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Voyeurisme chez mon voisin

Chapitre 1

Gay
Lorsque j’ai acheté ma maison, la rue m’a aussitôt plu. Elle est calme, remplie d’arbres et surtout, ma maison se trouve tout au bout du cul de sac. Une seule chose m’horripile; la cours arrière de mon voisin. Il est mécanicien et sa cours est remplie de vieux pneus, de moteurs, de pièces automobiles. Les weekends, il les passe à travailler sur une vieille Chevrolet, écoutant du Elvis Presley.             Il est âgé de trente-quatre ans, les cheveux blonds, courts, rasés sur les côtés et une barbe plus ou moins taillée. Il n’est pas laid mais c’est le genre qui me laisse indifférent. Je me demande ce que lui trouve sa conjointe qui, elle, est une superbe femme, toujours bien vêtue, bien coiffée. Elle est avocate. Il y a de ces femmes qui sont attirées par les bad boys et s’en est une.              Comme à tous les samedis matin, j’aime bien me prélasser au lit, devant me lever à six heures les jours de semaine mais ce matin, impossible. J’entends, depuis quelques minutes, Suspicious Minds d’Elvis Presley et ce, en boucle. Je me lève donc, bien décidé à demander à mon cher voisin de baisser le volume car pas question que je passe la matinée en compagnie d’Elvis Presley. J’enfile donc un boxer et un t-shirt et descends au rez-de-chaussée, ouvrant la porte patio pour sortir sur la terrasse. Heureusement pour moi, la clôture qui sépare nos deux cours est en lattes de bois, cachant ce dépotoir qui lui sert de cour à scrap, laissant tout de même une petite ouverture entre chaque latte.              Je descends donc de la terrasse, pieds nus sur le gazon, pour me rapprocher de la clôture. Je pointe le regard entre deux lattes pour le voir, effectivement, travailler sur le moteur de sa Chevrolet. Il est vêtu d’un marcel blanc et d’un jeans qui, je dois l’avouer, est plutôt attrayant. Penché au-dessus du moteur, son jeans est descendu, au tiers des fesses, laissant parfaitement voir le début de sa raie. Voyeur comme je suis, je ne peux me priver de ce spectacle et je décide donc de ne pas lui parler tout de suite. Je préfère le mater, glissant ma main sous mon boxer pour y sortir ma graine que je palpe doucement, l’aidant à bander au max. Et c’est alors qu’il arrive.             Un mec, aussi dans la trentaine, entre dans la cour. Il marche directement vers mon voisin qui est toujours penché au-dessus du moteur et le salue, ce dernier lui retournant le bonjour sans même se retourner. Sans doute l’un de ses amis. Ce mec est tout à fait bandant. Cheveux bruns rasés, barbe bien taillée, musclé mais pas trop. Il porte une chemise de coton bleu et un jeans très bien ajusté. Sa chemise est ouverte, me laissant voir une poitrine velue et bien dessinée.  — Julie n’est pas ici? Demande-t-il — Non, elle est partie chez sa mère pour la journée, lui répond mon voisin, toujours en gardant son attention sur le moteur. — Alors, tu vas y arriver un jour avec ce moteur? — Tu me connais, je ne lâcherai pas tant que je ne réussirai pas. — Ça c’est certain Jonathan, laisse-t-il entendre en dirigeant son regard sur le cul de son ami.              Il pose ses mains sur ses hanches, écartant de même sa chemise qui laisse entrevoir une bosse sous son jeans. Il observe la raie, laissant parfaitement savoir qu’il est excité par ce spectacle. — Tu ne portes rien sous ton jeans. Par chance que tu n’es pas au garage car les clients pourraient penser que tu veux les exciter. — Franchement Daniel. Je suis dans ma cour et personne ne me voit. Ce n’est pas comme si je voulais donner un show. Je ne savais même pas que tu viendrais. Daniel se rapproche de lui, plaquant son corps contre son cul. Tu fais quoi là? Demande-t-il sur un ton sec
