses orifices.
— Bon, il est tant que je termine la préparation du dîner. Notre petite partie t’a peut-être creusé l’appétit ? — Oui, mais ce soir je sors, Julien a une compétition de squash. Je pense que je rentrerai tard.— Quand tu me parles de Julien, je pense à sa sœur Liliane. Ce fut une expérience mémorable pour une première. Me faire gouiner était un fantasme. Si tu m’y autorises, puisque tu es mon Maître, je chercherai d’autres occasions. — Dans le cadre de ta soumission, j’ai une petite idée dont je te parlerai une autre fois. — Tu peux peut-être me mettre sur la voie, ça me permettrait de fantasmer en ton absence.— Il faut que j’y réfléchisse encore mais c’est du domaine de l’exhib. Je voudrais te voir te faire baiser en extérieur après avoir provoqué ton ou ta partenaire. Tu peux y réfléchir toi aussi.— Là tu m’en demandes beaucoup, je ne sais pas si je serai capable. — N’oublie pas que tu as accepté ta soumission. Tu devras obéir.— Bien mon Maître, nous verrons.
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