             Daniel ne répond pas, se contentant de reculer un peu, juste un peu, avant de glisser sa main sous le jeans. Sur le coup, le voisin se redresse, laissant entendre un wowww en laissant tomber les pinces, se retournant la tête vitement vers son ami qui a toujours sa main sous le jeans. — Tu es malade ou quoi? S’écrie-t-il. Qu’est-ce qui te prend? Retire ta main de là et tout de suite.             Daniel s’exécute, sans riposter. Jonathan le fixe quelques secondes avant de reprendre son travail, oubliant toutefois de remonter son jeans. Il se penche à nouveau pour ramasser les pinces, offrant une vue magnifique à son ami qui glisse ses doigts sur son jeans, le bambou bien dur. Il reprend sa place au-dessus du moteur, poursuivant son travail.             Moi, derrière la clôture, j’observe tout, le nez collé contre les lattes pour ne rien manquer. Je suis bandé comme un cheval. J’épie Daniel qui se frotte la graine en reluquant le cul de son ami qui, bizarrement, s’est mis à le balancer doucement, ce qu’il n’avait fait avant. Il me donne l’impression de s’amuser à exciter son ami, et ça fonctionne super car ce dernier, ne perdant pas espoir, réintroduit sa main sous le jeans. Jonathan reste calme, gardant le silence le plus complet, continuant à réparer son moteur tandis que Daniel accentue son tripotage.              D’un coup sec, Daniel baisse le jeans de son ami et se dépêche à prendre place pour lui écarter les fesses, y introduisant sa bouche pour le manger avec appétit. Jonathan se penche davantage, couchant le haut de son corps sur le moteur. Il se laisse bouffer le cul par son ami, par un mec alors que tout à l’heure, il était outré que Daniel lui palpe les brioches. Je peux même l’entendre pousser de petits sons, avisant Daniel que ses coups de langue sur sa rosette sont très appréciés.              Lentement, il se redresse le haut du corps, pose ses mains sur le moteur, les reins toujours bien cambrés pour offrir sa bagouse à celui qui se plait à y glisser sa langue. De sa main gauche, entre les cuisses, Daniel lui saisi la queue, opérant un mouvement de va-et-vient tout en glissant sa langue sous ses bourses qu’il dévore avec entrain. Jonathan se laisse faire, levant les yeux au ciel comme pour remercier ce moment d’extase. Il n’a plus aucun scrupule et moi, de mon côté, je les regarde, ma queue bien en main, quelque peu déçu de ne pas me retrouver dans sa cour.  — Tabarnac que c’est bon, dit-il au travers de ses petits cris de plaisir. Ce n’est pas la première fois que tu bouffes un cul toi. — Et toi, tu ne t’es jamais fait manger le cul par un mec? — Jamais, répond-il sur le vif.  — Tourne-toi, je vais te montrer comment suce un mec, lui dit Daniel en l’incitant à se retourner. — Pas certain que je veux ça par exemple, réplique-t-il en se retournant, la bite bien droite, bien grosse que Daniel enfourne sans attendre, la prenant au complet dans sa bouche.              Sacré voisin. Pas certain qu’il veut ça. Il est si excité qu’il se débarrasse de son marcel avant de placer ses mains derrière la tête de Daniel pour l’inciter à le sucer avec plus d’entrain, lui poussant la bite dans le fond de la gorge. Ses mouvements de hanches, d’avant en arrière, s’accélèrent tandis que Daniel laisse entendre des sons comme s’il régurgitait, la bite dans sa gorge. Et Jonathan retire sa queue, la prend bien en main pour lui donner des coups au visage, Daniel sortant la langue pour tenter de la reprendre dans sa bouche. De sa main droite, il déboutonne son jeans et en sort son poireau, Jonathan faisant glisser sa chemise le long de son dos. Je voudrais tant me faire embrocher par Daniel tant il est sexy mais je reste là, à les examiner se donner du plaisir. Et soudain, Daniel se lève, baise son jeans jusqu’aux genoux et pose ses mains sur le moteur, cambrant les reins pour présenter son cul à son ami qui ne bouge pas, fronçant même les sourcils, comme s’il s’interrogeait sur le vouloir de son ami.  — Allez, tu vas voir, c’est plus serré qu’un vagin, lui dit Daniel avant de cracher dans sa main pour la porter à sa rosette qu’il humidifie.              Jonathan ne bouge pas, fixant les deux sœurs gentiment offert par son ami. J’ai l’impression qu’il ne sait pas trop quoi faire ou qu’il se demande s’il doit le faire. Pour un hétéro, fourrer un mec, c’est autrement que de se faire sucer, surtout quand c’est un ami. Mais dieu qu’il a un cul à se faire labourer. Même moi qui préfère me faire enculer, je ne me ferais pas prier pour lui péter l’entrée de service. La queue en main, il la rapproche et lentement, il la glisse entre les miches à quelques reprises avant de la placer au bon endroit. Daniel, lui, balance des hanches pour signaler au mec qu’il veut sentir son boudin en lui. Tranquillement, il enfonce sa queue, Daniel laissant entendre immédiatement sa joie de le sentir en lui, débutant des mouvements de son cul pour s’assurer que la bite est bien entrée au complet. Le visage tourné vers moi, je le vois glisser sa langue sur ses lèvres tandis qu’il gémit, accentuant la cadence de ses hanches, la bite de Jonathan entrant et sortant de son cul magnifique.              C’est un vrai calvaire de devoir me contenter de regarder et je me dis que je pourrais peut-être les rejoindre, prétextant avoir besoin d’un outil. Je me décide donc, entrant dans la maison pour enfiler vitement un bermuda et un t-shirt et prend le pas vers l’entrée principale de sa maison. Je me doutais que la porte ne serait pas verrouillée si Daniel était parvenu à y entrer et ce n’était pas la première fois que j’ouvrais la porte par moi-même, empruntant, disons-le, bien souvent des outils que je ne possède pas.              Je marche donc directement vers la cour, tire sur la porte patio et m’arrête sur la terrasse, feignant de ne pas trop comprendre ce que je vois. Jonathan a pris le contrôle avec de grands mouvements de va-et-vient, les mains sur les épaules de Daniel pour s’y accrocher bien fermement. Je m’approche lentement, ni l’un ni l’autre sachant que je suis là. Ils sont dos à moi, Jonathan me présentant son cul. Je me rapproche encore plus près, juste assez près pour que Jonathan se rende compte de ma présence. Aussitôt, il se retire de Daniel en me regardant comme s’il venait de commettre un meurtre. — Qu’est-ce que tu fais ici? S’écrie-t-il en cachant sa queue de ses mains. Je ne t’ai pas entendu entrer. — Je comprends que tu étais trop occupé pour m’entendre, lui dis-je avec un sourire sarcastique. Calme-toi, j’en ai vu d’autre. — C’est qui? Demande Daniel, le cul toujours bien en vue — Mon voisin, répond sèchement Jonathan. — En vérité, il y a un bout que je vous mate de l’autre côté de la clôture, dis-je en les regardant les deux, à tour de rôle. Je ne me serais jamais douté que tu baisais des mecs. — C’est la première fois, s’empresse de répliquer Jonathan. Et pourquoi tu nous regardais de chez toi? — C’était plutôt excitant, dis-je en déboutonnant mon bermuda pour le laisser tomber à mes pieds avant d’enlever mon t-shirt. Et je me suis dis que peut-être, tu aimerais de tremper le pinceau dans deux culs au lieu d’un seul, poursuis-je en prenant place à côté de Daniel qui lui, large sourire aux lèvres, s’amuse follement de cette situation. Allez, ne sois pas gêné, ce cul est habitué à des queues comme la tienne, lui dis-je avant d’embrasser Daniel à pleine gueule.             Derrière, Jonathan ne bouge pas, surtout intimidé par ma présence. C’est alors que Daniel s’agenouille pour me manger le cul pour ensuite prendre en main la queue de Jonathan pour la diriger sur mon rosette. — Ne te fais prier. Tu vois bien que ton voisin espère que tu le laboures bien à fond.              D’un seul coup, Jonathan me pénètre, me bêchant le derrière à grande vitesse. C’est drôle comme la gêne disparait quand on peut avoir du plaisir. Daniel reprend sa place à mes côtés, m’embrassant goulument en attendant que son ami l’embroche à nouveau. Moi, je laisse entendre des râlements, sachant bien que ça incite Jonathan à poursuivre avec toujours plus d’entrain. Et il se retire pour piocher le cul de Daniel, revient vers moi et ainsi de suite. Sa queue ne sait plus où donner de la tête tant elle est en action et Daniel et moi la recevons chaque fois avec un large sourire et des gémissements qui se mêlent à ceux de Jonathan.              Regardant l’amoncellement de pneus, une idée me vient en tête. Je me retire du trio, me retourne vers Jonathan et lui demande de se coucher sur les pneus. Il fronce les sourcils, ne sachant trop où je veux en venir mais s’exécute, prenant place, bien installé sur le dos.  — Tu as le choix, dis-je à Daniel. Soit que tu l’enfourches et tu te fais piner par deux queues, soit je l’enfourche et je me fais piner par lui et toi. Je te dirais par exemple qu’avec le cul que tu as, j’aimerais bien de te la rentrer bien profond.              Il me sourit et prend place sur la bite de Jonathan, s’y glissant sur le champ. Je m’agenouille, le visage tout près, regardant avec joie ce magnifique cul se faire empaler. Je sors la langue et la glisse sur la queue gluante qui se laisse contrôler par le popotin de Daniel qui y va à cœur joie. Le goût de cette bite remplie de lubrifiant naturel est d’un goût exquis. Mais bon, j’ai promis à Daniel qu’il se ferait planter par deux serpents alors, je me relève et lui défonce la rondelle à mon tour, lui cartonnant le cul bien à souhait. Il meugle de sentir ces deux bites, Jonathan se laissant aller au rythme de Daniel et moi, le ramonant à grande vitesse.              Et soudain, incapable de se retenir, Jonathan cri sa jouissance en crachant son foutre et moi, de sentir la chaleur du yaourt sur ma queue, je me laisse aller à mon tour, expulsant ma crème fraiche de ce cul qui bouge toujours, nous implorant de ne pas nous retirer. Mais il est trop tard et Daniel se relève alors que moi, je m’agenouille à nouveau pour lécher le foutre sur la queue de Jonathan, suivi de Daniel qui en fait pareil. Nos langues se promènent sur la bite qui ramollit tranquillement, Jonathan nous suppliant presque de cesser tant son plaisir est extrême.  — Et toi maintenant, dis-je à Daniel en me relevant, plaçant un pied sur les pneus pour lui offrir mon cul. A toi de te faire plaisir.             Sans attendre, Daniel me la met dans le mille et en quelques secondes, je sens le liquide baveux remplir mon cul. J’en aurais pris d’avantage mais je savais fort bien que Daniel était trop excité pour tenir plus longtemps.  — Les gars, dit Jonathan. Ça reste entre nous ce qui vient de se passer. — Ne crains rien, lui dis-je. A moins, bien entendu, que le voisin t’aie entendu lorsque tu es venu dans le cul de ton ami. Tu as tout de même une voix qui porte quand tu jouis. Il me regarde, ne sachant s’il doit rire ou non. Bon, je retourne chez moi. Vous savez où je demeure si jamais l’envie vous pogne. Je ne dis jamais non à une bonne baise dans ce genre.
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